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L’itinéraire médiocre de Jimmy Carter

Envoyé par mena 
L’itinéraire médiocre de Jimmy Carter
26 avril 2008, 22:58
L’itinéraire médiocre de Jimmy Carter (info # 012404/8) [Analyse]

Par Guy Millière © Metula News Agency

Durant la brève période où il fut président des Etats-Unis (quand bien même il les rectifie assez vite, l’électorat américain peut parfois faire des erreurs calamiteuses), Jimmy Carter avait déjà eu l’occasion de faire la démonstration de sa nuisible incapacité politique. Adepte de la « détente » la plus niaise face à l’Union Soviétique et d’une forme de lamentable de répétition d’erreurs, il a, quatre années durant, rencontré les dirigeants soviétiques, s’entendant dire, chaque fois, par ceux-ci, qu’ils n’envisageaient aucunement d’envahir ou de déstabiliser un pays ou un autre sur la carte du monde. Carter a docilement rendu publiques, avec un imperturbable sourire d’idiot du village, les promesses qui lui avaient été faites, et quand les promesses se révélaient ne pas avoir été tenues, il est, chaque fois, revenu dire aux media qu’on l’avait trompé.

Ce qui ne l’empêchait pas de repartir, de plus belle, chercher sa dose de mensonge auprès des mêmes prescripteurs. Il en a résulté la plus grande avancée sur la planète du totalitarisme soviétique depuis les lendemains de la Seconde Guerre Mondiale. Ont été concernés, entre autres, le Nicaragua, la République Dominicaine, l’Ethiopie, le Congo, la Guinée, l’Angola, le Yémen, le Laos et le Cambodge.

Incapable de saisir les signes avant-coureurs des émeutes initiées par les fanatiques anti-occidentaux et antisémites de la planète, Jimmy Carter a ainsi abandonné le shah d’Iran et démontré son impuissance face à l’installation par l’ayatollah Khomeiny d’un régime dont les nuisances multiples et dramatiques se font sentir jusqu’à ce jour. Et lorsque les Iraniens khomeynistes ont pris en otage le personnel de l’ambassade américaine de Téhéran, Carter a protesté très mollement, ce qui a beaucoup impressionné les geôliers, qui se sont empressés d’exhiber leurs prisonniers dans les rues comme des pantins grotesques.

L’unique tentative de libération militaire tentée par Carter fut un fiasco absolu ; on eût dit que ses concepteurs étaient des pitres de la stratégie, qui avaient étudié l’art de la guerre en visionnant les films des Marx Brothers.

Ceux qui insistent pour se dire que, dans le vide sidéral d’une intelligence politique défaillante, il existe malgré tout un élément moins navrant à citer évoquent l’accord de Camp David, entre Israël et l’Egypte. Ces irréductibles optimistes omettent de se rappeler que cet accord existait déjà dans la volonté de Sadate, qu’il était accepté par les dirigeants israéliens, et avait juste besoin d’un maître de cérémonie, un majordome en quelque sorte, rôle dans lequel Carter s’est à peu près montré à la hauteur.

Si, saisi par un bref éclair de lucidité, et voyant qu’outre les désastres internationaux qu’il avait provoqués, il avait aussi conduit son pays vers les impasses de l’inflation et de la stagnation économique, Carter avait discerné où se situait son seuil maximal de compétence, il aurait renoncé à se présenter pour un second mandat. Il aurait gardé un smoking propre et se serait proposé à servir le champagne et les canapés au saumon dans les soirées mondaines de la capitale américaine. Il a préféré s’infliger à lui-même une campagne électorale humiliante et une défaite qui a eu peu de précédents.

Mû bien moins par la volonté de voir son très insigne prédécesseur suivre le dossier jusqu’à son dénouement que par le désir amusé de le voir boire le calice jusqu’à la lie, Ronald Reagan, le jour de sa prise de fonctions, a permis à l’ancien planteur de cacahuètes d’aller chercher lui-même, à l’aéroport, les otages dont lui, Reagan, venait d’obtenir la libération. Les plus fanatiques et les plus fous, me disait un ami psychiatre, gardent une part de rationalité, ainsi les khomeynistes firent très vite fait la différence entre un abruti impuissant et un vrai président.

