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Israel

Envoyé par ladouda 
Re: Israel
26 juin 2012, 15:49
ISRAELINFO Numéro 1127 - 26.06.2012 - 6 Tammuz 5772

Les Neturei Karta sont responsables de la vandalisation de Yad Vashem
par Gerard Fredj

Il y a moins de deux mois, le mémorial de Yad Vashem, la colline des munitions, et d'autres sites nationaux étaient vandalisés par des slogans antisémites et antinationalistes.

Trois suspects, demeurant à Jérusalem et Bnei Brak ont été interpellés par la police.

L'arrestation a été menée par une unité d'élite de la police du district de Judée et Samarie. Chez eux, les policiers ont saisi des quantités de textes antisionistes, des drapeaux palestiniens et des bombes de peinture.

Les suspects ont avoué être les auteurs des graffitis à Yad Vashem; ils sont membre du groupe ultra orthodoxe et antisioniste des Neturei Karta – dont les membres collaborent avec les organisations palestiniennes les plus radicales partout dans le monde, l'un d'eux s'étant présenté, en France, aux élections sur les listes du parti anti sioniste.
Les trois hommes sont âgés de 18,26 et 27 ans.

Rappelons que parmi les slogans tracés sur les murs de Yad Vashem on pouvait lire " Merci Hitler d'avoir fait la Shoah, grâce à toi nous avons un état" ou "Si Hitler n'avait pas existé, les sionistes l'auraient inventé".

Ils étaient tracés en de larges lettres noires et concentrés sur la zone dédiée au Ghetto de Varsovie.

[www.israel-infos.net]

Three ultra-Orthodox men arrested for vandalizing Yad Vashem Holocaust memorial

Suspects, also accused of desecrating Ammunition Hill memorial with anti-Zionist graffiti in April, arrested after lengthy undercover investigation.

By Oz Rosenberg and Chaim Levinson | Jun.26, 2012 |

The Judea and Samaria District Police arrested three ultra-Orthodox men overnight Monday on suspicion of desecrating the Yad Vashem Holocaust Memorial with anti-Zionist slogans two weeks ago.

For two months, the police have been conducting an undercover investigation of the three suspects, aged 18, 26, and 27, leading up to their arrest. The three will be brought into court for an extension of their remand on Tuesday afternoon.

The three men, accused of vandalizing the Yad Vashem memorial with more than 10 anti-Zionist slogans, are also suspected of spray-painting anti-Zionist graffiti at various locations at Jerusalem's Ammunition Hill memorial site in April.

During the arrest, police found spray cans, Palestinian flags, and computer documents suspected of being "incitement against the state."

Despite the fact that the three men are residents of Jerusalem, Bnei Brak, and Ashdod, the investigation was carried out by the Judea and Samaria District since the first incident occurred in the Jordan Valley.

Two weeks ago, anti-Zionist slogans were spray-painted at the entrance to the Israel's Yad Vashem museum.

At least 10 slogans were found on the walls outside the museum, with slogans such as: "Hitler, thank you for the Holocaust", "If Hitler did not exist, the Zionists would have invented him", and "Zionists! You declared war on Hitler in the name of the Jewish people, you brought upon the Holocaust."

Some of the slogans were signed with the words, "The World Zionist Judaism."

In April, graffiti was found at various locations at the Ammunition Hill memorial site in Jerusalem. The graffiti included slogans slamming President Shimon Peres, as well as praise for German poet Gunter Grass. The slogans that were found included: “The evil Zionist regime will fall,” and “Gunter Grass – be strong and brave.”
[Traduction : "Le régime sioniste malfaisant s'effondrera" et "Gunter Grass - soit fort et courageux"]

[www.haaretz.com]
An anti-Semitic slogan spray-painted on walls of Yad Vashem reads: 'If Hitler did not exist, the Zionists would have invented him.'
Slogan antisémite sur les murs de yad Vashem : "Si Hitler n'avait pas existé, les sionistes l'auraient inventé"


Pièces jointes:
Yad Vashem-vandalisme-Haa-260612.jpg
Re: Israel
27 juin 2012, 01:13
27 Juin 1976 : Opération Thunderbolt (mivtsa Entebee))
par Misha Uzan
Le 27 juin 1976, le vol Air France 139 fut détourné entre Tel Aviv et Paris, quelques minutes après avoir quitté son escale d'Athènes. 160 passagers se trouvaient à bord de l'avion.

