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Napoleon et les juifs :un bien ou un mal?

Envoyé par dany 
Re: Napoleon et les juifs :un bien ou un mal?
14 septembre 2009, 06:12
Girelle , tu penses qu'il aime l'"Harissa"?
Mais que penses tu de ce complexe, n'est il pas vrai? Un camarade de classe particulierement petit de taille , faisait des grands pas.
Re: Napoleon et les juifs :un bien ou un mal?
14 septembre 2009, 07:00
Les Guerres napoléoniennes ont fait à peu près 5 millions de morts, soit près de 10% de la population européenne de l'époque qui comptait environ 50 millions d'habitant, et où la France représentait environ la moitié de cette population !

Une proportion qui suit de très près les dégâts de la 2 ième guerre mondiale en Europe.

Pas mal pour un brigand ! dont les guerres ont engendré toutes ces victimes, et une ruine dont la France a eu beaucoup de mal à se relever.

Cela se passe de commentaires.

Re: Napoleon et les juifs :un bien ou un mal?
14 septembre 2009, 13:05
Je rappele que le theme du sujet est napoleon et les juifs !!et uniquement cela si possible et non pas ce qu'a fait Napoleon avec les russes ou les anglais !!
A part GIRELLE qui a bien relevé l'esprit du sujet les autres veulent me noyer le poisson
mais comme nous sommes dans une republique chacun bien sur s'exprime comme il a envie mais en ne deviant pas du sujet please!!!
thank you
Re: Napoleon et les juifs :un bien ou un mal?
14 septembre 2009, 13:32
Tu as raison Dany, recentrons le débat, alors s'il te plait, parles nous des relations de Napoléon et des Rothschild, ça au moins ça fait partie du sujet.
Re: Napoleon et les juifs :un bien ou un mal?
14 septembre 2009, 13:50
dany a écrit:
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> Je rappele que le theme du sujet est napoleon et
> les juifs !!et uniquement cela si possible et non
> pas ce qu'a fait Napoleon avec les russes ou les
> anglais !!
> A part GIRELLE qui a bien relevé l'esprit du
> sujet les autres veulent me noyer le poisson
> mais comme nous sommes dans une republique chacun
> bien sur s'exprime comme il a envie mais en ne
> deviant pas du sujet please!!!
> thank you
Merci, Dany, au moins toi tu reconnais que je suis bien le fil!
Re: Napoleon et les juifs :un bien ou un mal?
14 septembre 2009, 15:20
ladouda a écrit:
-------------------------------------------------------
> Tu as raison Dany, recentrons le débat, alors s'il
> te plait, parles nous des relations de Napoléon et
> des Rothschild, ça au moins ça fait partie du
> sujet.


alors pour te faire plaisir un premier article


Les Rothschild, rois des banquiers



* »

De Londres à Paris, cette dynastie de la finance est devenue le symbole des riches familles juives dont le seul nom évoque le pouvoir et l'argent. Jusqu'au mythe.



C'est encore le baron Edmond qui en parlait avec le plus de souffle: «Un Rothschild qui n'est pas riche, pas juif, pas philanthrope, pas banquier, pas travailleur et qui ne mène pas un certain train de vie n'est pas un Rothschild.» Qui dit mieux?

Au commencement, il y a l'existence pauvre et malmenée d'un ancêtre, fils de quincaillier... devenu banquier des princes. Mayer Amschel voit le jour en 1744 dans la sinistre rue aux Juifs du ghetto de Francfort, où l'enseigne de l'échoppe sert de patronyme à la famille. Ainsi naît Rotes Schild (écu rouge). Le jeune Mayer a la bosse des affaires et, à 12 ans, il se spécialise dans le négoce des monnaies anciennes pour, très vite, gérer la fortune des grands, dont Guillaume Ier, électeur de Hesse-Kassel. De son mariage, il a cinq garçons. Placés chacun à la tête d'une filiale européenne de la société familiale, à Francfort, Londres, Paris, Vienne et Naples, ceux-ci n'en finiront plus d'écrire la saga dynastique.

C'est ainsi qu'en 1815, à Londres, Nathan, l'un des fils de Mayer, va réaliser le coup du siècle... en plein Waterloo! Banquier de la campagne de Wellington contre Napoléon, il est le premier informé de la victoire des Anglo-Prussiens. Ce qui lui permet de spéculer avant tout le monde à la Bourse et de doubler son capital! Faux, corrige-t-on aujourd'hui: il se serait contenté, en bon sujet, d'avertir le gouvernement britannique...