Plutôt que de prendre sa retraite et de se cacher dans sa campagne, Carter a voulu, faute de ressentir le moindre sentiment d’échec, montrer qu’après avoir été le pire président des Etats-Unis au vingtième siècle, il pouvait se montrer égal à lui-même et devenir le pire ancien Président de toute l’histoire de son pays. On l’a vu, donc, rencontrer tout ce qui, dans les années 1980 et 1990 restait de dictateurs d’extrême-gauche, de crapules, de truands et d’assassins politiques sur cette terre, ce qui a fini par lui permettre de recevoir le « prix Nobel de la paix ». De voir son nom ajouté à la douteuse liste où se trouvaient déjà les noms de Le Duc Tho, totalitaire sans scrupules, ayant apporté au Vietnam une « prospérité qui a fait l’envie de toute l’Asie », Yasser Arafat, le baba cool proche-oriental bien connu, ou Rigoberta Menchu, la fausse opprimée professionnelle d’Amérique centrale. Al Gore, le prêcheur d’apocalypse et vendeur de remèdes inutilisables n’avait pas encore reçu sa distinction, tandis que Joko le clown, qui ne l’a toujours pas, ne perd pas espoir, pensant que cela ne saurait tarder.

Ces dernières années, la cause palestinienne est devenue particulièrement chère à Carter, trois fois hélas ! Cela nous a valu un livre – ne devrait-on pas mieux dire un véritable torchon ? - publié voici un peu plus d’un an, où Israël était accusé de tous les maux et maléfices imaginables. Où il était question d’une alternative qui n’existe que dans la tête d’un Carter ou de ceux qui sont passés par la même essoreuse de neurones : la paix ou l’apartheid.

Les terroristes islamistes du Proche-Orient s’y sont trouvés décrits comme de pauvres gens, imprégnés d’un amour si débordant qu’il lui arrivait d’exploser dans un autobus ou un magasin de jouets. Où l’amour, selon Carter, ne va-t-il pas se nicher de nos jours ? La démocratie juive se trouvait dépeinte, elle, comme un régime épouvantable, vampirique, raciste. Avec une lucidité de boussole inversée, qui n’appartient qu’à lui (et à ceux qui présentent les mêmes signes de pathologies politiques que lui), Carter montrait, une fois de plus, de la compassion pour les bourreaux et du mépris pour les victimes.

Ne résistant pas au désir irrépressible de se ridiculiser et de se rendre odieux une dernière fois, Carter s’est à nouveau rendu au Proche-Orient. Après avoir brièvement visité Sderot et tenu des propos infâmes sur le traitement de la bande de Gaza par Israël, il a visité le Caire puis Damas, aux fins de rencontrer les dirigeants du Hamas.

L’ancien occupant de la Maison Blanche est revenu de ses entretiens avec quelques uns des pires antisémites que la terre ait portés depuis le temps d’Hitler, en affirmant que ceux-ci étaient prêts à reconnaître Israël ; des propos immédiatement démentis par Khaled Machal, sous une forme sournoise qui a pu faire les gros titres des journaux européens. Cet archi-terroriste a parlé de trêve : n’est-ce pas beau, une trêve ? Est-ce que cela ne donne pas de l’espoir ? Seuls ceux qui savent ce que le mot trêve signifie pour des islamistes émettront des doutes, bien sûr…

Machal a encore parlé des frontières de 1967, de retrait des territoires occupés et du retour des « réfugiés ». Là encore, seuls ceux qui savent que cela signifie la destruction, sans restes, d’Israël s’alarmeront. Les autres trouveront les propositions de ce génocidaire en puissance « raisonnables ».

