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LE GTB ET NOUS

Envoyé par elsa 
Re: LE GTB ET NOUS
02 mai 2008, 10:14
Ils sont venus ils sont tous presque là au GTB !!!!Valllllllllllllllll quel retour où est zazou?????Glibbbbbb lache teufeuone et rejoins moi c le kif total manque que toi !


CACOU ??? c'est toi ladouda???? dis moi ! ne me laisse pas larguée comme pour Ulysse ! née de la dernière pluie moua !!!

on peut pas mettre deux images????

on pas grave

CHABBAT CHALOM au fan du GTB


Pièces jointes:
bravo10.jpg
val
Re: LE GTB ET NOUS
02 mai 2008, 15:34
hey les filles? tenez moi informer de temps en temps
je veux savoir quand la premiere car je serai là!!!!!
Re: LE GTB ET NOUS
03 mai 2008, 02:44
Bonjour, je réponds présente à l 'appel moi aussi je veux bien être conviée à la première, et comme j'ai fait du theâtre je peux aussi être actrice? bien sur bénévole.

Le théme c'est Ulysse Pénélop calypso circé ? pourquoi pas Jupiter Vénus et tous les autres.

En attendant un grand grand mazel tov pour le Grand théâtre.

Bon chabat

cORA
Re: LE GTB ET NOUS
03 mai 2008, 03:31
Ulysse revient

[Ulysse Revient]
A travers les cieux, l'espace et le temps
Un vaisseau s'envient, Ulysse !
Contrôlés des Dieux, les pièges géants
C'est l'Odysséus, Ulysse !

[Refrain]
Ulysse revient !
Et s'étend bien en chemin
Ulysse revient !
Il lutte pour son destin
Salut, c'est moi Nono
J'suis le robot héros
Cadeau d'Ulysse pour Télémac son fils
Je vis dans le grand vaisseau
Comme un poisson dans l'eau
Avec Témis, Télémac et Ulysse
Ulysse revient ! Ulysse revient !
Car pour Télémac, Témis et Nono
Il lui faut lutter, Ulysse !
Ulysse 31, prépare ton vaisseau
La Terre t'attend, Ulysse
[Refrain]
Ulysse revient !
Et s'étend bien en chemin
Ulysse revient !
Il lutte pour son destin
Salut, c'est moi Nono
J'suis le robot héros
Cadeau d'Ulysse pour Télémac son fils
Je vis dans le grand vaisseau
Comme un poisson dans l'eau
Avec Témis, Télémac et Ulysse
Ulysse revient ! Ulysse revient !
Ulysse revient !
Et s'étend bien en chemin
Ulysse revient !
Il lutte pour son destin
Salut, c'est moi Nono
J'suis le robot héros
Cadeau d'Ulysse pour Télémac son fils
Je vis dans le grand vaisseau
Comme un poisson dans l'eau
Avec Témis, Télémac et Ulysse
Ulysse revient ! Ulysse revient !
Re: LE GTB ET NOUS
03 mai 2008, 11:35
Narcisse (NarkissoV) était de Thespies en Béotie; il était le fils de Liriopé la Nymphe bleue que le dieu-Fleuve Céphise avait un jour violée. Le devin Tirésias dit à Liriopé: " Narcisse vivra très vieux à condition qu'il ne se voit jamais." Narcisse fut l'objet de l'ardente passion de très nombreuses jeunes gens et nymphes. Mais il restait insensible à leur amour.

Parmi ses amoureuses se trouvait la Nymphe Echo qu'il repoussa brutalement. Elle passa le restant de sa vie dans des vallons, se laissant dépérir, au point que seule sa voix subsista et qui répétait le dernier mot d'une phrase.

Un autre jour, Narcisse envoya, en présent, une épée à Ameinias, le plus fidèle de ses soupirants qui se tua devant sa porte, faisant appel aux Dieux pour venger sa mort.


Echo et Narcisse d'après Nicolas POUSSIN (© Musée du Louvre, Paris)Artémis (ou Némésis) l'entendit. En Thespies, elle lui fit voir son reflet dans l'eau claire d'une source, et il tomba amoureux de sa propre image reflétée dans l'eau. Devant cette passion désespérée il préféra se suicider.

Selon une autre légende, il avait une sœur qui lui ressemblait beaucoup et dont il tomba éperdument amoureux; quand la jeune fille mourut, il se rendit tous les jours près d'une source pour y retrouver son image en se mirant dans l'eau limpide.

