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APRES L'ELECTION PRESIDENTIELLE DE FRANCE 2012

Envoyé par Axelle 
APRES L'ELECTION PRESIDENTIELLE DE FRANCE 2012
08 mai 2012, 10:29
Bonjour à vous tous.

J'aimerai poser une question à mes amis d'Israël :
Que représente pour vous cette élection présidentielle en rapport à Israël ? Qu'elles seront les relations entre la France et Israël avec ce nouveau Président ?

Va-t-il y avoir des tentions communautaires ? Vont-ils encore une fois s'en prendre aux personnes juives ? Cela m'inquiète beaucoup !

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais je suis inquiète...

J'aimerai votre avis. Je sais que parmi vous, beaucoup analysent formidablement bien la politique internationale.

Dernières infos provenant d'Amiens dans l'AISNE :

Attaque contre des hommes d'origine magrébine. Le quartier est totalement bouclé ! Cela commence. Alors, j'imagine pour la
communauté juive....

J'attends vos réponses. Je vous en remercie. Axelle

Re: ELECTION PRESIDENTIELLE DE FRANCE
08 mai 2012, 10:53
Ne vous inquiétez pas AXELLE....


Re: ELECTION PRESIDENTIELLE DE FRANCE
08 mai 2012, 12:48
Cher Monsieur Albert.

Heureuse de retrouver votre humour qui m'a beaucoup manqué!!

Y'a de la joie ? Croyez-vous ? J'ai quand même fait ma provision de kleenex...

Je ne cesse de penser à la tragédie de Toulouse. Je resterais marquée à jamais. Le jour de l'attentat, j'ai pleuré toute la journée.
Je pense que c'était le prémice d'un avenir sombre annoncé...

Nous aurons l'occasion d'en reparler sur Harissa. Mais, tout ce que j'espère Mr Albert, c'est que d'autres attentats ne soient pas dirigés contre la communauté juive. Mon Dieu NON.

Allez, j'écoute Charles Trenet en pensant à vous... Axelle

Après l' Election présidentielle 2012
08 mai 2012, 01:40
Un député UMP ouvre le débat sur le FN
mardi 8 mai 2012

Le député UMP de la Gironde, membre du collectif la Droite populaire, Jean-Paul Garraud, a posé lundi la question du «rapprochement» avec le FN, en se demandant s’il fallait devenir «pragmatique» ou rester «dans les blocages idéologiques».

«De nombreuses questions se posent qu’il va falloir trancher rapidement et qui tournent autour de la recomposition de la droite», écrit Jean-Paul Garraud, membre de l’aile droite de l’UMP, dans un texte intitulé «La défaite de Nicolas Sarkozy: analyse d’un scrutin», rendu public lundi.

«Une majorité des électeurs de l’UMP et des électeurs du FN veulent un rapprochement. Qu’est-ce qui est le plus important pour la France ? Cette question, seule, doit nous guider. On devient pragmatique ou on reste dans les blocages idéologiques ?», demande-t-il, en indiquant que la Droite populaire «a un rôle important à jouer».

Selon Jean-Paul Garraud, «le pays est majoritairement à droite» mais «il existe un risque majeur de voir cependant tous les pouvoirs entre les mains de la gauche à la faveur de triangulaires mortifères pour la droite lors des prochaines législatives».

«Qu’on le veuille ou non, la dynamique est sur le FN depuis 2002» et «aujourd’hui, il représente près de 20% de l'électorat, sans aucune représentation nationale», poursuit le secrétaire national de l’UMP à la Justice, en soulignant encore que «l'évolution du discours et le changement de président à la tête du FN accentuent cette évolution».

«La gauche n’a aucune leçon de morale à nous donner, elle qui, sans état d'âme, s’allie avec des extrémistes révolutionnaires patentés», ajoute le député.

Ces propos ont été condamnés par une vice-présidente du Parti radical (PR) de Jean-Louis Borloo, Nathalie Delattre, qui a demandé à l’UMP en Gironde de retirer son soutien à M. Garraud.

