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Envoyé par lapid 
Re: Les Medias francais vecteurs de la Desinformation
18 mai 2011, 00:24
Le Journal Monde adopte sans aucun scrupule le narratif palestinien - - Par Occam - Pour www.aschkel.info - 18 mai 2011



- Lifta : Pan de mémoire, Laurent Zecchini (Le Monde) - Un projet immobilier dans le village aujourd'hui dépeuplé de Lifta est l'occasion pour Le Monde d'adopter sans aucun scrupule ni goût pour l'impartialité la totalité du narratif palestinien, avec en agrément de nombreuses approximations anti-israéliennes. Zecchini laisse croire d'abord que "les militaires israéliens n'ont pas hésité à tirer sur les manifestants, faisant au moins 12 morts". On sait pourtant (et même Le Monde devrait pouvoir lire Haaretz) que Tsahal a longtemps retenu tout tir malgré les infiltrations avérées depuis des pays ennemis, et que la majorité des tués l'ont vraisemblablement été du fait de l'armée libanaise. Zecchini vient alors au sujet qui l'intéresse en laissant entendre que les Israéliens tentent volontairement de raser Lifta pour supprimer "un symbole dérangeant qui renvoie les Israéliens à une page de leur histoire qu'ils ont préféré effacer de leur mémoire".

Ensuite, Zecchini déclare explicitement que les Israéliens se font un "récit tronqué de la création de leur Etat". Par contre, il ne lui vient pas à l'esprit que le narratif palestinien puisse être en quelque manière "tronqué", alors qu'il ne rappelle pas une seule fois que la guerre a été déclenchée par les Arabes et que des centaines de milliers de Juifs ont été expulsés des pays arabes. Mais il faut reconnaître que le journaliste ne manque pas d'humour : après avoir mentionné "750 000" Arabes (admettons ce chiffre contesté) ayant quitté leurs foyers, il explique ensuite sans sourciller qu'il existe "4,3 millions de réfugiés palestiniens dispersés en Israël, à Gaza et en Cisjordanie, mais surtout dans les camps de Jordanie, du Liban et de Syrie". Expliquer aux lecteurs par quelle magie ces "réfugiés" se sont autant multipliés (la magie qui fait du statut de "réfugié palestinien" le seul et unique au monde à être héréditaire pour les descendants, même s'ils sont installés et intégrés par exemple en étant des citoyens jordaniens), voilà qui serait sans doute indigne d'un "journal de référence" comme Le Monde.

Non, Zecchini préfère plutôt suggérer que la Haganah aurait "décidé" d'expulser les habitants de Lifta : "il a fallu fuir, fin 1947, avec l'illusion d'un retour rapide, parce que la guerre était là, et que la Haganah, l'organisation paramilitaire sioniste qui devait donner naissance à l'armée israélienne, en avait décidé ainsi". Tant pis si cela contredit ce qu'on sait de l'histoire de ce village [ [occam.over-blog.com] ] : selon un historien palestinien, les habitants ont fui après une riposte du Groupe Stern (6 morts) à un attentat des Arabes du village contre un bus juif ; faire croire à un plan délibéré de la Haganah pour chasser les habitants relève donc du révisionnisme.

Mais Zecchini ne s'arrête pas là, et poursuit en travestissant la réalité de la "loi anti-Nakba", qui selon lui"permet de punir financièrement les associations et communautés locales qui commémorent la Nakba". En fait, cette loi interdit uniquement le financement public par l'Etat d'institutions qui commémorent la fête nationale israélienne comme un deuil ; la commémoration de la "Nakba" (qui assimile, rappelons-le, la naissance d'Israël à une "catastrophe") n'est donc pas prohibée en elle-même, seulement privée de fonds publics, ce qu'on peut difficilement trouver étonnant à moins d'être un journaliste du Monde. Même la France est plus sévère, puisqu'elle interdit désormais toute dégradation du drapeau national.

C'est que pour Zecchini la morale est claire : les Israéliens sont des négationnistes aveugles et nationalistes, incapables d'oser regarder de front leur immoralité et leur péché de naissance.

Autrement dit, "l'inflexibilité israélienne est enracinée dans un déni de la Nakba". Et en conclusion, ce petit pamphlet anti-israélien bien répugnant aura été la contribution du "journal de référence" français au 63e anniversaire de l'Etat juif. N'oubliez pas de dire merci !


Source : [www.aschkel.info]
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voici des extraits de l'article de Laurent Zecchini - "Pan de mémoire" publié dans Le Monde

Source : [www.lemonde.fr]

"C'est un village fantôme, un village de la mémoire sélective des Israéliens et de leur discorde historique avec les Palestiniens, un témoin gênant. Il est situé aux portes de Jérusalem, en contrebas de l'autoroute n° 1 qui va vers Tel-Aviv. De loin, on distingue des ruines éparses, celles de maisons accrochées à l'une des collines de la Ville sainte. Rares sont pourtant les Hiérosolymitains qui ont la curiosité d'emprunter le chemin caillouteux qui descend au coeur de Lifta, et de ses souvenirs.

