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Tourisme en Israel
Envoyé par lapid
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Tourisme en Israel 27 mai 2009, 01:50 |
Mauvaise passe pour le tourisme - Par SHARON WROBEL - Pour Jerusalem Post edition en francais - 26 mai 2009
Le nombre de visiteurs étrangers qui séjournent dans les hôtels a chuté de 27 % au mois d'avril 2009, a rapporté l'Association hôtelière israélienne lundi.
Le secteur du tourisme entrant est en crise.
"Le secteur du tourisme entrant traverse une crise profonde", explique Rafi Farber, directeur général adjoint de l'association. "Depuis l'Opération "Plomb durci", couplée de la crise économique mondiale, nous enregistrons un lourd déclin du niveau de l'occupation des hôtels", ajoute-t-il.
Selon lui, l'annulation de l'exemption de la TVA pour les services touristiques - dans le cadre du budget proposé par le gouvernement pour 2009/2010 - ne fera qu'empirer les choses.
En avril, le taux d'occupation national dans les hôtels a chuté à une moyenne de 18 %, contre 58 % en 2008 pour le même mois. Le nombre total de séjour à l'hôtel pour une nuit s'établit à 1,7 million, soit 12 % de moins qu'en avril l'année dernière.
Si l'on compte exclusivement le nombre de visiteurs étrangers pour le même critère, seuls 709 000 personnes ont dormi à l'hôtel en avril 2009 - soit 265 000 visiteurs de moins que l'année dernière.
Seule la ville d'Eilat semble épargner par le phénomène puisque ses hôtels indiquent une augmentation de 10 % des séjours nocturnes.
Parmi les villes les plus touchées par la baisse du tourisme étranger en avril cette année se trouvent Tibérias (moins 46 %), Jérusalem (moins 35 %), Haïfa (moins 32 %), la région de la Mer morte (moins 28 %) et enfin Tel-Aviv, avec une baisse de 24 %.
Le nombre de visiteurs étrangers qui séjournent dans les hôtels a chuté de 27 % au mois d'avril 2009, a rapporté l'Association hôtelière israélienne lundi.
Le secteur du tourisme entrant est en crise.
"Le secteur du tourisme entrant traverse une crise profonde", explique Rafi Farber, directeur général adjoint de l'association. "Depuis l'Opération "Plomb durci", couplée de la crise économique mondiale, nous enregistrons un lourd déclin du niveau de l'occupation des hôtels", ajoute-t-il.
Selon lui, l'annulation de l'exemption de la TVA pour les services touristiques - dans le cadre du budget proposé par le gouvernement pour 2009/2010 - ne fera qu'empirer les choses.
En avril, le taux d'occupation national dans les hôtels a chuté à une moyenne de 18 %, contre 58 % en 2008 pour le même mois. Le nombre total de séjour à l'hôtel pour une nuit s'établit à 1,7 million, soit 12 % de moins qu'en avril l'année dernière.
Si l'on compte exclusivement le nombre de visiteurs étrangers pour le même critère, seuls 709 000 personnes ont dormi à l'hôtel en avril 2009 - soit 265 000 visiteurs de moins que l'année dernière.
Seule la ville d'Eilat semble épargner par le phénomène puisque ses hôtels indiquent une augmentation de 10 % des séjours nocturnes.
Parmi les villes les plus touchées par la baisse du tourisme étranger en avril cette année se trouvent Tibérias (moins 46 %), Jérusalem (moins 35 %), Haïfa (moins 32 %), la région de la Mer morte (moins 28 %) et enfin Tel-Aviv, avec une baisse de 24 %.
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Re: Tourisme en Israel 20 février 2010, 23:43 |
TOURISME ISRAËL - L'HEBERGEMENT EN ZIMMERS (CHALETS) PREND SON ENVOL EN ISRAËL. 9000 CHALETS ATTIRENT LE TOURISME INTERIEUR LORS DE WEEK-END, JOURS FERIES... - Par Laurent Gahnassia et Lisbeth Yona[/b - Pour IsraelValley.com - 20 février 2010
Au cours de la dernière décennie, est apparue une croissance importante de l’industrie du tourisme rural et de l’hébergement en chalets (Zimmers). Selon les statistiques, cette industrie est évaluée à environ 1 milliard de shekels par an. Il y a près de 9000 zimmers en Israël qui attirent principalement le tourisme intérieur lors des week-ends, jours fériés, vacances scolaires – et génère un taux d’occupation annuel de 38%.
Dans le cadre de la politique du ministère du Développement du Néguev et la Galilée visant à développer et faire prospérer la périphérie, il s’est avéré nécessaire d’exploiter le potentiel des gîtes ruraux à la fois pour le tourisme local et étranger. A cet effet, a été développé un système de notation IBB. Le système de notation IBB 140 contrôle différents critères en conformité avec les normes internationales et classe les chambres selon les normes A, B et C qui déterminent les niveaux de qualité et de service.
Les critères incluent, entre autres, le type de matelas / oreiller, le nettoyage, la distance avec le poulailler ou l’étable, la taille de la chambre, le bruit de la climatisation, la crédibilité et la fiabilité de la publicité. Les propriétaires de zimmers participent à un atelier professionnel et les chambres sont vérifiées par un consultant travaillant pour le compte du Ministère du Tourisme. À la fin du processus, ils sont connectés à un système Internet de réservation en ligne ( [www.gogalil.org] ) sur lequel figurent la notation du zimmer, le prix par nuit, les attractions à proximité et plus encore.
La notation du zimmer est affichée sur la porte d’entrée.
Stas Misezhnikov a déclaré que : « l’objectif du Ministère du Tourisme était d’attirer 1 million de touristes supplémentaires sur 3 ans », en ciblant plus particulièrement le marché des chrétiens évangéliques et de la communauté juive. L’élargissement du projet de notation IBB au reste d’Israël permettra d’améliorer l’industrie du tourisme et de développer l’emploi dans les zones concernées.
Laurent GAHNASSIA
Directeur Marketing & Promotion
Office National Israélien de Tourisme – Paris.
Tél direct : 01 42 61 85 88
laurentg@otisrael.com
Au cours de la dernière décennie, est apparue une croissance importante de l’industrie du tourisme rural et de l’hébergement en chalets (Zimmers). Selon les statistiques, cette industrie est évaluée à environ 1 milliard de shekels par an. Il y a près de 9000 zimmers en Israël qui attirent principalement le tourisme intérieur lors des week-ends, jours fériés, vacances scolaires – et génère un taux d’occupation annuel de 38%.
Dans le cadre de la politique du ministère du Développement du Néguev et la Galilée visant à développer et faire prospérer la périphérie, il s’est avéré nécessaire d’exploiter le potentiel des gîtes ruraux à la fois pour le tourisme local et étranger. A cet effet, a été développé un système de notation IBB. Le système de notation IBB 140 contrôle différents critères en conformité avec les normes internationales et classe les chambres selon les normes A, B et C qui déterminent les niveaux de qualité et de service.
Les critères incluent, entre autres, le type de matelas / oreiller, le nettoyage, la distance avec le poulailler ou l’étable, la taille de la chambre, le bruit de la climatisation, la crédibilité et la fiabilité de la publicité. Les propriétaires de zimmers participent à un atelier professionnel et les chambres sont vérifiées par un consultant travaillant pour le compte du Ministère du Tourisme. À la fin du processus, ils sont connectés à un système Internet de réservation en ligne ( [www.gogalil.org] ) sur lequel figurent la notation du zimmer, le prix par nuit, les attractions à proximité et plus encore.
La notation du zimmer est affichée sur la porte d’entrée.
Stas Misezhnikov a déclaré que : « l’objectif du Ministère du Tourisme était d’attirer 1 million de touristes supplémentaires sur 3 ans », en ciblant plus particulièrement le marché des chrétiens évangéliques et de la communauté juive. L’élargissement du projet de notation IBB au reste d’Israël permettra d’améliorer l’industrie du tourisme et de développer l’emploi dans les zones concernées.
Laurent GAHNASSIA
Directeur Marketing & Promotion
Office National Israélien de Tourisme – Paris.
Tél direct : 01 42 61 85 88
laurentg@otisrael.com
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Re: Tourisme en Israel 21 février 2010, 00:32 |
ZIMMERIM ( CHALETS ) en Israel
Pour ceux qui s’apprêtent à passer les fêtes en Israël, ou pour vos prochaines vacances en Eretz, la mode n’est plus aux grands hôtels de luxe. Israël foisonne de petites merveilles de villégiatures, que l’on appelle « Zimmerim » et qui sont l’équivalent, en mieux, des chambres d’hôtes françaises.
Pour en savoir plus sur les Zimmerim :
[www.searchisrael.fr]
[www.searchisrael.fr]
[www.searchisrael.fr]
[www.terredisrael.com]
[www.rrr.co.il]
[www.zimerdeal.co.il]
[www.zimmerim-bazafon.co.il]
Pour ceux qui s’apprêtent à passer les fêtes en Israël, ou pour vos prochaines vacances en Eretz, la mode n’est plus aux grands hôtels de luxe. Israël foisonne de petites merveilles de villégiatures, que l’on appelle « Zimmerim » et qui sont l’équivalent, en mieux, des chambres d’hôtes françaises.