Selon Mme Delattre, elle-même présidente du PR en Gironde, «les valeurs républicaines défendues par l’UMP et Alain Juppé (maire de Bordeaux) sont fondamentalement incompatibles avec l’idéologie du Front National qui repose sur le rejet, la discrimination et la stigmatisation».

La question du rapprochement avec le FN a déjà agité l’UMP durant l’entre-deux-tours de la présidentielle, avec des déclarations dans Minute du ministre de la Défense sortant Gérard Longuet, qualifiant Marine Le Pen d'«interlocuteur qui n’est pas bienveillant mais qui, au moins, n’est pas disqualifié».

M. Longuet avait ensuite précisé que «la seule majorité de gouvernement possible (était) l’alliance du centre et de la droite républicaine». Nicolas Sarkozy et le secrétaire général de l’UMP, Jean-François Copé, ont également écarté toute idée d’accord avec le FN. De son côté, Marine Le Pen s’y déclare aussi opposée.

(AFP)
[www.liberation.fr]

Re: Après l' Election présidentielle 2012
08 mai 2012, 02:02
Rien que du pessimisme à rebours.


Nous n'en serions pas là si au lieu de présenter Sarko, ces rigolos avaient présenté Fillon, qui lui au moins ne souffrait pas du même désamour, et avait l'avantage de bien posséder tous les dossiers en cours.

Mais, pouvaient ils déboulonner leur Idole, au risque de déclencher leur propre guerre civile ?
Re: Après l' Election présidentielle 2012
08 mai 2012, 09:12
← LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DU CSA

Le socialisme nait de la jalousie et conduit à la haîne; il n’a pas pour vertu de vouloir le bonheur des autres mais le vice de vouloir que les autres aient moins que soi. →
1 mai 2012

LETTRE OUVERTE A NICOLAS CANTELOUP

Monsieur,

Durant quelque temps, votre émission sur TF1 après le 20h m'a fait souvent sourire, quelquefois rire, et j'appréciais ce que je pensais être une innocente et plaisante satire de quelques célébrités, faits de société, ou hommes politiques. Tout le monde semblait en "prendre pour son grade" et jamais en apparence ne transparaissait une quelconque arrière-pensée politicienne ou partisane.

Puis, à l'approche de l'élection présidentielle, vos cibles se sont peu à peu affinées: Nicolas SARKOZY en première ligne, bien entendu, mais aussi, pour tenter de faire bonne mesure, François HOLLANDE quelquefois, encore que progressivement -sans doute en étroite relation avec les sondages - votre ton à son endroit devenait plutôt sympathique, en proportion du fait que Nicolas SARKOZY devenait, sous vos moqueries et vos montages vidéos, de plus en plus ridiculisé et caricaturé.

Puis, à l'approche du 2ème tour, vous avez pris votre envol.

Ce soit vous avez atteint le summum de la perfidie, de l'injure sous jacente, et de la calomnie affichée: tenant pour acquis qu'il aurait bénéficié d'un financement occulte de sa campagne électorale, alors qu'il apparait d'ores et déjà évident que Médiapart n'a fait que diffuser un montage grossier d'un document que son auteur dément avoir écrit et que son destinataire dément avoir reçu, et qui tenait en une "recommandation" des services lybiens et non en un ordre ou une autorisation de paiement de 50 millions (60 selon M. ALIAGAS), vous avez laissé dégénérer sous forme de montage pouvant apparaître crédible ce qui n'est qu'une calomnie contre laquelle une plainte judiciaire a été déposée (ce qui risque de faire de vous d'ailleurs unb complice de diffamation).

Celà est une honte, alors que, pour contrebalancer en quelque sorte le "temps de parole des candidats" vous vous êtes une fois de plus, alors que celà n'intéresse plus personne, reporté ensuite sur les turpitudes de M. STRAUSS KAHN, qui ne fait plus partie de la sphère politique, selon M. HOLLANDE.