S'ils venaient errer avec les ombres qui le fréquentent, ils découvriraient les murs de pierres de bâtisses qui pourraient revivre, pour peu qu'elles soient dotées de toits, des ruelles aux pavés lisses bordées de ces cactus géants qui servent à marquer les limites de propriété. Abandonné depuis plus de six décennies, Lifta est un village pétrifié dans le silence et sa beauté architecturale, mais c'est surtout le dernier vestige de l'époque de la Nakba.

Ses maisons sont le seul témoignage physique du conflit de 1948, que les juifs appellent la "guerre d'indépendance", et que les Palestiniens évoquent sous le terme de Nakba, la "catastrophe", autrement dit la fuite, l'expulsion et l'exil pour 750 000 d'entre eux. Alors qu'Israël a fêté, le 10 mai, le 63e anniversaire de sa création, la commémoration de la Nakba par des Palestiniens du Liban et de Syrie qui se sont rassemblés à la frontière avec Israël, dimanche 15 mai, a pris par surprise les militaires israéliens, qui n'ont pas hésité à tirer sur les manifestants, faisant au moins 12 morts.

Dans ce contexte, Lifta est plus encore un symbole dérangeant qui renvoie les Israéliens à une page de leur histoire qu'ils ont préféré effacer de leur mémoire. Peut-être est-ce pour cela que le village doit disparaître, au profit d'un complexe immobilier soutenu par l'Etat israélien, projet auquel s'opposent les enfants et petits-enfants des quelque 2 800 habitants de 1947, ainsi que plusieurs organisations israéliennes proches du "camp de la paix".

L'enjeu de la bataille de Lifta, qui se déroule devant les tribunaux israéliens, est politique : sur les 400 villages palestiniens détruits lors de la "guerre d'indépendance", Lifta est le seul à avoir défié le temps, comme une provocation au récit tronqué que font, de la création de leur Etat, les Israéliens. Il incarne l'un des principaux contentieux du conflit, le "droit au retour" des 4,3 millions de réfugiés palestiniens dispersés en Israël, à Gaza et en Cisjordanie, mais surtout dans les camps de Jordanie, du Liban et de Syrie. Avec Abou Toah Zaki et Moustapha Aïd, il est facile, en arpentant les terrasses où fleurissent toujours les amandiers, d'imaginer la vie paisible qui fut longtemps celle des bergers, agriculteurs et maçons de Lifta.

La mosquée, le pressoir à huile d'olives et le cimetière témoignent d'une vie brusquement interrompue, lorsqu'il a fallu fuir, fin 1947, avec l'illusion d'un retour rapide, parce que la guerre était là, et que la Haganah, l'organisation paramilitaire sioniste qui devait donner naissance à l'armée israélienne, en avait décidé ainsi. La nostalgie d'Abou Toah Zaki n'a pas de bornes : "Les étrangers ont une impression de tristesse en venant à Lifta, alors vous imaginez la nôtre... S'ils détruisent tout cela, ce serait terrifiant, ils auront fini de détruire notre esprit." [...]

Ce n'est pas la vision de l'Administration des terres d'Israël (ILA), qui a donné son blanc-seing au projet d'Isaac Schweky, directeur de la Société israélienne pour la préservation des sites historiques : "Avec le temps, les maisons se détruisent peu à peu. Si nous voulons sauver Lifta, il faut le développer", assure-t-il. Les promoteurs ont subi un échec, le 7 mars, lorsque le juge Yigal Marzel, saisi d'une pétition déposée par les défenseurs de Lifta, a ordonné un gel temporaire de la publication des appels d'offres pour la vente des parcelles de terrain.

Les intéressés en contestent la légalité, à la fois pour revendiquer les droits de propriété des habitants de Lifta et peut-être davantage pour préserver un héritage culturel, et le souvenir de la Nakba. "L'ILA a estimé que les Palestiniens qui prétendent être nés à Lifta n'ont pas produit la preuve de leurs affirmations", souligne Eitan Bronstein, directeur de l'association Zochrot, qui se voue à développer la prise de conscience de la Nakba chez les Israéliens.

[...] le 22 mars, la Knesset, le Parlement israélien, a adopté la "loi anti-Nakba", qui permet de punir financièrement les associations et communautés locales qui commémorent la Nakba. Cette tentative d'extirper de la mémoire collective des Palestiniens le sentiment d'appartenance à leur terre s'est révélée contre-productive : jamais le culte de la Nakba n'a été aussi vivace. Mais l'inflexibilité israélienne est enracinée dans un déni de la Nakba. [...]