Les pirates de l'air étaient deux Allemands des Cellules révolutionnaires ( liées à la Bande à Baader) et deux Arabes du "Front Populaire pour la Libération de la Palestine".
Le 28 Juin - après une brève escale en Libye – les pirates de l'air atterrissent à Entebbe, en Ouganda. Les passagers furent emmenés à l'ancienne aérogare de l'aéroport où deux terroristes supplémentaire se joignent à l'équipe initiale.

Dans l'urgence, le gouvernement israélien désigne alors une équipe spéciale ministérielle restreinte pour gérer la crise: elle comprenait le Premier ministre Yitzhak Rabin, le ministre des Affaires étrangères Yigal Allon, et le ministre de la défense Shimon Peres.

Les autres parties qui seront impliquées dans les processus diplomatiques et de négociations seront le dictateur ougandais Idi Amin Dada, le gouvernement ougandais, et le gouvernement français, ce dernier prenant la responsabilité au nom d'Air France.

Dans un premier temps, Amin Dada fut considéré comme un "facilitateur" qui pourrait collaborer avec Israël en raison de relations amicales antérieures.
Il devint vite évident, néanmoins, que lui et son armée avaient coopéré avec les pirates de l'air (ce qui devint une évidence lorsqu'Amin Dada a autorisé d'autres terroristes à venir renforcer les pirates de l'air).

Ces derniers annoncent leurs revendications par l'intermédiaire de la radio ougandaise le 29 Juin, deux jours après que le vol ait quitté Tel Aviv.
En échange de la libération des otages, les terroristes exigent que 53 terroristes détenus en Israël, en Allemagne de l'Ouest, au Kenya, en Suisse et en France soient libérés dans les 48 heures.
Si leurs revendications ne sont pas satisfaites dans les délais, les ravisseurs menacent de tuer les otages et de faire sauter l'Airbus.

Lorsque les Allemands séparèrent les voyageurs israéliens et juifs des autres prisonniers, il devint clair qu'Israël était la cible du détournement.
Les autres passagers – non juifs ou non israéliens – devront finalement se préparer à leur départ et leur libération.

Selon certaines sources, Amin Dada aurait agi comme si le détournement l'avait pris par surprise et était hors de son contrôle.
Toutefois selon William Stevenson's dans "90 minutes à Entebbe", les relations entre Israël et les groupes terroristes arabes de la région, étaient au cœur de ses intérêts.
Il avait permis à l'OLP de construire des camps d'entraînement sur son territoire et prêté des avions de combat Mig à des terroristes pour la formation.

En outre, l'OLP avait apporté une assistance militaire à l'Ouganda.
Après des relations étroites, Israël aurait provoqué la colère d'Amin Dada, en refusant de l'aider à attaquer la Tanzanie.
Amin Dada annonça son soutien à "la lutte du peuple arabe contre le sionisme et l'impérialisme" et rompit toute relation avec Israël.

Suite à la libération des otages, le gouvernement israélien décida la poursuite de la voie diplomatique et des négociations avec les terroristes.
Des sources proches des négociations de l'époque affirment cependant que les négociations ne servaient qu'à gagner du temps.
Itzhak Rabin, dans ses mémoires, a affirmé catégoriquement que, à ce moment-là, les négociations étaient "authentiques".
L'armée israélienne, cependant, reçut l'ordre de travailler sur une option militaire.

Le gouvernement israélien a notifié au gouvernement français son intention de négocier, alors que les terroristes prolongeaient leur ultimatum jusqu'au dimanche 4 Juillet.

