Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

TSAHAL

Envoyé par lapid 
Israel au Salon du Bourget.
20 juin 2009, 23:07
La défense israélienne s’expose au Bourget - Par Esther Stefanelli - Pour Guysen International News - 16 juin 2009



La 48ème édition du Salon international de l'aéronautique et de l'espace qui se tient jusqu’au 21 juin au Bourget, dans la banlieue nord de Paris, est cette année une édition particulière, marquée par un contexte économique morose. Malgré la crise, les participants venus de 48 pays du monde, ont répondu présents et seront plus de deux mille à participer au salon.

Rassemblant la crème des productions aéronautiques de la planète, le salon est réservé aux professionnels du 15 au 18 juin puis sera ouvert au grand public du vendredi 19 au dimanche 21 juin.

Le centenaire du salon de l’aéronautique, qui a ouvert ses portes sous un ciel totalement dépressif, est également terni par la chute du trafic passager et la pandémie annoncée de la grippe A. Le drame du vol AF 447 n’a rien arrangé. Le tout, sur fond de remontée du prix du pétrole et d’engouement pour les techniques de développement durable.Victimes de la crise, l'américain Boeing et son rival Airbus devraient se livrer à un duel plus feutré qu’à leur habitude.

Pour un tel anniversaire, les organisateurs auraient certainement rêvé de meilleures conditions.
Finalement, ce sont les industriels des secteurs militaire et spatial qui devraient être mis en avant au Bourget, seuls pour l’instant à bien résister à la crise. Parmi eux, une douzaine de sociétés israéliennes sont représentées.

Au cours de la cérémonie d’ouverture, les Israéliens ont présenté les systèmes mis au point par les industries militaires qui ont offert à Tsahal des solutions de pointe leur permettant de défendre le pays.
Selon un officiel israélien, « l’industrie de défense israélienne espère signer des contrats d’une valeur globale d'un milliard de dollars au minimum lors de ce rendez-vous incontournable des représentants de la filière aéronautique et spatiale ».

Le ministre israélien de la Défense Ehoud Barak a ainsi pu voir durant son voyage éclair à Paris l’un des fleurons de l’industrie militaire israélienne qui va tenter de marquer des points sur les marchés mondiaux. En effet, RAFAEL, l’entreprise israélienne d’armements expose son tout nouveau système « Iron Dome », dont le déploiement aux frontières nord et sud d’Israël est prévu pour 2010.

Israël produit peu de systèmes d’armement complets et ainsi n’entre pas en compétition frontale avec les leaders mondiaux de la défense. Une stratégie de niche qui permet l’essor de pôles d’excellence. C’est notamment le cas avec les drones qui sont mis en avant par les Israéliens au Bourget.

Les Israéliens se focalisent principalement sur les technologies de pointe, excellent dans les domaines de l’électronique, l’optronique, les missiles, les satellites, les drones donc, mais également la lutte contre le terrorisme et le renseignement stratégique.

C’est le cas notamment de la Compagnie de défense électronique globale « Elbit Systems » qui use de hautes technologies pour l’aéronautique, les systèmes terrestre et naval, ainsi que des systèmes d’alerte pour l’équipement et la communication militaire.

Autre point fort du salon, dans le cadre du centenaire de l’événement, les organisateurs ont souhaité faire revivre les avions de légende qui ont marqué le 20ème siècle. Des appareils emblématiques de l'histoire de l'aviation voleront lors des journées grand public du samedi 20 et dimanche 21 juin, comme le Blériot XI, le Douglas DC3, ou encore le Mirage III.

Un rendez-vous qui devrait séduire près de 150 000 professionnels du secteur, et autant de visiteurs grand public. Un divertissement dans les airs, le temps d’une exhibition, pour oublier un peu une crise qui ne s’envole toujours pas.

Tsahal en "guerre virtuelle"
22 juin 2009, 11:29
Tsahal en "guerre virtuelle" - Par YAAKOV KATZ - Pour Jerusalem Post edition en francais - 22 juin 2009

Face à une menace grandissante d'un tir de missile antiaérien, l'armée de l'air va prochainement utiliser un nouveau système d'entraînement virtuel pour ses pilotes.


Pilotes de l'aviation israélienne.

Ils s'entraineront dans l'espace aérien israélien, et subiront des simulations d'envoi de missile, qu'ils devront esquiver. Si l'avion est «touché », le pilote recevra un message : « détruit ».

« La meilleure façon de s'entraîner, ce serait d'avoir un vrai missile lancé sur eux. Mais c'est évidemment impossible », explique un ancien officier.

Ce nouveau système permettra de simuler différentes attaques, mais les efforts seront essentiellement tournés vers le S-300, l'un des systèmes de missile antiaérien les plus sophistiqués au monde, dont l'Iran cherche à se doter.

Ce système peut toucher 100 cibles simultanément, possède une portée de 200 kilomètres et peut voler à des hautes altitudes, 90.000 pieds.

En, parallèle, l'aviation israélienne a annoncé la création d'une nouvelle "escadrille" de simulateurs. L'unité sera située sur la base aérienne de Hatzor, qui accueille déjà quatre simulateurs pour les avions F16, F-16I, F15 et F-15I.

"Avec huit simulateurs, les pilotes seront en mesures de s'entrainer à des situations plus complexes", explique un membre de la base.

Tsahal parie sur le sang en poudre
22 juin 2009, 11:33
Tsahal parie sur le sang en poudre - Par JUDY SIEGEL - Pour Jerusalem Post edition en francais - 21 juin 2009

Une entreprise israélienne de biotechnologie travaille en collaboration avec Tsahal dans le but de développer une technologie révolutionnaire: du sang en poudre.


Soldats israéliens lors de l'opération Plomb durci.

Comme le café soluble, il suffira d'y ajouter de l'eau pour soigner des soldats blessés sur le champ de bataille. Chaque soldat partirait au combat avec son propre sang, limitant toutes possibilités de contamination sanguine.