Représentant de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) à l'Unesco, historien et écrivain, Elias Sanbar partage cette analyse : "L'explication fondamentale, insiste-t-il, c'est qu'Israël se perçoit comme l'expression du bien absolu. S'il reconnaît être né d'une injustice commise à l'égard d'un autre peuple, il perdra sa légitimité morale, et donc son existence future deviendra contestable." [...]"


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"L'IMMONDE" fidèle à sa ligne rédactionnelle anti-israélienne traditionnelle !
Re: Les Medias francais vecteurs de la Desinformation
26 mai 2011, 13:11
L'autocensure chez les correspondants français en Israël - Par Roxane Tran-Van et Astrid Ribois - Pour Guysen International News - 26 mai 2011



A l'occasion du Salon israélien du livre de langue française organisée ce mercredi 25 mai 2011 au centre Menachem Begin de Jérusalem, plusieurs journalistes français ont été invités à s'exprimer sur le traitement du conflit israélo-palestinien dans les médias. Delphine Matthieussent, correspondante de Libération en Israël, Jean-Luc Allouche, ancien correspondant du même quotidien en Israël et Stéphane Amar, correspondant de la RTBF et de BFM TV en Israël ont ainsi participé à une table ronde ouverte au public.

Sur les lieux, Guysen a pu constater les clivages qui persistent entre les journalistes français et le public israélien francophone vis-à-vis du conflit entre Israéliens et Palestiniens.

Abordant le sujet des rédactions tournantes, les journalistes ont expliqué à quel point il était difficile d'avoir un contrôle total sur son article jusqu'à sa parution dans le journal. Pour Delphine Matthieussent, il n'y a pas de ''diktat de la part des rédactions. Les correspondants ont une grande marge de manœuvre. Il est vrai qu'il existe, comme dans tout journal, une ligne éditoriale et des limites à ne pas franchir. A Libération par exemple, c'est une affaire de personne, l'acceptation ou non de l'article dépend de celui qui relira''. ''Chacun écrit avec sa vision ou son ignorance'', a-t-elle ajouté.

Ainsi, elle a expliqué qu'aucun journaliste de Libération n'écrivait lui-même le titre de son article, tâche qui revient à des pigistes. Parfois, il y a donc de véritables contresens entre le titre de l'article et son corps. Elle a ici fait référence à une expérience personnelle. Ayant écrit un article dans lequel elle s'indignait de l'assassinat de la famille Fogel à Itamar, elle n'a pas pu écrire le titre. Le lendemain, à la parution du quotidien elle a eu la surprise de constater que son article avait été titré ''Netanyahou reprend la colonisation'' sans qu'elle ait eu son mot à dire.

Jean-Luc Allouche critique cette politique de Libération consistant à trouver le bon mot pour faire vendre. ''C'est une maladie qui est née à Libération il y a quelques années et qui a contaminé la presse. Il faut des titres clin d'œil, qui peuvent parfois aller à contresens de l'article''.

Toutefois, il a tenu à préciser que Libération n'avait pas de ligne éditoriale : ''La ligne de Libé, c'est la ligne du correspondant. C'est pour cela qu'au fil des années, il y a eu de grosses fluctuations des articles sur la région. Les correspondants peuvent faire changer la donne''.

De son côté, Stéphane Amar a précisé qu'il avait davantage de liberté en travaillant pour la télévision. ''On ne peut pas modifier un reportage à cause de tout le travail qu'il représente en amont : il est monté en fonction des images et des voix. Alors qu'en presse écrite, on peut facilement remodeler l'article. Le maître mot de la télévision, c'est d'étonner. Nous disposons d'1minute 40 pour informer le téléspectateur. C'est un travail difficile''.

Interrogés quant aux éventuelles pressions exercées par les rédactions, les intervenants ont expliqué qu'ils n'avaient jamais reçu d'instructions explicites. Stéphane Amar précise ainsi que le ''public sait lui-même ce qu'il se passe en Israël et sait que ce n'est pas un Etat d'apartheid''. Tous ont tenu à dire qu'il n'y avait pas de pression exercée de la part des rédactions, même s'ils sont conscients que certains sujets seront plus difficiles à traiter.

Tandis que Jean-Luc Allouche affirme que la presse écrite doit restée modeste, pesant peu face à la télévision que le grand public a préférée à la plume, Stéphane Amar a rappelé que la presse écrite continuait à influencer la société. En effet, ce sont les grands quotidiens qui sont lus dans les hautes sphères de l'Etat, ''ce sont aussi eux qui sont consultés dans les rédactions des journaux télévisés avant de faire les reportages. C'est la presse écrite qui fait l'opinion''.

Parmi les correspondants français en Israël, il y a une véritable autocensure, a-t-il poursuivi. ''Il est difficile de parler des colons de manière positive. Cela fait partie des tabous de la société française. Il est aussi difficile de parler des religieux sans dire qu'ils sont fanatiques et contre le progrès''.