Dois-je absolument terminer cet article en disant ma profonde et absolue répugnance envers Jimmy Carter ? Il était déjà situé bien en dessous du plancher de mon estime minimale, il a réussi, ce que je pensais difficile, à descendre encore un peu plus bas. Depuis longtemps, notait très récemment, à propos de Carter, Alan Dershowitz, c’est « un homme qui vend son intégrité, et plus du tout des arachides ».

Je reprendrais volontiers la formule à mon compte, encore faudrait-il que je puisse me persuader qu’il y ait eu, chez Carter, une trace, même microscopique, d’intégrité. Le principal conseiller en politique étrangère de Carter, au temps où il se livrait à ses basses œuvres du côté de Connecticut Avenue, a repris du service en conseillant aujourd’hui Barack Obama. Cela devrait donner à réfléchir à ceux que l’écoute des vociférations du pasteur Jeremiah Wright n’aurait toujours pas convaincu de qui est vraiment le probable candidat Démocrate à la présidence en cette année
Re: L’itinéraire médiocre de Jimmy Carter
27 avril 2008, 02:22
Selon Millière :


"Ce qui ne l’empêchait pas de repartir, de plus belle, chercher sa dose de mensonge auprès des mêmes prescripteurs. Il en a résulté la plus grande avancée sur la planète du totalitarisme soviétique depuis les lendemains de la Seconde Guerre Mondiale. Ont été concernés, entre autres, le Nicaragua, la République Dominicaine, l’Ethiopie, le Congo, la Guinée, l’Angola, le Yémen, le Laos et le Cambodge."

Commentaire : Grossière erreur ! les pays mentionnés plus haut, sont tombés sous influence soviétique, bien avant Carter, déja sous Kennedy, LBJ, Nixon, et Ford.

Re: L’itinéraire médiocre de Jimmy Carter
27 avril 2008, 03:07
Selon Millière


"Incapable de saisir les signes avant-coureurs des émeutes initiées par les fanatiques anti-occidentaux et antisémites de la planète, Jimmy Carter a ainsi abandonné le shah d’Iran et démontré son impuissance face à l’installation par l’ayatollah Khomeiny d’un régime dont les nuisances multiples et dramatiques se font sentir jusqu’à ce jour. Et lorsque les Iraniens khomeynistes ont pris en otage le personnel de l’ambassade américaine de Téhéran, Carter a protesté très mollement, ce qui a beaucoup impressionné les geôliers, qui se sont empressés d’exhiber leurs prisonniers dans les rues comme des pantins grotesques."

Commentaire : Comme si le Shah ne s'était pas tiré une balle dans le pieds, avec la commémoration du millénaire de son empire, qui a couté des milliards, à son peuple. Millière nous rappelle que Carter a confié à l'armée US, une mission en vue de faire évader les otages, mais que le fiasco est entièrement du aux militaires US qui ont fait lamentablement échoué la mission, Millière aurait donc suggéré que les USA attaquent l'Iran ? Il oublie aussi de mentionner que c'est Reagan qui a obtenu la libération des otages, pas au prix d'une menace d'invasion, mais contre des livraisons tintantes et trébuchantes, d'armes à l'Iran des Ayatolah !


Re: L’itinéraire médiocre de Jimmy Carter
27 avril 2008, 12:24
Selon Millière




"Ceux qui insistent pour se dire que, dans le vide sidéral d’une intelligence politique défaillante, il existe malgré tout un élément moins navrant à citer évoquent l’accord de Camp David, entre Israël et l’Egypte. Ces irréductibles optimistes omettent de se rappeler que cet accord existait déjà dans la volonté de Sadate, qu’il était accepté par les dirigeants israéliens, et avait juste besoin d’un maître de cérémonie, un majordome en quelque sorte, rôle dans lequel Carter s’est à peu près montré à la hauteur."