Mais le mal était fait concernant "l'affaire KHADAFI" car mieux que quiconque vous connaissez la force indirecte ou subliminale des dénonciations masquées derrière la plaisanterie ou le comique. Et celà est impardonnable.

Mais il y a plus.

Vous avez, et ce n'est pas la première fois, présenté Madame Carla BRUNI SARKOZY comme une idiote, lui prêtant une voix de starlette débile, et faisant dire à son mari en aparté: "qu'est-ce qu'elle est con...".

Monsieur CANTELOUP ce que vous avez fait là est méprisable et honteux.

Madame BRUNI SARKOZY ne mérite pas et n'a jamais, ni elle ni personne, mérité un pareil traitement ordurier, qui fait de vous non un comique mais un pourri. Vous avez du reste avec un peu plus de mesure agi de même à l'encontre de madame Segolène ROYAL, et ce que je dis pour l'une est valable pour l'autre, encore que madame ROYAL ait été mieux traitée et qu'elle ait été une femme politique, ce que n'est pas l'épouse du Président.

A quand vous en prendrez-vous à leur fille? Vous ne reculez plus devant rien à l'approche du 6 mai, la machine est lancée et s'est emballée, vous êtes ivre de votre faculté de nuisance et en abusez de manière coupable et gourmande.

J'avais l'habitude d'attendre la fin de vote émission avant de changer de chaine car il est vrai que sur TF1 les émissions de prime time ne sont pas ma tasse de thé, et que je trouvais drôle de retrouver un peu l'esprit des "chansonniers" d'antan.

Mais vous n'êtes ni un chansonnier ni un comique Monsieur CANTELOUP, vous êtes un sinistre personnage soit-disant rigolo désormais dépourvu de tout talent depuis que vous avez mis vos compétences techniques au service d'un parti ( qui vous récompensera sans doute.)

Je ne regarderai plus jamais votre émission, si tant est qu'elle perdure après le 6 mai, selon que le but aura ou non été atteint, ensemble et avec elle toutes les attaques et calomnies des journalistes et des médias qui se sont déchaînées.

Vous n'êtes même plus un bouffon, ou alors le bouffon de celui que vous appelez de vos voeux pour devenir le roi et qui, il est vrai, à votre image, ne se prive pas de faire véhiculer mensonges, insultes et calomnies.

La censure qui modèrera et risque de couper cet texte m'interdit de vous adresser le terme que je voudrais employer pour vous qualifier, mais je le laisse à votre imagination ou à celle de vos collaborateurs qui écrivent vos textes et découpent vos montages.

Au plaisir de ne plus jamais vous voir ou vous entendre ailleurs que dans un prétoire de justice.


[avocat83.blog.lemonde.fr]
Re: Après l' Election présidentielle 2012
08 mai 2012, 10:54
Re: Après l' Election présidentielle 2012
08 mai 2012, 13:28
mardi 8 mai 2012
FRANÇOIS HOLLANDE ET ISRAËL
Par Jacques BENILLOUCHE


Les journaux israéliens ont consacré peu de place et de commentaires à l'élection française. Les israéliens, qui songent plus à leur politique intérieure, n’ont pas été passionnés par les présidentielles françaises. A l’exception bien sûr des franco-israéliens qui ont donné un résultat digne d’une république bananière puisque Nicolas Sarkozy a obtenu plus de 90% des suffrages en Israël, les observateurs israéliens ont considéré ces élections comme une affaire franco-française. Échaudés par les relations tendues avec Nicolas Sarkozy, ils n’osent pas se réjouir d’un changement de gouvernance en France parce qu’ils veulent dorénavant juger sur pièce.