''Il y a des sujets qui ne sont jamais abordés dès lors que l'on va à l'encontre des clichés, explique Delphine Matthieussent. Il y a de gros à priori dans les rédactions. En France par exemple, quand on emploie le mot de colons, on imagine tout le temps des fanatiques qui en veulent au Palestiniens. Alors qu'ici, la réalité est plus complexe. Ils ne sont pas tous comme cela. Les histoires humaines sont plus compliquées que les catégories préétablies des rédactions''.

Tous ont également abordé l'importance de la sémantique dans le traitement du conflit israélo-palestinien en France. Jean Luc Allouche témoigne ainsi : ''J'ai toujours essayé de rester dans un vocabulaire qui n'est pas idéologique, bien que tout mot dénote d'une idéologie. J'ai essayé de décrire les gens tels que je les voyais. J'utilisais le mot de colons, colonies, Cisjordanie, de martyrs palestiniens''. J'ai fait des reportages sur les colonies pour raconter l'histoire de ces gens là et j'ai fait la même chose avec les Palestiniens. J'ai eu la chance d'aller dans les territoires et à Gaza : j'ai pu raconter quels étaient les résultats de l'occupation et de la colonisation dans leur vie. Le but est d'essayer de respecter les gens que l'on va voir. En tant que pied-noir, je comprends les colons, mais je ne les justifie pas''.

Stéphane Amar a lui aussi expliqué pourquoi le vocabulaire était si sensible. ''Il y a toujours une connotation liée à l'histoire des lecteurs. La colonisation renvoie à l'Algérie et l'occupation à une période encore plus sombre de notre histoire''.

''Il y a un droit appliqué dans les colonies juives différent de celui appliqué dans les villages palestiniens alentours'', continue-t-il. ''La réalité des Juifs de Cisjordanie n'est pas la même que celle des Palestiniens de Cisjordanie, cela justifie l'emploi du terme colonie. Mais la Cisjordanie, c'est aussi le berceau du peuple juif. Et il faut garder à l'esprit qu'il n'y a pas de grandes exploitations agricoles ou pétrolières dans les implantations comme pour les colonies françaises. Donc ce ne sont pas des colonies au sens français. Ce que je reproche aux journalistes, c'est d'appliquer des grilles de lecture qui n'ont pas lieu d'être''.

''Concrètement, ça s'appelle de la colonisation, a-t-il poursuivi. Le terme est lourdement handicapé en France. Une colonie, au sens propre est un rassemblement humain. Or les colonies sont justement des mouvements volontaires politiques créés après 1967. Il faut que les Israéliens assument ce qui se passe réellement. Ce que fait Israël en Cisjordanie, ça s'apparente à de la colonisation. Mais c'était un des objectifs d'Herzl. Dans les implantations, les colons reconnaissent eux-mêmes qu'ils colonisent et n'ont pas peur d'employer ce terme''.

''J'utilise le mot ''colon'' car je n'ai pas vraiment le choix'', se justifie Delphine Matthieussent. ''Les habitants des implantations de Judée-Samarie, c'est beaucoup trop long. Les mots sont certes importants mais ils ne sont qu'un élément de l'article''.

Les trois journalistes ont par la suite précisé comment pouvait être déterminée la position de la France sur le sujet. ''La position officielle de la France, c'est celle de l'AFP et du Monde, explique Jean-Luc Allouche. C'est comme en Israël, il n'y a pas qu'une seule vision du conflit. Dans la société israélienne, il y a des opinions différentes. D'ailleurs, la presse française s'appuie sur cette opinion pour vanter sa vision du conflit''.

Pour contourner cette autocensure, les journalistes ont précisé qu'ils avaient recours à des sujets moins polémiques, qui sortent des sentiers battus et pour lesquels ils ont davantage de liberté.

''Chaque fois que j'ai réussi à présenter l'actualité de manière déroutante, cela a plu, explique Stéphane Amar. Mais il ne faut pas que ce soit trop déroutant par rapport à une réalité préconçue de la rédaction. C'est le cas par exemple avec l'image de Jénine. Aujourd'hui, il y a un réel boom économique dans les villes palestiniennes comme Ramallah avec une croissance à deux chiffres. Or, l'image que l'on a de Jénine est uniquement celle de l'opération militaire israélienne. Il y a donc toujours un moyen de parler des choses mais c'est difficile. En France c'est difficile, mais encore une fois les Israéliens font face à cette réalité. Ce sujet sur Jenin je l'ai justement vu sur une chaîne israélienne''.

''Ce qui est intéressant, ce sont les histoires qui ne rentrent pas dans les cases du journal, estime quant à elle Delphine Matthieussent. La réalité est plus complexe. Nous avons généralement plus de liberté dans les sujets de sociétés que dans les sujets politiques. Ce qui me frappe, c'est la bonne coexistence entre les Juifs et les Arabes. J'ai fait un reportage sur une femme arabe voilée qui était chauffeur à Nazareth. Elle conduisait des bus Egged pour transporter des Juifs. Et elle était très reconnaissante envers Israël de lui avoir permis d'avoir un salaire''.