Pour en savoir plus sur les Zimmerim :
[www.searchisrael.fr]
[www.searchisrael.fr]
[www.searchisrael.fr]
[www.terredisrael.com]
[www.rrr.co.il]
[www.zimerdeal.co.il]
[www.zimmerim-bazafon.co.il]
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Re: Tourisme en Israel 14 mars 2010, 15:37 |
Record d’affluence en février 2010 : Israël a accueilli 222 000 touristes en un mois, 46% de plus qu’en février 2009. - Par Oren Dahan - Pour IsraelValley - 10 mars 2010
plage tel aviv
Le tourisme en Israël se porte de mieux en mieux. D’après l’institut israélien des statistiques, le pays a accueilli un nombre record de touristes au mois de février. 222 000 touristes se sont ainsi rendus en Israël le mois dernier, ce qui fait de février 2010 le mois au plus grand nombre de touristes de toute l’histoire du pays. Ce chiffre est de 46% supérieur à celui de février 2009, 12% supérieur à celui de février 2008 et 4% supérieur à celui de février 2000.
178 000 touristes ont séjourné au moins une nuit en Israël, soit une augmentation de 28% par rapport à février 2009 et de 3% par rapport à février 2008. 43 900 touristes n’ont visité le pays qu’au cours d’une journée, dont 13 200 dans le cadre d’une escale de croisière.
Durant les deux premiers mois de 2010, Israël a accueilli 434 300 visiteurs. A la même période, en 2009, le pays n‘avait accueilli que 283 400 touristes.
En réaction à ces chiffres éloquents, le ministre du Tourisme Stas Misezhnikov a une nouvelle fois mis en garde contre le manque de chambres d’hôtel auquel le pays aura à faire face dans les années à venir, du fait de la croissance régulière dans le secteur du tourisme : « J’appelle les entrepreneurs et hôteliers à tirer profit de l’aide accordée par le ministère du Tourisme pour construire de nouveaux hôtels et rénover des anciens. Un manque de chambres d’hôtel affecterait notre capacité d’accueil touristique et provoquerait un manque à gagner très conséquent. »
plage tel aviv
Le tourisme en Israël se porte de mieux en mieux. D’après l’institut israélien des statistiques, le pays a accueilli un nombre record de touristes au mois de février. 222 000 touristes se sont ainsi rendus en Israël le mois dernier, ce qui fait de février 2010 le mois au plus grand nombre de touristes de toute l’histoire du pays. Ce chiffre est de 46% supérieur à celui de février 2009, 12% supérieur à celui de février 2008 et 4% supérieur à celui de février 2000.
178 000 touristes ont séjourné au moins une nuit en Israël, soit une augmentation de 28% par rapport à février 2009 et de 3% par rapport à février 2008. 43 900 touristes n’ont visité le pays qu’au cours d’une journée, dont 13 200 dans le cadre d’une escale de croisière.
Durant les deux premiers mois de 2010, Israël a accueilli 434 300 visiteurs. A la même période, en 2009, le pays n‘avait accueilli que 283 400 touristes.
En réaction à ces chiffres éloquents, le ministre du Tourisme Stas Misezhnikov a une nouvelle fois mis en garde contre le manque de chambres d’hôtel auquel le pays aura à faire face dans les années à venir, du fait de la croissance régulière dans le secteur du tourisme : « J’appelle les entrepreneurs et hôteliers à tirer profit de l’aide accordée par le ministère du Tourisme pour construire de nouveaux hôtels et rénover des anciens. Un manque de chambres d’hôtel affecterait notre capacité d’accueil touristique et provoquerait un manque à gagner très conséquent. »
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Re: Tourisme en Israel 16 juillet 2010, 02:14 |
Le portrait type de l'Israélien en vacances - Par Jacques Bendelac - Pour Hamodia No 130 - 14 juillet 2010
En ce début d'été, voici vingt aspects principaux qui dressent, à tous les niveaux, le profil moyen du vacancier israélien.
On le sait, les Israéliens sont de plus en plus nombreux à céder à la tentation des « vacances », y compris à la française : encore davantage d’entreprises ferment une partie du mois d’août, les Israéliens se tassent sur les plages, les vacances se rallongent, etc. Certes, nos concitoyens sont encore loin des Français, considérés comme les plus grands vacanciers au monde, mais ils adorent changer d’air… même pour une courte durée !
Destinations
1. L’Israélien en vacances aime partir, de préférence à l’étranger : un Israélien sur trois passe ses vacances à l’étranger. En 2009, ils étaient 2,5 millions d’Israéliens à être sortis du pays au moins une fois.
2. Beaucoup d’Israéliens ne se contentent plus d’un séjour par an à l’étranger : un Israélien sur dix effectue un voyage à l’étranger deux fois par an ou plus.
3. Durant les mois d’été, l’Israélien voyage à l’étranger en famille : les enfants de moins de 14 ans représentent 17 % des Israéliens qui se déplacent à l’étranger en juillet et août.
4. L’Israélien attend l’été pour partir à l’étranger : un tiers des départs annuels pour l’étranger a lieu durant les mois de juillet et d’août.
5. L’Israélien préfère l’avion pour partir à l’étranger : 85 % des touristes israéliens quittent leur pays par voie aérienne, 12 % par voie terrestre et 3 % par la mer.
6. La Turquie ne fait plus partie des destinations préférées de l’Israélien : et donc, cette année, les pays visités par le plus grand nombre d’Israéliens seront les États-Unis, la France, l’Italie, l’Allemagne et la Grèce.
7. L’Israélien aime visiter les pays étrangers, mais il se languit vite de son pays : un tiers des touristes israéliens ne reste que quatre jours à l’étranger et un autre tiers entre cinq et neuf jours. Seulement un tiers d’entre eux prolonge leur séjour à l’étranger au-delà de dix jours.
8. L’Israélien consacre en moyenne 800 dollars par personne pour son séjour à l’étranger : c’est moins que la somme dépensée en Israël par le touriste français (1 000 $) ou par le touriste américain (1 800 $).
Loisirs
9. L’Israélien en vacances découvre désormais le plaisir des croisières : ainsi, en 2010, environ 130 000 Israéliens vont embarquer à Haïfa ou Ashdod pour quelques jours d’une croisière qui les conduira en Grèce, en Italie ou en Espagne.
10. L’Israélien aime passer une bonne partie de son temps libre devant son écran. En vacances aussi, il va en profiter : il passe en moyenne 3 heures et 44 minutes par jour devant l'écran, soit bien plus que la moyenne mondiale !
11. L’Israélien en vacances raffole de festivals en tous genres : musique, danse, représentations, poésie, nature, folklore, spectacles de rue, etc. Autant d'événements culturels excellents pour doper la fréquentation hôtelière et accroître la manne touristique.
12. L’Israélien en vacances aime pratiquer le tourisme « ludique » : les parcs à thème comme Kings City (à Eilat) et autres, qui arrivent au « hit-parade » des sites les plus fréquentés.
13. L’Israélien en vacances s’adonne aux plaisirs de la navigation : 65 000 Israéliens détiennent ainsi un permis bateau. Les Israéliens sont propriétaires de 6 600 véhicules nautiques à moteur (motos des mers, scooters, etc.), de 9 500 voiliers et bateaux à moteur, ainsi que de 2 600 bateaux de plaisance longs de plus de sept mètres.
Gastronomie
14. L’Israélien en vacances adore déguster de la pastèque : il en mange sans compter sur la plage, à la piscine, en pique-nique, etc. Chaque année, un Israélien déguste près de 30 kg de pastèque, ce qui en fait un des plus grands consommateurs au monde.
15. L’Israélien en vacances supporte la canicule en consommant des glaces : avec une consommation de 8 litres de glace par tête, les Israéliens arrivent devant les Français (6 litres) mais ils arrivent loin derrière les Américains (20 litres). Particularité très israélienne : la moitié de la consommation annuelle de glace est absorbée durant les mois de juillet et août.
16. L’Israélien en vacances n’hésite pas à s’adonner aux plaisirs culinaires en joignant l’utile à l’agréable : ainsi, confectionne-t-il du chocolat dans les ateliers de la « Ferme de chocolat » au kibboutz Degania, et il participe à la cueillette des cerises sur le Golan, tout en fréquentant souvent les restaurants bios…
17. L’Israélien en vacances aime se faire servir : il choisit de préférence les séjours touristiques en formule « tout compris » où il pourra boire et manger à volonté, tout en se plaignant sans cesse de la qualité moyenne des repas.
Congés annuels
18. L’Israélien jalouse le Français pour la durée de ses congés annuels : en effet, il ne dispose seulement que de 10 jours à 22 jours ouvrables de congés par an, selon son ancienneté chez le même employeur. Bien sûr, cette moyenne ne tient pas compte des nombreux jours fériés du calendrier hébraïque.