Partage de Jérusalem

Nicolas Sarkozy reçu à la Knesset

En effet, après la politique jugée pro-arabe de Jacques Chirac, ils avaient placé leurs espoirs sur le nouvel élu de 2007 qui avait donné des gages à Israël durant sa campagne électorale. Mais tout avait commencé sur un malentendu durant la visite en Israël de Nicolas Sarkozy, le 23 juin 2008. Il avait prononcé un discours jugé sévère à l'Assemblée : «Il ne peut avoir y avoir de paix sans l'arrêt de la colonisation. Une proposition existe, elle est soutenue par de nombreux membres de votre Knesset, pour l'adoption d'une loi qui inciterait au départ des colons de Cisjordanie, moyennent compensation et relogement en Israël.». Il avait ensuite prôné le partage de Jérusalem. C’était la première fois qu'un chef d'État étranger osait dire à la Knesset que Jérusalem devait être divisé et devenir également la capitale d'un second État arabe palestinien. Il n’avait alors été applaudi que par les six députés arabes israéliens.
Dans un éditorial, le quotidien israélien Haaretz avait alors souligné que «rarement un dirigeant européen a été reçu en Israël avec la chaleur et la fanfare qui attendent le président français». Mais par la suite il a été critiqué parce que ses actes n’étaient pas en accord avec ses déclarations et parce qu’il n’avait pas de politique cohérente au Proche-Orient. Référence était faite à la visite du libyen Mouammar Kadhafi à Paris fin 2007 et au double jeu des conseillers diplomatiques de l’Élysée, Jean-David Levitte et Claude Guéant, qui négociaient à Damas et qui ont invité Bassar Al-Assad à assister au défilé du 14 juillet 2008 sur les Champs-Élysées.

Pragmatisme de Hollande

François Hollande est un personnage discret, élevé dans la politique par le protestant Lionel Jospin qui lui a insufflé la mesure et le pragmatisme dans la politique au Proche-Orient. Il est le seul des candidats à avoir envoyé en Israël une délégation pendant la campagne électorale, après avoir rappelé à ses interlocuteurs que «c’est sans doute au PS que l’on trouve le plus grand nombre d’amis d’Israël et du peuple juif».

Manuel Valls

Dirigée par Laurent Fabius, elle comprenait aussi Manuel Valls et Pierre Moscovici. La composition de la délégation n’était pas un fortuite. Durant la campagne des primaires, Manuel Valls avait affirmé : «Je suis lié de manière éternelle à Israël». Quant à Pierre Moscovici, il avait tenu des propos dénués de neutralité religieuse lors d’un débat organisé en 2003 par le cercle Léon Blum : «Si j’ai adhéré au Parti socialiste, en tant que juif, français et socialiste, c’est aussi en pensant à Léon Blum. Il faut réfléchir et essayer de savoir pourquoi il se serait battu aujourd’hui. Or, cet homme s’est battu pour la République, pour la gauche et le socialisme, ainsi que, sur la fin de sa vie, pour le sionisme, porteur à son sens d’une paix pour le Proche-Orient ».

Sarkozy et Hollande au diner du CRIF

François Hollande avait donné des gages de bonne volonté après avoir souligné «que si Israël est l’objet de tant de critiques, c’est qu’il constitue une grande démocratie». Au diner annuel du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) il avait martelé des mots qui, parvenus aux oreilles israéliennes, ont fait plaisir : «Je ne laisserai rien passer à propos des actes antisémites et antisionistes»

Rétablir la confiance

François Hollande aura beaucoup à faire pour rétablir la confiance avec Israël surtout après le rapport établi par le socialiste Jean Glavany qui avait utilisé le mot considéré comme insultant et mensonger d’«apartheid» pour qualifier le régime israélien dans sa politique de l’eau au Proche-Orient et qui n’a pas été désavoué par le parti. Mais les amis d’Israël, qui ne veulent juger que les actes plutôt que les paroles se souviennent aussi que le 22 juin 2003 à l’occasion des «12 heures pour l’amitié France-Israël», il était aux côtés de Michel Sapin, Nicolas Sarkozy, Pierre Lellouche et Benjamin Netanyahou. Il était sur la scène pour soutenir le gouvernement d’Ariel Sharon qui subissait les critiques des instances internationales. Le chef du gouvernement israélien était, pour le moins, qualifié de «criminel de guerre». Au départ hué au début du rassemblement, le premier secrétaire du PS d’alors avait «indiqué l'attachement des socialistes à l'État d'Israël depuis 1948, et reconnu la tardive prise de conscience de la vague d'antisémitisme par le gouvernement de Lionel Jospin».