Jean-Luc Allouche mesure toutefois cette coexistence en s'interrogeant ''sur le degré de sincérité de l'interlocuteur''. ''Ici, les gens sont très rodés pour vendre leurs salades. Il faut donc se méfier pour saisir la sincérité de la personne interrogée. La difficulté du métier en Israël, c'est que le journaliste est entre deux vérités fortes et antagonistes. Il faut savoir sortir de la vision restreinte des média français. La presse française ne se concentre pas uniquement sur le conflit israélo-palestinien. Nous traitons aussi de sujets de société''.

En outre, ils ont tenu à rappeler qu'il n'existait pas d'antisionisme dans les salles de rédaction françaises. ''Nous ne remettons jamais en cause l'existence d'Israël en tant qu'Etat juif. Il y a même une fascination, par exemple avec Tel Aviv, il y a eu des centaines de reportages sur cette ville sur les télévisions françaises. Mais il y a une vraie incompréhension sur le fait religieux et le fait colonial. Il demeure un vrai blocage, une impossibilité de dialoguer sur ces questions. Le danger c'est d'entrer dans la caricature''.

Les journalistes ont ainsi apporté à leurs auditeurs une véritable explication des mécanismes qui sous-tendent les grandes rédactions parisiennes. Souvent trop éloignées du conflit, voire même parfois ignorantes, les rédacteurs en chef laissent une large marge de manœuvre à leurs correspondants permanents. Conscients d'avoir la chance d'être les yeux, les oreilles et le nez des Français, les correspondants estiment que leurs devoirs est avant tout d'informer et de décrire la réalité qu'ils voient. Tant que faire se peu ils ont expliqué qu'ils restaient loin des clichés et de la bien-pensance afin d'informer aux mieux les lecteurs sur la société israélienne. En dépit ce ces arguments, il est évident que l'emploi du terme Cisjordanie dénote une prise de position évidente dans le conflit. Par ailleurs le terme de colons renvoie clairement à une connotation négative dans l'imaginaire français.
Re: La Desinformation concernant Israel
03 juin 2011, 00:08
Pierre Rehov is back : Pierre Rehov, le retour, avec le nouveau réseau social « Territoires Interdits » - Par Hélène Keller-Lind - 3 juin 2011

C’est en images et grâce à des enquêtes en profondeur menées sur le terrain que le réalisateur Pierre Rehov avait décidé de faire connaître les réalités proche-orientales depuis Paris. Installé aux États-Unis il poursuit ce combat pour l’information avec un nouveau film en cours de réalisation et le lancement d’un nouveau réseau social en anglais et en français : « Territoires Interdits. »

Les documentaires de Pierre Rehov

Pour le rejoindre sur le réseau social qu’il lance

[territoiresinterdits.com]

Profondément choqué par la présentation éhontée faite par France 2 de ce qui devait devenir l’affaire al-Dura – la chaîne publique française avait accusé des soldats israéliens d’avoir tué l’enfant Mohamed al-Dura sans la moindre preuve et au mépris de toute vraisemblance, ce qu’avait fini par reconnaître la directrice de l’information d’alors, Arlette Chabot – et ses répercussions épouvantables – ces images et commentaire données gratuitement aux télévisions qui en faisait la demande, ont provoqué une vague d’antisémitisme sans précédent -, le réalisateur Pierre Rehov avait alors décidé de lutter contre la désinformation si répandue dans ce domaine et de se consacrer à la réalisation de documentaires vérité sur des grands thèmes au cœur de la situation de conflit au Proche-Orient.

[www.pierrerehov.com]

Ce qui nous a donné une série de films essentiels. A commencer par ce que disait Arafat aux Palestiniens et au monde arabe. On était bien loin de l’attitude convenue du dirigeant palestinien en Occident, le double langage ayant été et restant une constante du discours palestinien [www.pierrerehov.com]. Puis il évoquait, bien avant que cela ne fasse récemment les gros titres des médias , le sort peu enviable des chrétiens d’Orient. Il démontait les rouages de ce qui s’était passé dans l’église de la Nativité de Bethlehem, où des Palestiniens armés s’étaient installés, avaient pris des religieux en otage, s’étaient conduits en soudards.

Avec la « Route de Jénine » [www.pierrerehov.com] il mettait à mal le mythe palestinien d’un massacre qui aurait été commis par les soldats israéliens dans la ville de Jénine. Autre vérité ignorée qu’il mit en lumière : l’exode forcé des Juifs vivant dans dans pays arabes [www.pierrerehov.com] devenus en grande partie Judenrein Il oppose cet « l’exode silencieux » à un exode très médiatisé et instrumentalisé qui ne s’est pourtant pas déroulé dans les mêmes circonstances de Palestiniens et perpétué par l’UNWRA avec « Les Otages de la Haine » où il montre ce que représente réellement la « Palestine » pour les dirigeants palestiniens, à savoir toute une région débarrassée de ses Juifs et donc la fin d’Israël... [ Mahmoud Abbas ne dit pas autre chose, nous montre quasi quotidiennement Palestinian Media Watch... 31 mai dernier [palwatch.org] ].