En tête de file: Core Dynamics, une compagnie basée à Ness Ziona, active dans le milieu de la recherche et du développement de méthodes uniques de congélation, décongélation et lyophilisation. Ces recherches sont destinées tout particulièrement à être appliquées à la transfusion sanguine, la préservation cellulaire et le transplant d'organe.

Si l'idée aboutit, elle devrait être appliquée au milieu civil.

L'armée a dévoilé cette nouveauté lors d une conférence de presse hors norme incluant une fausse 'attaque' d'un village palestinien à la suite de quoi quatre soldats ont joué les blessés, hurlant de douleur alors que des poches d'hémoglobine se déversaient par terre. Une expérience à faire grincer des dents.

Cette conférence était accompagnée d'un film publicitaire destiné à sensibiliser les jeunes Israéliens à la pénurie de médecins militaires dans les rangs de Tsahal. Avec des techniques de marketing digne des géants américains de la communication, l'armée veut intéresser les nouvelles recrues vers une carrière méconnue.

En plus d'établir la première école de médecine militaire du pays sur le campus de l'université hébraïque, Tsahal a développé un site internet parlant aux adolescents avec un langage et des images chocs. Le but: attirer les meilleurs d'entre eux vers cette profession.
Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
14 juillet 2009, 23:49
Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique - Par David Morgan, version française Philippe Bas-Rabérin - 14 juillet 2009

WASHINGTON, 14 juillet (Reuters) - Israël testera cet été un intercepteur de missile Arrow dans l'océan Pacifique au cours d'exercices conjoints avec les Etats-Unis qui porteront aussi sur trois systèmes de défense antimissile américains, a annoncé mardi un responsable militaire américain.

Le général Patrick O'Reilly, directeur des services de défense antimissile du Pentagone, a dit qu'Israël pourrait ainsi tester son système Arrow contre une cible avec un champ d'action de plus de 1.000 km, distance trop grande pour les tests Arrow organisés précédemment en Méditerranée orientale.

Le système Arrow, mis au point conjointement par Israël et les Etats-Unis, a pour finalité de défendre l'Etat juif contre d'éventuels tirs de missiles balistiques de l'Iran ou de la Syrie.

"Ils procéderont bientôt cet été à un tir expérimental", a déclaré le général O'Reilly à des journalistes sans en préciser la date exacte.

Israël a procédé avec succès en avril à un tir expérimental de son intercepteur de missile Arrow II, en neutralisant une cible censée représenter un missile iranien Shehab au-dessus de la Méditerranée. Radio Israël a rapporté qu'il s'agissait du 16e tir expérimental d'un Arrow et, selon une source militaire israélienne, 90% des tests ont été effectués avec succès.
Re: Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
04 septembre 2010, 15:26
Le “Monde” fait l’éloge des compétences technologiques de Tsahal. - Par Dominique Bourra, CEO NanoJV - 4 September 2010

A lire dans “Le Monde Magazine” du samedi 4 septembre 2010: “la guerre télécommandée” de Jean Marie Hosatte, un inventaire époustouflant de la technologie militaire de pointe de Tsahal.

“Fusil à tirer dans les coins, robot-serpent, drones…dans le but de limiter ses pertes, l’armée israélienne se tient à la pointe de la technologie militaire.”

Le journaliste cite le patron de la recherche du groupe de défense Rafael qui affirme: “aucun autre pays ne peut aujourd’hui égaler Israël dans sa capacité à trouver des solutions technologiques immédiates aux problèmes rencontrés sur les champs de bataille”.

L’article, très documenté, fournit plusieurs illustrations de cette faculté d’adaptation en temps réel et met bien en évidence les interactions entre les militaires et les centres de recherches académiques comme par exemple l’université Ben Gourion ou le Technion.

Les aspects politiques et économiques ne sont pas oubliés, quitte à parfois grossir le trait. L’industrie high-tech israélienne est ainsi abusivement assimilée à deux reprises à l’industrie militaire. Verbatim : ” Tsahal ponctionne 10% du PIB israélien mais l’industrie high-tech sur laquelle règnent les anciens soldats des unités d’élite, créée 55% de la richesse du pays”.

Et un peu plus loin : “Israël a plus d’entreprises de hautes technologies cotées au Nasdaq que l’Europe, le Japon, la Corée du Sud, l’Inde et la Chine réunis. Pour beaucoup ces entreprises conçoivent et produisent des équipements militaires”. Hum, hum…En fait la situation est un peu plus nuancée puisque justement dans le domaine des logiciels ou des télécoms, le transfert de technologie se fait massivement du militaire vers…le civil.

De nombreuses avancées biomédicales de renommée mondiale incorporent des savoir-faire militaires israéliens. Notamment en matière d’imagerie ou de miniaturisation par exemple.

La raison, presque toujours éludée par les journalistes, est très simple: les technologies développées au sein de l’armée ne sont pas couvertes par la propriété industrielle. Certaines briques peuvent donc – après autorisation- être valorisées au sein de start-ups à vocation civile comme il en existe des milliers en Israël. Quant à l’organisation matricielle et dynamique de la technologie israélienne, il est avéré qu’elle n’entre pas -pour des raisons culturelles- dans le schéma de pensée industrielle français, à des années lumière de cela.

Les américains , en revanche sont en phase avec ce modèle qu’ils qualifient de Mash-up. Un mode opératoire idéal pour exceller dans la guerre infocentrée, une approche biomimétique des champs de bataille du futur née à la fin des années 90 aux USA { [nanojv.wordpress.com] }, mais d’une actualité brûlante. (Internet, création de la Darpa, en charge de la recherche de l’armée américaine, est un avatar ancien de cette école de pensée. Sur le vieux continent, le visionnaire Joel de Rosnay avait le premier formulé le concept de cybionte…).


Source : Nanojv: [nanojv.com]

Re: Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
06 mai 2011, 08:08
Tsahal révolutionne le champ de bataille - Guysen News International - 5 mai 2011



Les forces de défenses israéliennes ont mis au point un nouveau système permettant aux tanks de changer la situation sur un champ de bataille en quelques secondes : le Fast Road.