19. La tendance aux « congés collectifs » se développe : selon une enquête du patronat israélien, une entreprise industrielle sur cinq va fermer au cours de cet été pour un congé annuel collectif.
20. Afin de financer une partie de ses vacances, le salarié israélien attend le début du mois de juillet pour encaisser sa prime annuelle de vacances. En 2010, cette prime varie entre 2 800 et 4 900 shekels (de 580 à 1 000 euros), selon l’ancienneté du salarié. Une prime qui s’ajoute aux journées de congés payés auxquels a aussi droit le salarié.
En ce début d'été, voici vingt aspects principaux qui dressent, à tous les niveaux, le profil moyen du vacancier israélien.
On le sait, les Israéliens sont de plus en plus nombreux à céder à la tentation des « vacances », y compris à la française : encore davantage d’entreprises ferment une partie du mois d’août, les Israéliens se tassent sur les plages, les vacances se rallongent, etc. Certes, nos concitoyens sont encore loin des Français, considérés comme les plus grands vacanciers au monde, mais ils adorent changer d’air… même pour une courte durée !
Destinations
1. L’Israélien en vacances aime partir, de préférence à l’étranger : un Israélien sur trois passe ses vacances à l’étranger. En 2009, ils étaient 2,5 millions d’Israéliens à être sortis du pays au moins une fois.
2. Beaucoup d’Israéliens ne se contentent plus d’un séjour par an à l’étranger : un Israélien sur dix effectue un voyage à l’étranger deux fois par an ou plus.
3. Durant les mois d’été, l’Israélien voyage à l’étranger en famille : les enfants de moins de 14 ans représentent 17 % des Israéliens qui se déplacent à l’étranger en juillet et août.
4. L’Israélien attend l’été pour partir à l’étranger : un tiers des départs annuels pour l’étranger a lieu durant les mois de juillet et d’août.
5. L’Israélien préfère l’avion pour partir à l’étranger : 85 % des touristes israéliens quittent leur pays par voie aérienne, 12 % par voie terrestre et 3 % par la mer.
6. La Turquie ne fait plus partie des destinations préférées de l’Israélien : et donc, cette année, les pays visités par le plus grand nombre d’Israéliens seront les États-Unis, la France, l’Italie, l’Allemagne et la Grèce.
7. L’Israélien aime visiter les pays étrangers, mais il se languit vite de son pays : un tiers des touristes israéliens ne reste que quatre jours à l’étranger et un autre tiers entre cinq et neuf jours. Seulement un tiers d’entre eux prolonge leur séjour à l’étranger au-delà de dix jours.
8. L’Israélien consacre en moyenne 800 dollars par personne pour son séjour à l’étranger : c’est moins que la somme dépensée en Israël par le touriste français (1 000 $) ou par le touriste américain (1 800 $).
Loisirs
9. L’Israélien en vacances découvre désormais le plaisir des croisières : ainsi, en 2010, environ 130 000 Israéliens vont embarquer à Haïfa ou Ashdod pour quelques jours d’une croisière qui les conduira en Grèce, en Italie ou en Espagne.
10. L’Israélien aime passer une bonne partie de son temps libre devant son écran. En vacances aussi, il va en profiter : il passe en moyenne 3 heures et 44 minutes par jour devant l'écran, soit bien plus que la moyenne mondiale !
11. L’Israélien en vacances raffole de festivals en tous genres : musique, danse, représentations, poésie, nature, folklore, spectacles de rue, etc. Autant d'événements culturels excellents pour doper la fréquentation hôtelière et accroître la manne touristique.
12. L’Israélien en vacances aime pratiquer le tourisme « ludique » : les parcs à thème comme Kings City (à Eilat) et autres, qui arrivent au « hit-parade » des sites les plus fréquentés.
13. L’Israélien en vacances s’adonne aux plaisirs de la navigation : 65 000 Israéliens détiennent ainsi un permis bateau. Les Israéliens sont propriétaires de 6 600 véhicules nautiques à moteur (motos des mers, scooters, etc.), de 9 500 voiliers et bateaux à moteur, ainsi que de 2 600 bateaux de plaisance longs de plus de sept mètres.
Gastronomie
14. L’Israélien en vacances adore déguster de la pastèque : il en mange sans compter sur la plage, à la piscine, en pique-nique, etc. Chaque année, un Israélien déguste près de 30 kg de pastèque, ce qui en fait un des plus grands consommateurs au monde.
15. L’Israélien en vacances supporte la canicule en consommant des glaces : avec une consommation de 8 litres de glace par tête, les Israéliens arrivent devant les Français (6 litres) mais ils arrivent loin derrière les Américains (20 litres). Particularité très israélienne : la moitié de la consommation annuelle de glace est absorbée durant les mois de juillet et août.
16. L’Israélien en vacances n’hésite pas à s’adonner aux plaisirs culinaires en joignant l’utile à l’agréable : ainsi, confectionne-t-il du chocolat dans les ateliers de la « Ferme de chocolat » au kibboutz Degania, et il participe à la cueillette des cerises sur le Golan, tout en fréquentant souvent les restaurants bios…
17. L’Israélien en vacances aime se faire servir : il choisit de préférence les séjours touristiques en formule « tout compris » où il pourra boire et manger à volonté, tout en se plaignant sans cesse de la qualité moyenne des repas.
Congés annuels
18. L’Israélien jalouse le Français pour la durée de ses congés annuels : en effet, il ne dispose seulement que de 10 jours à 22 jours ouvrables de congés par an, selon son ancienneté chez le même employeur. Bien sûr, cette moyenne ne tient pas compte des nombreux jours fériés du calendrier hébraïque.
19. La tendance aux « congés collectifs » se développe : selon une enquête du patronat israélien, une entreprise industrielle sur cinq va fermer au cours de cet été pour un congé annuel collectif.
20. Afin de financer une partie de ses vacances, le salarié israélien attend le début du mois de juillet pour encaisser sa prime annuelle de vacances. En 2010, cette prime varie entre 2 800 et 4 900 shekels (de 580 à 1 000 euros), selon l’ancienneté du salarié. Une prime qui s’ajoute aux journées de congés payés auxquels a aussi droit le salarié.
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Re: Tourisme en Israel 17 août 2010, 01:15 |
Plus de 3 millions de touristes en 5770 ! - Par Claire Dana-Picard - Pour Israel7.com - 16 aout 2010
Israël enregistre un nouveau chiffre record pour le nombre de touristes venus cette année visiter le pays. Ils auraient été au total plus de 3 millions en 5770, c’est-à-dire 18 % de plus que l’an dernier. En cette fin d’année, le ministère du Tourisme s’apprête à recevoir encore plus de 260 000 vacanciers qui effectueront le voyage pour les fêtes de Tichri.
Dans le cadre de ces préparatifs, il enverra des inspecteurs dans les sites de villégiature pour s’assurer du bon état et du fonctionnement satisfaisant de leurs structures d’accueil. Tout ceci pour permettre aux touristes de passer d’excellents congés, dans les meilleures conditions possibles.
Le ministre du Tourisme, Stas Misezhnikov a déclaré: « Le ministère du Tourisme intensifiera ses activités pour être prêt à accueillir encore davantage de visiteurs, qui se feront de plus en plus nombreux jusqu’en 2012. Nous comptons sur la venue de 5 millions de personnes d’ici l’année 2015″.
Israël enregistre un nouveau chiffre record pour le nombre de touristes venus cette année visiter le pays. Ils auraient été au total plus de 3 millions en 5770, c’est-à-dire 18 % de plus que l’an dernier. En cette fin d’année, le ministère du Tourisme s’apprête à recevoir encore plus de 260 000 vacanciers qui effectueront le voyage pour les fêtes de Tichri.
Dans le cadre de ces préparatifs, il enverra des inspecteurs dans les sites de villégiature pour s’assurer du bon état et du fonctionnement satisfaisant de leurs structures d’accueil. Tout ceci pour permettre aux touristes de passer d’excellents congés, dans les meilleures conditions possibles.
Le ministre du Tourisme, Stas Misezhnikov a déclaré: « Le ministère du Tourisme intensifiera ses activités pour être prêt à accueillir encore davantage de visiteurs, qui se feront de plus en plus nombreux jusqu’en 2012. Nous comptons sur la venue de 5 millions de personnes d’ici l’année 2015″.
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Re: Tourisme en Israel 05 septembre 2010, 00:12 |
Israël à vélo - Par KARIN KLOOSTERMAN - Pour Jerusalem Post edtion en francais - 2 septembre 2010
Virées nocturnes, randonnées à travers les vignobles ou exploits sportifs dans les arides déserts d'Israël. Partir à la découverte des forêts et des montagnes du pays, et à la rencontre des locaux bédouins et druzes. Ou, tout simplement, profiter d'un parcours de détente autour de la Vieille Ville de Jérusalem ?
Vélo tout-terrain sur les sentiers du Néguev. Israël compte aujourd’hui quelque 200 000 cyclistes.
