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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
17 juin 2009, 04:32
enfin la verite !!! toute la verite !!!

LEVEZ LA MAIN DROITE ET DITES JE LE JURE

Pièces jointes:
avocats019.gif
Re: LE PTB ET MOI.
17 juin 2009, 09:07
# L'institutrice présente à la classe un nouvel élève arrivant du Japon: Sakiro Suzuki.

> Le cours commence.
# > L'institutrice :


> - Bon, voyons qui maîtrise l'histoire de la culture franco-américaine.


> Qui a dit : DONNEZ-MOI LA LIBERTE OU LA MORT?


> Pas un murmure dans la salle. Suzuki lève la main
> - Patrick Henry, en 1775 à Philadelphie.
>
> L'institutrice :
> - Très bien Suzuki ! Et qui a dit : L'ETAT EST LE PEUPLE, LE PEUPLE NE
> PEUT PAS SOMBRER?
>
> Suzuki lève la main :
> - Abraham Lincoln, en 1863 à Washington.
>
> L'institutrice :
> - Excellent, Suzuki ! Maintenant, qui a dit : Je vous ai compris?
>
> Suzuki lève la main et dit :
> - Charles DE GAULLE !
>
> L'institutrice regarde les élèves et dit :- Honte à vous ! Suzuki est Japonais et il connaît l'histoire
> française et américaine mieux que vous !
>
> On entend alors une petite voix au fond de la classe :
> - Allez tous vous faire f..., connards de Japonais !

> - Qui a dit ça ? S'insurge l'institutrice.
>
> Suzuki lève la main et, sans attendre, dit :
> - Général Mc Arthur, 1942, au Canal de Panama et Lee lacocca, 1982, lors
> de l'assemblée générale de General Motors.
>
> Dans la classe plongée dans le silence, on entend un discret :
> - Y'm'fait vomir....

> L'institutrice hurle :
> - Qui a dit ça ?
>
> Et Suzuki répond :
> - George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un dîner
> officiel à Tokyo en 1991.
>
> Un des élèves se lève alors et crie :
> - Pomp'moi l'gland !!!

> Et Suzuki, sans sourciller :
> - Bill Clinton à Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la
> Maison Blanche , à Washington.

> Un autre élève lui hurle alors :
> - Suzuki, espèce de merde !
>
> Et Suzuki :
> - Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002...
>
> La salle tombe littéralement dans l'hystérie, l'institutrice perd
> connaissance, la porte s'ouvre et le directeur de l'école apparaît : -
> MERDE, je n'ai encore jamais vu un bordel pareil!
>
> Et Suzuki :
> - Martine Aubry en arrivant à la tête du Parti Socialiste >
Re: LE PTB ET MOI.
17 juin 2009, 12:35
MEIHA…MA GRAND MERE.


Elle avait pris l’habitude dans son grand âge d’être coquette. Pas trop.

Si le fard était trop voyant, elle l’atténuait en passant sa houppette sur ses chaires roses. Elle me disait dans sa langue maternelle...

‘…Ye ouldi, én hab neb’qa prisentable ou akebriye fél qawa… !’ (Je veux être présentable et noble lorsque je vais au café… !’

Un léger soupçon de poudre venait donc rehausser ces joues, sans trop abuser.

En souvenir surement de son défunt mari. Elle tenait au respect de la mémoire de son défunt époux qui l’avait laissée veuve un soir de fête,cinquante plus tôt.

Puis, c’était autour du choix de sa robe qu’elle désignait dans son armoire bien rangée, avec l’aide de maman. Jamais de robe au ton criard mais plutôt dans les couleurs sombres. Cette dernière, une fois mise, elle ajustait par la suite sa coiffure tout en se mirant devant le grand miroir. Se donnant des airs de grande dame.

Elle avait ses amis et à ce titre, elle voulait faire honneur à ses compagnes, ses habituées de la divine tasse de café.
Lorsqu’elle se peignait, assise sur son lit, avec son peigne fin, felaya, elle prenait soin de ne pas laisser tomber un seul de ces cheveux blancs à terre ou alors perdu d’entre les couvertures.
Elle tenait absolument à les récupérer d’entre les fines et étroites dents de sa feleya pour ensuite les ordonner avec précaution et soin pour les empaqueter avec soin dans un papier journal.

Le tout venait par la suite s’archiver dans une boite en carton à chaussure. Personne d’entre nous, n’allait fouiller dans ce tiroir où ‘fourchinettes’ (fourches, épingles à cheveux) de différentes dimensions s’accouplaient entre eux.

Dans un autre petit carton de son coin de tiroir, il y avait aussi des dés à coudre, des bobinos de fil, des aiguilles et divers boutons révolus qu’elle gardait comme des reliques sacrées.
Malgré sa mauvaise vue, elle tenait absolument à continuer à coudre. Plus d’une fois, elle nous appelait à son secours pour enfiler une extrémité de ce fil tordu qui glissait d’entre ses doigts mouillés par la salive dans le chas de son aiguille.
Hélas, elle s’obstinait tellement que bien souvent, elle se blessait. Et là, elle nous appellait.