A leur table, Napoléon III, Metternich... Le mythe, lui, va se focaliser sur le plus jeune frère de Nathan, James, fondateur du rameau français. Le «prince de l'argent», comme le surnomme Balzac, commence par épouser sa nièce Bettina, pour éviter la dispersion du patrimoine. Il installe la banque Rothschild rue Laffitte, à Paris, rassemble une fabuleuse collection d'art, subventionne hôpitaux et écoles, se passionne pour le vin, rachetant le célèbre Château-Lafite. Et fait édifier à l'est de Paris, à Ferrières, un château où 120 laquais chamarrés comme des généraux sud-américains servent des dîners de 60 couverts. A table se succèdent Napoléon III et Metternich, qui anoblit la famille. Désormais, ils seront barons.

A la fin du siècle dernier, les Rothschild s'identifient de plus en plus à leur nation d'adoption. On les verra, patriotes, soutenir l'effort de guerre français en 1870-1871, ou les armes à la main, en 1914 et 1940: Guy, le descendant de James, recevra la Croix de guerre. Mais l'insolente ascension a ses revers de fortune... Et les Rothschild, impliqués dans la défense de la communauté juive en France et dans le monde, ne sont pas épargnés par l'antisémitisme. Confisqués par Vichy, les biens Rothschild; pillées, les fabuleuses collections d'art... En 1981, la dynastie subit un autre coup de massue: le pouvoir socialiste nationalise la banque. Guy de Rothschild crie sa colère: «Juif sous Pétain, paria sous Mitterrand, cela suffit!» Mais David, le fils de Guy, reprend le flambeau et, en 2003, prend la tête, à Londres, du mastodonte NM Rothschild, fruit du rapprochement des maisons anglaise et française - les trois autres branches se sont éteintes




Mais il y eut aussi des Rothschild plus anticonformistes... Ainsi, le baron Philippe, le «poète vigneron», seigneur de Mouton-Rothschild, qui fit dessiner les étiquettes de son cru bordelais par Dali, Picasso ou Cocteau. Ou sa fille, Philippine, ancienne pensionnaire de la Comédie-Française.

Le 12 juin s'éteignait, à 98 ans, le baron Guy, le chef de famille et, sans doute, le dernier des grands seigneurs parisiens. La fin d'une époque.
Re: Napoleon et les juifs :un bien ou un mal?
14 septembre 2009, 15:25
ladouda a écrit:
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> Tu as raison Dany, recentrons le débat, alors s'il
> te plait, parles nous des relations de Napoléon et
> des Rothschild, ça au moins ça fait partie du
> sujet.




Nathan Mayer Rothschild, né le 16 septembre 1777 et mort le 28 juillet 1836, est l' héritier du premier des Rothschild connu (Mayer Amschel Rothschild) fit partie de la branche financière des Rothschild. Envoyé par son père en Angleterre une fois ses études financières terminées, le jeune Nathan commença à faire fortune dans le domaine du textile anglais (produit de grande qualité et de renommée internationale à l'époque.)

Selon une affirmation, très répandue dès le XIXe siècle[1], son plus grand coup financier, basé sur un délit d'initié, se serait produit lors de la bataille de Waterloo. Devenu en peu de temps une figure emblématique dans le textile (qui était un produit de luxe à l'époque), Nathan de Rothschild eut vent grâce à ses informateurs de la défaite de Napoléon à Waterloo. Néanmoins, il fît courir la rumeur que Napoléon avait gagné et que l'Angleterre était sur le point d'être envahie. La frénésie s'empara des foules, et même les plus grandes entreprises se mirent à tout vendre pour une misère...

Nathan de Rothschild racheta donc au prix de 2 ou 3 ce qui à la base valait 100. C'est ainsi qu'il s'empara de toute la grande industrie anglaise, ce qui lui valut aussi de devenir à son tour le banquier de la couronne[
Pièces jointes:
Nathan_Rothschild.jpg
Re: Napoleon et les juifs :un bien ou un mal?
14 septembre 2009, 15:32
Amschel Rothschild, le Fondateur

Dans les années 1760, le jeune Mayer Amschel vit à Francfort ; changeur à l'enseigne de l'Ecu Rouge (le "Rotes Schild"), il se spécialise patiemment dans les monnaies anciennes. Non seulement il va enrichir les collections du Grand Electeur de Hesse, numismate fort averti, mais devient aussi son conseiller financier puis, dans la tourmente des guerres napoléoniennes et des exils princiers, son gérant de fortune.