Quels que soient votre niveau et vos envies, Israël est devenu un point névralgique pour les amoureux de la petite reine. Si la tendance se dessine à peine dans l'esprit des voyageurs curieux, il est de moins en moins rare de voir des Israéliens en tenue cycliste dernier-cri, arpenter les rues des villes pour se rendre au travail la semaine, à leurs terrasses de cafés préférées le week-end, ou vers d'autres destinations à la mode. Tout cela, en vélo.
Et c'est justement pour démocratiser ce passe-temps populaire et ce mode de transport écologique que le ministère du Tourisme vient d'injecter 30 millions de dollars pour les infrastructures cyclables du pays.
Un moyen de transport branché
Aujourd'hui, Israël compte quelque 200 000 cyclistes actifs, dont 90 % de sportifs affirmés, généralement universitaires, âgés de 31 à 50 ans. Un chiffre qui progresse de 15 % par an.
Le cycliste israélien a son terrain de prédilection : un sentier plat ou légèrement incliné, idéalement en forêt ou sur des pistes en sens unique. Il roule à vélo une à trois fois par semaine, principalement pour le plaisir. Israël est donc en passe de rejoindre le club fermé des amateurs du deux-roues. Alors que dans certains pays, comme la Chine, les habitants renoncent à la traditionnelle bicyclette pour la voiture, plus prestigieuse, l'Etat hébreu se calque sur la tendance européenne et nord-américaine.
Les causes sont multiples, explique le Dr Noga Collins-Krieger, spécialiste du sujet à l'université de Haïfa. "Cela peut venir d'un souci écologique, d'une volonté de prendre soin de sa santé, d'un intérêt croissant de la population pour le sport, ou d'une hausse du statut social et économique". Certains, explique-t-elle, sont même prêts à investir jusqu'à 6 000 dollars dans un vélo fantaisie et l'équipement qui va avec.
Selon les chercheurs, plusieurs Mecques pour le deux-roues israéliens : le nord du désert du Néguev, dans la région Beeri des environs d'Ashkelon ; Beit Shemesh ; Latroun et le mont Carmel. Aujourd'hui, la compétition est rude entre les nombreuses pistes du Keren Kayemet Leisraël (KKL ou Fonds national juif) et les municipalités locales. Parmi les plus longs tracés cyclables du pays : celui de Netanya, mais aussi la magnifique piste qui mène à la mer, à Haïfa, et inclut certains terrains vallonnés.
"Le vélo est aujourd'hui à la mode", pointe Collins-Kreiner. "Ces deux dernières années, le bureau du Premier ministre s'est énormément investi pour développer les infrastructures."
Et de citer le ministre du Tourisme Stas Meseznikov : "Le développement d'une infrastructure nationale va contribuer à enrichir la gamme de produits touristiques de la périphérie et créer une dynamique pour les petites et moyennes entreprises, tout en favorisant l'emploi."
"Environ 80 % des pistes cyclables seront développés dans le Néguev et la Galilée, et il ne fait aucun doute que cet investissement portera ses fruits tant au niveau régional qu'au niveau national", poursuit Meseznikov. L'objectif : attirer les rouleurs du monde entier via une importante campagne marketing.
Autre destination de choix pour les amateurs du deux-roues, note Collins-Kreiger : la rivière Alexander, le lieu rêvé pour toute la famille. Une fois par an, les routes sont fermées autour de la mer de Galilée, et les cyclistes peuvent circuler en toute sécurité, à un rythme tranquille. Quant aux courses et autres compétitions cyclistes, elles commencent elles aussi à pointer le guidon.
En selle pour visiter Israël
Alors que le tourisme cyclable en est encore à ses débuts en Israël, certains, comme Gonen Harpaz, s'emploient à assurer son développement. Après plusieurs triathlons et plus de 25 ans de cyclisme, Harpaz a décidé d'ouvrir sa propre entreprise et propose des circuits à vélo en Israël, uniques en leur genre.
Israel Cycling Tours emmène des groupes à la découverte des paysages du pays. "La plupart des participants sont des Israéliens qui viennent pour des promenades le week-end", confie Harpaz. "L'idée est de leur faire visiter leur pays comme ils ne l'ont jamais vu."
"Nous combinons l'expérience du vélo avec les autres ressources naturelles propres à Israël, comme la mer", pointe Harpaz. Et de citer les itinéraires cyclables qui permettent de découvrir les montagnes d'Eilat et leurs dégradés de violet, rose et orange ; le désert du Néguev et ses Bédouins locaux ; ou des excursions en Galilée, à la découverte des Druzes du Nord.
Harpaz, qui fournit vélos et équipement, a même organisé un groupe cet été, pour suivre le Tour de France. Cet aficionado de la petite reine affirme que chevaucher une bicyclette est la façon la plus douce et la plus naturelle pour entrer en contact avec une culture nouvelle.
Pour ceux qui préfèrent se passer des services d'un guide à vélo, le ministère du Tourisme propose de nombreux itinéraires cyclables qui pourront vous tenir en selle pendant des semaines. Ils sont consultables sur le site GoIsrael.com. Vous trouverez toutes les destinations à ne pas manquer et la meilleure façon de vous y rendre. Au programme : Massada, la Mer Morte, les lieux saints chrétiens autour de la mer de Galilée, et les itinéraires urbains.
A Jérusalem, à vélo, on dépasse les autos
Si négocier Jérusalem à vélo reste un défi, le ministère a mis en place des options créatives, y compris des visites guidées avec des arrêts aux principales attractions touristiques, comme autour de la Vieille Ville. L'amateur du deux-roues pourra se renseigner auprès des marchands de cycle locaux qui proposent des expéditions nocturnes au travers des rues anciennes de la cité. De quoi découvrir la capitale sous des angles méconnus et savourer des panoramas inexistants en plein soleil.
Car outre les plaisirs de la nature en toute quiétude, le vélo reste aussi le moyen de transport le plus économique et le plus écologique. Et bien souvent, le plus rapide.
Tel-Aviv, par exemple, est le terrain de jeu idéal pour le deux-roues. Sols plats, larges trottoirs, le vélo fait désormais partie intégrante de la culture locale. Sans parler de la célèbre promenade du bord de mer, paradis pour les rouleurs en bicyclette. Et initiative typique de la station méditerranéenne : au moins trois cafés vous proposent la location d'un vélo pour une consommation.
C'est aussi au cœur de la Ville blanche que vous pourrez voir des cyclistes en danseuse, torse nu, hostiles au port du casque, ou depuis peu, des entreprises de livraison qui ont remisé au garage leurs mobylettes ou autres cyclomoteurs au profit du silencieux et économique deux-roues.
Enfin, que dire de ces consommateurs, généralement jeunes, qui arpentent les allées du marché ouvert du Carmel à bicyclette, les sacoches-arrière remplies de fruits et légumes ou bouquets garnis. Décidément, le vélo se consomme sur tous les tons et s'invite dans les rues et les campagnes israéliennes. Aujourd'hui, rien de plus branché que de circuler à deux-roues. Une mode est née.
Virées nocturnes, randonnées à travers les vignobles ou exploits sportifs dans les arides déserts d'Israël. Partir à la découverte des forêts et des montagnes du pays, et à la rencontre des locaux bédouins et druzes. Ou, tout simplement, profiter d'un parcours de détente autour de la Vieille Ville de Jérusalem ?
Vélo tout-terrain sur les sentiers du Néguev. Israël compte aujourd’hui quelque 200 000 cyclistes.
Quels que soient votre niveau et vos envies, Israël est devenu un point névralgique pour les amoureux de la petite reine. Si la tendance se dessine à peine dans l'esprit des voyageurs curieux, il est de moins en moins rare de voir des Israéliens en tenue cycliste dernier-cri, arpenter les rues des villes pour se rendre au travail la semaine, à leurs terrasses de cafés préférées le week-end, ou vers d'autres destinations à la mode. Tout cela, en vélo.
Et c'est justement pour démocratiser ce passe-temps populaire et ce mode de transport écologique que le ministère du Tourisme vient d'injecter 30 millions de dollars pour les infrastructures cyclables du pays.
Un moyen de transport branché
Aujourd'hui, Israël compte quelque 200 000 cyclistes actifs, dont 90 % de sportifs affirmés, généralement universitaires, âgés de 31 à 50 ans. Un chiffre qui progresse de 15 % par an.
Le cycliste israélien a son terrain de prédilection : un sentier plat ou légèrement incliné, idéalement en forêt ou sur des pistes en sens unique. Il roule à vélo une à trois fois par semaine, principalement pour le plaisir. Israël est donc en passe de rejoindre le club fermé des amateurs du deux-roues. Alors que dans certains pays, comme la Chine, les habitants renoncent à la traditionnelle bicyclette pour la voiture, plus prestigieuse, l'Etat hébreu se calque sur la tendance européenne et nord-américaine.