L'armée israélienne disposait des plans de l'aéroport d'Entebbe, construit par une entreprise de construction israélienne.
En travaillant sur les témoignages d'otages libérés, les Israéliens localisèrent avec précision l'endroit où les otages étaient détenus, et déterminèrent le nombre terroristes "sur le terrain".
Israël tenta d'évaluer également si les terroristes se préparaient à une éventuelle opération militaire et combien d'Ougandais étaient impliqués.

C'est par ses recoupements que les israéliens ont acquis la conviction d'une planification du détournement et de l'implication d' 'Amin Dada a été tenu informé.
Un exercice de simulation d'intervention fut alors mené sur une reconstitution de l'ancien aérogare de l'aéroport d'Entebbe, prouvant la faisabilité du plan.

À 13h20, le 3 Juillet, alors que les négociations piétinent, quatre avions israéliens décollent de la base Ofir : l'Opération Thunderbolt venait de débuter.
A bord des avions – quatre avions Hercule dont un destiné à l'évacuation des otages -, une centaine de soldats israéliens – dont des unités d'élite de la sayeret Matkal et de la brigade Golani, des agents du Mossad.

Les commandos israéliens ont utilisé deux jeeps et une Mercedes noire, imitations des véhicules officiels d'Amin Dada.
Des troupes furent affectées à la destruction des avions Migs garés à proximité du théatre des opérations. Quatre avions Hercules sont affectés à l'opération, dont un pour évacuer les otages.

Après avoir fait escale au Kenya, le commando israélien atterrit à 23:01, passant totalement inaperçue.
La Mercedes et la Land Roverssped permettent une surprise totale, les gardes pensant avoir en face d'eux le président ougandais qui venait, une fois de plus, visiter les otages.

Les combats furent brefs et violents: les huit terroristes et les soldats ougandais qui tenaient la tour de contrôle ou étaient présents dans le hangar sont tués.
Deux otages furent tués par les soldats ougandais et un troisième par des balles perdues.
Dora Bloch, une otage de 73 ans, hospitalisée avant le raid israélien fut abattue sur ordre direct d'Amin Dada.

Yoni Netanyahu, qui commandait l'opération, a été le seul soldat israélien touché : blessé à la poitrine, son état se dégrade rapidement et il git sur le côté du hangar pendant l'évacuation des otages – dont bien peu peuvent imaginer qu'il s'agit du commandant des soldats qui viennent de les libérer.
En dépit des efforts de l'unité médicale, Yoni Netanyahou décède à l'entrée de l'avion qui doit l'évacuer.
L'opération fut rebaptisée Yonatan, en sa mémoire.
Re: Israel
28 juin 2012, 10:12
Pour la première fois en 30 ans, « Israël doit investir 3 milliards d’euros pour protéger sa frontière égyptienne »
Publié le : 28 juin 2012
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L’armée a décidé de déployer des ballons d’observation hautement sophistiqués pour recueillir des renseignements sur les attaques de missiles et d’autres menaces imminentes qui pèsent sur Israël depuis l’Egypte.

Le ballon d’observation a montré son efficacité à long terme et en temps réel. Les ballons, équipées de technologies secrètes développées par Israël, permettent aux observateurs militaire d’obtenir des images à 360°, en haute définition, jusqu’à une distance de 8km.

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« La semaine dernière, nos ballons proches de Gaza nous ont permis de riposter directement sur les lanceurs de missiles vers Israël. Nous avons détruit un nombre considérable de cellule terroriste grâce à ce ballon » explique le capitaine d’une division de l’armée, Shahar Golbary.

« Les ballons donnent à Tsahal les yeux d’un vautour, permettant de voir une souris dans un champs mal tondu. Cela permet d’agir rapidement, avec précision, et de faire face à la menace avec intelligence » ajoute le militaire.

