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L'IDENTITE FRANCAISE.

Envoyé par breitou 
L'IDENTITE FRANCAISE.
16 décembre 2009, 01:37
correspondance.


Ce Monsieur, finalement ,a tout dit!!
Nery



Je vous fais copie d'un texte rédigé par Maurice Faivre.
Maurice Faivre est un général (2S) et écrivain français né le 19 mars 1926 à Morteau dans le Doubs. Ce texte rédigé sous le Pseudo de Cyrano est extrait de www.ripostelaique.com , site immédiatement accusé par les nouveaux bien-pensants d'être le media d'un "Groupuscule nationaliste et islamophobe", et vous remarquerez qu'ils n'ont pas été jusqu'à dire "raciste", ce qui est important.

Pourquoi je suis français ?

Alors que l'on parle beaucoup d'identité nationale, voici un article issu, non pas d'un quelconque journal d'extrême-droite, mais d'un site internet qui se veut laïc et social : "Riposte laïque".

En tous cas, article intéressant qui mérite d'être médité...

L’EDITO DE CYRANO





Pourquoi suis-je français ?

lundi 23 novembre 2009

Je suis français parce que je suis de nationalité française. Que ma nationalité soit d’origine ou acquise, peu importe, pourvu que je me reconnaisse fils d’une nation, c’est-à-dire d’un ensemble d’humains unis par une communauté de territoire, de langue, de traditions et d’aspirations. Le territoire, c’est ma maison ; la langue en est la clé ; les traditions en sont les fondations ; les aspirations sont les portes et les fenêtres. Le tout, c’est mon présent. C’est ce présent localisable, parlant, historique et prospectif que j’incarne quand je me déclare français. Mon identité est donc plus que ma carte d’identité : c’est un vouloir-être qui m’oblige à réagir contre ceux qui ne veulent pas de la France alors même qu’ils y vivent ou qu’ils en vivent. Mon identité est une action !L’Histoire qui me porte est aussi l’Histoire que je porte dans un sentiment permanent d’auto-défense. Mon identité est un silence intérieur capable de colères. L’actuel débat sur l’identité nationale corrobore cette évidence. La France gronde en moi comme en chaque Français qui aspire à rester français, car l’actuelle identité de la France est en train de changer l’identité des Français ! Les Français en ont assez, en effet, de vivre au quotidien l’altération de leur être.

Etre français, c’est donc être hostile à ceux qui sont hostiles aux lois françaises, à commencer par celles qui sont perçues comme lois du pays d’accueil.

Je suis français parce que je dénonce la « nouvelle France » !

Je suis français parce que je suis révolté d’entendre, sur mon sol, des manifestants hurler des slogans antisémites ou soutenir les terroristes du Proche-Orient.

Je suis français parce que je ne supporte pas que des drapeaux étrangers ou des banderoles francophobes soient brandis agressivement lors de rencontres sportives ou dans des manifestations de rue.

Je suis français parce que je ne tolère plus les personnes qui, sous le couvert de nos lois, font le lit de leur culture en défaisant celui de la République.

Je suis français parce que je ne veux plus de ces prêcheurs qui, au nom d’une religion, tiennent des discours anti-occidentaux.

Je suis français parce que je n’apprécie pas du tout qu’il y ait dans nos banlieues des hommes et des femmes pour voir en Ben Laden un saint ou un héros.

Je suis français parce que je n’ai plus la sollicitude que j’avais naguère pour les « sans-papiers » et autres hors-la-loi qui squattent nos églises et méprisent nos droits en exigeant des droits différentiels.

Je suis français parce que je n’accepte plus que des élèves ordonnent qu’on réécrive les cours d’Histoire au seul motif que l’enseignant leur présenterait une vision exclusivement judéo-chrétienne du monde.

Je suis français parce que je ne comprends plus que des étudiants musulmans récusent la mixité, les enseignantes, les enseignants non musulmans, la pensée déiste, encyclopédiste, athée, les Lumières, les cours de littérature, de philosophie, de physique, de biologie, de sport, en un mot tout ce qui gêne leurs convictions célestes.

Je suis français parce que je suis excédé de ne plus pouvoir mettre, à Noël, une crèche dans une vitrine ou un sapin dans une école sans déclencher une commission d’enquête.