Echo, bien qu'elle n'eût pas pardonné à Narcisse, souffrait avec lui ; elle répéta, en écho à sa voix : " Hélas ! Hélas ! " comme il se plongeait un poignard dans la poitrine. Son sang s'écoula dans la terre et ainsi naquit un narcisse blanc à corolle rouge.
Pièces jointes:
nar1.jpg
Re: LE GTB ET NOUS
03 mai 2008, 11:42
Hystérie connective

Lorsque les écrans deviennent miroir

Pendant fort longtemps, l’homme eut du mal à contempler son image. Les croyances et les mythes nous mettaient en garde : Narcisse était malheureux, et les images étaient l’affaire des dieux qui les façonnaient. Puis l’Art ne fût plus exclusivement religieux et les visages se distinguèrent. Puis il y eut Daguerre, l’image fixe ; l’image-mouvement des frères Lumière ; l’image trouble des premiers téléviseurs ; les images de propagande ; les images détournées par Andy Warhol… et aujourd’hui la multiplication des images sur nos écrans d’ordinateurs. Ce qui m’intéresse ici, ce n’est pas l’image du monde mais l’image de soi, sa propre image.


Lorsque les écrans deviennent miroir

La tendance consiste à présent à se mettre en scène à travers des blogs, des sites, comme s’il fallait construire son double virtuel pour exister. Certains sites proposent même de créer un avatar à son image en choisissant de modeler à son image une “ poupée ” numérique . Le temps est-il venu où l’homme se fait à son image ?

Tel un dieu descendu sur sa propre terre, l’homme, sur Internet, multiplie ses identités, ses métamorphoses et ses avatars ( le terme avatar avait pour premier sens dans l’Hindouisme : “ descente et incarnations d’un dieu sur terre ”, avant de signifier par extension “ transformations et métamorphoses ”). Car seule une identité numérique permet d’occuper les nouveaux espaces de communication qui se créent à chaque instant sur le gigantesque et tentaculaire réseau.

Cependant, il existe, comme dans la vie réelle, des problèmes d’identité, même lorsqu’elle est numérique. Alors que chacun essaye de construire sur la toile son image numérique idéale, c’est-à-dire celle qui séduit le plus, apparaissent parfois dans le même temps des images de soi, des images non contrôlées qui viennent brouiller sa belle apparence.

La notion d’identité numérique est en elle-même contradictoire et paradoxale, car mêlant réalité et virtualité, elle existe et n’existe pas à la fois. Je m’explique : d’un coté, il n’y a aucun moyen d’identifier qui fait quoi sur la toile. Chacun peut se dissimuler sous des pseudos, des masques ou des adresses créés en quelques clics. Le larvatus prodeo est la devise des échanges et des forums. De l’autre coté, chaque fois que nous nous connectons, discutons, téléchargeons, nous laissons des traces indélébiles qui constituent une image de nous que nous ne voulons pas forcément voir ou laisser voir.

Et pourtant cette image est regardée. Les dernières études montrent que plus d’une personne sur deux tape son propre nom dans les moteurs de recherches. Plus d’une personne sur quatre y cherche des informations sur des connaissances, des collègues, ou de futurs employés.

Les miroirs se multiplient et il n’est pas sûr que l’homme supporte bien d’être reflété à l’infini.
Pièces jointes:
nar2.jpg
Re: LE GTB ET NOUS
03 mai 2008, 11:48
La fleur du Male.

Pièces jointes:
nar3.jpg
Re: LE GTB ET NOUS
03 mai 2008, 12:02
OK la mytholo !!!et si on s'occupait de David et Betsabée ???- Et pour QUE CE "GRAND THEATRE DE BOULEVARD" MERITE SON TITRE !n'imitons pas mais innovons ! à vos claviers !moi je sors ce soir - bye bye

Re: LE GTB ET NOUS
03 mai 2008, 12:23
DAVID ET BETHSABEE : PREMIERE APPROCHE

Ces deux chapitres sont parmi les plus célèbres de la Bible. Ils mettent en scène David, roi d’Israël et de Juda. Alors que la Bible nous présente David comme un « roi selon le cœur de Dieu » (1er livre de Samuel 13,14), non seulement il va ici s’approprier Bethsabée, la femme d’Urie, général de son armée, mais encore faire tuer celui-ci pour couvrir sa faute. Malgré ce meurtre, le renom de David reste intact pour Israël ; l’Ecriture annonce que le Messie attendu par Israël doit être de sa lignée, et les Evangiles n’hésitent pas à accorder le titre de Fils de David à Jésus.

C’est pourquoi nous nous interrogerons sur la figure de David telle qu'elle apparaît dans ces deux chapitres, nous demandant ce que cela nous révèle de la foi d'Israël.

La première lecture

Le texte est aisément compréhensible et d'une grande limpidité. Il serait possible d'y voir une pièce en quatre actes nettement marqués :
Acte I : ch.11,1-13 - Le péché de David : d’abord la relation avec Bethsabée (versets 1-5), puis les manœuvres de David pour qu’Urie puisse croire être le père de l’enfant qui est attendu (v. 6-13). Le texte est d’une très grande sobriété, sans un mot de jugement, alors que la longue résistance d’Urie aux « pressions amicales » de David insiste sur la culpabilité de celui-ci.

