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RACKGUET...

Envoyé par breitou 
Re: RACKGUET...
23 mai 2014, 07:33
@ Patricia,

Merci beaucoup de ces précisions, Patricia.

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Re: RACKGUET...
23 mai 2014, 07:51
@ Yosseph


Est-ce que par "libérer" tu voudrais dire que jusque là elle reste prisonnière de son ancien seigneur et maître?

J'ai l'exemple d'une amie qui a dû divorcer au bout de 6 mois de mariage d'un mari qui la battait (et pas seulement), elle était enceinte, mais la situation n'était pas tenable.

Elle était pourtant si heureuse de se marier!

Le mari lui a fait attendre le guet pendant 5 ou 6 ans, pourtant le divorce a été prononcé aux torts exclusifs du mari.

Mon amie est très religieuse et ne m'a pas donné de détail sur l'attitude du Consistoire, elle m'a simplement confié en vouloir terriblement aux rabbins (je mets cela au pluriel pour ne pas en citer un).

Elle ne s'est pas remariée, se consacrant à son fils mais elle a peut-être manqué des occasions qui aurait permis à son fils de vivre dans un milieu plus équilibré homme/femme.

Je ne trouve pas cela juste, Yosseph.

.
Re: RACKGUET...
23 mai 2014, 07:51
Re: RACKGUET...
23 mai 2014, 08:13
yosseph a écrit:
-------------------------------------------------------
> Il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut
> entendre.
> Un enfant adulterin est appele batard "mamzer"
> Un enfant concu APRES l'obtention du divorce
> ou"guet" et un enfant legitime et pas un batard ou
> mamzer.
> Un mamzer restera toujours mamzer meme si sa mere
> obtiendra le divorce ou guet APRES sa naissance.
> Ce n'est pas si complique que ca, et cela explique
> pourquoi la femme est prete a "payer" pour se
> remarier et avoir d'autres enfants qui ne seront
> pas des batards.
> Chabbat chalom


Si je suis sourd c'est que les ans en sont la cause.

Bref! ça n'est absolument pas compliqué comme explication,,, et si l'on comprend bien, le mamzer serait un éternel coupable des fautes imputables aux écarts de conduite de sa propre mère, et doive de ce fait porter éternellement le qualificatif de bâtard,,, quelle belle mentalité que voila, il serait fort étonnants que des hommes de religion, cautionnent des condamnations aussi éloignées de l'idée même du mot Justice.
Re: RACKGUET...
24 mai 2014, 11:38
Cher Ladouda,
Tu n'es pas le seul a poser la question "pourquoi l'enfant doit supporter les fautes de ses parents" tout le monde pose cette douleureuse question.
Mais ce ne sont pas les rabins qui sont fautif.
La Torah qui nous demande de suivre les dix commandements nous dicte aussi certaines lois qui nous paraissent injuste, et comme la Torah est une on ne peut choisir ce qui nous plait et refuser le reste.
Et il ne faut pas faire l'erreur d'accuser les rabins.
Re: RACKGUET...
24 mai 2014, 11:51
Re: RACKGUET...
24 mai 2014, 11:55
Scandale du Guet – Du déni à la théorie du complot.


L’équipe d’Avenir du Judaïsme, engagée autant dans des débats qui animent la Communauté que dans de nombreux combats dans la société française, tels que celui de la lutte acharnée contre le boycott d’Israël, l’antisionisme, faux-nez de l’antisémitisme, mettant l’accent sur le rôle de ces campagnes de diabolisation d’Israël dans la montée de l’antisémitisme, se retrouve aujourd’hui en première ligne dans des questions qui relèvent des pratiques communautaires.

L’affaire du Guet, c’est un peu comme cette comptine qui clôt le Seder de Pessah. Had Gadya. Du malheureux « cabri que mon père avait acheté pour deux zouz, et vint un chat qui dévora le cabri, que mon père avait acheté pour deux zouz, et vint un chien qui dévora le chat, etc.

Rappelons les faits. Nous avons là un ex-mari récalcitrant qui fait pression sur son ex-épouse pour tirer un avantage substantiel de la délivrance du Guet depuis plusieurs années.

Contre toute attente et surtout contre toute logique, un public médusé qui subodorait sans doute de telles pratiques découvre que, loin de faire pression sur le mari, le Service des Divorces du Beth Din de Paris déploie des moyens pour renforcer la pression du mari et arracher à la jeune femme argent et rétractation de son témoignage devant un tribunal civil.

Contre toute attente et surtout contre toute logique, les dirigeants du Consistoire font une haie d’honneur aux protagonistes de cette affaire sans une analyse approfondie des pratiques en question au Service des Divorces.

Contre toute attente et surtout contre toute logique quelques journaux de la presse écrite communautaire adoptent le point de vue le plus unilatéral possible… Had Gadia.

Rappelons la chronologie de cette affaire avec, en contrepoint, les réactions du Consistoire de Paris et de ses affidés (en italique).
Une séance de remise de Guet a lieu au Beth Din de Paris , le 18 mars 2014.

L’affaire commence avec la publication de l’article de Sarah Levy dans le Jérusalem Post. Nous apprendrons plus tard que Sarah Levy est une proche de l’ex-épouse.

Le Consistoire n’a nullement réagi à cet article.