Le Français que je suis enrage d’apprendre qu’un train peut être un lieu de tabassage ou de viol, voire un moyen de transport quasi gratuit pour ces anonymes qui tabassent et qui violent, et dont l’identité, systématiquement tue, se révèle pourtant par ce silence même !

Le Français que je suis serre les poings lorsqu’il entend Dominique Baudis avouer personnellement « ne plus pouvoir sortir dans certains quartiers sans se faire traiter de « sale Français » (FR3 Toulouse, 1999) ! Le Français que je suis souffre de savoir qu’en 2002, François Bayrou – qui s’était rendu à Strasbourg dans le cadre de la campagne présidentielle – a vu les vitres de la mairie où il se trouvait brisées par des pierres, comme s’il était le Mal, et qu’en 2005, Nicolas Sarkozy, visitant une cité « difficile » d’Argenteuil, a été caillassé de la même façon comme s’il était le Diable !

Le Français que je suis n’est pas près d’oublier l’image incroyable du visage de Jacques Chirac couverts de crachats de « jeunes » lors d’une visite à Mantes-la-Jolie, le 4 mars 2002, ni la Marseillaise sifflée en 2001, 2007 et 2008 au stade de France !

Je suis français lorsque je m’insurge contre la tiers-mondialisation de nos cités, d’où les autochtones sont chassés au prorata de l’arrivée des étrangers, conformément à une politique immigration suicidaire qui aligne progressivement notre pays sur le Kosovo – devenu musulman à 90% en moins de 50 ans !

Je suis français lorsque je vomis le racisme anti-blancs, comme tout autre forme de racisme, et par conséquent, lorsque je tempête contre la discrimination positive » – en laquelle j’aperçois l’avancée du « racisme positif » sitôt qu’elle se fonde sur la couleur, et du « politiquement correct » dans ce qu’il peut avoir d’imbécile et de pleutre !

Je suis français lorsque je fulmine contre les lois françaises appliquées du bout des lèvres dans les « cités » et les « banlieues ».

Je suis français en refusant de baisser les yeux quand je croise les occupants de zones hypocritement qualifiées de « non-droit ».

Je suis français lorsque je n’entends plus être une victime « ethnique » de la violence ordinaire, que ce soit pour une aile froissée, une priorité refusée, une cigarette que je n’ai pas la chance d’avoir sur moi, un sandwich au jambon jugé « insultant », un geste ou un mot interprété de travers, ou le simple fait d’être là.

Je suis français quand j’anticipe les violences qui n’auraient pas manquer d’éclater dans tout l’Hexagone au soir du 18 novembre 2009 si la victoire frauduleuse de l’équipe de France de football avait été obtenue non contre l’Irlande mais contre l’Algérie.

Je suis français quand je constate, scandalisé, que les fêtes du Nouvel An célèbrent le renouvellement flambant neuf du parc automobile !

Je suis français quand j’exige que soient sévèrement punis ceux qui téléphonent aux pompiers et aux médecins pour les faire tomber dans d’immondes traquenards.

Je suis français quand s’agitent en ma mémoire les voyous qui saccagent nos lieux de vie parce qu’un des leurs s’est tué accidentellement au volant d’un véhicule volé, et qui, profitant de ce drame, jettent par la fenêtre de leur immeuble frigidaires, machines à laver, téléviseurs et autres objets « anodins », défoncent les devantures de locaux et de magasins à la voiture bélier, attaquent les commissariats au lance-roquette, accueillent les forces de l’ordre à coups de pierres, de boules de pétanque, de cocktails Molotov, de revolver ou de fusil, incendient tout ce qui peut brûler, trafiquent la poudre, les véhicules et les armes... quand ils ne s’engagent pas dans des cellules terroristes pour semer sur notre sol ou ailleurs la dévastation et la mort !

Je suis français

quand des rappeurs veulent « niquer la France », quand Houria Bouteldja traite mes compatriotes de « souchiens »,

quand je dénonce l’islamisation de mon pays comme des pays européens,

quand je plaide pour une Europe laïque et féministe, quand j’admire Malek Boutih, Malika Sorel, Hamid Zanaz, Kébir Jbil, Pascal Hilout, Sihem Habchi, Abdennour Bidar... tous issus de l’immigration et tous honneur de la France par leur engagement authentique en faveur des valeurs républicaines.