Commentaire : Le maître des cérémonies, est le Maître qui conduit des cérémonies, en veillant à ce qu'elle soit justes et parfaites, le prendre pour un majordome, c'est avouer bien peu de connaissance en la matière, et Jimmy a sut avec justesse, conduire la réunion du Grand de l'Egypte d'alors, avec les Grands d'Israël d'alors, quand au résultat il est bien là sous le nez de Millière, qui sans nulle doute doit être bien enrhumé, prés de trente années de non belligérance, entre deux nations qui s'étaient déchirées à plusieurs reprises, combien de vies épargnées ? Mais à l'évidence Millière ne sait pas compter !

Pièces jointes:
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Re: L’itinéraire médiocre de Jimmy Carter
27 avril 2008, 14:49
Selon Millière


"Si, saisi par un bref éclair de lucidité, et voyant qu’outre les désastres internationaux qu’il avait provoqués, il avait aussi conduit son pays vers les impasses de l’inflation et de la stagnation économique, Carter avait discerné où se situait son seuil maximal de compétence, il aurait renoncé à se présenter pour un second mandat. Il aurait gardé un smoking propre et se serait proposé à servir le champagne et les canapés au saumon dans les soirées mondaines de la capitale américaine. Il a préféré s’infliger à lui-même une campagne électorale humiliante et une défaite qui a eu peu de précédents."

Commentaires : Désastres internationaux ? Où sont les exemples que pourrait citer Millière, point d'exemples, et point de démonstrations !
Inflation et stagnation économique ? Alors que depuis 2001 le Dollar s'est effondré de 50% par rapport à l'Euro, et la crise des subprimes qui fait que l'immobilier US lui aussi, s'est effondré de 50 %, c'est aussi la faute à Jimmy ? Et pourquoi pas le Titanic aussi ? Là au moins tout le monde sait que c'est la faute à un certain "Iceberg" ! dont on ne voit que la partie émergeante !

Quand aux défaites sans précédent, alors celle de Nixon et de Ford, ça au moins, ce sont des succès sans précédents !

Pièces jointes:
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Re: L’itinéraire médiocre de Jimmy Carter
28 avril 2008, 09:05
Qui est Guy Millière?


L’émission de Frédéric Taddeï, Ce soir ou jamais, a failli tourner au pugilat.

Les différents invités, l’historienne Sophie Bessis, l’écrivain Christophe Donner, le philosophe Robert Maggiori, le philosophe à cinq consonnes et trois voyelles Raphaël Enthoven, et le cinéaste Jean-Jacques Beineix se sont étranglés en écoutant les arguments du « géopoliticien » Guy Millière.

Lequel, après avoir légitimement pourfendu le relativisme de certains sur la question tibétaine, s’est lancé dans une défense, non sans mauvaise foi, de la guerre en Irak. Et même de la torture par l’armée américaine, en reprenant l’argument des paras de la bataille d’Alger selon lequel la torture se justifierait pour éviter des attentats contre des civils.

Présenté sommairement par Taddéi – « géopolitologue, économiste, professeur d’université » dont le dernier ouvrage s’attaque à Michael Moore – qui est Guy Millière ? Pour un spécialiste, on le voit très peu sur les plateaux télé au point que celui-ci a remercié Taddeï de ne pas l’avoir boycotté comme les autres médias. Un simple intellectuel pro-américain ? Si c’était le cas, pourquoi celui-ci n’écrit-il jamais dans la revue atlantiste « Le meilleur des mondes » ?

Ancien anarchiste de gauche, admirateur de Ronald Reagan et ami d’Alain Madelin, Guy Millière est l’un des rares représentants du courant « libertarian » américain en France. Un courant ultra-libéral qui prône le moins d’Etat possible dans les domaines économique, culturel et social.

S’appuyant sur l’universalité des Droits de l’Homme, les néo-conservateurs comme Guy Millière prônent en plus une ingérence militaire dans de nombreux endroits du monde. Bref, à côté de Guy Millière, Dick Cheney pourrait passes pour Manu Chao et Donald Rumsfeld pour l’abbé Pierre !

