JOYEUX POURIM

Braham a écrit:
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> Mongi mongeami
>
> Je te crois, mais je voudrai avec ton aide,
> développer ici quelques pensées.
>
> Comment peux tu écrire "Kouki à qui je t'emoigne
> un grand respect", après le long copie colle que
> ce Tartuffe de koukaki avait affiché ici pour nous
> "éclairer", de la fatale erreur dans laquelle nous
> vivions, quand nous avions condamné unanimement le
> MASSACRE DIABOLIQUE de 8 jeunes juifs qui étaient
> en train de prier.
>
> Le fasciste qui avait écrit le REQUISITOIRE
> original , plein de mensonges et de haine,
> condamnant la Yeshiva Merkaz Harav, avait voulu
> acquitter le monstre qui a perpètré le Carnage.
>
> Celui qui l'a considéré comme un "autre point de
> vue" n'est pas moins funeste.
>
> Je te laisse deviner ce que l'on peut penser de
> celui qui "témoigne un grand respect" a ce funeste
> personnage.

tres cher Braham
je m'excuse si j'ai creer un probleme sur votre page consue essentiellement pour hag pourim sameah.je suis inscrit le 10/03/2008 et je n'avais dans mon esprit que coudoyer la cause des juifs en israel ou ailleurs les juifs qui croient à la paix chez eux CAD en Israel la paix en Kurdistan au Tebet dans n'importe quel point dans le monde oU il ya du sang qui coule de gens innocents;concernant ce Kouki je ne le connait pas et j'ai dit ce mot car j'ai cru que Breito s'amuse.je vous jure sur la divinitee que celà a ete dit comme ça.et puisque la position de ce Kouki ete pareille je l'accuse ainsi que mes amis qui collaborent avec moi pour le meme mobil; devant tout le monde d'etre un pure FACISTE;et que les jeunes abattus dans leurs ecole est un crime qui resterait à jamais sur le front des ennemis de la paix;mais ceçi cher Braham ne permet pas à Breitou de m'afficher une etiquette (voire la chronologie)ni à cette elsa qui m'a traité de b...comme ça et sans crier garde.

elsa j'ai fais une tournee dans les multiples forum et j'ai fais une analyse psychiq de ton comportement puisque je dirige un cabinet à Paris et j'ai conclue que tu souffres d'une phobie aigue et que tu as des difficultés pour disserner entre un ami et un non ami pour ne pas dire autre chose,et que tu as besoin d'un séjour pour augmenter ton niveau de politesse qui est abominablement deterioré par un complexe de superiorité dont les origines sont strictements dues à un terrible sentiment d'inferiorité qui peut etre lié à des echecs au courant de ta vie ou à handicap motoriel ou une laideure de physionomie.de toute maniere mon cabinet vous est tjs ouvert.


Un cabinet de "tmenikologie" tres certainement !!!
par contre dans ton analyse tu as tt faux !! sauf la laideur de physionomie.. ca c'est vrai ..
par contre en ce qui concerne ton cabinet je n'y mettrai les pieds que lorsqu'il y aura du papier qui sent bon la lavande !!!

Gardons à cette page l'exclusivité à la dame d'honneur de Pourim la Reine Esther - et souhaitons aux amanns actuels le même sort que leur ancêtre.
Que les "psys" de circuit food et les kapparalinai s'en tiennent là


Pièces jointes:

Mongi,

- Je crois que tu n'as pas compris que, quand tu as dit que tu respectais Kouki, nous avons cru que Mongi et Kouki étaient une seule et même personne et kif kif bourricot veut dire Mongi est Kouki, ce n'est qu'un seul homme. Tu dis que tu n'es pas Kouki et tu condamnes l'attentat et Kouki, c'est bien.

Kouki est entré dans une maison en deuil l'insulte à la bouche: vois tu, où que nous soyons, les enfants qui sont morts sont les notres

Mais Elsa ne t'a jamais traité de bourricot, voyons, tu as mal compris, elle a dit Mongi=Kouki.

Maintenant, parce que tu as mal compris et que ça t'a mis en colère, tu es très impoli avec Elsa, je suis sûre que, en réalisant cette incompréhension, tu demanderas à Elsa de t'excuser.

Ce site n'a pas l'habitude des propos que tu tiens et que, j'en suis sûre, tu regrettes, aussi tu devrais demander aux modérateurs de les effacer.

Harissa a des milliers de pages, et ce n'est évidemment pas le résultat du travail de 20 personnes, c'est un site de référence sur le passé de la Tunisie.