Le système Fast Road est une technologie de nouvelle génération concernant la gestion des tanks des champs de bataille. Développé par Elbit, le système a commencé à être intégré à certaines divisions armées des forces de défense israéliennes.

Le saut technologique représenté par le système Fast Road concerne la rapidité avec laquelle le système peut transférer des données et des messages, en quelques secondes ou moins. Dans chaque tank connecté au système, un ensemble de données relatives à ce qui se passe sur le champ de bataille apparait sur les écrans.

De nouvelles données apparaissent sur les écrans en quelques secondes après avoir été reçues grâce au système. Le dispositif est lui-même très petit et ne prend que peu de place dans le tank.

''Il ne fait aucun doute que le dispositif améliore l'effectivité opérationnelle et permet de communiquer immédiatement, sans délai'', a expliqué le Lieutenant colonel Avi Uriel.

Le système ''Fast Road'' permet également d'entrer des données dans un volume plus grand et dans une fréquence plus importante.

Re: Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
27 juin 2011, 02:19
Vidéo : Tsahal Maintenant sur Internet en Français - 27 juin 2011

L’Unité du Porte-Parole de l’Armée Israélienne est fière d’annoncer aujourd’hui le lancement du blog officiel de Tsahal en français.


Vidéo : Tsahal maintenant sur internet en français

Le blog vise la communauté francophone mondiale et s’efforcera de publier des informations sur les activités, les opérations, l’histoire et les unités de Tsahal. Le blog est administré par des soldats de l’Unité du Porte-Parole de l’Armée Israélienne dont le français est la langue maternelle et qui ont récemment immigré en Israël. Des photos, des vidéos, des communiqués officiels et des reportages seront mis à la disposition du public francophone. L’inauguration du nouveau blog intervient quelques jours après la mise en ligne de la nouvelle version du blog officiel de Tsahal en anglais.

Re: Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
28 juin 2011, 22:16
Tsahal ouvre son site en français - Par Anita Varden - Pour Guysen International News - 27 juin 2011


L'Armée d'Israël est aussi célèbre que méconnue. Son site existe à partir de maintenant en français.

Tsahal, l’armée d’Israël, a été fondée quinze jours après la création de l’Etat juif en 1948. Elle est probablement la seule armée au monde désignée par un acronyme (« TSva HAganah Le’Israel » - Force de défense d’Israël) employé tel un nom propre, dans l’usage. Parce que, tous les observateurs le savent, Tsahal et son histoire se confondent avec celle de la jeune nation.

Admirée, convoitée, jalousée, l’Armée d’Israël est aussi l'une des plus détestées au monde. Ses soldats, du plus haut gradé au jeune en service, dans un cas représentent la jeunesse, l’idéal et la vigueur de la nation juive, heureuse et combattive. Dans l’autre, une sorte d’assemblée d’ogres dévorateurs d’enfants et de démons éradicateurs de pacifistes, tueurs d’Arabes et de militants innocents.

A Tsahal, il est systématiquement reproché d’assurer la défense des frontières de son pays, et la vie de ses citoyens. D’elle et d’elle seule, on considère qu’elle agit de manière toujours « disproportionnée ».

Pourtant, dans la réalité de ses sections et de ses troupes, il n’en est rien. Et c’est pour tenter de rétablir un équilibre singulièrement absent dans les discours tant politiques que médiatiques à son égard que Tsahal s’ouvre au public francophone.

Deux jeunes gens en uniforme, aussi compétents que motivés, ont fait le pari de traduire en français toutes les informations, toutes les archives, toutes les actualités disponibles sur leur armée.

Nessim B., 26 ans, a fait son Alyah de France en 2009. Il a été affecté dans l’unité du porte-parole des Forces de défense israéliennes, et a traduit le site original de l’hébreu à l’anglais. Interrogé par le porte-parole de Tsahal sur ses besoins éventuels, il a suggéré d’ouvrir un site en français également, lassé que les médias colportent les pires rumeurs sans avoir aucune possibilité d’y répondre.

L’information existe, certes. Mais, et l’expérience de la première Flottille l’a tristement illustré, elle était jusqu’à présent non seulement monolingue, mais aussi très en retard. Internet, vecteur du meilleur et du pire, est alors devenu une vague géante se faisant l’écho de la propagande des islamistes de l’IHH et de leurs naïfs alliés.

Pendant plusieurs jours, blogueurs et journalistes qui cherchaient à comprendre ce qui s’était produit sur le Mavi Marmara, écumaient désespérément la Toile, tandis que s’accumulaient les informations très préparées des « pacifistes ». Longtemps, certains ont hésité : était-il possible que les soldats de Tsahal, qui s’enorgueillit d’être l’armée la plus morale du monde, se soient livrés à un massacre pur et simple sur d’innocents militants ?

Et pour ceux qui n’avaient aucun doute sur la réalité, ils n’avaient tout simplement aucun argument factuel à opposer. Et ce cas n’est pas isolé : les outrances du rapport Goldstone, les délires d’un Donald Böstrom – quoique les deux se sont finalement amendés – n’ont fait que surfer sur une image monstrueuse, celle d’une armée de croque-mitaines sans visage et sans loi, assassins inhumains jouissant d’hyper-puissance.

Sarah B. était en charge du mouvement de jeunesse juif sioniste Hachomer Hatsaïr à Paris. Immédiatemment après le bac, elle quitte le cocon familial pour immigrer en Israël. Après un an d’apprentissage de l’hébreu à l’Université de Tel Aviv, elle débute son service militaire avec la conviction qu'elle se devait, en tant que nouvelle immigrante et nouvelle citoyenne israélienne, de donner quelques mois de sa vie à l'Etat d'Israël.

Elle a rapidement rejoint Nissim sur le projet.

« Nous avons pour ambition de toucher plusieurs publics », explique-t-elle.
« Nous souhaitons fournir un soutien et aider tous les blogueurs et les sites amis, qui depuis des années sont seuls pour réinformer le public. Ils trouveront là un creuset d’informations qu’ils pourront utiliser et diffuser.