Les causes sont multiples, explique le Dr Noga Collins-Krieger, spécialiste du sujet à l'université de Haïfa. "Cela peut venir d'un souci écologique, d'une volonté de prendre soin de sa santé, d'un intérêt croissant de la population pour le sport, ou d'une hausse du statut social et économique". Certains, explique-t-elle, sont même prêts à investir jusqu'à 6 000 dollars dans un vélo fantaisie et l'équipement qui va avec.
Selon les chercheurs, plusieurs Mecques pour le deux-roues israéliens : le nord du désert du Néguev, dans la région Beeri des environs d'Ashkelon ; Beit Shemesh ; Latroun et le mont Carmel. Aujourd'hui, la compétition est rude entre les nombreuses pistes du Keren Kayemet Leisraël (KKL ou Fonds national juif) et les municipalités locales. Parmi les plus longs tracés cyclables du pays : celui de Netanya, mais aussi la magnifique piste qui mène à la mer, à Haïfa, et inclut certains terrains vallonnés.
"Le vélo est aujourd'hui à la mode", pointe Collins-Kreiner. "Ces deux dernières années, le bureau du Premier ministre s'est énormément investi pour développer les infrastructures."
Et de citer le ministre du Tourisme Stas Meseznikov : "Le développement d'une infrastructure nationale va contribuer à enrichir la gamme de produits touristiques de la périphérie et créer une dynamique pour les petites et moyennes entreprises, tout en favorisant l'emploi."
"Environ 80 % des pistes cyclables seront développés dans le Néguev et la Galilée, et il ne fait aucun doute que cet investissement portera ses fruits tant au niveau régional qu'au niveau national", poursuit Meseznikov. L'objectif : attirer les rouleurs du monde entier via une importante campagne marketing.
Autre destination de choix pour les amateurs du deux-roues, note Collins-Kreiger : la rivière Alexander, le lieu rêvé pour toute la famille. Une fois par an, les routes sont fermées autour de la mer de Galilée, et les cyclistes peuvent circuler en toute sécurité, à un rythme tranquille. Quant aux courses et autres compétitions cyclistes, elles commencent elles aussi à pointer le guidon.
En selle pour visiter Israël
Alors que le tourisme cyclable en est encore à ses débuts en Israël, certains, comme Gonen Harpaz, s'emploient à assurer son développement. Après plusieurs triathlons et plus de 25 ans de cyclisme, Harpaz a décidé d'ouvrir sa propre entreprise et propose des circuits à vélo en Israël, uniques en leur genre.
Israel Cycling Tours emmène des groupes à la découverte des paysages du pays. "La plupart des participants sont des Israéliens qui viennent pour des promenades le week-end", confie Harpaz. "L'idée est de leur faire visiter leur pays comme ils ne l'ont jamais vu."
"Nous combinons l'expérience du vélo avec les autres ressources naturelles propres à Israël, comme la mer", pointe Harpaz. Et de citer les itinéraires cyclables qui permettent de découvrir les montagnes d'Eilat et leurs dégradés de violet, rose et orange ; le désert du Néguev et ses Bédouins locaux ; ou des excursions en Galilée, à la découverte des Druzes du Nord.
Harpaz, qui fournit vélos et équipement, a même organisé un groupe cet été, pour suivre le Tour de France. Cet aficionado de la petite reine affirme que chevaucher une bicyclette est la façon la plus douce et la plus naturelle pour entrer en contact avec une culture nouvelle.
Pour ceux qui préfèrent se passer des services d'un guide à vélo, le ministère du Tourisme propose de nombreux itinéraires cyclables qui pourront vous tenir en selle pendant des semaines. Ils sont consultables sur le site GoIsrael.com. Vous trouverez toutes les destinations à ne pas manquer et la meilleure façon de vous y rendre. Au programme : Massada, la Mer Morte, les lieux saints chrétiens autour de la mer de Galilée, et les itinéraires urbains.
A Jérusalem, à vélo, on dépasse les autos
Si négocier Jérusalem à vélo reste un défi, le ministère a mis en place des options créatives, y compris des visites guidées avec des arrêts aux principales attractions touristiques, comme autour de la Vieille Ville. L'amateur du deux-roues pourra se renseigner auprès des marchands de cycle locaux qui proposent des expéditions nocturnes au travers des rues anciennes de la cité. De quoi découvrir la capitale sous des angles méconnus et savourer des panoramas inexistants en plein soleil.
Car outre les plaisirs de la nature en toute quiétude, le vélo reste aussi le moyen de transport le plus économique et le plus écologique. Et bien souvent, le plus rapide.
Tel-Aviv, par exemple, est le terrain de jeu idéal pour le deux-roues. Sols plats, larges trottoirs, le vélo fait désormais partie intégrante de la culture locale. Sans parler de la célèbre promenade du bord de mer, paradis pour les rouleurs en bicyclette. Et initiative typique de la station méditerranéenne : au moins trois cafés vous proposent la location d'un vélo pour une consommation.
C'est aussi au cœur de la Ville blanche que vous pourrez voir des cyclistes en danseuse, torse nu, hostiles au port du casque, ou depuis peu, des entreprises de livraison qui ont remisé au garage leurs mobylettes ou autres cyclomoteurs au profit du silencieux et économique deux-roues.
Enfin, que dire de ces consommateurs, généralement jeunes, qui arpentent les allées du marché ouvert du Carmel à bicyclette, les sacoches-arrière remplies de fruits et légumes ou bouquets garnis. Décidément, le vélo se consomme sur tous les tons et s'invite dans les rues et les campagnes israéliennes. Aujourd'hui, rien de plus branché que de circuler à deux-roues. Une mode est née.
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Re: Tourisme en Israel 05 septembre 2010, 00:35 |
Plonger dans les profondeurs de la mer Rouge - Par DOV PREMINGER - Pour Jerusalem Post edition en francais - 29 juillet 2010
La plage Coral Beach d'Eilat regorge d'adresses pour s'initier à la plongée sous-marine, louer du matériel ou passer votre certificat de plongée. Parmi elles, le centre de plongée Aqua Sport, destiné aussi bien aux novices qu'aux professionnels.
Créé en 1962, c'est le plus ancien d'Eilat. C'est aussi le seul établissement qui dispose d'une vaste plage privée et d'un bar-restaurant. Au menu : ambiance chaleureuse. "Les gens aiment d'abord et avant tout l'atmosphère", assure le gestionnaire, Youval Goren. "Ils s'amusent vraiment."
Petit briefing. Si jusqu'à aujourd'hui vous vous êtes contentés de barboter avec vos palmes et tuba et que la plongée vous est totalement étrangère, sachez simplement que cette discipline comprend un masque et un réservoir d'oxygène. De quoi descendre de 10 à 30 mètres sous la mer pour explorer les merveilles de la faune et flore sous-marines.
Alors qu'elle se déroule dans les profondeurs, la plongée peut susciter un sentiment de vol et d'apesanteur à la fois. L'équipement permet au plongeur d'évoluer entre deux eaux sans efforts, grâce aux poids qu'il porte à la ceinture. Hormis le bruit des bulles qui s'échappent du masque, le monde sous-marin est entièrement silencieux. Quant aux paysages qui s'offrent, ils donnent l'impression d'être sur une autre planète. Le spectacle, magnifique, vaut l'effort.
Il a d'ailleurs inspiré nombre de films comme Avatar, dont le réalisateur, James Cameron, passionné de plongée sous-marine, a affirmé qu'il a puisé dans ses expériences aquatiques pour les scènes décoratives de son œuvre.
Israël fait partie des quelques pays qui proposent de la plongée en eau chaude. Eilat dispose d'environ une douzaine de centres, Aqua Sport, Marina Divers et Manta Dive Center étant les principaux. Chacun d'eux offre des plongées guidées, des locations de bateaux, des instructeurs, des cours, du matériel et un hébergement.
Ces trois grands centres de plongée pratiquent des tarifs pratiquement identiques. Pour les amateurs, la location de matériel complet de plongée revient à environ 135 shekels par jour, auxquels il faut ajouter un petit plus pour l'oxygène des bouteilles. Prix du cours d'initiation : 220 shekels, équipement inclus. Et pour ceux qui ont déjà leur certificat, une plongée guidée en bateau coûtera 250 shekels, matériel compris. Quant à l'obtention d'un permis plongée, il faut compter 1 150 shekels de cours.
Aqua Sport dispose également de deux antennes dans le Sinaï - le lieu de prédilection des vrais plongeurs. La société propose de vous y emmener en bateau pour 370 sh. pour deux personnes, repas inclus.
Et si certains souhaitent passer la nuit, une auberge de 40 chambres les attend. Les logements sont très simples - murs blancs et lits superposés, inutile de compter sur du savon ou un service de nettoyage - mais, à 85 sh. par nuit, ils sont bon marché, et équipés d'un excellent air conditionné.
Le métier d'instructeur : responsabilité et préparation
Aqua Sport, c'est également un barbecue, un bar et un lounge sur la plage, qui sont toujours les bienvenus pour se détendre après la plongée.