Mais ce sujet est ouvert pour une fête, respecte cette fête s'il te plaît, comme tu en as exprimé l'intention.

girelle a écrit:
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> Mongi,
>
> - Je crois que tu n'as pas compris que, quand tu
> as dit que tu respectais Kouki, nous avons cru que
> Mongi et Kouki étaient une seule et même personne
> et kif kif bourricot veut dire Mongi est Kouki, ce
> n'est qu'un seul homme. Tu dis que tu n'es pas
> Kouki et tu condamnes l'attentat et Kouki, c'est
> bien.
>
> Kouki est entré dans une maison en deuil l'insulte
> à la bouche: vois tu, où que nous soyons, les
> enfants qui sont morts sont les notres
>
> Mais Elsa ne t'a jamais traité de bourricot,
> voyons, tu as mal compris, elle a dit
> Mongi=Kouki.
>
> Maintenant, parce que tu as mal compris et que ça
> t'a mis en colère, tu es très impoli avec Elsa, je
> suis sûre que, en réalisant cette incompréhension,
> tu demanderas à Elsa de t'excuser.
>
> Ce site n'a pas l'habitude des propos que tu tiens
> et que, j'en suis sûre, tu regrettes, aussi tu
> devrais demander aux modérateurs de les effacer.
>
> Harissa a des milliers de pages, et ce n'est
> évidemment pas le résultat du travail de 20
> personnes, c'est un site de référence sur le passé
> de la Tunisie.
>
> Mais ce sujet est ouvert pour une fête, respecte
> cette fête s'il te plaît, comme tu en as exprimé
> l'intention.

ok je demande pardon.je demande poliment au moderateures qu'on efface tout ce qu'il voient mechant dans mes interventions.mais je tiens à dire et redire que je n'ai rien à voir avec ce koka et que je condamne toute riposte visant à provoquer des gens en deuil comme c'est le cas des familles des defunts de l'ecole religieuse de jerusalem.je dis celà non pas comme passe port ou pour plaire à quiconque mes parceque je suis comme ça!

boukir tov girelle.t'a vu j'ai accompli ce que tu m'a dicté.est ce qu'il te convient de voir l'article d'en haut qui parle du papier...ou comme le dit l'adage tun.hlel 3lina 7ram 3likom? (toléré pour nous interdit pour vous)

A la vérité tu as raison, Mongi, tout ce qui ne concerne pas le sujet: "Joyeux Pourim" devrait être enlevé, parce que, autour de cette jolie fête ne doivent rester que des jolis mots.

Cette fête est un grand symbole.

Alors je me joins à toi pour le demander aux modérateurs.


Pièces jointes:

ok girelle.chez nous en tunisie on dit (kob aliha zelfa) c'est à dire( posons dessus un couvercle)parceque Braham et vous meme etes de droit.Pourim sameah .

Les Mémoires d'un goulettois
Par Albert Simèoni ( Bébert)
L'Enfant de la Goulette.
Passe sur acceui le 16.3.2003

Le 18/6/89


' Bourimna…'
(Fouchik ou bani-bani)



'Yè hassra ââlla bourimnè…Ekèl wakt éhdèk…'
'Ils furent nos pourims….En ce temps là…')

J'avais entre dix et onze ans dans mes shorts anglais. Je fréquentais parallèlement l'école française et l'école hébraïque de l'O.S.E ( Œuvre de Secours de l'Enfance) Le jeudi et dimanche. Dans cette institution juive, à l'approche de la fête de Pourim, quelques semaines bien avant la date, on nous apprenait la pièce d'Esther. J'avais le rôle ingrat d'Aman.

Nous étions mes camarades et moi, vêtus comme des 'princes', le Roi 'A HACHVEROCH ( 1m 52 ) assis sur un fauteuil maquillé en trône. Il avait les pieds qui pendaient à 10 cm au-dessus du sol. ): Dans sa fausse barbe et moustache, il se donnait un air imposant. De temps en temps, il regardait du côté de son souffleur. Aman, moi ): ): en sarwel blanc, sur lequel on ajouta une camisole ample. J'avais un de ces airs comme je vous dis pas. Bref, nous étions très beaux.

Au matin de ce jour là, la salle de la cantine était transformée provisoirement en espace théâtrale .Quelques tréteaux supportaient des planches recouvertes de diverses couvertures.

Les 'dignitaires de la communauté 'de Tunis venaient assister quelques fois au spectacle en présence de nos maîtres, maîtresses et directeur Monsieur Habib.