Selon l’armée, avec l’arrivée au pouvoir des Frères Musulmans en Egypte, Israël devrait avoir besoin d’investir 3 milliards d’euros dès cette année dans la sécurisation de sa frontière avec l’Egypte : une manne financière que l’Etat Juif n’a pas dépensé dans la région depuis 30 ans !

La semaine dernière, un civil israélien a été tué dans une attaque transfrontalière par des terroristes islamistes. Deux jours plus tôt, deux roquettes Grad ont été tirés sur Israël depuis l’Egypte. Depuis la chute du président égyptien Hosni Moubarak l’an dernier, la péninsule du Sinaï est devenue une zone ouverte aux groupes islamistes et trafiquants d’armes.

Dan Birenbaum – JSSNews




[jssnews.com]

Pièces jointes:
ballon.jpg
Re: Israel
04 juillet 2012, 22:39
YITSHAK SHAMIR N EST PLUS
le 30 juin 2012 yitshak shamir s est eteint a Jerusalem a l age de 96 ans
avec sa disparition l Etat d Israel pleure un homme qui aura dedie sa vie entiere au projet sioniste et a sa concretisation
ne en Bielorussie en 1915, Ytshak Shamir decide d emigrer en Israel apres son engagement dans le mouvement de Zehev Jabotinsky, le Beitar
il rejoint en 1937 le Etzel et ensuite le Lehi { groupe Stern} plus radical
sa famille reste en Europe de l est et sera exterminee pendant la shoa
il est emprisonne en Erythree en 1946 apres avoir ete arrete plusieurs reprises par les britannniques
il parvient a s enfuir et a rejoindre Paris ou il restera jusqu a l independance d Israel en 1948
il est enrole dant les rangs du Mossad en 1955 et il en devint l un des responsables .
en 1965 il quitte cette institution et retourne a la vie civile
en 1977 il devient president de la Knesset {leparlement} et en 1970 il rentre en politique au rang de Herout ensuite au Likoud
il recevra a la knesset le president Anouar El Sadaat d Egypte
il devient premier ministre en 1983 suite au retrait de la vie politique de Menahem Beguin
la France par la voix de Francois Hollande s est declaree triste et emue" Israel perd avec lui une forte personnalite qui s est engagee des son plus jeune age dans la fondation d Erets Israel auquel il etait indefectiblement attache" ,precise le communique de l Elysee
iye zihro barukh {za"l
sources:G Ben yshai
Re: Israel
05 juillet 2012, 02:39
Ahmad Tibi {depute arabe israelien} propose d honorer Arafat
il poursuit ses provocations. s etant oppose a la nomination du futur centre de l espace a Taibeh {ville arabe israelienne} au nom de l astronaute Ilan Ramon za"l
il declare aujourd hui etre d accord a condition que la ville de Natanya accepte de nommer lhotel de ville au nom de Yasser Arafat ou l une des rues de la ville au nom du poete palestinien Mahmoud Darwish!
souces:presse israelienne
Re: Israel
16 juillet 2012, 05:32
Israël est en grande forme

Par BARRY RUBIN

Jerusalem Post 15/07/2012

Adaptation française de Sentinelle 5772 ©


Le grand conflit au Moyen-Orient n’est pas l’arabo-israélien mais celui entre les sunnites et les shiites.

Plus je pense à la situation de la sécurité d’Israël en ce moment, meilleure elle apparaît. A l’évidence, cela est paradoxal selon les préjugés des medias, les déformations universitaires, et les campagnes pour des sanctions de différents types. En définitive, le bavardage importe bien moins que la réalité en trois dimensions.

Il ne faut qu’un moment pour lister tous les facteurs : aussi commençons pendant que l’encrier est encore plein.

Superficiellement, le « Printemps Arabe » ainsi que l’éruption de l’islamisme révolutionnaire apparaissent sûrement mauvais, mais examinons les implications à plus court terme. En réentrant dans une période d’instabilité et en poursuivant le conflit à l’intérieur de chaque pays, le monde arabophone s’inflige à lui-même un recul. Des combats internes vont bouleverser les armées et les économies arabes, réduire leur capacité à combattre contre Israël. De fait, rien ne peut être plus propice à handicaper le développement que les politiques islamistes.