Dès 1768, il s'installe à " Green Shield House " (" Zum Grünen Schild ") avec son épouse, Gutle, et ses enfants. C'est ici que ses cinq fils vont acquérir les compétences leur permettant de construire le réseau bancaire Rothschild à travers l'Europe.

En 1798, à l'âge de 21 ans, Nathan Mayer Rothschild quitte la maison familiale pour s' installer en Angleterre, tout d'abord à Manchester, en tant que négociant en textile ayant une réputation de vendeur agressif pratiquant des prix très compétitifs.

En 1809, Nathan installe ses bureaux à Londres, en plein cœur de la " City ", dans l'immeuble " New Court ", Swithin's Lane, immeuble qui à ce jour abrite toujours la banque portant son nom. Il y développe ses activités bancaires, principalement dans le traitement des lettres de change et le montage de prêts pour l'étranger.

Sa "meilleure affaire" survint en 1814 où lui et ses frères furent mandatés par le gouvernement britannique pour soulever les fonds nécessaires afin de précipiter la défaite de Napoléon.

La réussite de plus en plus affirmée de Nathan en tant que banquier londonien sera un modèle pour ses frères.

En 1812, James, le plus jeune, ouvre un établissement bancaire à Paris. En 1820, Salomon s'installe à Vienne, où la famille était déjà active gérant les finances impériales.

Avec le renforcement des intérêts de l'Autriche Impériale en Italie, Karl installe ses affaires à Naples, laissant Amschel, le plus vieux des cinq fils de Mayer Amschel, à la tête de la plus en plus influente Banque de Francfort

.« Saisies l'une après l'autre, les cinq flèches des armoiries Rothschild seraient facilement brisées.
Ensemble, elles résistent. »
Pièces jointes:
fleches.jpg
Re: Napoleon et les juifs :un bien ou un mal?
14 septembre 2009, 15:38
James Rothschild

Isaac Elchanan est l’ancêtre qui a donné son nom à la famille Rothschild. La petite maison étroite dans la « Rue des juifs » à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, où il habitait, avait, au-dessus du portail, une plaque où l’on pouvait lire : Zum Rotem Schild (A l’écusson rouge). Isaac Elchanan prit cette enseigne comme nouveau patronyme : « Rothschild ». Isaac a un modeste commerce de prêt sur gages et c’est son fils, Mayer Amschel Rothschild (1744- 1812), qui va transformer ce commerce en une banque reconnue. Amschel Mayer a 7 enfants, dont 5 fils. Il devient même le gérant de la fortune de Guillaume Ier, électeur de Hesse-Cassel. Tous deux sont amateurs de pièces de monnaies anciennes, d’objets anciens en argent et en or. Mayer Amschel saura faire fructifier les deux fortunes.

En 1806, Napoléon approche de Francfort et le prince met sa fortune en sécurité chez Mayer Amschel qui, au moment critique, livre aux Français sa propre fortune, mettant ainsi à l’abri celle du prince. Avant de reconstruire la sienne il dit à ses fils déjà adultes : « Nous travaillerons ensemble avec loyauté, concorde et industrie, mais on rendra au prince ou à ses successeurs jusqu’au dernier centime ». Il enverra chacun de ses fils créer une filiale de la banque familiale à Londres, Paris, Vienne, Naples et Francfort, ce qui donnera les cinq branches de la famille. En 1812, Amschel Mayer meurt et, en 1813, Napoléon perd la guerre. Le prince Guillaume revient d’exil et retrouve tous ses biens, gardés par la famille, et qui ont fructifié. Le prince donne à la banque familiale toute sa confiance et celle-ci grandit jusqu’à devenir une légende. L’héritage du père de famille : « Honnêteté, travail, union », devient le symbole familial d’Amschel Mayer, et leur blason porte les cinq flèches qui symbolisent les cinq branches de la famille. Le 29 septembre 1822, l’empereur d’Autriche François Ier élève les cinq fils au rang de baron. La fille aînée d’Amschel Mayer se marie avec Benedikt Moses Worms, de la dynastie bancaire de Worms. Et des mariages entre branches permettent à la famille de garder le contrôle de ses activités, leur donnant même la capacité d’investir.

