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USA-Israël : crise artificielle mais grosse crise quand même

Envoyé par mena 
Re: USA-Israël : crise artificielle mais grosse crise quand même
21 octobre 2010, 05:26
Obama peu soutenu par l'électorat juif - Par Diane Fink - Pour Guysen International News - 21 octobre 2010



Piliers traditionnels du parti démocrate, les juifs américains ont des états d'âme à l'approche des élections législatives du 2 novembre, certains reprochant à Barack Obama sa position vis-à-vis d'Israël.

Si les démocrates se montrent incapables de mobiliser leurs électeurs de base, en particulier les Noirs, les jeunes et les juifs, les républicains pourraient remporter plusieurs sièges de gouverneurs d'Etats et obtenir la majorité dans au moins une des deux chambres du Congrès.

La popularité du président américain a nettement baissé parmi l'électorat juif. Un récent sondage réalisé pour le journal Cleveland Jewish News montre que 51% des juifs américains approuvent l'action de M. Obama, contre 44% qui la désapprouvent. Ils étaient 57% à l'approuver en mars et 79% en mai 2009.

Les juifs ne représentent que 2% de l'électorat américain, mais leur militantisme et leur participation financière généreuse à la vie politique leur donnent un poids important.

Or "Obama est perçu, à tort ou à raison, comme soutenant moins Israël que ses prédécesseurs", note Ira Sheskin, de l'université de Miami.

Les critiques du président américain à l'encontre de la politique menée par Israël au sujet des colonies en Cisjordanie ont provoqué l'ire de certains juifs américains, en particulier les soutiens indéfectibles d'Israël et ceux qui affichent une certaine méfiance face à un président afro-américain ayant un prénom à consonnance arabe.

"Obama n'est pas exactement le meilleur ami d'Israël, mais le parti républicain a tellement viré à droite que c'est tout aussi déconcertant pour les juifs comme moi", avoue Michael Koretzky, un écrivain vivant à Hollywood, au nord de Miami. "Je pense que beaucoup d'Américains pro-israéliens penchent vers les républicains traditionnels".

Certains analystes soulignent que, bien que le mouvement ultra-conservateur "Tea Party" ne soit guère populaire auprès des juifs, il a pu les influencer dans une certaine mesure, y compris en répandant des rumeurs (démenties) sur la religion de M. Obama.

"Je pense qu'Obama est musulman", déclare Jeff Greenman, 55 ans, qui travaille dans le tourisme, vote républicain et fréquente la synagogue de Boca Raton. Pour lui, de toute façon, "les républicains sont plus pro-israéliens que les démocrates".

En plus de ces considérations, souligne Ira Sheskin, le vote des électeurs juifs sera cette année, "comme celui de l'ensemble des Américains, influencé par les prises de position des candidats sur les sujets de société, en particulier l'avortement et les droits des homosexuels, et surtout sur les problèmes économiques".

Plus de 600.000 juifs vivent dans le sud de la Floride, qui abrite la deuxième communauté juive américaine après New York.

Cet Etat affichait en août un taux de chômage élevé (11,7%), supérieur à la moyenne nationale. Et les conséquences de l'explosion de la bulle immobilière y ont été --et restent-- plus durement ressenties que dans d'autres parties du pays.

Les juifs de Floride pourraient suivre l'exemple de Robert Wrexler, un ancien parlementaire démocrate très influent au sein de cette communauté qui vient d'annoncer son soutien dans la course sénatoriale à Charlie Crist, gouverneur républicain sortant qui a choisi de se présenter comme indépendant.

