hommage à mes parents

merci Yosseph, enfin des paroles sensées, avoir soulevé une polémique où il n'y en a pas ne fait que susciter amertume et rancoeur par un petit
cropuscule adepte du "fouteur de merde"...je sais que l'intention n'était pas mauvaise et que j'ai "mordu à l'ameçon" ...mais il fallait que j'explique à certaines personnes que l'on ne peut rien obtenir ni obliger
les autres à suivre "leur nouvelle façon de vivre"..
mon père à toujours dit : "Thoura fi ideykèm yè youd"....
je crois que celà mérite réfléxion...
je ne suis pas de celle qui prenne l'ascenceur le chabbat car il est devenu"conforme" à la loi...il n'existait pas alors....
doit on de la sorte, détourner les lois de la physique....

Avec le caddy pleins de Mistvots Yossef...?? Alors on paye ou on ne paye pas....Ahahaha....Dokhletec mokhec...! Regarde ce con de Jano ce fouteur de merde qui s'en mêle.

SHOCHOTE A ECRIT CE QUI SUIT.


'....c'est parce que je respecte le chabbat et mes parents que je ne supporte plus que l'on me dicte ce que je dois faire ou pas ce jour-là...écrire et lire ou regarder les infos font parti de notre temps actuel.... certains interdisent à leurs enfants de jouer le chabbat...je ne sais pas ou celà est écrit...pourtant la plupart d'entre-vous et nous partent bien à la plage le chabbat, ne niez-pas... est chomer-chabbat qui veut, mais je n'accepte aucune remarque sur nos parents encore une fois...croyez-vous que tous les notres qui travaillent le samedi vont dire à leur employeur : je suis juif, je ne travaille pas.. c'est la porte à coup sur... ne pensez-pas que je ne respecte pas le chabbat et nos traditions chacun est libre de ses convictions et de son regard sur les nouveautés apportées
à notre façon de vivre : celle de nos parents et que je continue à suivre
encore une fois avec modernité et non regression.
je ne veux blesser ni juger personne, c'est une façon de voir les choses
et elle m'appartient...
une "attaque" qui a fait débordé le vase, meme un chabbat...
n.b. je ne suis pas la seule à écrire le chabbat sur le site, je ne porterai jamais les manches longues ou la perruque, à chacun ses convictions mais en aucun cas en faire une obligation pour les autres.
ensuite, libre à vous de ne plus lire mes rubriques et s'il le faut je demanderai au Webmaster de les clore définitivement pour ne plus vous
importuner, croyez-vous que parce-qu'un homme ou une femme est incapable d'aller à la synagogue le jour de kippour merite de ne pas y aller car trop loin de son domicile ?
je ne suis pas là pour débattre de tout celà, mais je crois que celà mérite réflexion....et surtout arrétez d'attaquer les gens sur leur moindre fait et geste...


Ce n'est pas parce qu'un imbécile de Jano, un vrai mécrèant que vous allez encire fuir enfin...! Mais Shochote faites le shabath qu'il vous plait sereinement, on n'est pas là pour vous juger enfin. A partir du moment où vous êtes juive le reste importe peu, allez ne vous faites pas de souci, et surtout ne demander rien au webmaster, il sait que nous plaisontons avec vous dc pas de fachades.

Madame Shochote avec tous mes respects, harissa.com est notre site tune. Et tout comme bon tune qui se respecte, nous avons tous étè sous le feu de l'action de celui là de celle là etc....! Bref, vous dites être une femme qui aimait l'humour alors pourquoi prendre la mouche...? Le tune est connu pour son amusement et pas plus, personne ne vous a injuriè, tout le monde vous respecte. Votre shabath vous appartient, perso, je mange du lard et je ne suis pas cachérisé, dc vous voyez il n'y a pas de quoi soulever un tsunami. Si vous le voulez, je disparaitrais d'ici si vous me le demandez gentiment.
En tout cas, votre respect du shabath n'est pas disons le net mais qui l'est enfin...!!

En plus, je ne viens pas souvent ici, mes affaires m'occupent.

Bebert,
je ne sais pas qui est jano, et je ne me permetrais pas de le traiter de c....
Yezi me tmenik!!!

J'ai demandé à ce que cet énerguméne n'importune plus notre SHOCHOTE nationale. C'est irrespectueux. Lol.
RM

Je vous dis Adieu, si je gêne je m'en vais, merci Shochote, vos insinuations me vont droit au coeur. Au revoir Madame de nos beaux souvenirs.

Bon débarras.

M'chaa débarras !

Pour vous SHOCHOTE. Inspirez vous donc.

Spectacle de Rue.
Avant.


Le marchand de HINDI. (Ou de Guergueb)
Figues de Barbarie.


‘…Je vous parle d’un temps…Que nos jeunes n’ont pas connu.

Je m’en souviens encore.
De sa charrette ( qorita) à bras pour les mieux lotis ou de la brouette ( bariuta) pour les vendeurs d’occasion.
Des vendeurs ambulants au même faciès, presque toujours les même qui changeaient de métier au grès des saisons.

Automne/hiver hiver, ces charretiers patentes proposaient pommes, poires, mandarines, oranges, dattes le plus souvent.
Cependant un coin de leur fond de commerce était réservé aux légumes en tout genre mais en petites quantités, faute de place.

A l’approche du printemps, la belle saison, les fruits rouges s’amoncelaient. Prunes rouges et jaunes, (a’ouine) cerises, fraises, ainsi que nèfles ( Boussa yatic boussa ye Cacouboulou) , amandes (louz yeram fi…..Ye Cacouboulou ) , abricots ( meches-mèches), mûres (Toutes), citrons doux ( lim ahlou).

Je cite les plus connus bien sur. Point de fruits exotiques par contre.

Bizarre, il n’y avait pas de bananes non plus. Elles sont arrivées sur le marché, beaucoup plus tard.

En été pastèques et melons occupaient les places vacantes.

Le vendeur de Hindi sillonnaient nos ruelles avec son bien connu ‘…HARRA BDOUROU’
Les quatre à 5 millimes.
La bouffe des ânes n’était pas chère. A cette époque.

Dés qu’il se pointait au coin de la rue Maman me chargeait d’en acheter une bonne douzaine épluchée surtout à cause des petites épines sournoises et invisibles qui venaient se coller bien souvent entre les doigts.

Je le voyais choisir sa marchandise, une à une en prenant bien soin de me fourguer ce qu’il lui plaisait, c'est-à-dire les plus menues.

Au rythme des années, j’imposais mon choix. Enfin.

Il coupait ma friandise avec son canif bien aiguisé, en commençant en premier lieu, par entailler finement le centre de la peau, sans toucher à la matière. Ensuite, les deux extrémités. Sans que l’une des eux parties en soient décollées. Il y méttait beaucoup de professionnalisme dans sa découpe.

Une fois débarrassé de sa pelure en un seul morceau, les deux extrémités étant pendantes, il soulevait avec habilité et délicatement le fruit pour en décoller le fruit qu’il posait dans mon assiette.

La carcasse flétrie et ridée allait rejoindre un coin de sa charrette.

J’avais une prédilection pour les figues couleur sanguine.

Une fois la commande terminée, il comptait les pelures et m’annonçait le prix.

Mises au frigo, nous attendions l’après sieste pour s'en régaler.

Un petit hic cependant. Il ne fallait pas trop en abuser sinon la constipation faisait son œuvre.