Le phénomène des « terroristes suicide » [www.pierrerehov.com] fait l’objet de son dernier film en date Comme pour tous ses documentaires Pierre Rehov s’est rendu sur place. Il a interviewé, entre autres, des bombes humaines qui ont survécu...ce qui lui permet de conclure que « le paradis, c’est l’enfer »...[www.suicidekillers.com] Pierre Rehov vient de poster sur ce même thème des images qui n’avaient jamais été montrées. On y voit un imam terminer l’endoctrinement d’un aspirant au « martyre » lui décrivant sa vie à venir faite de cueillette de fruits, de vierges à sa disposition et de palabres avec les prophètes...
Un nouveau réseau social pour la vérité au Proche-Orient

Cette vidéo est diffusée à l’occasion du réseau social qu’il lance en anglais et français, « Territoires interdits ». Résumant l’essence même de la désinformation dans la région, il explique ainsi le nom choisi : « Officiellement "territoires disputés", mais "territoires occupés" selon les Musulmans, ce sont des "territoires interdits" pour la presse. »


Source : [www.desinfos.com]
Re: Les Medias francais vecteurs de la Desinformation
28 juillet 2011, 14:14
Le Canard n’aime pas le Héron. - Par NANOJV - 28 juillet 2011



L’armée française doit se doter de 7 nouveaux drones (avions sans pilote) de dernière génération. Ces appareils vont être commandés à Dassault et Thalès, deux groupes français. Mais ce qui défrise le Canard Enchaîné, c’est que les modèles retenus sont des Héron TP [nanojv.wordpress.com] , en service au sein de Tsahal et conçus à l’origine par Israel Aerospace Industries ( [nanojv.wordpress.com] ). Pourtant comme l’affirmait Israelvalley il y a plusieurs jours [www.israelvalley.com] [www.israelvalley.com] , « Ce partenariat occasionnera des transferts de savoir-faire et des créations d’emplois sur tout le territoire français».

« C’est l’Elysée qui a imposé ce choix » persiffle le Canard qui titre « Dassault gagne le gros lot à la foire du drone ». Le journal satirique martèle qu’à l’origine la préférence de l’Etat-Major allait à un appareil américain. Avec l’argument suivant, présenté devant le Sénat: « Les Reapers américains se sont montrés extrêmement efficaces pour la détection de cibles ensuite assignées aux avions de chasse »...


Pour en savoir plus : [nanojv.wordpress.com]
Re: Les Medias francais vecteurs de la Desinformation
29 juillet 2011, 02:17
Le Monde est-il un journal fasciste ? - Par Guy Millière - pour Drzz.fr - 28 juillet 2011



Il y a longtemps que je ne lis plus le journal Le Monde. Il y a longtemps, même, que je ne le parcours plus, comme disait l’autre, d’un derrière distrait. La version imprimée est moins confortable pour ces fonctions que le papier toilette en vente au supermarché et ne me servirait donc strictement à rien. La version internet me sert pour voir le degré d’imbécillité et de désinformation infligé à ceux qui le lisent encore et qui, les pauvres, s’imaginent informés.

Je suis, voici peu, en parcourant cette version, tombé sur un texte indigent dont mon ami Michel Garroté a déjà traité ici, censé être consacré à la fachosphère française (orthographe analphabète d’origine).

J’y ai constaté, comme Michel Garroté, que drzz était désigné comme un site « islamophobe, ultra sioniste et néo-conservateur ». Le seul mot qui ait un sens dans cette série d’adjectif est néo-conservateur, et encore : je pense qu’un journaliste du Monde sait autant de choses sur le néo-conservatisme que j’en sais concernant la fabrication des galoches de bois à Aurillac.

Islamophobe est un mot forgé par l'ayatollah Khomeyni (dont le journal Le Monde a chanté les louanges il y a trente ans, comme il chante aujourd’hui les louanges de diverses crapules génocidaires), destiné à traiter toute critique de l’islam comme étant porteuse d’une peur irrationnelle qui relève du psychiatre ou d’un traitement plus radical.

Information pour le Monde : aucun des auteurs de drzz n’a peur de l’islam. Aucun des auteurs de drzz n’est irrationnel. Critiquer une religion est une prérogative inhérente à la liberté de parole et à la liberté de penser. Aucun des auteurs de drzz ne critique l’islam de manière grossière sans faire des distinctions (qui échappent, bien sûr, totalement à un journaliste du Monde, journal où la déculturation règne).