Nous espérons aussi devenir un outil destiné aux professionnels français et francophones ; nous souhaiterions qu’ils relaient ou simplement mentionnent notre information, qu’ils cherchent à connaître la version de Tsahal.

Enfin, nous serons heureux d’informer le grand public francophone, juif et non-juif, qui s’intéresse à nos actions et qui souhaiterait en savoir plus sur l’actualité. »

Très ambitieux, le site est à la hauteur des aspirations : ergonomique, richement illustré, il propose des rubriques d’actualité, mais aussi des informations plus structurelles qui passionneront les visiteurs : sur l’histoire mouvementée de la formation de Tsahal ; sur ses missions ; sur son éthique ; ses divisions et ses soldats ; la diversité de ses membres.

Des soldats dont on entend moins parler dans leurs missions humanitaires, nombreuses et pas toujours médiatisées, que lors des conflits et des provocations auxquelles ils sont exposés – en témoigne la dernière en date, sur le plateau du Golan pendant les jours dits de la « Naqba » et de la « Naqsa ».

Tsahal se laisse enfin connaître, forcément sous son meilleur jour, en français. Ces enfants d’Israël à qui Serge Gainsbourg a dédié une magnifique chanson lors de la guerre des Six Jours en 1967 gagnent là, comme on dit, à être connus.

Pour consulter le site de l'armée israélienne en français :

www.idf.il/fr
Re: Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
29 juin 2011, 23:40
Les Femmes de Tsahal, des Soldats comme les Autres

L’équipe du site a choisi de rendre hommage aux femmes de Tsahal. L’article qui suit met en lumière le rôle qu’ont tenu les soldates tout au long de l’histoire de l’Armée Israélienne.

[www.flickr.com]

Les femmes ont toujours participé à l’essor de la puissance militaire israélienne, depuis la fondation de l’État en 1948 jusqu’à l’armée moderne qu’incarne Tsahal aujourd’hui. A l’heure actuelle, Tsahal est la seule armée dans laquelle les femmes sont appelées à servir dans le cadre d’un service militaire obligatoire, et a par conséquent le taux de femmes conscrites dans ses rangs, le plus élevé au monde. Les femmes représentent 34% de l’ensemble des soldats de Tsahal et remplissent une multitude de fonctions de direction dans l’Armée de Terre, la Marine et l’Armée de l’Air, y compris dans les unités combattantes. Actuellement, 88% de toutes les positions dans Tsahal sont ouvertes aux candidatures féminines.


Une soldate apprend à tirer

Avant la création de l’État, les femmes servaient déjà comme combattantes dans les groupes armés qui deviendront plus tard l’Armée de Défense d’Israël. Cependant, à la création de Tsahal, les femmes occupent principalement des postes d’administration ou d’éducatrices. C’est pendant la Guerre du Kippour en 1973 que les femmes sont appelées sur le terrain, en réponse au besoin urgent d’augmenter la capacité des forces terrestres. Elles sont alors instructrices de combat, sergents d’opérations ou encore officiers de combat.


Commandantes du Corps d’Infanterie

En janvier 2000, une décision de la Cour Suprême Israélienne entra en vigueur : elle ouvrait la possibilité aux femmes qui le désiraient de servir en tant que soldates combattantes dans Tsahal. Un appel avait été déposé par Alice Miller, qui avait lancé une pétition pour que le cours de formation de pilote de l’armée israélienne soit ouvert à toutes les femmes. Un amendement à cette loi posa les fondations de l’égalité entre les sexes dans Tsahal, et ordonna l’ouverture aux femmes des positions de combattants et d’autres positions qui étaient précédemment réservées aux hommes. La clause 16A de la loi stipule que les femmes désireuses de servir en tant que combattantes doivent remplir 3 ans de service militaire obligatoire, et continuer à servir en tant que réservistes jusqu’à l’âge de 38 ans, même après une maternité. Ces conditions sont identiques à celles que doivent remplir les hommes qui veulent servir dans les unités combattantes.


Une soldate pendant ses classes

Actuellement, on trouve des femmes dans 69% de toutes les fonctions de Tsahal. Elles occupent une proportion de plus en plus élevée des grades d’officiers. Les femmes représentent 25% des officiers et 20% des soldats de métier. Près de la moitié des femmes officiers (45%) ont le grade de Premier-Lieutenant et un quart d’entre elles, celui de Lieutenant. Enfin, un peu moins d’un quart des Capitaines et des Commandants (respectivement 23% et 22%) sont des femmes.

Aujourd’hui, les femmes occupent un large éventail de positions à l’armée, y compris dans les unités combattantes : elles sont instructrices dans le Corps d’Artillerie, soldates d’infanterie légère dans le Bataillon Karakal, pilotes de chasse dans l’Armée de l’Air, commandantes dans le Corps de Collecte de Renseignements, et plus encore…


La pause des soldates

Dans l’Armée de l’Air, les femmes ont été autorisées à accéder au poste de pilotes de chasse en 1995, au même titre que les hommes. Aujourd’hui, elles servent aussi en tant que techniciennes avioniques, commandantes d’unités anti-aériennes, etc.

La Marine a également vu s’élargir le rôle des femmes dans ses rangs. On trouve à présent des femmes dans les équipes de sécurité portuaire et entre autres, dans les centres de contrôle du trafic.

Tout en luttant pour multiplier les opportunités des femmes, les responsables de l’armée israélienne ont assuré leur hygiène et leur bien-être au sein de l’armée. Les autorités militaires exercent une politique de tolérance zéro dans les cas de harcèlement sexuel et assurent les besoins spécifiques aux femmes grâce à des cliniques spécialisées.

Les opportunités ouvertes aux femmes dans Tsahal évoluent au gré des changements de cette armée, toujours plus forte et mieux organisée. L’effort déployé par l’Armée de Défense d’Israël, l’une des armées les plus sophistiquées au monde à ce jour, pour assurer une égalité de droits entre les sexes en son sein, a permis la création d’un environnement propice à l’épanouissement des femmes au cours de leur période de service militaire.