Alors qu’il serait erroné de trop se reposer sur la croyance que les nouveaux régimes seront trop occupés à traiter leur transformation intérieure pour vouloir mettre en œuvre des aventures extérieures contre Israël, il y a quelque valeur à cette proposition. Plus important : alors qu’ils pourraient même essayer d’attaquer Israël – et cela se rapporte à l’Egypte et peut-être à la Syrie après une révolution – ils sont moins en mesure de le faire vraiment.

Chaque pays arabophone risque d’être accablé de violence interne, de conflits, de désordre, et de progrès économique lent pendant les années, et même les décennies à venir.

Les Occidentaux risquent fort de perdre leurs illusions alors que les réformes calent, que la véritable démocratie ne fait aucune percée ; L’oppression des femmes augmente dans les pays comme l’Egypte et la Tunisie ; et l’islamisme produit des partenaires peu attractifs. Il est vrai, la Gauche occidentale est souvent romantique au sujet de l’islamisme, mais le nombre de gens convaincus va diminuer alors que ce que le marxisme décrivait traditionnellement comme des mouvements « fascistes cléricaux » va prospérer.

L’an passé a été un désastre pour les ambitions régionales de la Turquie et de l’Iran. L’ascension des mouvements islamistes sunnites en Libye, Tunisie, Egypte et Syrie a transformé de larges portions de la région en zones interdites pour ces deux pays.

Les Arabes ne veulent pas ni n’ont besoin que les Turcs leur disent ce qu’il faut faire, le Premier ministre turc Recep Erdogan a été odieux en traitant les Arabes avec condescendance. L’influence de la Turquie est limitée au Nord de l’Irak et, grâce surtout au soutien du gouvernement Obama, à l’opposition syrienne.

De même pour l’Iran, il a perdu virtuellement tous ses atouts musulmans non shiites, notamment le Hamas. En général, les islamistes arabes sunnites ne vont certainement pas suivre le ‘leadership’ de Téhéran alors que les pays arabes sunnites ne veulent pas céder la direction de « leur » Moyen Orient à ceux qui sont à la fois persans et shiites.

Par conséquent, le grand conflit au Moyen Orient de l’avenir n’est pas l’arabo-israélien mais le sunnite versus shiite. Mais une série de conflits ont éclaté tout le long de la région frontalière alors que les deux blocs rivalisent pour le contrôle du Liban, de la Syrie, de l’Irak et de Bahrein.

De plus, la guerre civile syrienne détruit ce pays et continuera de le paralyser pour quelque temps à venir. Quand la poussière retombera, tout nouveau gouvernement devra prendre un moment pour réparer le naufrage, arrêter les disputes entre les divers groupes ethniques et religieux, et rebâtir son armée. Au Liban, le Hezbollah dominant, essayant de se maintenir au pouvoir et se souciant de son parrain syrien, ne veut pas de confrontation avec Israël.

Puis il y a les régimes survivants – notamment l’Arabie saoudite, la Jordanie et les cinq Emirats du Golfe – qui savent que la principale menace provient de l’Iran et des islamistes révolutionnaires à l’intérieur, et pas Israël. En fait, ils réalisent qu’Israël est pour eux une espèce de protecteur puisqu’il est motivé et capable de frapper contre ceux qui veulent aussi mettre leur tête sur le billot.

Un point extrêmement important à noter est comment les Arabes, et en particulier les Palestiniens, ont complètement rejeté la plus grande opportunité qu’ils aient jamais eue de gagner davantage de soutien américain et d’élargir les failles entre Washington et Jerusalem en un gouffre. Convenablement motivé, le gouvernement Obama était prêt à devenir le plus pro palestinien de toute l’histoire américaine, à offrir davantage de concessions à l’Autorité Palestinienne (AP), et à mettre plus de pression sur Israël que jamais auparavant.