Le site est actuellement géré par ses propriétaires Craig et Dafna Budden, qui en ont fait pleinement acquisition en 1996.
Craig Budden donne le ton à son centre. L'ancien plongeur de 52 ans est sympathique, très compétent... et bon commerçant.
En prenant un verre avec moi au bar, il a refusé de s'asseoir, de peur de priver un client potentiel d'un siège. Budden emploie 15 à 25 instructeurs, selon la saison. Tous sont jeunes, amicaux et professionnels, et adorent leur travail. "C'est le boulot le plus fantastique, satisfaisant et relaxant au monde", explique Moran Moreno, instructrice de plongée au club, exprimant ainsi un sentiment partagé par tous.
Selon Ran Franco, l'instructeur principal, le personnel d'Aqua Sport est une grande famille. "Nous sommes un groupe d'amis, on sort ensemble, on passe tout notre temps libre ensemble. Tout le monde se connaît."
Outre l'ambiance conviviale, le charme d'Aqua Sport réside dans son emplacement. C'est le seul grand club de plongée situé directement sur la plage. Comme le décrit si bien Youval Goren, "vous sortez du cours pour entrer dans l'eau".
L'endroit est également célèbre pour ses fêtes, qui ont lieu environ une fois par mois. "Toute la communauté de plongée d'Eilat est au rendez-vous - plongeurs, instructeurs", assure Franco. "Eilat est un village."
Le centre de plongée participe également à des compétitions. Début juin, a eu lieu un concours en quatre étapes impliquant de la navigation sous-marine, de la plongée de sauvetage, et de "la lutte aquathlon" - où les plongeurs attachent une chaîne à leur cheville et essayent de voler la chaîne de l'adversaire, le tout sous l'eau.
Selon Budden, Aqua Sport définit le standing de l'industrie de la plongée en Israël. Les instructeurs candidats sont soumis à un entretien et passent quelques semaines en plongée avec des instructeurs aînés, qui testent leur comportement sur le terrain.
Chaque plongeur a son dossier, dûment rempli par les instructeurs après chaque plongée, avec une liste de ses points forts et de ses faiblesses. Ces fichiers sont transmis au guide de plongée suivant, les points à surveiller étant mis en relief. Pour Moreno, ce genre de suivi est crucial. "Vous savez qui garder à vos côtés et qui est rodé", dit-elle. "Si vous lisez bien le rapport (avant la plongée), lorsque vous êtes face à une situation délicate, vous disposez de tous les éléments pour vous en sortir sans problème."
Pour en savoir plus :
[www.aqua-sport.com]
[images.google.com]
La plage Coral Beach d'Eilat regorge d'adresses pour s'initier à la plongée sous-marine, louer du matériel ou passer votre certificat de plongée. Parmi elles, le centre de plongée Aqua Sport, destiné aussi bien aux novices qu'aux professionnels.
Créé en 1962, c'est le plus ancien d'Eilat. C'est aussi le seul établissement qui dispose d'une vaste plage privée et d'un bar-restaurant. Au menu : ambiance chaleureuse. "Les gens aiment d'abord et avant tout l'atmosphère", assure le gestionnaire, Youval Goren. "Ils s'amusent vraiment."
Petit briefing. Si jusqu'à aujourd'hui vous vous êtes contentés de barboter avec vos palmes et tuba et que la plongée vous est totalement étrangère, sachez simplement que cette discipline comprend un masque et un réservoir d'oxygène. De quoi descendre de 10 à 30 mètres sous la mer pour explorer les merveilles de la faune et flore sous-marines.
Alors qu'elle se déroule dans les profondeurs, la plongée peut susciter un sentiment de vol et d'apesanteur à la fois. L'équipement permet au plongeur d'évoluer entre deux eaux sans efforts, grâce aux poids qu'il porte à la ceinture. Hormis le bruit des bulles qui s'échappent du masque, le monde sous-marin est entièrement silencieux. Quant aux paysages qui s'offrent, ils donnent l'impression d'être sur une autre planète. Le spectacle, magnifique, vaut l'effort.
Il a d'ailleurs inspiré nombre de films comme Avatar, dont le réalisateur, James Cameron, passionné de plongée sous-marine, a affirmé qu'il a puisé dans ses expériences aquatiques pour les scènes décoratives de son œuvre.
Israël fait partie des quelques pays qui proposent de la plongée en eau chaude. Eilat dispose d'environ une douzaine de centres, Aqua Sport, Marina Divers et Manta Dive Center étant les principaux. Chacun d'eux offre des plongées guidées, des locations de bateaux, des instructeurs, des cours, du matériel et un hébergement.
Ces trois grands centres de plongée pratiquent des tarifs pratiquement identiques. Pour les amateurs, la location de matériel complet de plongée revient à environ 135 shekels par jour, auxquels il faut ajouter un petit plus pour l'oxygène des bouteilles. Prix du cours d'initiation : 220 shekels, équipement inclus. Et pour ceux qui ont déjà leur certificat, une plongée guidée en bateau coûtera 250 shekels, matériel compris. Quant à l'obtention d'un permis plongée, il faut compter 1 150 shekels de cours.
Aqua Sport dispose également de deux antennes dans le Sinaï - le lieu de prédilection des vrais plongeurs. La société propose de vous y emmener en bateau pour 370 sh. pour deux personnes, repas inclus.
Et si certains souhaitent passer la nuit, une auberge de 40 chambres les attend. Les logements sont très simples - murs blancs et lits superposés, inutile de compter sur du savon ou un service de nettoyage - mais, à 85 sh. par nuit, ils sont bon marché, et équipés d'un excellent air conditionné.
Le métier d'instructeur : responsabilité et préparation
Aqua Sport, c'est également un barbecue, un bar et un lounge sur la plage, qui sont toujours les bienvenus pour se détendre après la plongée.
Le site est actuellement géré par ses propriétaires Craig et Dafna Budden, qui en ont fait pleinement acquisition en 1996.
Craig Budden donne le ton à son centre. L'ancien plongeur de 52 ans est sympathique, très compétent... et bon commerçant.
En prenant un verre avec moi au bar, il a refusé de s'asseoir, de peur de priver un client potentiel d'un siège. Budden emploie 15 à 25 instructeurs, selon la saison. Tous sont jeunes, amicaux et professionnels, et adorent leur travail. "C'est le boulot le plus fantastique, satisfaisant et relaxant au monde", explique Moran Moreno, instructrice de plongée au club, exprimant ainsi un sentiment partagé par tous.
Selon Ran Franco, l'instructeur principal, le personnel d'Aqua Sport est une grande famille. "Nous sommes un groupe d'amis, on sort ensemble, on passe tout notre temps libre ensemble. Tout le monde se connaît."
Outre l'ambiance conviviale, le charme d'Aqua Sport réside dans son emplacement. C'est le seul grand club de plongée situé directement sur la plage. Comme le décrit si bien Youval Goren, "vous sortez du cours pour entrer dans l'eau".
L'endroit est également célèbre pour ses fêtes, qui ont lieu environ une fois par mois. "Toute la communauté de plongée d'Eilat est au rendez-vous - plongeurs, instructeurs", assure Franco. "Eilat est un village."
Le centre de plongée participe également à des compétitions. Début juin, a eu lieu un concours en quatre étapes impliquant de la navigation sous-marine, de la plongée de sauvetage, et de "la lutte aquathlon" - où les plongeurs attachent une chaîne à leur cheville et essayent de voler la chaîne de l'adversaire, le tout sous l'eau.
Selon Budden, Aqua Sport définit le standing de l'industrie de la plongée en Israël. Les instructeurs candidats sont soumis à un entretien et passent quelques semaines en plongée avec des instructeurs aînés, qui testent leur comportement sur le terrain.
Chaque plongeur a son dossier, dûment rempli par les instructeurs après chaque plongée, avec une liste de ses points forts et de ses faiblesses. Ces fichiers sont transmis au guide de plongée suivant, les points à surveiller étant mis en relief. Pour Moreno, ce genre de suivi est crucial. "Vous savez qui garder à vos côtés et qui est rodé", dit-elle. "Si vous lisez bien le rapport (avant la plongée), lorsque vous êtes face à une situation délicate, vous disposez de tous les éléments pour vous en sortir sans problème."
Pour en savoir plus :
[www.aqua-sport.com]
[images.google.com]
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Re: Tourisme en Israel 10 novembre 2010, 09:27 |
Résultats record pour le tourisme en Israël - Jerusalem Post edition en francais - 10 novembre 2010
Les chiffres du tourisme au beau fixe. Selon le ministère du tourisme et l'office central des statistiques, le tourisme enregistre cette année une hausse de 27% par rapport à 2009 et 12% par rapport à 2008. Entre janvier et octobre 2010, 2.87 millions de touristes ont visité Israël, contre 2.7 pour la même période en 2009.
Le ministère du tourisme espère que le chiffre atteindra la barre des 3 millions d'ici la semaine prochaine. Les estimations avancent le chiffre de 3,3 millions de touristes sur la totalité de l'année 2010. Le mois d'octobre a enregistré des records : plus de 400 000 touristes ont visité Israël durant le mois, soit 23% de plus qu'en octobre 2009 et 34% de plus qu'en octobre 2008.