J’ai consacré moi-même plusieurs articles à ce qui sépare islam radical et islam modéré, à l’histoire de l’islam, et à la signification qu’avait pu être celle du mouvement mu’tazilite (A l’attention des journalistes du Monde, le mouvement mu’tazilite n’est pas une façon de préparer le couscous, mais un courant de pensée auquel a appartenu, entre autres, Ibn Rushd, aussi appelé Averroès en France ).

Ultra sioniste ne veut rien dire, sinon pour celui qui a écrit l’article. Pas plus qu’ultra libéral. Je ne qualifierai pas l’auteur de l’article d’ultra-con. Le mot con suffit amplement. Le mot sioniste, lui, n’est plus guère employé que par les antisémites à la mode, qui nient le droit d’exister de l’Etat d’Israël : en l’occurrence, les gens du Hamas, du Hezbollah, les dirigeants iraniens, et quelques auteurs publiant dans Le Monde.

L’Etat d’Israël existe, c’est un fait. Drzz considère que l’existence d’Israël est un fait. Et drzz défend l’existence d’Israël et la réalité historique face aux falsificateurs et aux antisémites, fussent-ils déguisés en « antisionistes ».

Drzz est résolument hostile à l’antisémitisme sous toutes ses formes.

Drzz aurait combattu l’antisémitisme au temps du Troisième Reich comme il le combat aujourd’hui. Au temps du Troisième Reich, paraissaient en France des ancêtres du journal Le Monde, et des journalistes travaillant pour les ancêtres du journal Le Monde insultaient ceux qui combattaient l’antisémitisme. Le journal Le Monde, aujourd’hui, défend les antisémites déguisés en « antisionistes », les héberge parfois dans ses colonnes, et insulte ceux qui combattent les antisémites.

Vous défendez Israël et la réalité historique ? Pour Le Monde, vous êtes un « fachiste ultra-sioniste » (orthographe analphabète d’origine pour le mot « fachiste »). Vous lisez Mein Kampf et Les protocoles des Sages de Sion en aiguisant des couteaux d’égorgeur à Gaza, un journaliste du Monde passera sur ces détails et vous traitera avec respect.

Néo-conservateur a un sens effectivement ; Le néo-conservatisme est né des réflexions d’Irving Kristol et de Norman Podhoretz (à l’attention des journalistes du Monde : non, ce ne sont pas des alpinistes et, oui, ils ont des noms juifs), et il s’est appuyé sur les réflexions et les analyses de Léo Strauss (à l’attention des journalistes du Monde : non, ce n’est pas un compositeur de valses viennoises, et, oui, c’est encore un juif). Il s'appuie, entre autres, sur l’idée que des valeurs éthiques reposant sur le droit naturel des êtres humains, la démocratie et la liberté de penser, doivent guider la politique étrangère. Quand on est hostile aux droits naturels de l’être humain, à la démocratie et à la liberté de penser, c’est choquant, bien sûr, et cela ne laisse pas beaucoup de place pour admirer Kim Jong Il ou Mahmoud Ahmadinejad, mais c’est ainsi. Cela ne laisse pas beaucoup de place non plus pour admirer ceux qu’on semble admirer dans les salles de rédaction du Monde, mais c’est ainsi, là encore.

Lisant le texte indigent dont je suis parti ici, j’en suis venu à me poser la question sérieusement : Le Monde est-il un journal fasciste (je sais, je m’éloigne de l’orthographe d’analphabète du journaliste du Monde et j’écris le mot correctement, ce qui impliquera un effort intense de concentration pour un journaliste du Monde et pourra le pousser à découvrir, ô surprise, que le fascisme est un mouvement collectiviste, nationaliste et socialiste, créé par Benito Mussolini en Italie en 1919. Indice pour un journaliste du Monde, drzz n’est ni collectiviste, ni nationaliste, ni socialiste)

Je ne voudrais par répondre à la question en disant oui. Et je ne le ferai pas.

Je poserai, plutôt, d’autres questions.

Le Monde pratique-t-il l’amalgame le plus grossier avec des positions qui n’ont strictement rien à voir les unes avec les autres (en l’occurrence celles, par exemple, d’Alain Soral, de Fdesouche, de Riposte Laïque, de drzz et de sites néo-nazis) ? La réponse, là, est : oui.

Le Monde entend-il utiliser cet amalgame pour diffamer et salir arbitrairement certains de ceux qu’il inclut dans l’amalgame ? La réponse, là, est : oui.

Le Monde reprend-il des falsifications de l’information aux fins de les faire passer pour de l’information, et a-t-il approuvé et applaudi la mise en place de plusieurs régimes totalitaires et criminels contre l’humanité sur terre ? La réponse, là, est : oui.

Le Monde entend-il, au-delà de la diffamation de personnes et de sites, contribuer à détruire la liberté de parole, de critique et de pensée en ce pays, destruction qui, l’histoire l’a montré, serait propice à l’instauration d’une société de type totalitaire où des gens comme moi et les contributeurs de drzz n’auraient plus aucune liberté de parole, et seraient condamnés à l’ostracisme ? Il semblerait que la réponse est encore : oui.