Source : [blogtsahal.wordpress.com]
Re: Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
29 juin 2011, 23:49
A la Conquête du Béret Rouge - Par Daniella Bokor - 28 juin 2011

Cinq-cents recrues, dont de nombreux « soldats seuls » venus du monde entier, ont avalé 70 kilomètres épuisants autour de Jérusalem et ont fièrement gagné le droit de porter le béret rouge de la brigade lors d’une cérémonie organisée sur la Colline des Munitions.

La « marche pour le béret » du cycle d’enrôlement de novembre 2010 de la Brigade Parachutiste a pris fin la semaine dernière. Le point de départ était situé au mochav de Tel Shahar, près d’un champ impressionnant de tournesols jaunes arrivés à maturité. Les soldats étendus sur l’herbe parlent avec enthousiasme avant la marche intensive. Parmi la majorité hébréophone, en entend certains soldats parler anglais couramment. Soixante-trois soldats ont le statut de « soldats seuls » – des immigrés venus des États-Unis, du Canada, de Belgique, de France, d’Afrique du Sud et même du Japon et de Hongrie. Certains sont venus en groupe, comme les membres du programme Garin Tsabar, d’autres de manière indépendante. « Ces gars sont les meilleurs du groupe », se targue le Sous-lieutenant Yoni Bashan, Commandant de Compagnie au sein du Bataillon Ef’a, qui a débuté sa carrière militaire après avoir immigré en Israël par le programme Garin Tsabar. « C’est sympa d’être soldat seul et de travailler avec des soldats seuls. Je me sens connecté à ça et je comprends que ce n’est pas simple, mais il n’y a aucune raison de se comporter différemment avec eux. »


Cérémonie avec les soldats de la Brigade Parachutiste

Lorsqu’un groupe est composé d’autant de « soldats seuls », on s’efforce de leur donner de l’amour. Pendant l’une des courtes pauses qui rythment la marche, derrière les soldats qui engloutissent avec appétit le goûter qui leur a été distribué, un homme clair de peau coiffé d’une kippa est assis et discute avec un soldat religieux de Brooklyn. Cet homme quadragénaire est Matt Wanderman, un ancien « parachutiste seul » qui vient accompagner les jeunes pendant leur service. « Les soldats seuls n’ont pas de mère pour leur coudre leurs uniformes ou de traducteur pour leur expliquer chaque mot », explique le commandant du groupe, le Commandant Youval Guez. « C’est une initiative du commandement de la brigade et c’est la première fois qu’elle se concrétise. »

« Tout le monde ne comprend pas leurs difficultés », sourit Matt. « Il y a les difficultés de l’armée, mais les soldats seuls ont aussi la difficulté du retour à la maison : se faire à manger seul, faire le ménage. Nous leur expliquons aussi des choses qu’ils ignorent, comme le fait qu’ils ont le droit de recevoir de l’argent du Ministère de la Construction. Et évidemment, nous les renseignons sur leur service, sur le parcours qu’ils suivront, etc. » Le contact avec les soldats est maintenu de façon permanente dans la mesure du possible. « Nous les appelons souvent pour savoir comment ils vont. Il y a des soldats avec qui je suis en contact quasiment quotidiennement. Il est important qu’ils aient une personne à qui s’adresser », explique Wanderman.

« La quantité de soldats seuls qu’il y a ici aujourd’hui est énorme et cela a de nombreuses implications », explique le Commandant Guez. « Par exemple sur le nombre d’heures de cours d’hébreu qu’on leur donne, le travail de la ‘Mashakit Alyah’ (NDLR : une soldate dont le rôle est d’aider le nouvel immigrant à s’intégrer dans son unité). Les gars ici viennent d’un autre endroit, littéralement. »

Tradition, tradition


Soldats de la Brigade Parachutiste

« Quiconque lit les journaux sait qu’il y a beaucoup de tensions prévues pour septembre, et s’il se passe quelque chose il faut que nous soyons prêts », dit le Commandant de Bataillon de la base d’entraînement de la brigade en ouverture de son discours, quelques instants avant le début de la marche. « La marche n’est pas une rigolade », ajoute-t-il en posant son regard sur chaque soldat. « Elle est là pour nous faire travailler notre aptitude opérationnelle. »

La marche pour le béret de la Brigade Parachutiste est l’une des plus longues et difficiles de Tsahal. Lors de leur entrée dans Jérusalem, ville hautement symbolique pour la brigade, les soldats doivent affronter des montées et des descentes raides. Ils atteignent finalement la Colline des Munitions, où leur sera décerné leur béret rouge.


Source : [blogtsahal.wordpress.com]
Re: Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
05 juillet 2011, 17:41
Dôme de Fer : Le Tout Dernier Système d’Interception de Missiles - 5 juillet 2011

Le système d’interception de missiles « Dôme de Fer » a été conçu pour constituer un rempart face aux tirs de roquettes et d’obus de mortier de courte portée qui menacent chaque jour les habitants et le territoire d’Israël.


Vidéo : interception d’une roquette Grad tirée vers la région d’Ashkelon le 8 avril 2011 (Source : Ministère de la Défense d’Israël)

Le système « Dôme de Fer » fait partie du programme de défense multicouches développé par Tsahal pour répondre à toute la panoplie des menaces de missiles dirigés contre le territoire israélien.

1. Le système « Dôme de Fer » a été conçu pour servir de rempart aux tirs quotidiens de roquettes et d’obus de mortier. Ce système a la capacité d’identifier et de détruire de tels projectiles avant qu’ils n’atterrissent sur le territoire israélien.

2. Ce système fait partie du programme de protection antimissiles multicouches de l’Armée de Défense d’Israël. Le système « Fronde de David » (hébreu : קלע דוד, ‘Kela David’ ; anglais : David’s Sling) est destiné à protéger Israël des missiles de moyenne portée, tandis que le système « Flèche » (hébreu : חץ, ‘Hetz’ ; anglais : Arrow) a pour but de défendre le territoire et les citoyens israéliens contre les missiles balistiques de longue portée.