Des résultats qui se répercutent au niveau économique. Selon le ministère du tourisme, l'afflux de touristes entre janvier et août aura injecté plus de 2 milliards de dollars (US) dans l'économie, soit 37% de plus que l'année précédente sur la même période.
Pour Stas Misezhnikov, ministre du tourisme, ces bons résultats résultent d'une évolution de l'image internationale d'Israël et par les stratégies mises en place par le ministère et l'industrie touristique.
"Pour maximiser le potentiel touristique d'Israël, nous devons lui attribuer la place qui convient dans l'ordre de nos priorités, en le considérant comme un moteur socio-économique pour le pays", a -t-il expliqué.
Les chiffres du tourisme au beau fixe. Selon le ministère du tourisme et l'office central des statistiques, le tourisme enregistre cette année une hausse de 27% par rapport à 2009 et 12% par rapport à 2008. Entre janvier et octobre 2010, 2.87 millions de touristes ont visité Israël, contre 2.7 pour la même période en 2009.
Le ministère du tourisme espère que le chiffre atteindra la barre des 3 millions d'ici la semaine prochaine. Les estimations avancent le chiffre de 3,3 millions de touristes sur la totalité de l'année 2010. Le mois d'octobre a enregistré des records : plus de 400 000 touristes ont visité Israël durant le mois, soit 23% de plus qu'en octobre 2009 et 34% de plus qu'en octobre 2008.
Des résultats qui se répercutent au niveau économique. Selon le ministère du tourisme, l'afflux de touristes entre janvier et août aura injecté plus de 2 milliards de dollars (US) dans l'économie, soit 37% de plus que l'année précédente sur la même période.
Pour Stas Misezhnikov, ministre du tourisme, ces bons résultats résultent d'une évolution de l'image internationale d'Israël et par les stratégies mises en place par le ministère et l'industrie touristique.
"Pour maximiser le potentiel touristique d'Israël, nous devons lui attribuer la place qui convient dans l'ordre de nos priorités, en le considérant comme un moteur socio-économique pour le pays", a -t-il expliqué.
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Re: Tourisme en Israel 25 avril 2011, 13:20 |
Quels sont les 10 sites touristiques les plus visités en terre sainte ? - Par Yoav Rheims -25 Avril 2011
Massada est devenu le site touristique le plus visité en 2010, grimpant au-dessus du Zoo biblique de Jérusalem et le Parc Safari de Ramat Gan, selon Dun & Bradstreet Israel.
L’année dernière, quelques 762.992 personnes ont visité Masada, l’ancienne fortification de la mer Morte, tandis que 718.902 personnes ont visité le deuxième site le plus populaire, le Zoo biblique de Jérusalem. Masada a indiqué que son chiffre d’affaires a augmenté de 26% pour 34 millions de shekels en 2010, comparativement aux 25,7 millions de shekels en 2009.
Le parc national Hermon (Banias), l’une des sources du Jourdain dans le Golan, a également augmenté, passant de la neuvième place en 2009, à la quatrième place en 2010, avec 663.000 visiteurs. Le trailways du Parc Safari de Ramat Gan ne sont pas aussi occupés en 2010 comme en 2009, lorsque le parc safari a été le deuxième site le plus populaire. En 2010, il est tombé à cinquième comme site touristique payant.
Le tourisme en Israël a augmenté l’année dernière, de même que le nombre global de visiteurs de sites touristiques qui ont payés à travers tout le pays. Selon Dun & Bradstreet Israel, le chiffre d’affaires total des dix sites touristiques populaires a être visité, a augmenté de 13% pour143 millions de shekels en 2010.
Le top 10 des sites énumérés dans l’ordre:
1. Massada
2. Parc Zoologique Biblique de Jérusalem
3. Parc national des antiquités de Césarée
4. Parc national au Hermon (Banias)
5. Parc Safari de Ramat Gan
6. Réserve naturelle de Ein Gedi
7. Sources chaudes à Hamat Gader
8. Observatoire sous-marin à Eilat
9. Grottes à proximité du site de Qumrân (Manuscrits de la mer Morte)
10. Parc aquatique Yamit 2000 à Holon
Source : [israel21c.com]
Massada est devenu le site touristique le plus visité en 2010, grimpant au-dessus du Zoo biblique de Jérusalem et le Parc Safari de Ramat Gan, selon Dun & Bradstreet Israel.
L’année dernière, quelques 762.992 personnes ont visité Masada, l’ancienne fortification de la mer Morte, tandis que 718.902 personnes ont visité le deuxième site le plus populaire, le Zoo biblique de Jérusalem. Masada a indiqué que son chiffre d’affaires a augmenté de 26% pour 34 millions de shekels en 2010, comparativement aux 25,7 millions de shekels en 2009.
Le parc national Hermon (Banias), l’une des sources du Jourdain dans le Golan, a également augmenté, passant de la neuvième place en 2009, à la quatrième place en 2010, avec 663.000 visiteurs. Le trailways du Parc Safari de Ramat Gan ne sont pas aussi occupés en 2010 comme en 2009, lorsque le parc safari a été le deuxième site le plus populaire. En 2010, il est tombé à cinquième comme site touristique payant.
Le tourisme en Israël a augmenté l’année dernière, de même que le nombre global de visiteurs de sites touristiques qui ont payés à travers tout le pays. Selon Dun & Bradstreet Israel, le chiffre d’affaires total des dix sites touristiques populaires a être visité, a augmenté de 13% pour143 millions de shekels en 2010.
Le top 10 des sites énumérés dans l’ordre:
1. Massada
2. Parc Zoologique Biblique de Jérusalem
3. Parc national des antiquités de Césarée
4. Parc national au Hermon (Banias)
5. Parc Safari de Ramat Gan
6. Réserve naturelle de Ein Gedi
7. Sources chaudes à Hamat Gader
8. Observatoire sous-marin à Eilat
9. Grottes à proximité du site de Qumrân (Manuscrits de la mer Morte)
10. Parc aquatique Yamit 2000 à Holon
Source : [israel21c.com]
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Re: Tourisme en Israel 30 avril 2011, 03:50 |
Explorations en perspective - Par ANN GOLDBERG - Pour Jerusalem Post edition en francais - 29 avril 2011
1. Rosh Hanikra
Un voyage vers le Nord est toujours agréable à cette époque de l'année. Et vous ne pouvez pas vous rendre plus au Nord, sur la côte méditerranéenne, qu'en allant à Rosh Hanikra. Retenez votre souffle et prenez le funiculaire le plus vertigineux du pays.
Appréciez la visite de ces grottes creusées par le martèlement de la mer et l'infiltration de la pluie. C'est une joie de sentir les embruns sur son visage alors que l'on vagabonde dans les dédales de ces cavités.
Dans l'ancien tunnel creusé dans la roche au temps du mandat britannique, pour les trains allant de Haifa à Tripoli (au Liban), vous pourrez regarder un court film expliquant la formation géologique des grottes et l'histoire de ce souterrain.
Pendant la semaine de Pessah, le petit train qui relie Rosh Hanikra à Hachziv vous fera profiter d'un voyage de 40 minutes amusant et instructif, que toute la famille appréciera. Vous pouvez également marcher ou emprunter un vélo familial pour longer le front de mer.
2. Téléphérique de Manara
Faites un arrêt au Sud de Kiryat Shmona, à la station de départ du téléphérique de Menara. Ce voyage de 1 940 mètres vous conduira, au sommet, au kibboutz de Menara perché sur la crête de Naftali, 750 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Mais là n'est pas la seule façon de se déplacer sur le site. Vous pouvez aussi emprunter un toboggan de 250 m de long, dans lequel votre voiturette pourra atteindre jusqu'à
40 km/h. Si vous ou vos enfants avez l'estomac bien en place, vous pourrez également vous déplacer le long de la plus grande tyrolienne du pays qui vous emmènera au pied de la montagne. Pour les plus audacieux, le site propose également descente en rappel et saut à l'élastique.
Ne vous inquiétez pas : si vous préférez garder vos enfants sur la terre ferme, un mur d'escalade artificiel et la possibilité de s'initier à l'artisanat leur sont également proposés.
3. Ein Guev
Descendez du plateau du Golan vers Ein Guev, sur les bords du lac Kinneret. Là, vous pourrez profiter d'une excursion en bateau sur le lac et d'un voyage en train autour du kibboutz, tout en écoutant l'histoire de l'implantation.
Prenez le temps d'une promenade, et admirez la vue sur le lac. Visitez le musée Anchors, minutieusement ordonnancé par un pêcheur du kibboutz, et dont la collection raconte l'histoire de la pêche. Les enfants apprécieront également la visite de la boutique du menuisier Saba Yossi, où ils pourront acheter un jouet en kit et l'assembler avec de vrais outils sous les conseils attentifs de Saba Yossi et de sa femme, Yochi. Ils pourront ensuite peindre leur création.