Au lieu de cela, ils ont refusé de coopérer avec Obama, rejetant ses initiatives et, dans le cas de l’AP, refusant même de négocier avec Israël. Arrachant la défaite des mâchoires de la victoire, l’AP a démontré de façon répétée au gouvernement des USA qu’il était la partie intransigeante. Et même si les officiels américains ne l’ont jamais admis publiquement, ils ont certainement dû reculer, constatant que cela était vrai.

Je fournis cette liste non pas pour me réjouir des infortunes des autres. En général, cependant, ces infortunes furent le résultat des décisions qu’ils ont prises, ou au moins des forces devenues les nouveaux dirigeants par les armes ou les suffrages. Ce sont les réalités du Moyen Orient aujourd’hui.
D’un autre côté, le succès d’Israël a été prodigieusement visible en termes de progrès économique. Le pays est devenu un leader mondial dans la technologie, la médecine, la science, les ordinateurs et d’autres domaines. Il a ouvert de nouveaux liens avec l’Asie. La découverte de gaz naturel et de champs pétroliers promet un flux massif de fonds dans les années à venir.

Et malgré les querelles habituelles (manifestations sociales, débats sur l’incorporation des étudiants religieux, méchants pièges contre des personnalités, et scandales mineurs de corruption) Israël se maintient tel un pays stable et uni – là où cela compte. L’idée qu’Israël est menacé par l’échec de l’AP à vouloir faire la paix peut bien être un aliment de base de l’Université en Occident mais c’est une proposition ridicule dans la réalité.

Bien sûr, il y a des menaces – l’Iran se dotant d’armes nucléaires armées sur des lanceurs ; l’Egypte devenant belligérante – mais les deux demeurent dans le futur et il y a des facteurs entravant. Dans le cas de l’Iran, il existe une pression extérieure et des problèmes pour vraiment construire ces armes ; pour l’Egypte, l’armée entrave dans le futur prévisible les islamistes radicaux.

Des auteurs étrangers d’éditoriaux peuvent bien ne jamais l’admettre, des correspondants étrangers peuvent bien annoncer une catastrophe, mais cependant, Israël et sa sécurité sont en grande forme.

L’auteur, professeur, est le directeur de ‘Global Research in International Affairs (GLORIA) Center.


Israel is in good shape

By BARRY RUBIN

Jerusalem Post 07/15/2012

[www.jpost.com]

The big Middle East conflict of the future is not the Arab-Israeli but the Sunni-Shia one.

The more I think about Israel’s security situation at this moment, the better it looks. Obviously, this is counter-intuitive given the media bias, academic distortions, and campaigns for sanctions of various kinds. Ultimately, talk matters far less than three-dimensional reality.

It’ll take a while to list all of the factors, so let’s get started while the inkwell is still full.

On the surface, the “Arab Spring” along with the surge of revolutionary Islamism certainly looks bad, but let’s examine the shorter-term implications. By reentering a period of instability and continuing conflict within each country, the Arabic-speaking world is committing a self-induced setback. Internal battles will disrupt Arab armies and economies, reducing their ability to fight against Israel. Indeed, nothing could be more likely to handicap development than Islamist policies.

While it would be wrong to depend too much on the belief that the new regimes will be too busy dealing with domestic transformation to want to stage foreign adventures against Israel, there is some value to this proposition. More important is that while they might even try to attack Israel – and this refers to Egypt and perhaps to Syria after a revolution – they are less able to do so effectively.

Every Arabic-speaking country is likely to be wracked with internal violence, conflict, disorder and slow socio-economic progress for years, even decades, to come.

Westerners are likely to be disillusioned as reform stalls, actual democracy makes no appearance; the oppression of women increases in countries like Egypt and Tunisia; and Islamism produces unattractive partners. True, the Western left is often romantic about Islamism, but the number of people persuaded is going to lessen as what Marxism traditionally described as “clerical-fascist” movements flourish.