3. Le système « Dôme de Fer » est composé de trois éléments principaux. Tout d’abord il y a le radar de détection et suivi, mis au point par la société de défense Elta. Vient ensuite un système de contrôle et de gestion de combat conçu par le groupe de développement de logiciels mPrest Systems. Enfin, une unité de tir de missiles, fabriquée par Rafael Advanced Defense Systems Ltd, a pour rôle de faire feu et détruire les menaces significatives.

4. La décision de construire le système « Dôme de Fer » fut prise par le Ministère de la Défense Israélien en 2007. L’année précédente, l’organisation terroriste du Hezbollah avait tiré des milliers de missiles depuis le Sud-Liban sur le nord d’Israël, pendant la Deuxième Guerre du Liban. Israël avait aussi dû faire face à des attaques de roquettes sur les villes et communautés du sud du pays, tirées depuis la bande de Gaza principalement par le Hamas. Entre 2008 et 2010, le système Dôme de Fer a subi une multitude de tests visant à évaluer son efficacité.

5. Le système « Dôme de Fer » a la capacité d’identifier un projectile ayant pour cible un territoire peuplé, et intercepte uniquement les projectiles qui représentent une menace significative. Le système, développé par l’entreprise israélienne Rafael Advanced Defense Systems, est opérationnel depuis novembre 2010, et a été déployé dans le sud du pays le dimanche 27 mars 2011 pour contrer la recrudescence des tirs de roquettes en provenance de la bande de Gaza.



Pour en savoir plus sur les systèmes de protection anti-aérienne de Tsahal : [blogtsahal.wordpress.com]

Source : [blogtsahal.wordpress.com]

=========================================================================

Une batterie antimissile "Dôme de Fer" déployée à Haïfa - Guysen International News - 27 Juin 2011

Une batterie de missiles antimissiles "Dôme de Fer" a été déployée lundi 27 juin 2011 dans la région de Haïfa, conformément au programme des autorités de couvrir, à terme, la totalité du territoire israélien. Une batterie devrait très prochainement être implantée dans la région du Goush Dan (Tel Aviv).



Un premier emploi réussi du système de défense contre les attaques de missiles ait été couronné de succès. Des habitants d’Ashkelon ont contacté la presse pour rapporter qu’ils auraient observé une collision entre deux missiles suivie d’une explosion dans le ciel. Des responsables de Tsahal ont confirmé cette information. Un témoin rapporte qu’il a entendu un bruit inhabituel, semblable à l’effet obtenu par la forte accélération d’un moteur de voiture. Il raconte qu’il a ensuite vu un missile s’élever dans les airs et exploser. Pourtant, la sirène d’alarme n’a pas été entendue, avant que, selon le témoin, le missile tiré à partir du sol ne touche l’obus en provenance de Gaza.

Une batterie du système «dôme de fer» a effectivement été installée lundi dans la région d’Ashkelon. C’est la deuxième batterie disposée sur le terrain depuis la flambée de violence en provenance de Gaza. La première a été placée près de Béer-Sheva. Ce programme de défense n’aurait dû être effectif que bien plus tard, mais le ministère de la Défense et les autorités ont décidé de précipiter l’échéance de son installation, les entraînements et essais étant par conséquent réalisés en temps réel. En outre, une autre batterie a été placée à titre préventif non loin de Haïfa, voici un mois et demi. Le «dôme de fer» doit être positionné prochainement pour protéger également la région de Tel-Aviv. Les différents points dans lesquels sont réparties les batteries sont prévus pour couvrir peu à peu l’ensemble du territoire.



DÔME DE FER ( SYSTÈME ANTI ROQUETTES ISRAÉLIEN) by IsraelHighTechWeapons
Re: Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
07 juillet 2011, 22:24
Comment Tsahal s’entraîne en milieu urbain - Par Itaï Smadja - Pour Guysen International News - 6 juillet 2011



Pour faire face aux terroristes qui n’hésitent pas à se fondre dans la population civile, le Centre d’Entraînement au Combat Urbain entraîne les unités spéciales israéliennes et les armées du monde entier à livrer bataille en milieu urbain par le biais de simulations dans ce centre qui inclue des tours, des marchés et des passages souterrains.

Le Centre d’Entraînement au Combat Urbain de l’Armée de Défense d’Israël, fondé en 2006 dans la base de Tse’elim dans le désert du Néguev, est le plus grand centre de ce type dans le monde.


Des soldats avant un exercice au Centre d'Entraînement au combat urbain.

Le complexe s’étend sur plus de 41 000 mètres carrés et comprend plus de 600 structures telles que des mosquées, des immeubles et des passages souterrains. Tout est mis en œuvre pour que la reconstitution soit fidèle à la réalité des conditions en milieu urbain.

Une multitude d’autres lieux faisant partie du paysage urbain dans les territoires palestiniens ont été reconstitués tels que des marchés, des petites ruelles, des camps de réfugiés et des tunnels.

Les tirs à balles réelles sont remplacés par des tirs au laser qui permettent notamment d’enquêter sur les caractéristiques des tirs (leur provenance par exemple) grâce à l’utilisation d’un système de capteurs avancé.

Ce centre est géré par la Branche de Combat Urbain de Tsahal, et reçoit tout au long de l’année toutes les unités d’infanterie de Tsahal ainsi que des armées étrangères qui souhaitent s’y entraîner.


Des armées du monde entier viennent s'entraîner dans ce centre très spécial qui restitue fidèlement les conditions de combat en milieu urbain.


Source : [www.idf.il]
Re: Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
11 juillet 2011, 08:31
Comment Tsahal Protège l’Espace Aérien Israélien ? - 10 juillet 2011

La mission de la Division Anti-Aérienne est de protéger l’espace aérien de l’État d’Israël contre toute infiltration d’aéronef hostile et toute menace de missile visant le territoire israélien, en coordination avec les avions de l’Armée de l’Air Israélienne. La Division Anti-Aérienne exploite actuellement des systèmes d’armes anti-aériennes très perfectionnés.