Quelques infos supplémentaires tirés du livre de mon ami Johan Weisz, (qui a gagné un procès contre lui), « OPA sur les juifs de France » (éd. Grasset) : « il intervient régulièrement dans Israël Magazine ou l’agence électronique de ré-information Mena. Une reconversion étonnante pour l’ancien rédacteur en chef d’une revue libertarienne, Liberalia, dont le comité de rédaction comprenait notamment l’avocat monarchiste de Maurice Papon, Jean-Marc Varaut. Embarqué en 1998 dans l’aventure milloniste d’union avec le Front National, l’intellectuel dénonce depuis une « Europe rongée jusqu’à la moelle par l’antisémitisme et la montée irrépressible de l’islamisme ».

Et de pronostiquer : « si les choses continuent sur la lancée actuelle, les juifs risquent de devoir partir ». A moins qu’ils ne participent au redressement de la France, en nouant une alliance avec le courant libéral dont il se réclame. « La communauté juive a intérêt à ne pas rentrer dans le jeu de la diabolisation de gens comme Alain Sanders, du journal Présent (journal catholique intégriste), qui défend la politique de Sharon et qui est exactement sur les mêmes positions que moi » ».

Pour autre info, Guy Millière intervient régulièrement sur la radio d’extrême droite Radio Courtoisie ainsi que sur le site « les 4 vérités », pont entre les libéraux et l’extrême droite. Guy Millière est également l’un des visages du racisme en France selon un rapport du Mrap (association qui a toutefois la facheuse tendance à amalgamer critique légitime de la religion et de l’islamisme avec islamophobie).

Lire aussi cette réponse de Guy Millière qui se défend d’être « facho ».

Re: L’itinéraire médiocre de Jimmy Carter
28 avril 2008, 09:34
Ce message copié-collé, sans la signature de l'auteur me rappelle l'histoire Biblique de Bila'am (oui celui de l'anesse qui a parlé) qui a été appelé pour maudire le peuple d'Israel et s'est trouvé en train de le bénir.

NOUS CONTINUONS A VOUS AIMER M. GUY MILLIERE !! VOUS ETES L'AIR PUR QUI BALAIE LES DISCOURS DE LA PENSEE UNIQUE D'UNE GAUCHE EN PERTE DE REFERENCES.
Re: L’itinéraire médiocre de Jimmy Carter
28 avril 2008, 12:18
Il est normalement recommandé, lorsque l'on écrit un message, de ne pas l'écrire en capitales, ce qui est paraît il, considéré comme un crie de colère, mais bon cela ne semble concerner que certains intervenants, convenablement sélectionnés ???

Quand à la diatribe de Millière, avec ses qualificatifs extrêmement orduriers vis à vis d'un ancien Président des USA, on peut bien se demander ce qui à pris à La Mena, d'abriter dans ses colonnes un tel ramassis d'inepties, insultantes pour bon nombre de citoyens US, dont pas mal d'Harissiens.

Le directeur de la Mena en la personne de Stéphane Juffa, de même que A. Soued, nous avaient habitués à bien mieux, par des études et des textes de haute valeur morales,,, mais bon s'il est de bon ton de laisser l'ordure s'installer sur les colonnes, il se trouvera toujours quelqu'un pour dénoncer l'apologie du fascisme, faite par certains individus qui se situent à l'extrême droite!

Pièces jointes:
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Re: L’itinéraire médiocre de Jimmy Carter
28 avril 2008, 12:21
Voila les pensees, les actes, les amis et les Spensors de Jimmy Carter. ce marchand de cacahuettes qui A DECLARE LA GUERRE CONTRE iSRAEL.

Ce Clip (en Anglais) est du "DAVID HOROWITZ FREEDOM CENTER". Il est recommande de le visionner jusqu'a la fin pour comprendre le message de notre ami M. Guy Milliere.

[www.terrorismawareness.org]
Re: L’itinéraire médiocre de Jimmy Carter
28 avril 2008, 12:24
Carter a déclaré la guerre à Israel???
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