Je n’écris pas dans le Monde et je n’y écrirai jamais.

Je n’aurais (ce qui n’a rien à voir, cela va de soi) pas publié dans la Sturmer de Julius Streicher il y a soixante dix ans, ou dans Je Suis partout au temps de Robert Brasillach.

Je suis un défenseur intransigeant des droits de l’être humain et de la démocratie libérale, de l’économie de marché et de la liberté de choix, de la primauté de l’éthique en politique étrangère, et de la liberté pour tous les peuples du monde, qu’ils soient européens ou arabes, africains ou asiatiques, nord-américains ou sud-américains.

J’ai, ajouterai-je, une famille métissée dont les racines s’étendent sur quatre continents et comptent des juifs, des musulmans, des bouddhistes, des chrétiens et des athées, et c’est très bien ainsi : quand on attaque un juif, je me sens très juif, quand on attaque un chrétien, je me sens très chrétien, quand on agresse un musulman parce qu’il est musulman, je me sens très musulman. Est-ce clair ?

Quand je vois un terroriste, certes, je dis que je vois un terroriste, et je ne l’appelle pas « activiste ». Dans un journal comme Le Monde, il vaut mieux dire « activiste » dans ce cas là, et le dire en particulier si l’activiste tue des enfants juifs : appelez terroriste un « activiste » qui tue des enfants juifs et hop, vous êtes « fachiste » (orthographe d’origine), et Le Monde se met en transe et en perd son alphabet. Si vous ajoutez que l’ « activiste » est islamiste, vous êtes un « islamophobe ». Par définition, pour un journaliste du Monde, de même qu’un « terroriste » est juste un « activiste » s’il tue des enfants juifs, un « activiste » qui tue des enfants juifs n’est pas islamiste.

Mes références intellectuelles primordiales sont John Locke, Thomas Jefferson et Friedrich Hayek. Des « fachistes » sans doute aux yeux d’un journaliste du Monde. (Sachant le degré d’inculture d’un journaliste du Monde, je préciserai que John Locke n’est pas un musicien de jazz, que Thomas Jefferson n’est pas un coureur cycliste et que Friedrich Hayek ne travaillait pas dans l’horlogerie suisse). Je suis économiquement et politiquement libéral : cela veut dire « fachiste » pour Le Monde. Sans doute Le Monde expliquera-t-il bientôt ce qu’est le « fachisme » et en quoi il est différent du fascisme : ce sera fait dès que des journalistes du Monde auront lu la définition de fascisme dans un dictionnaire. S’ils ne savent pas ce que c’est qu’un dictionnaire, je leur donne un indice : c’est le gros livre empli de mots suivis de définition qui traîne sur une table de la salle de rédaction du Monde, et que personne dans la salle n’a jamais ouvert.

Des journaux tels que Le Monde, intoxiquent les esprits et charcutent les faits depuis des décennies. Des livres ont été publiés pour dénoncer les méthodes employées à ces fins. Cela continue néanmoins.

Cela suffit.

PS : Le Monde fournit une « cartographie du web » sur laquelle drzz est teinté du brun de l’ « extrême-droite », comme des sites néo-nazis. La teinte est évidente : drzz défend Israël et les Israéliens sont nazis, c’est bien connu. Certains Israéliens sont tellement nazis qu’ils gardent sur le bras des chiffres tatoués en bleu Auschwitz. Drzz est proche des valeurs américaines : et les Etats Unis sont aussi un pays de nazis. Certains jeunes américains étaient tellement nazis en 1944 qu’ils sont enterrés en Normandie par milliers. Drzz est rapproché de Chasse Pêche Nature Tradition : je ne connais pas de chasseurs au sein de drzz, mais Le Monde doit avoir des sources sûres. Drzz est rapproché aussi d’un site appelé fromageplus où se tient le moisi blog, qui me semble effectivement plutôt moisi, mais n’avoir aucune relation avec ce qui paraît dans drzz.

Drzz est rattaché aussi à des sites nationalistes, anti-américains, du type « nouvelle droite », tels hoplite ou oragesdacier (référence à Ernst Junger). Le Monde a mis dans le mille : on publie beaucoup des gens tels qu’Alain de Benoist sur drzz. Bientôt, à ce rythme, on va dire que drzz publie Robert Faurrisson, et que je suis le petit fils d’Hitler. La cartographie donnée par Le Monde ressemble, vue de loin, à une grande vomissure. C’est normal : c’est une vomissure. Et c’est normal, la vomissure est utilisée avec délectation chez tous ceux qui voient du « fachisme » partout, mais jamais de fascisme chez ceux qui, dans le monde musulman, se réclament effectivement du fascisme.


Source : [www.drzz.info]
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