Stinger



Le Stinger , officiellement connu sous le nom de FIM-92A, est un lance-missile sol-air (ou anti-aérien) portable et de courte portée (moins de 5 km) qui permet d’abattre des planeurs, avions et hélicoptères de combat volant à basse altitude grâce à un système de guidage infrarouge. Il est du type « Fire and forget » (litt. « Tire et oublie »), c’est-à-dire qu’une fois le missile lancé, aucune opération au sol n’est nécessaire pour le guider. Il est fabriqué par l’entreprise américaine Raytheon Electronic Systems.

Hawk



Le Hawk, officiellement connu sous le nom de MIM-23, est un système de missile anti-aérien de moyenne portée (jusqu’à 40 km) fabriqué par l’entreprise américaine Raytheon. Le premier tir sur cible réel d’un Hawk a été effectué par Tsahal en 1967. Pendant la Guerre d’Usure, les missiles anti-aériens Hawk israéliens ont détruit 12 avions ennemis. Au cours de la Guerre du Kippour, les missiles Hawk israéliens ont tiré à 75 reprises et ont abattu une vingtaine d’avions ennemis.

Patriot



Le Patriot, officiellement connu sous le nom de MIM-104, est un système de missile sol-air de longue portée conçu par l’entreprise américaine Raytheon pour intercepter et abattre des aéronefs et missiles à une distance maximale de 160 km. Au cours des dernières années, le système Patriot a été amélioré, et il apporte à présent une réponse bien meilleure à la menace des missiles.

Systèmes d’interception de missiles

Tsahal a développé un programme de défense multicouches pour répondre à toute la panoplie des menaces de missiles dirigés contre le territoire israélien. On dénombre 3 systèmes d’interception de missiles, pour les missiles de courte, moyenne et longue portée.

Flèche



Il s’agit d’un système d’interception de missiles balistiques de longue portée. Il a été développé conjointement par les États-Unis et l’entreprise de construction aéronautique israélienne Israel Aerospace Industries. Il est composé d’un système de détection (avec notamment le radar Green Pine) et d’un système d’interception. Le système ‘Flèche’ est capable de détecter et d’intercepter plusieurs menaces simultanément. Deux versions du ‘Flèche’ sont déjà opérationnelles et le ‘Flèche 3’ est en phase de tests avancés.

Fronde de David



Il est également surnommé « Baguette Magique », ce système est chargé d’intercepter les roquettes de moyenne à longue portée et les missiles de croisière volant à une vitesse peu élevée, comme ceux que possède le Hezbollah. Il a été développé conjointement par l’entreprise israélienne Rafael et l’entreprise américaine Raytheon.

Dôme de Fer



Il s’agit du dernier système d’interception de missiles développé par Tsahal, destiné à contrer la menace des obus et roquettes de courte portée, comme les roquettes Qassam tirées depuis la bande de Gaza. Le système, développé par l’entreprise israélienne Rafael Advanced Defense Systems, est opérationnel depuis novembre 2010, et a été déployé dans le sud du pays fin mars 2011 pour contrer la recrudescence des tirs de roquettes en provenance de la bande de Gaza.

Re: Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
11 juillet 2011, 08:38
La Division Anti-Aérienne Chargée de Lutter contre le Terrorisme Aérien - 11 juillet 2011

Comment une unité qui opère depuis le sol parvient à déjouer des attaques de missiles, de roquettes et d’avions ennemis contre Israël ? Nous vous avons présenté hier les différents systèmes de protection de l’espace aérien israélien, et nous continuons aujourd’hui notre Gros plan sur la Division Anti-Aérienne de Tsahal.


Avions de Chasse

Alors qu’Israël doit constamment combattre des attaques contre son territoire, une unité de l’Armée de l’Air Israélienne est responsable de sécuriser l’espace aérien du pays. A l’origine, cette division était chargée d’intercepter des avions de chasse ennemis par des tirs d’artillerie ou en lançant des missiles. Au fil des années, les moyens d’action de la Division Anti-Aérienne se sont diversifiés.

Le rôle principal de la Division Anti-Aérienne est de défendre l’espace aérien contre les avions ennemis, de contrer toute forme de terrorisme aérien, et d’intercepter les missiles lancés contre le territoire israélien.

La Division Anti-Aérienne, même avant qu’elle soit officiellement établie, avait déjà rempli avec succès une mission 24 heures seulement après la Déclaration d’Indépendance de l’État d’Israël en 1948 lorsqu’elle a abattu avec succès un avion de chasse égyptien qui allait frapper Tel Aviv.

Cette division a été créée en 1950. Elle a d’abord fait partie du Corps d’Artillerie et est passée dans l’Armée de l’Air dans les années 1960. En 1971, la Division Anti-Aérienne est devenue la seule unité habilitée à intercepter des avions de chasse depuis le sol.Très active dans la défense d’Israël, cette division a intercepté 93 avions et avions de chasses, soit 1/6 des avions ennemis abattus par Tsahal. La Division Anti-Aérienne utilise des systèmes de défense de plus en plus sophistiqués. Parmi les dernières inventions en date, on trouve le système d’interception de missiles » Dôme de Fer « développé par Tsahal. Il a été mis au point pour contrer la menace des obus et roquettes de courte portée, comme les roquettes Qassam tirées depuis la bande de Gaza. Le système, développé par l’entreprise israélienne Rafael Advanced Defense Systems, est opérationnel depuis novembre 2010, et a été déployé dans le sud du pays fin mars 2011 pour contrer la recrudescence des tirs de roquettes en provenance de la bande de Gaza.

A mesure que les organisations terroristes s’arment de missiles et de roquettes pour attaquer le territoire et les citoyens israéliens, la Division Anti-Aérienne devient de plus en plus importante sur le plan stratégique et son travail indispensable à la sécurité d’Israël.