Je suis Français quand je soutiens les Droits de l’Homme, quand j’en appelle à l’universel par la femme – qui est l’Homme – et par l’Homme, qui ne vaut que par l’universel.

Je suis français plus que jamais quand, au nom de cet universel, je pense aux Français qui ont donné leur vie non seulement pour que je n’aie pas à donner la mienne, mais encore pour que je puisse vivre les valeurs qui les ont tenus debout quand tout s’écroulait autour d’eux.

Ces valeurs ne doivent pas être noyées dans je ne sais quelle honte nationale : c’est par elles et pour elles que je suis ce que je suis.

Je suis français par résistance !

Cyrano
Re: L'IDENTITE FRANCAISE.
17 décembre 2009, 04:14
Une histoire vraie.

Je me souviens d’un film américain dans lequel il était question d’un bannissement à vie d’un soldat un GI qui avait craché ou piétiné un drapeau étoilé. Le verdict de la cour martial fut impitoyable et il a été condamné à vivre tout le restant de sa vie sur des navires de guerre ou des bateaux marchands sans jamais remettre le pied sur son sol natal. Malgré les divers recours et les appels à la clémence des années plus tard, il est mort dans sa errance et son corps jeté par-dessus bord comme il est de coutume.
Ce qui revient à dire qu’aux USA on ne badine pas avec le patriotisme et son identité.

Si je me réfère à mon enfance et à mon adolescence, c’est la langue française, bien avant que je sois français, qui m’a permis d’évoluer. D’apprendre, d’enrichir mes connaissances grâce à ses maitres, instituteurs, professeurs FRANÇAIS, qui nous ont appris les valeurs françaises. La culture française.

Nous étions donc français d’esprit et culturellement parlant avant de l’être officiellement plus tard lorsque la France nous a permis de nous recevoir et de s’installer définitivement sur son sol.
Un débat s’est ouvert sur l’identité française.

Lors de mon dépôt des dossiers pour l’acquisition de la nationalité française, il y avait un questionnaire à remplir ‘…POURQUOI VOULEZ VOUS ÊTRE FRANÇAIS… ?’ J’avais en prélude, récité par écrit un poème de Victor Hugo, et aussi une prose personnelle. Puis j’ai argumenté mon souhait d’obtenir la nationalité pour moi et ma famille. 4 ou 5 ans plus tard, ma patience a payé, et nous fûmes enfin reconnus aptes à être SARFAT (français). Alors que j’avais 10 ans de résidence. Ce fut en JANVIER 2001, par un acte signé par la Ministre de l’Emploi et de la Solidarité ELISABETH GUIGOU que nous devenions français.

Sans tambour ni trompette. Ni mousseux ni clairon.

Pour moi c’était comme une continuité naturelle, juste une formalité à remplir.

Pourquoi être français… ? Pourquoi ne pas l’être après tant d’années, moi qui fut élevé dans cette langue que je m’honore à parler en toutes circonstances… ? Comment expliquer ce souhait que je ressentais depuis longtemps…? J’aurais pu passer outre et rester tunisien. Je pars du principe que lorsque j’aime quelque chose, j’épouse cette chose, je m’unis à cette chose, un lien fondamental qui me donne enfin le droit de pouvoir voter librement, sans que l’on me souffle sur qui je dois voter, libre d’écrire à mon député etc….mais pas libre de transgresser les lois de mon pays.

Le respect de la NATION est une chose primordiale. Le respect des institutions est sacré. Le respect pour les gens qui nous gouvernent est aussi sacré et je pourrais citer d’autres saints sacrements.

Que vois t’on aujourd’hui… ? Le non respect des forces de l’ordre. Faire les poches d’un prétendant président, caillasser les biens d’autrui, incendier, insulter à tous venant, siffler le Marseillaise, piétiner le drapeau français, imposer sa religion aux autres, s’accoutrer de vêtements moyenâgeux, imposer ses coutumes partout dans le travail, les hôpitaux etc…

Bref, refaire la société française selon le bon vouloir de marchands de discorde, raviver certains slogans pour mieux attiser les tensions, remette en question le laïcisme bref refaire la France en fabriquant des mosaïques ethniques.

Si chaque français qui se dit sincère et surtout amoureux de sa patrie laisse faire, nous aurions tous perdus un peu de cette France qui nous a fait tant rêver.