Les actions philanthropiques de la famille Rothschild font que leur renommée parvient très rapidement aux communautés juives.

Leurs banques de Francfort, Londres et Paris sont souvent sollicitées tant par les particuliers que par les organisations, et la famille est vite devenue « maison royale » pour de nombreux juifs qui la visitent. Aussi, lorsque le rabbin Tsvi Hirsh Kalisher a l’idée de « sauver Israël par son retour au pays », il pense très vite aux familles Rothschild pour la réaliser. Il écrit son idée à Asher Amshel, le fils aîné, à Francfort, en 1836.

En 1840, les Juifs de Damas en Syrie sont accusés d’avoir assassiné un moine chrétien pour se servir de son sang lors de la fête de Pâque. Les chefs de la communauté sont arrêtés et torturés. Certains en meurent. Soixante-trois enfants juifs sont pris en otage pour faire avouer les parents. Les communautés juives du monde entier sont au courant des menaces qui pèsent sur celle de Damas et une délégation parvient auprès de Méhémet Ali, à Alexandrie, en Egypte ; à cette époque, celui-ci a autorité sur cette province. Font partie de cette délégation Moshé Montefiori, de Londres, et Adolf Crémieux, de France. La famille Rothschild signe la lettre. James Rothschild, alors consul honoraire d’Autriche à Paris, reçoit du consul d’Egypte un compte-rendu de ce qui se passe à Damas ; il le publie dans les journaux pour que le public français et celui du monde entier soient au courant. Il prévient rapidement son frère Salomon à Vienne, lequel avertit Metternick, le chancelier autrichien, alors très influent, pour pousser Méhémet Ali à mettre fin à cette légende infâmante de Damas. Tout cela aboutit à ce que les Juifs de Damas soient relâchés et que la communauté juive de cette ville soit sauvée.

Cette affaire impressionne fortement le rabbin Yehuda Haï Alkalaï, sioniste religieux avant l’heure : si des Juifs importants ont réussi à sauver la communauté de Damas, se dit-il, ils peuvent aussi et doivent sauver tout Israël en les faisant venir dans leur pays.

La famille Rothschild - (Yaakov) James, de Paris, en tête - considère comme une obligation et un honneur d’agir pour les Juifs de Palestine et spécialement de Jérusalem. Cette communauté vivote grâce à l’argent de la diaspora. En 1853, la guerre éclate entre la Turquie, qui règne sur la Palestine, et la Russie, qui veut être le tuteur des chrétiens orthodoxes de tout l’empire ottoman, et qui exige des droits spéciaux pour l’Eglise orthodoxe en Terre d’Israël. La France et l’Angleterre s’unissent à la Turquie, et c’est la « Guerre de Crimée », qui dure trois ans. Ces événements ont pour effet de réduire fortement les dons d’argent pour la communauté locale, et de mettre fin à l’aide venant de Russie. Les Juifs de Jérusalem en souffrent beaucoup, les chefs des communautés implorent le soutien de leurs frères de la diaspora. Le baron James Rothschild leur vient en aide et envoie le précepteur de ses propres enfants, également conseiller financier, le docteur Albert Cohen, professeur à l’école rabbinique « Bar Orion », écrivain et l’un des dirigeants du mouvement de Hibat Tsion (Amour de Sion, plus connu sous l’appellation d’"Amants de Sion"). A son arrivée à Jérusalem, en 1854, il découvre que de nombreux juifs souffrent de diverses maladies et qu’ils doivent recourir aux soins dispensés par les hôpitaux que les missionnaires chrétiens ont fondés. Albert Cohen n’hésite pas, avec l’argent de son maître à Paris et avec l’aide des familles Rothschild d’Autriche et d’Italie, il fait construire un hôpital dans la vieille ville, équipé du meilleur matériel moderne et il fait venir de l’étranger un médecin juif. L’hôpital s’appelle « Meïr Rothschild ». Pendant des dizaines d’années, la maison Rothschild survient aux besoins de l’hôpital pour la communauté juive de Jérusalem. Cet hôpital préparera le terrain aux centres hospitaliers Hadassa. De plus, avec l’argent des Rothschild, Albert Cohen fonde plusieurs institutions sociales dans la ville : une pour les enterrements, une pour la distribution de 600 pains pour les plus pauvres, les sabbats et les veilles de fête, une caisse d’aide pour les femmes enceintes dans le besoin, et un début d’école professionnelle pour les enfants et les femmes. Avec l’argent de la famille Rothschild d’Angleterre, il crée l’école pour filles, « Evelyne de Rothschild ». Durant des années, Albert Cohen s’occupe fidèlement de ces fondations. A quatre reprises, il fut envoyé par la maison Rothschild à Jérusalem, pour veiller à leur développement. Durant sa visite de 1956, il publie le premier feuillet en hébreu, avec, pour titre, « Nouveau Guide ».