M. Crist est distancé dans les sondages par un candidat beaucoup plus conservateur, Marco Rubio. "Rubio serait une catastrophe", estime Sari Bloom, une secrétaire de 45 ans qui soutiendra Charlie Crist car il est "la meilleure chose que puisse espérer un juif démocrate".
Re: USA-Israël : crise artificielle mais grosse crise quand même
21 octobre 2010, 06:11
Hélas ce n’est pas la première fois que les Juifs américains ont soutenu les démocrates, encore plus cette fois-ci avec OBAMA. Toujours avec cet esprit Galoutique. Pour le bien-être d’Israël il faut absolument soutenir les républicains. Obama a fait preuve que sa politique est une chimère qui dérive de son attachement à l’Islam. Il voit tout l’ensemble du problème du Moyen Orient avec cette optique. La gauche a de nouveau mis Israël en danger avec son jugement. Obama n'a pas le soutien du peuple americain.
Re: USA-Israël : crise artificielle mais grosse crise quand même
21 octobre 2010, 13:47
"Je pense qu'Obama est musulman", déclare Jeff Greenman, 55 ans, qui travaille dans le tourisme, vote républicain et fréquente la synagogue de Boca Raton. Pour lui, de toute façon, "les républicains sont plus pro-israéliens que les démocrates".
Je félicite Mr. Jeff Greenman pour sa conclusion. Obama joue les deux cartes, l'une chrétienne et l'autre musulmane. A titre d'exemple, ceux qui ont vécu dans des pays musulmans savent très bien, que lorsque le père est musulman, l'enfant est automatiquement musulman, encore plus, Obama avait bien étudié dans la madrasa musulmane en Indonésie, pays de son père adoptif. Sans aucun préjudice, qu’il soit musulman ou chrétien m’est bien égal. L’essentiel et honnêtement, qu’on le dise ouvertement. Car durant les élections, le parti démocratique évitait de dire le nom « Hussein » pour ne pas l’embarrasser, puisque lui-même ne l’avait pas déclaré ouvertement. Ce n’est qu’après qu’il avait gagné les élections que du coup la Maison Blanche usait son nom legal Hussein naturellement. Obama avait conclu que pour être bien avec les pays arabes il valait mieux parler de son éducation musulmane. Pour le président, les Etats Unis étaient un pays où les musulmans avaient joué un grand rôle. Il croyait que les pays du Moyen Orient seraient entièrement paisibles si seulement Israël faisait la paix avec les palestiniens, sans rentrer dans les détails, ou en ignorant l’histoire du peuple juif qui date depuis plus de trois mille ans.
Re: USA-Israël : crise artificielle mais grosse crise quand même
27 octobre 2010, 20:22
Obama avait conclu que pour être en bons termes avec les pays arabes il valait mieux parler de son éducation musulmane et s’éloigner d’Israël. Le président considérait que les Etats Unis n’étaient pas un pays chrétien et il disait aussi dans son discours au Caire que les musulmans avaient joué un grand rôle aux Etats Unis. Il croyait que les pays du Moyen Orient seraient entièrement paisibles si seulement Israël faisait la paix avec les palestiniens, sans rentrer dans les détails, ou en ignorant l’histoire du peuple juif qui date depuis plus de trois mille ans. Obama se trompait totalement a l’égard du peuple juif et d’Israël.

Sept jours avant les élections à mi-parcours (mid-term elections) et après presque deux ans d’échec, où les Démocrates n’ont aucun succès a démontrer, notre président, qui normalement devait être le président de toute la nation des Etats Unis, continue avec sa politique qui avait semé la discorde, en envoyant des messages mixtes, au lieu d’essayer de guérir et d’unir la nation. Aujourd’hui dans un de ses discours il avait proclamé « les latinos doivent punir nos ennemis » Qui sont les ennemis des Latinos, Monsieur le Président ? Vous référez-vous aux Républicains ?

Durant les élections présidentielles et avant d’avoir été élu, Obama déclarait qu’il voulait unir le peuple. Est-ce ainsi qu’Obama veut unir le peuple ? Et encore il disait récemment : « si les Républicains veulent nous joindre, ils doivent se mettre dans les dernières rangées ». Quelle arrogance ! Monsieur le Président, ce n’est pas une façon élégante d’un président d’un si grand pays comme les Etats Unis. Nous ne sommes plus dans les années soixante, où un segment de la population devait en effet et à tort être à l’arrière des bus.

Plusieurs sondages d’opinion révèlent aujourd’hui que les Républicains l’emporteront et gagneront le contrôle de la chambre des députés (House of Représentatives) et peut-être du sénat. A mon avis, Netanyahu ne doit pas prendre aucune décision pour ce qui concerne la demande de Madame Clinton ou de notre président pour l’arrêt des constructions en Cisjordanie, car après le 2 novembre les jeux de force vont changer et Israël reprendra sa position d’un bon allié et non pas d’un proscrit. Quant à Abbas, je dirais que les menaces ne serviront à rien car ce n’est pas de cette façon que l’on négocie. Quant à la Paix Maintenant (Shalom Akhshav) Tnouat shalom, elle aussi doit être prudente avec son arrogance car tôt ou tard les rôles se renverseront et en finale il n’y a que l’union qui fera la force du peuple.

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