The past year has been a disaster for Turkey and Iran’s regional ambitions. The rise of Arab Sunni Islamist movements in Libya, Tunisia, Egypt and Syria has made large portions of the region no-go zones for those two countries.

The Arabs don’t want or need Turks to tell them what to do, and Turkish Prime Minister Recep Erdogan has been obnoxious in making Arabs feel he’s patronizing them. Turkey’s influence is limited to northern Iraq and, thanks largely to the Obama administration’s backing, with the Syrian opposition.

As for Iran, it has lost virtually all of its non-Shia Muslim assets, notably Hamas. In general, Arab Sunni Islamists don’t like either Iran or Shia Muslims. And again, Sunni Arab Islamists are certainly not going to follow Tehran’s lead while Sunni Arab countries don’t want to yield leadership of “their” Middle East to those who are both Persian and Shia.

Therefore, the big Middle East conflict of the future is not the Arab-Israeli but the Sunni-Shia one. But a series of conflicts have broken out all along the Sunni-Shia borderland as the two blocs vie for control of Lebanon, Syria, Iraq and Bahrain.

In addition, the Syrian civil war is wrecking that country and will continue to paralyze it for some time to come. When the dust settles, any new government is going to have to take a while to manage the wreckage, handle the quarreling, diverse ethnic-religious groups, and rebuild its military. In Lebanon, a dominant Hezbollah, trying to hold onto power and worrying about the fate of its Syrian patron, doesn’t want a confrontation with Israel.

Then there are the surviving regimes – notably Saudi Arabia, Jordan and the five Gulf emirates – who know the main threat to them is from Iran and revolutionary Islamists at home, not Israel. In fact, they realize Israel is a kind of protector for them since it is motivated and able to strike against those who also want to put their heads on the chopping block.

An extremely important point to note is how thoroughly the Arabs, and especially the Palestinians, threw away the greatest opportunity they’ve ever had to gain more US support and widen the cracks between Washington and Jerusalem into a chasm. If properly motivated, the Obama administration was ready to become the most pro- Palestinian government in American history, to offer more concessions to the Palestinian Authority (PA), and to put more pressure on Israel than ever seen before.

Instead, they refused to cooperate with Obama, rejecting his initiatives and, in the PA’s case, refusing even to negotiate with Israel. Snatching defeat from the jaws of victory, the PA repeatedly showed the US government that it was the intransigent party. And even if American officials would never publicly admit this, they certainly had to back off, seeing that this was true.

I provide this list not to rejoice at the misfortunes of others. Generally, though, these misfortunes were the result of decisions they have made, or at least of the forces that have become the new leaders by guns or votes. These are the realities of the Middle East today.

On the other side has been Israel’s dramatically visible success in terms of economic progress. The country has become a world leader in technology, medicine, science, computers and other fields. It has opened up new links to Asia. The discovery of natural gas and oil fields are promising a massive influx of funds in the coming years.

And despite the usual quarrels (social protests, debates over drafting religious students, nasty flaps over personalities, and minor corruption scandals) Israel stands as a stable and united (where it counts) country. The idea that Israel is menaced by the failure of the PA to want to make peace may be a staple of Western academia but it is a ludicrous proposition in reality.

Of course, there are threats – Iran getting deliverable nuclear weapons; Egypt becoming belligerent – but both lie in the future and there are constraining factors. In Iran’s case, there is external pressure and problems actually building weapons; for Egypt, the army is for the foreseeable future constraining the radical Islamists.

Foreign editorial writers may never admit it, foreign correspondents may thunder doom, but nonetheless Israel and its security are in good shape.

The writer, a professor, is the director of the Global Research in International Affairs (GLORIA) Center.
Re: Israel
18 juillet 2012, 22:14
un attentat a la bombe dans un autobus de touristes israeliens originaires de bulgarie fait 7 morts et 32 blesses
le ministere de la defense en israel accuse l iran derriere cet attentat
Re: Israel
08 août 2012, 12:15
3ème Festival International de statues vivantes de Rehovot


Re: Israel
20 août 2012, 10:21
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