Je suis devenu français par décret et me voilà français DEPUIS par le CŒUR ET LA RAISON.

Que la VIVE LA France QUE J’AI CONNUE ET QUE J’AIME avec ou sans MES FAUTES.


Re: L'IDENTITE FRANCAISE.
17 décembre 2009, 06:00
Cher Albert,
Je suis entierement d'accord avec toi, c'est pour cela que depuis l'age de douze ans, en Tunisie notre terre natale, je m'etais deja fait photographier avec le drapeau d'ISRAEL, qui est devenue aujourdh'ui ma patrie, pour laquelle j'ai combatu deux fois, une en Syrie, et une autre fois au Liban.
Je ne renie pas pour cela ma nationalite francaise, puisque mon grand pere lui a combatu a Verdun et est revenu medaille, mais aussi et surtout pour mon education que j'ai recu,les poemes de Victor Hugo ainsi que les fables de la Fontaine que j'ai apris, et aussi les lecons de morale en premiere heure a l'ecole primaire, c'est peut etre cela qui manque aux jeunes aujourdh'ui, qui entre nous ne sont pas si coupable d'imiter ce qu'il voient a la tele.
Yom tov lehka ya houya.
Re: L'IDENTITE FRANCAISE.
17 décembre 2009, 06:26
Henri,mon ami,

Nous avons aussi été tenté par mille choses à notre époque.

Mais nous avions des parents responsables. Qui veillaient sur nous.
A qui nous devons notre éducation.
Nous avons dés notre jeune âge su ce qui était bien et interdit.

L'éducation commence à la maison, l'école instruit, nous inculque la connaissance et surtout le respect que l'on doit aux choses, aux instruments que l'on nous confiait, aux bancs de nos écoles, aux arbres de nos cours de recréations etc....ON craignait nos instructeurs...On craignait le directeur, on craignait nos parents...! Qu'est ce que CRAIGNENT LES ENFANTS D 'AUJOURD'HUI....? RIEN.

Des merdeux font les grèves dans les lycées, interdisent aux autres de rentrer s'instruire...Ils sont heureux de filmer des scènes de violence, des viols en boucle...Etc....

Aujourd'hui on tabasse un PROF DE FRANÇAIS...ON VIOLE DES JEUNES FILLES...

LES PARENTS D'AUJOURD'HUI SONT DÉMISSIONNAIRES.

Faut lire FACE BOOK pour se rendre compte dans quelles dérives sont ces enfants que je dis PERDUS. Lire ce langage que nous ignorions à notre âge...! Rien que pour parader sur le net et dire aux autres '...Moi je vous surpasse...!' Dans la connerie.

STOP JE DIS STOP...!

DOMMAGE QUE LE BÂTON ET LE MARTINET N'existent PLUS.
Ça n'a jamais tué personne et encore moins traumatisé.
La preuve, nous n'avons pas de séquelles.

Re: L'IDENTITE FRANCAISE.
17 décembre 2009, 06:49
Nous avions vécu dans un pays. La Tunisie. Nous avons respecté notre tunisianisme avec honneur.
Nous n’avons jamais dénigré notre ancien pays même dans les heures les plus sombres.

Nous avons subi, oui subi quelques mépris. Nous avons été blessés maintes et maintes fois du mot YOUDI entre autre. Nous avons supporté les petits et les grands quolibets alors que nous étions censés être chez nous, nous avions eu une IDENTITÉ TUNISIENNE.
Nous avons prospéré là bas pour ceux d’entre nous qui sommes restés longtemps.

Je n’ai jamais élevé la voix envers un gardien de l’ordre.
Convoqué au commissariat pour des broutilles, la première chose que je faisais était de pleurer par la peur. Ici un jeune qui rentre au commissariat à l’air de rentrer dans un hôtel. Accuse le d’être, preuve à l’appui d’un méfait, il rigole et ment, pas capable d’assumer sa bêtise qu’il reporte sur l’autre.

Demande lui de signer un papier, il refuse ‘ Je suis FRANÇAIS… !’ Qu’il dit comme si être français l’autorisait à foutre la merde. ÊTRE FRANÇAIS c’est son bouclier… ! Son gilet pare-balles… !’