‘…I’jeou 3ânouni béch en dekhel el khet fél âine mta él ibra… ! Rani hart !’ Venez m’aider à enfiler ce fil dans l’œil de l’aiguille…Je suis perdue !).

J’allais bien souvent le faire pour la sauver d’une opération délicate, devenue à ses yeux, insurmontable et risquée d’autant plus qu’elle commençait à faire des choses assez drôles dans son grand âge, comme repriser son pot en plastic qui lui servait de kitchenette dans sa chambre.

Nous avions compris ce jour là que Mémé perdait légèrement le fil de sa bobine ( Bek’ra mta él Ndar).
Cela nous amusait beaucoup en vérité de la voir faire des choses extravagantes.

Le jour où Meiha est partie, maman a mit trois semaines, avant d’ouvrir ses tiroirs secrets.
Et là nous sommes tombés sur tous ces petits paquets, bien rangés, remplis de petites touffes de cheveux.

Ses archives personnelles, nous étaient donc dévoilées au grand jour. Après de longues années de respect pour elle.
C’était sa seule fortune qu’elle nous léguait et que nous avons pris grand soin de mettre dans la poubelle avec beaucoup de regrets.

Une petite partie d’elle trouvait donc ainsi un chemin peu enviable mais il fallait le faire. Sans que son souvenir ne soit oublié.

Nous avons gardé au fond de nos cœurs, par contre, son humour, sa joie de vivre, ses proverbes etc…pendant des années sans que véritablement, elle nous soit une charge gênante.

Re: LE PTB ET MOI.
17 juin 2009, 19:45
biber de toutes les histoires que tu nous racontes celles de ta grand mere sont les plus touchantes.
Re: LE PTB ET MOI.
18 juin 2009, 00:53
Et en plus si tu m'appelles comme elle, alors là, tu vas commencer à lui ressembler Mon cher Ami.
Y'en aura d'autres inédits.
MEIHA était une encyclopédie.


AU PTB....

UN AMOUR HANDICAPE CHAPITRE 36°.
Re: LE PTB ET MOI.
18 juin 2009, 01:09
Il est temps que vous vous mettiez au GOOGLES...Juste pour vous enivrer un peu.


[docs.google.com]
Re: LE PTB ET MOI.
18 juin 2009, 01:20
2. L’attaque de la diligence.



A la fin du 19ème siècle une diligence roule depuis 3 jours dans le grand ouest américain et tous les passagers sont apeurés compte tenu des risques d’attaques dont ils pourraient être l’objet.

Au 4ème jour ce qui devait arrivé arriva : une horde de bandits attaque la diligence.

Le chef, un individu à la mine patibulaire s’adresse à ses troupes :

« Aller les mecs, violons les hommes et détroussons les femmes. »

Son adjoint intervient immédiatement :

« Chef, sauf votre respect, je crois que c’est le contraire ».

Alors un petit monsieur sort de la diligence fort mécontent et dit :

« Ah non ; ce qui est dit est dit. »
Re: LE PTB ET MOI.
18 juin 2009, 01:29
DANS QUELQUES INSTANTS L'ALLOCUTION DU 18 JUIN DE NOTRE CHER BOSS ALBERT.
SOYEZ A L ÉCOUTE.
Re: LE PTB ET MOI.
18 juin 2009, 01:43
L’APPEL DU 18 JUIN DE ALBERTORIX.


‘…CHERS AMIS ET AMIES DU KFE,

Je vous ai toutes compris et encore aujourd’hui, je ne cesse de me comprendre tant la compréhension du haut de mon perchoir est dur à ce faire comprendre lorsque des individus ne comprennent rien.
En ce jour marquant un événement exceptionnel, je tiens au nom de ALBERT et du mien, et de tous ceux qui me ressemblent à vous remercier, quoique pas assez, pour votre contribution au bien être de cette rubrique qui a dépasse toutes les espérances de HARISSA.

Cela fait six mois, que vous êtes ici, bien logés et tartinées sans que personne n’ose venir vous demander un cent. Vous bouffez tous les matins, vous déjeunez et vous dinez avec un humour qui a un gout des plus sucré et sacré.

Non content de goutailler, certaines d’entre vous prennent même le plaisir de nager dans la piscine municipale sans payer un rond ce qui constitue un déni de piscine.

D’autres se repaissent des sketchs de maman Haye sans qu’une obole vienne briller dans la tirelire municipale.

Je n’ai pas l’intention de m’étendre sur certains sujets qui me font rire et surtout de la façon, bien à elle, de parler de SCARLETT.
D’autres me donnent des fous rires durent à réprimer mais Ô combien providentiels dans ces moments de crise où tout va de travers. Avec vous tout est remis à sa place et comme le dit notre DEVISE

‘…NOUS ON SÈME ET ON RÉCOLTE… !’

Donc, du haut de mon bureau, continuez à vous faire COMPRENDRE…MOI JE VOUS AI COMPRIS AVEC BEAUCOUP DE COMPRÉHENSION et D’ADMIRATION.

SALLAM ALECOM.

ALBERTORIX LE GAULOIS.




Re: LE PTB ET MOI.
18 juin 2009, 04:05
meYer tu es le premier.

[harissa.com]
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