La triste fin d'Aman, sa pendaison se faisait par un jeu d'ombre chinoise, je n'avais qu'à pousser un cri de derrière le rideau pour faire comprendre que j'étouffais. En réalité, je riais.

Vers les 14 heures, nous étions invités, par groupe, pour visionner un film projeté à notre intention au Cinéma Rex. Un film toujours le même; les images en souffraient à force de les faire passer et repasser. Les Zorro et les Tarzan projetés à la sauce Dario, nous donnaient la nausée après dix bonnes années de fidélité.

Dans notre quartier, dés les premières heures de la journée, les pétarades commençaient. Quelques amis donnaient déjà le coup d'envoi sans aucun respect pour ceux qui dormaient.

Des petits bâtons de dynamite, à mèche courte, disposés sur le bord du trottoir, s'enflammaient sous les doigts habiles de l'enfant devenu 'artificier en culotte courte' pour un jour. Projeté en l'air, ce petit bout de cigare une fois allumè, n'était plus qu'un amas de résidus de papier multicolore réduit par l'explosion, en miette, tournoyant dans l'air avant de se poser en confettis sur le macadam dans un bruit sec et assourdissant.

Parfois, nous posions sur le bâton de dynamite une boite de conserve vide que l'on voyait bondir en l'air par le souffle.
Certains mal avisés, introduisaient un pétard dans la' hofra' d'une bouche d'égout. Et là, nous voyons la trappe en fonte se déplacer par le souffle de l'explosion. Ce qui soulevait la joie des enfants, une fois l'opération réussit.

Mon père nous achetait la veille, un petit revolver en fer avec son embout un clou. Nous enfoncions une 'cartouche' puis une fois la détente enclenchée, il en sortait un bruit assourdissant fouchika.
Nous avions aussi une petite boule en pierre que l'on projetait avec force sur le goudron de la chaussée pour en faire naitre quelques étincelles, à notre grande joie.

Souvent, nos oncles et tantes, venaient nous rendre visite, et nous refilaient quelques pièces d'argent qui allaient remplir, vite fait, la caisse du quincaillier, notre pourvoyeur de bannis-bannis, des munitions en tout genre.

'Yè baba, lââjij….! Bourimnè ouffè méli mchit fèl dényè lékhra..! Ehnè tèwè fi blastèk nââtiou bourimèm èl loulèdnè…! Twè'hèchtèkyè baba…!'


('Papa, chéri…Notre obole de Pourim est terminée depuis que tu es parti dans l'autre monde...Aujourd'hui c'est nous qui, à ta place, offrons le Pourim à nos enfants..
Nous t'avons langui….

Anecdote..

Le quartier du Cinéma Rex, était le lieu de rendez-vous branché d'une grande bande d'amis qui, tout en sirotant un cafè ou un thé debout, flirtait sur le spectacle de la rue. Arrive un ami qui sort de sa poche un accordéon de dynamites, qu'il pose sur tout le long du trottoir, environ deux mètres. Ces petits bâtonnets étaient collés les uns aux autres. Il alluma une de ces mèches devant nous afin que la première, en principe, mette le feu aux autres 'mèchèttes. Il s'en éloigna de quelques mètres et, nous attendions fébrilement l'explosion en série lorsque' au bout de cinq minutes, rien ne se passa. L'un de nous lui cria ' Féchiè' c'est à dire 'long feu' et ajouta 'Borico…! Tu peux aller t'asseoir dessus …!'. Enérvè, il se rapprocha de la 'mitraille' sans précaution aucune, pour vérifier la chose et écoutant le 'con seilleur', posa son derrière par- dessus, bravant ainsi le danger qui l'attendait. Et voilà que l'irréparable se produisit sous nos yeux surpris, toutes les mèches prirent feu instantanément sous son c… glacé. Il monta en l'air par la douleur et s'en est sortit avec un trou béant dans son short anglais, 'gesti culant' comme un forcené, et quelques innocentes égratignures entre ses fesses.
Laissant les autres exploser de rire…
Merci ….Ishak..

Ihoud, tu rentres une nouvelle fois sous un autre pseudo.
Je te demande de cesser tout celà.
Soit qalb safi.

Ici, on a appris à tourner la page.
Laisse Elsa tranquille.
On ne s'attaque pas à une femme en plus tu ne la connais pas.

Tu es un homme n'est ce pas...?
Raconte nous autre chose de plus croustillant.
Orzonne ou yezzi bja rabbi.

La blada ce n'est pas bon.
La familiaritè aussi n'est pas bonne et en plus tu cites Braham.
Dont acte.