Son père ou sa mère s’étonne qu’il soit là, défend sa progéniture alors que les miens me donnaient souvent tort. Jamais raison. Moi, c’est pareil. Monsieur Papa va même franchir les grilles du lycée pour corriger ce mal appris de PROFESSEUR.

L'identité FRANÇAISE EST UNE MARQUE DÉPOSÉE depuis ... et PLUS...Soit on la respecte soit on la supprime pour ceux et celles qui l’ont obtenus non pas pour l’amour de la NATION, DE LA RÉPUBLIQUE MAIS POUR COMBLER CE COMPLEXE, CE QU’IL N’ONT JAMAIS EU CHEZ EUX…LEUR MANQUE DE LIBERTÉ…LES AVANTAGES…ET AUSSI ET SURTOUT CRIER DEVANT UN GUICHET D’ALLOCATIONS FAMILIALES.

La France COMME DANS LES REFRAINS QU’ILS DIFFUSENT ‘…NIQUE LA MON FRERE… !’
Et on tolère cela ici en France…. ???? SANS QUE PERSONNE NE S’EMEUT… ? TIENS DONC… ? M…..alors… !’


Re: L'IDENTITE FRANCAISE.
20 décembre 2009, 01:48
Salut Bebert,
Comme tu le dis si bien, il n'y a plus de respect ou de crainte.
Aujourdh'ui c'est les profs qui craignent les eleves, si par malheur un prof giflerait un eleve, la presse pourrie s'emparerait du fait comme s'il avait commis un crime.
Nous avions deux profs, l'un nous enseignait les maths, et il etait si severe que l'on ne bronchait pas en classe, et le second nous enseignait la chimie, et il etait si mou, qu'on l'appelait poupee, au lieu d'apprendre, on chahutait tout le temps.En fin de compte presque toute la classe avait de tres bonnes notes en math, mais c'etait la catastrophe en chimie.
Meme les parents sont desarmes devant les emmissions de tele ou l'on voit que de la violence ou du sexe, en Israel on traite les religieux de fanatique parcqu'ils refusent d'introduire la tele a la maison, mais ils ont bien raison.
Tres souvent apres avoir passe une ou deux heures devant la tele, on se rend compte qu'on a gaspille notre temps pour voir des conneries.
Bon j'arrette la pour ce matin.
Re: L'IDENTITE FRANCAISE.
20 décembre 2009, 03:11
Nous sommes en présence d'un grand laxisme.

Parler à ces enfants, devient une angoisse parce qu'on ne connait plus leurs réactions. Les profs ont peur. Les parents ont peur que leurs progénitures leur imposent des DIKTAS. Du chantage.

Un fils de 15 ans qui INSULTE MAIS GRAVE SON PÈRE qui subvient à tous ses caprices c'est lamentable.
Une mère qui se fait taper par son fils, c'est ABOMINABLE.

Se promener dans la rue en prenant la tangente devant un groupe d'adolescents, ce n'est plus la LIBERTÉ.

Raser les murs pour éviter les regards provocateurs parce que la mort peut arriver, se balader dans des voitures avec des armes de pointes et tirer sur des gosses comme on chasse le lapin...!!!

Voir dans les kiosques à journaux des photos provocantes de femmes.
Les vidéos porno dans le net, le langage peu convenant des jeunes, tout cela interpelle les consciences des parents.

C'est une réalité au quotidien.

Mon identité qu'elle soit FRANÇAISE OU PAS passe par les valeurs que m'a inculquées l'école FRANÇAISE. J'ai passé plus de temps dans la rue avec des amis que dans ma famille ou à l'école mais pourtant je n'ai pas suivi ce qui me paraissait contraire à l'esprit de mes parents.
Comme nous tous.

On reporte tout cela sur la jeunesse d'aujourd'hui, celle d'hier était comment...? Brabi...?

Faire ses preuves dans la violence ne mène à rien bien au contraire c'est obstruer son avenir dans le monde futur des adultes.

Il y a des plis qui sont durs à s'en défaire.
Et souvent il est trop tard pour s'en défaire.

Henri la télé n'a pas ses cotés pervers, il y a aussi ses cotés instructifs comme l'ordinateur mais les tentations sont grandes comme tu le dis.

Alors la solution, c'est qu'il ni en a pas.
Il faut vivre avec cela, je crois.
En fermant les yeux et en croisant les doigts.
Rabi yostor.
RM.
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