Le politologue israélien Denis Charbit avait donné son sentiment sur François Hollande : «Pas de vote juif aux prochaines présidentielles autour du rapport à Israël, car Hollande et Sarkozy représentent l'aile pro-israélienne dans leur camp respectif. Il en eut été autrement si Aubry avait affronté Sarkozy ou encore si Hollande avait eu en face de lui Juppé».

Les israéliens sont devenus philosophes. Ils ont intégré l’idée que les enjeux économiques priment sur les sentiments et les préférences politiques. Les sept millions d’israéliens pèsent moins que les centaines de millions d’arabes dont les pétrodollars sont utiles pour équilibrer la balance commerciale française. Ils souhaitent cependant que le nouveau gouvernement français, qui surfe sur un à-priori favorable auprès des pays arabes, adopte une politique équilibrée qui ne s’inspire plus de la politique en zigzag qui a prévalu sous le régime de Nicolas Sarkozy. Mais ils s’inquiètent moins de François Hollande que de son entourage politique constitué de Verts profondément pro-palestiniens et d'une extrême-gauche viscéralement anti israélienne. Ils ont enfin compris qu’ils ne pourraient pas bénéficier de l'exclusivité des faveurs de la France.

Mais, par principe, ils ne se font pas beaucoup d’illusions sur un changement notable de la politique française au Proche-Orient tant que le locataire du Quai d’Orsay n’aura pas insufflé une volonté de renouveau vis-à-vis d’Israël. Ils sont cependant convaincus que cela ne pourra pas être pire que ce qu’ils ont vécu avec le régime UMP de Nicolas Sarkozy.

Publié par J. BENILLOUCHE à l'adresse 08:00
Re: Après l' Election présidentielle 2012
08 mai 2012, 15:33
"François Hollande est maintenant seul" (J.Attali)
mardi 8 mai 2012

L’ancien conseiller de François Mitterrand est celui qui a "découvert" François Hollande, durant la campagne de 1981.

Pour Jacques Attali, "le plus important pour (François Hollande) va être de comprendre qu’il est seul. Seul à pouvoir choisir les hommes, seul à pouvoir décider".

"Jusqu’à présent, il a gouverné ou il a agi avec d’autres.

Aujourd’hui il est seul.

Il doit garder beaucoup de secrets pour lui-même.

Il est seul à pouvoir décider, il est seul à pouvoir choisir les hommes", analyse Jacques Attali.

"En 1981, nous avions une avalanche de réformes majeures : l’abolition de la peine de mort, les radios libres, les lois sur le travail, l’abaissement de l’âge de la retraite…

Là, il n’y a aucune réforme de structure fondamentale.

"François Hollande est maintenant seul"

Son enjeu est beaucoup plus flou (la justice sociale, la jeunesse, la construction européenne), beaucoup plus difficile (zéro dette en 1981 donc nous avions des marges de manœuvre considérables qu’on a peut-être d’ailleurs exagéré dans leur usage) et donc sa solitude va être surtout dans l’exercice de ce projet complexe et dans le choix des gens", poursuit l’ancien conseiller de François Mitterrand.

Jacques Attali se souvient d’avoir "repéré" François Hollande.

"Je l’avais fait venir dans la campagne de 1981 avec Ségolène Royal et quelques autres […]

Cela crée un passage entre deux présidents de la République et je me trouve être le chaînon entre les deux présidents de la République de gauche", confie-t-il au micro France Info de Bernard Thomasson.

Franceinfo.fr


"François Hollande est maintenant seul" (Jacques... par FranceInfo
Re: Après l' Election présidentielle 2012
09 mai 2012, 04:55
Dessin de Herrmann de la Tribune de Genève.
Pièces jointes:
Merkel-Europe-Herrmann-TdG.jpg
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