Source : [blogtsahal.wordpress.com]
Re: Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
11 juillet 2011, 08:49
L’Unité d’Élite Mythique des Forces Spéciales Israéliennes : Sayeret Matkal - 11 juillet 2011

L’unité « Sayeret Matkal » est considérée comme la meilleure unité de combat de l’armée israélienne, et l’une des meilleures unités de forces spéciales au monde. Le professionnalisme y est érigé en mode de vie. Elle a relevé avec succès les missions les plus audacieuses de Tsahal, et a vu défilé dans ses rangs des grandes figures israéliennes.


Sayeret Matkal

De nombreuses grandes figures israéliennes sont passées par cette unité très prestigieuse. Parmi elles, Ehud Barak, Benjamin Netanyahu et ses deux frères Iddo, et Yonathan [blogtsahal.wordpress.com] , Shaul Mofaz ou Danny Yatom.

La Sayeret Matkal a été impliquée dans de nombreuses missions commando. Parmi elles, on se souvient de l’Opération « Printemps de la Jeunesse » en 1973. Cette opération (hébreu : מבצע אביב נעורים, ‘Mivtsa Aviv Neourim’) fut menée dans le cadre d’une opération de bien plus grande envergure, l’Opération Colère de Dieu, visant à éliminer les auteurs du massacre de onze athlètes israéliens commis pendant les Jeux Olympiques de Munich de 1972. Dans la nuit du 9 au 10 avril 1973, l’unité d’élite des forces spéciales israéliennes (la « Sayeret Matkal »), des forces parachutistes et le commando naval firent un raid contre plusieurs cibles de l’Organisation de Libération de la Palestine à Beyrouth et à Sidon au Liban, et tuèrent dans leur lit environ 50 membres haut placés de l’OLP, notamment l’adjoint de Yasser Arafat, Abou Youssef. A l’époque, on compte parmi les commandants de cette mission le Lieutenant-colonel Ehud Barak (alors commandant de la « Sayeret Matkal »), qui débarqua sur la plage de Beyrouth au côté des premiers soldats et pénétra dans la ville déguisé en jeune femme brune.


Opération Printemps de la Jeunesse [blogtsahal.wordpress.com] : Les forces partirent du port de Haïfa à bord de neufs bateaux lance-missiles en fin d’après-midi et arrivèrent sur la plage de Beyrouth dans la soirée sur des canots pneumatiques

L’unité « Sayeret Matkal » (hébreu : סיירת מטכ »ל ) est l’unité d’élite des forces spéciales israéliennes. Elle est considérée comme la meilleure unité de combat de l’armée israélienne, et l’une des meilleures unités de forces spéciales au monde. L’unité n’est rattachée à aucun commandement régional, elle ne répond aux ordres que de l’état-major israélien. L’unité appartient à la Branche des Renseignements de l’armée (hébreu : אגף המודיעין, ‘Agaf HaModiin’), l’une des composantes de la « communauté israélienne du renseignement ».

Les combattants de l’unité sont sélectionnés avec le plus grand soin, par le biais de tests rigoureux et d’examens physiques éprouvants. Ils doivent exceller en matière de motivation, détermination, forme physique et capacité à prendre des décisions sous pression. Les combattants sont spécialisés en opérations commando. Un équipement technologique de pointe est mis à leur disposition.

La formation dure un an et 8 mois. Les combattants débutent par un entraînement commun de 4 mois avec les soldats de la Brigade Parachutiste. Ensuite, ils sont séparés du reste des parachutistes et suivent un entraînement spécifique, qui les soumet à des épreuves physiques intenses à l’issue desquelles ils reçoivent le fameux béret rouge, après notamment une marche éreintante de 120 kilomètres. Par la suite, ils entament une formation spécialisée qui comprend notamment : 15 semaines de navigation dans le désert, des exercices de repérage, des exercices anti-terroristes, la formation de tireur d’élite de Tsahal, des séances de camouflage, etc.


Cliquez ici pour plus d’information sur l’Unité Sayeret Matkal.
[blogtsahal.wordpress.com]
Re: Israël va tester un intercepteur de missiles dans le Pacifique
11 juillet 2011, 09:11
Tsahal améliore son système de défense Patriot - Par YAAKOV KATZ - Pour Jerusalem Post édition en français - 11 juillet 2011

L'armée de l'air a approuvé une série d'améliorations pour son système antimissiles Patriot qui va augmenter ses capacités d'interception, selon des sources de Tsahal.



Elles incluront l'installation d'un nouveau logiciel ainsi que des changements matériels au sein du radar qui accompagne le système, qu'Israël a reçu des Etats-Unis peu avant la Guerre du Golfe en 1991.

Les améliorations permettront à Tsahal de recevoir un jour des missiles PAC-3, une version plus avancée que l'intercepteur utilisé actuellement par Israël, et déjà utilisée aux Etats-Unis.

Le PAC-3 serait capable d'intercepter la plupart des missiles syriens. C'est une version améliorée du PAC-2 en terme de couverture et de défense.
Le PAC-3 est plus petit et permet de tirer 16 missiles depuis les lanceurs israéliens actuels, plutôt que quatre intercepteurs PAC-2.

Le Patriote sert à Israël comme système de défense contre les missiles de moyenne portée, alors que le système Iron Dome est utilisé contre les tirs courte portée et l'Arrow 2 pour intercepter les missiles balistiques longue portée.

L'armée de l'air prévoit de remplacer le Patriot par la Fronde de David, un système antimissiles en développement fabriqué par Rafael Advanced Defense Systems et la société Raytheon basée dans le Massachusetts. Il permettra de se défendre contre les missiles iraniens tels que le M600, le Zelzal, le Fajr et le Fateh 110 que le Hezbollah possède. Ou alors pour contrer d'autres missiles ayant une portée de 70 à 300 kilomètres.

La Fronde de David utilise un intercepteur appelé Stunner, avec un lanceur qui peut contenir 16 missiles. Il fonctionne avec un radar fabriqué par Israel Aerospace Industries.
TSAHAL
25 juillet 2011, 23:17
L'enthousiasme des filles d'Israël pour défendre leur terre


L'enthousiasme des filles d'Israël -Pour... by catger
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






HARISSA
Copyright 2000-2024 - HARISSA.COM All Rights Reserved