L’intervention de la maison de Rothschild, et spécialement de James de Paris, pour la construction et le développement de Jérusalem est de plus en plus importante.

Suite à l’augmentation de la population juive à Jérusalem, naît le besoin de reconstruire une synagogue. Le choix se porta sur celle de rabbi Yehuda ha Hassid, qui était en ruines. En 1855, Moshé Montéfiori reçoit le permis des autorités, et c’est le baron James qui finance. La pierre de fondation est posée en présence de son fils aîné, Alphonse. Lors de la dédicace, qui a lieu en sa présence, à la fin de l’année 1864, le bâtiment reçoit le nom de « Maison de Yaacov », du nom du baron Yaacov (James) de Rothschild.

Au cours de ces mêmes années, on construit le quartier d’habitation « Batei Mahasseh » à Jérusalem, qui comprend deux très grands bâtiments, don du baron Karl Wilhem Wolf Rothschild de Francfort, et qui servent de logement aux meilleurs élèves. Ces bâtisses existent encore aujourd’hui, et sur l’une d’entre elles sont gravées dans la pierre les armoiries de la famille Rothschild.

Le blason de la famille Rothschild

L’écusson est maintenu d’un côté par une licorne, de l’autre, par un lion. Dans le blason, divisé en quatre parties, des symboles de force : en haut à gauche, un aigle, symbole de la principauté autrichienne, qui a anobli la famille Rothschild. En bas à droite, le lion, à nouveau. En bas à gauche, le bras qui porte les cinq flèches, des cinq branches de la famille. En haut à droite, la main qui resserre l’unité. Au centre, un chapeau que les Juifs de Francfort devaient porter dans le ghetto. En dessous, la devise de la famille, inscrite en latin : Concordia – Integritas - Industria.
Pièces jointes:
body11314VfwEBQdHPguWtvN.jpg
Re: Napoleon et les juifs :un bien ou un mal?
14 septembre 2009, 22:13
[[color=#006600]b]Au sujet des Rothschild,
Il y a qq temps j'ai demande un pret important a la banque, et le directeur m'a demande des garanties, je lui ai dit que j'etais l'ami intime des Rothschild.
Ca n'a pas marche, lui aussi connaissait mon ami intime, et voisin, qui n'est pas directeur de banque, mais simplement croque-mort et surtout il prepare les jeunes a leur bar-mitsva.
Et meme si cet ami n'est pas un riche directeur de banque, c'est qqun d'exceptionel, ainsi que sa tres gentille femme et ses beaux enfants.
Il a su m'aider dans un moment tres penible, Dany poura confirmer mes dires.
Et pour revenir au sujet, Girelle a releve, le probleme des conversions, je pense que Napoleon en facilitant le "mixage" des juifs avec les non juifs, a augmente considerablemet les cas de mariages mixtes avec tous les problemes qu'ils causent.
Au sujet des conversions de la femme, si apres le mariage, le couple, et surtout le mari juif, ne respectent pas les mitsvots, il y a de fortes chances que les enfants ne recevront pas l'education juive qui leur permetra de continuer dans la tradition juive.Et ceci, on peut le constater autour de nous.
Dans la guemara il y a la question de savoir, si la venue dans ce monde si dificile a vivre, vaut la peine d'etre vecue, la reponse est non, mais si cela est, il faut vivre.
Et je concluerais en disant si on est nee juif, il faut assumer sa judaicite, mais si on est nee non juif, pourquoi vouloir se compliquer la vie.
Ceci est mon opinion personelle et n'engage que moi.[/b][/color]
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