Acte II : 11,14-27 - La mort d’Urie : d'abord le meurtre et ses préparatifs (v. 14-17), puis les conséquences de la mort d’Urie (v. 18-27). Ici aussi nous ne sommes que devant des faits. Une insistance néanmoins : le dialogue entre Joab et le messager qu’il envoie à David est longuement rapporté. Puisque l’aventure pourrait provoquer la colère de David, cela nous dit que le combat tel qu’il a été conçu ne s’imposait pas. Le lecteur est forcé de comprendre qu’Urie ne serait pas mort s’il n’y avait eu un complot contre lui. Indirectement, la culpabilité de David en sort renforcée. A la fin, la dernière phrase, dans sa brièveté, laisse attendre une suite menaçante.

Acte III : 12,1-15 - l’intervention du prophète Nathan : D’abord la parabole délicieuse de la brebis (v.1-4), puis le dialogue entre les deux hommes aboutissant à la reconnaissance de son péché par David (v.5-

14), avant la sortie de Nathan (v.15).
Au plan littéraire, nous sommes devant un chef-d’œuvre : est-il possible de ne pas être touché par l’histoire de cette brebis qui met en relief la culpabilité du coupable ? Le lecteur ne peut manquer de l’être, et David l’est aussi. Ensuite, l’intervention directe de Nathan illustre parfaitement le rôle du prophète dans la Bible : non pas annoncer l’avenir, mais se faire le porte-parole de Dieu devant les hommes…, ce qui est rarement bien vu. Enfin, l’aveu de David, avec sa brièveté et sa netteté met en relief sa droiture en cette circonstance.

C’est alors, quasi simultanément, l’annonce du pardon de Dieu et du châtiment qui frappera David : la mort de l’enfant attendu.

Acte IV : 12,15b-25 - la pénitence de David : tout d’abord la supplication de David (v.15b-19), il implore Dieu pour son enfant, multipliant les marques de pénitence. Puis, après la mort de l’enfant, c'est le retour à la vie (v.20-25) et un dialogue avec ses serviteurs nous éclaire sur la foi de David.

Spontanément, nous n'acceptons pas l'issue relatée : le fils innocent a payé pour son père coupable. Comment concevoir une pareille injustice ? Au-delà de l'inacceptable, cet épisode nous dit pourtant quelque chose d'essentiel sur la foi de David et celle d'Israël.

La foi de David et celle d'Israël

Si nous nous interrogeons sur ce qui est essentiel pour le texte, nous notons qu'il ne comporte pas une parole de jugement sur le péché de David, alors que la culpabilité de celui-ci est mise en relief par nombre de détails littéraires. En outre, il est affirmé que Dieu lui a pardonné. Cela nous dit qu'aux yeux des auteurs, le péché n'est pas le dernier mot du texte et ne doit pas l'être de la vie de David : il y a place pour un pardon bien que le texte nous ait décrit l'horreur de ses actions.

En revanche, le texte prend soin de rapporter longuement le dialogue avec ses serviteurs qui explique son attitude après l'annonce du châtiment. Les auteurs nous disent ainsi que c'est là qu'il faut chercher une des clés du texte : elle est dans une leçon théologique.

Une leçon théologique

Une leçon théologique a pour but de dire quelque chose de Dieu et de l’homme. Ici, nous voyons un David capable de reconnaître son péché, et nous voyons qu’alors le pardon de Dieu est immédiat.

Plus loin, David s’humilie et implore la miséricorde de Dieu pour que son fils vive, faisant tout ce qu’il sent à sa portée pour exprimer son désir d’être seul touché par les conséquences de ses actes. Il y a là la conscience très belle que Dieu, le Seigneur, peut écouter l’homme.

En même temps, après la mort de son fils, il ne prend pas le deuil : il a fait ce qu’il a pu, mais maintenant qu’il ne peut plus rien, autant vivre. Le texte nous montre un David qui, malgré toutes ses roueries et ses crimes, est aussi capable de droiture en reconnaissant sa faute, un David qui a foi en un Dieu est proche de l’homme, qu’on peut prier et dont on peut attendre miséricorde.

D’autres livres de la Bible – le Deutéronome ou Ezéchiel notamment – diront que les fils n’ont pas à payer pour leurs pères pas plus que l’inverse d’ailleurs. Mais on sent bien qu’ici ce n’est pas admis encore totalement par les auteurs. A une époque difficile où la mort était sans doute très présente, il n’était pas facile d’admettre que mort ou maladie ne soient pas la conséquence du péché.

Dans l’Evangile de Jean, bien des siècles plus tard, les disciples de Jésus, devant l’aveugle-né, demanderont eux aussi : qui a péché, lui ou ses parents, pour qu’il soit devenu aveugle ? Et il faudra que Jésus leur réponde que ce n'est ni lui ni ses parents.

Le texte que nous lisons nous permet d'être témoins des tatonnements de la foi qui cherche à rendre compte de l'expérience de vie et de mort qui est au coeur de la vie de chaque homme ou femme.
Pièces jointes:
db1.JPG
Re: LE GTB ET NOUS
03 mai 2008, 14:43
Mazal tov au GTB!!!!!
hello ma copine mamili.
je vois que tous les amis se sont reunis ici.
de quel boulevard doit-on parler?

susy


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