Quelques jours seulement après le Guet, le 9 avril, le Pr Liliane Vana, au fait de cette affaire car accompagnant depuis plusieurs années l’ex-épouse concernée, écrit aux dirigeants du Consistoire et à tous les Rabbins de la région parisienne pour les informer des conditions scandaleuses de ce Guet. Elle attire leur attention sur les « dysfonctionnements » du Service des Divorces du Consistoire, et insiste sur la nécessité urgente »d’assainir le fonctionnement de ce service ».

Elle demande qu’on diligente « une enquête interne ».

Le Pr Liliane Vana rencontre Joël Mergui, Président du Consistoire, peu après cette lettre. Il ne donne aucune suite à sa demande d’une réaction à la hauteur du scandale.

Néanmoins, les échanges entre le Pr. Liliane Vana d’une part, le Président du Consistoire et le Grand Rabbin de Paris d’autre part, démontrent que ces dirigeants ont au moins conscience de sa totale légitimité dans ce dossier, sachant que ses demandes s’inscrivent dans le strict respect de la Halakha.

En l’absence de réponse, au début du mois d’avril, le Pr Liliane Vana décide de rendre publique la lettre qu’elle a envoyée quelques semaines plus tôt aux Rabbins et aux dirigeants du Consistoire. La lettre est publiée dans JForum, le 6 avril.

Toujours aucune réaction des intéressés.

Le Pr. Liliane Vana intervient sur Radio J, le 27 avril et relate cette histoire dans ses grandes lignes.

Silence radio du côté de la rue Saint-Georges.

Au début du mois de mai, Eliette Abecassis s’émeut à son tour de ce scandale et publie un article repris dans JForum le 2 mai.

La suite sur :


[www.terredisrael.com]
Re: RACKGUET...
24 mai 2014, 13:45
Scandale du Guet – Du déni à la théorie du complot.


L’équipe d’Avenir du Judaïsme, engagée autant dans des débats qui animent la Communauté que dans de nombreux combats dans la société française, tels que celui de la lutte acharnée contre le boycott d’Israël, l’antisionisme, faux-nez de l’antisémitisme, mettant l’accent sur le rôle de ces campagnes de diabolisation d’Israël dans la montée de l’antisémitisme, se retrouve aujourd’hui en première ligne dans des questions qui relèvent des pratiques communautaires.

L’affaire du Guet, c’est un peu comme cette comptine qui clôt le Seder de Pessah. Had Gadya. Du malheureux « cabri que mon père avait acheté pour deux zouz, et vint un chat qui dévora le cabri, que mon père avait acheté pour deux zouz, et vint un chien qui dévora le chat, etc.

Rappelons les faits. Nous avons là un ex-mari récalcitrant qui fait pression sur son ex-épouse pour tirer un avantage substantiel de la délivrance du Guet depuis plusieurs années.

Contre toute attente et surtout contre toute logique, un public médusé qui subodorait sans doute de telles pratiques découvre que, loin de faire pression sur le mari, le Service des Divorces du Beth Din de Paris déploie des moyens pour renforcer la pression du mari et arracher à la jeune femme argent et rétractation de son témoignage devant un tribunal civil.

Contre toute attente et surtout contre toute logique, les dirigeants du Consistoire font une haie d’honneur aux protagonistes de cette affaire sans une analyse approfondie des pratiques en question au Service des Divorces.

Contre toute attente et surtout contre toute logique quelques journaux de la presse écrite communautaire adoptent le point de vue le plus unilatéral possible… Had Gadia.

Rappelons la chronologie de cette affaire avec, en contrepoint, les réactions du Consistoire de Paris et de ses affidés (en italique).
Une séance de remise de Guet a lieu au Beth Din de Paris , le 18 mars 2014.

L’affaire commence avec la publication de l’article de Sarah Levy dans le Jérusalem Post. Nous apprendrons plus tard que Sarah Levy est une proche de l’ex-épouse.

Le Consistoire n’a nullement réagi à cet article.

Quelques jours seulement après le Guet, le 9 avril, le Pr Liliane Vana, au fait de cette affaire car accompagnant depuis plusieurs années l’ex-épouse concernée, écrit aux dirigeants du Consistoire et à tous les Rabbins de la région parisienne pour les informer des conditions scandaleuses de ce Guet. Elle attire leur attention sur les « dysfonctionnements » du Service des Divorces du Consistoire, et insiste sur la nécessité urgente »d’assainir le fonctionnement de ce service ».

Elle demande qu’on diligente « une enquête interne ».

Le Pr Liliane Vana rencontre Joël Mergui, Président du Consistoire, peu après cette lettre. Il ne donne aucune suite à sa demande d’une réaction à la hauteur du scandale.

Néanmoins, les échanges entre le Pr. Liliane Vana d’une part, le Président du Consistoire et le Grand Rabbin de Paris d’autre part, démontrent que ces dirigeants ont au moins conscience de sa totale légitimité dans ce dossier, sachant que ses demandes s’inscrivent dans le strict respect de la Halakha.

En l’absence de réponse, au début du mois d’avril, le Pr Liliane Vana décide de rendre publique la lettre qu’elle a envoyée quelques semaines plus tôt aux Rabbins et aux dirigeants du Consistoire. La lettre est publiée dans JForum, le 6 avril.

Toujours aucune réaction des intéressés.

Le Pr. Liliane Vana intervient sur Radio J, le 27 avril et relate cette histoire dans ses grandes lignes.

Silence radio du côté de la rue Saint-Georges.

Au début du mois de mai, Eliette Abecassis s’émeut à son tour de ce scandale et publie un article repris dans JForum le 2 mai.

La suite sur :


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