4. Kibboutz Guesher
Voyagez le long de la vallée du Jourdain et arrêtez-vous au kibboutz Guesher. Cette petite implantation recèle un nombre impressionnant d'histoires et d'activités.
Les ponts sont de petits bijoux, l'un datant de la période romaine et un autre du siècle dernier. Le pont romain, qu'on a dû faire sauter au cours de la guerre d'Indépendance pour empêcher l'attaque de la Jordanie et de l'Irak, a été choisi comme l'un des 100 monuments du monde qui doivent être restaurés.
La position géographique du kibboutz le rend vulnérable. Il a souffert sévèrement au cours de la guerre ; un des principaux abris souterrain a été transformé en un musée exposant les chambres de communication et l'hôpital utilisés durant la guerre.
La centrale électrique de Naharayim a été détruite en 1948, et un modèle de la centrale a été construit à Guesher, avec la coopération de la Compagnie d'électricité d'Israël, pour montrer exactement comment elle fonctionnait.
Les visiteurs peuvent se promener le long de l'allée et comprendre comment la centrale fonctionnait.
Un des ateliers les plus populaires est celui de "la légende du pain", une expérience de la fabrication du pain. L'atelier peut être réservé à l'avance par les groupes et familles. Bien qu'il ne soit pas ouvert durant Pessah, ne ratez pas cet atelier si vous visitez le kibboutz à un autre moment de l'année.
Source : [fr.jpost.com]
1. Rosh Hanikra
Un voyage vers le Nord est toujours agréable à cette époque de l'année. Et vous ne pouvez pas vous rendre plus au Nord, sur la côte méditerranéenne, qu'en allant à Rosh Hanikra. Retenez votre souffle et prenez le funiculaire le plus vertigineux du pays.
Appréciez la visite de ces grottes creusées par le martèlement de la mer et l'infiltration de la pluie. C'est une joie de sentir les embruns sur son visage alors que l'on vagabonde dans les dédales de ces cavités.
Dans l'ancien tunnel creusé dans la roche au temps du mandat britannique, pour les trains allant de Haifa à Tripoli (au Liban), vous pourrez regarder un court film expliquant la formation géologique des grottes et l'histoire de ce souterrain.
Pendant la semaine de Pessah, le petit train qui relie Rosh Hanikra à Hachziv vous fera profiter d'un voyage de 40 minutes amusant et instructif, que toute la famille appréciera. Vous pouvez également marcher ou emprunter un vélo familial pour longer le front de mer.
2. Téléphérique de Manara
Faites un arrêt au Sud de Kiryat Shmona, à la station de départ du téléphérique de Menara. Ce voyage de 1 940 mètres vous conduira, au sommet, au kibboutz de Menara perché sur la crête de Naftali, 750 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Mais là n'est pas la seule façon de se déplacer sur le site. Vous pouvez aussi emprunter un toboggan de 250 m de long, dans lequel votre voiturette pourra atteindre jusqu'à
40 km/h. Si vous ou vos enfants avez l'estomac bien en place, vous pourrez également vous déplacer le long de la plus grande tyrolienne du pays qui vous emmènera au pied de la montagne. Pour les plus audacieux, le site propose également descente en rappel et saut à l'élastique.
Ne vous inquiétez pas : si vous préférez garder vos enfants sur la terre ferme, un mur d'escalade artificiel et la possibilité de s'initier à l'artisanat leur sont également proposés.
3. Ein Guev
Descendez du plateau du Golan vers Ein Guev, sur les bords du lac Kinneret. Là, vous pourrez profiter d'une excursion en bateau sur le lac et d'un voyage en train autour du kibboutz, tout en écoutant l'histoire de l'implantation.
Prenez le temps d'une promenade, et admirez la vue sur le lac. Visitez le musée Anchors, minutieusement ordonnancé par un pêcheur du kibboutz, et dont la collection raconte l'histoire de la pêche. Les enfants apprécieront également la visite de la boutique du menuisier Saba Yossi, où ils pourront acheter un jouet en kit et l'assembler avec de vrais outils sous les conseils attentifs de Saba Yossi et de sa femme, Yochi. Ils pourront ensuite peindre leur création.
4. Kibboutz Guesher
Voyagez le long de la vallée du Jourdain et arrêtez-vous au kibboutz Guesher. Cette petite implantation recèle un nombre impressionnant d'histoires et d'activités.
Les ponts sont de petits bijoux, l'un datant de la période romaine et un autre du siècle dernier. Le pont romain, qu'on a dû faire sauter au cours de la guerre d'Indépendance pour empêcher l'attaque de la Jordanie et de l'Irak, a été choisi comme l'un des 100 monuments du monde qui doivent être restaurés.
La position géographique du kibboutz le rend vulnérable. Il a souffert sévèrement au cours de la guerre ; un des principaux abris souterrain a été transformé en un musée exposant les chambres de communication et l'hôpital utilisés durant la guerre.
La centrale électrique de Naharayim a été détruite en 1948, et un modèle de la centrale a été construit à Guesher, avec la coopération de la Compagnie d'électricité d'Israël, pour montrer exactement comment elle fonctionnait.
Les visiteurs peuvent se promener le long de l'allée et comprendre comment la centrale fonctionnait.
Un des ateliers les plus populaires est celui de "la légende du pain", une expérience de la fabrication du pain. L'atelier peut être réservé à l'avance par les groupes et familles. Bien qu'il ne soit pas ouvert durant Pessah, ne ratez pas cet atelier si vous visitez le kibboutz à un autre moment de l'année.
Source : [fr.jpost.com]
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Re: Tourisme en Israel 13 mai 2011, 01:14 |
Depuis début 2011, durant le premier trimestre, plus d'un million de visiteurs se sont rendus dans le pays. Par Ben Hartman - Jerusalem Post - 12 mai 2011
Source : [www.jpost.com] Jerusalem Post
4% de plus qu’en 2010 et 18% de plus qu’en 2009.
Le tourisme en Israël se porte de mieux en mieux. Depuis début 2011, plus d’un million de visiteurs se sont rendus dans le pays. Selon le ministère du Tourisme,
1 040 000 voyageurs sont arrivés par avion ou par bateau depuis le début de l’année. Pour le seul mois d’avril, ce sont plus 300000 touristes qui ont visité l’Etat hébreu. Des chiffres de bon augure qui pourraient permettre à Israël de battre son record de visiteurs établi en 2010. L’an dernier 3 450 000 personnes avaient visité le pays.
Le ministre du Tourisme, Stas Meseznikov
, a affirmé que ces bons résultats étaient dus en partie aux évènements actuels au Moyen-Orient. “Le ministère du Tourisme doit prendre en compte la situation géopolitique de la région qui influence les touristes à se rendre en Israël plutôt qu’ailleurs.”
Meseznikov a ajouté : “Depuis plusieurs semaines, le ministère met en place de grandes opérations de communication afin d’augmenter la visibilité touristique d’Israël, et nous allons poursuivre ces efforts les mois prochains.”
“Les opérations marketing ont parfaitement fonctionné cette année. De nombreux touristes restent plus d’une nuit en Israël faisant ainsi grimper les chiffres des longs séjours. En tout, ce secteur nous a rapporté 940 millions de dollars depuis janvier – soit 3% de plus que l’an passé à la même période”, a poursuivi le ministre du Tourisme.
Meseznikov espère aussi que l’accord d’unité entre le Fatah et le Hamas ne perturbera pas le bel élan touristique en Judée-Samarie, l’une des principales sources de revenus pour l’Autorité palestinienne.
“Avec cette réconciliation entre le Fatah et le Hamas, le ministère du Tourisme tente d’assurer la poursuite de la coopération touristique”, a expliqué Meseznikov. Il a également espéré pouvoir “garder un accès aux sites saints situés sous le contrôle de l’Autorité palestinienne”.
Source : [www.jpost.com] Jerusalem Post
4% de plus qu’en 2010 et 18% de plus qu’en 2009.
Le tourisme en Israël se porte de mieux en mieux. Depuis début 2011, plus d’un million de visiteurs se sont rendus dans le pays. Selon le ministère du Tourisme,
1 040 000 voyageurs sont arrivés par avion ou par bateau depuis le début de l’année. Pour le seul mois d’avril, ce sont plus 300000 touristes qui ont visité l’Etat hébreu. Des chiffres de bon augure qui pourraient permettre à Israël de battre son record de visiteurs établi en 2010. L’an dernier 3 450 000 personnes avaient visité le pays.
Le ministre du Tourisme, Stas Meseznikov
, a affirmé que ces bons résultats étaient dus en partie aux évènements actuels au Moyen-Orient. “Le ministère du Tourisme doit prendre en compte la situation géopolitique de la région qui influence les touristes à se rendre en Israël plutôt qu’ailleurs.”Meseznikov a ajouté : “Depuis plusieurs semaines, le ministère met en place de grandes opérations de communication afin d’augmenter la visibilité touristique d’Israël, et nous allons poursuivre ces efforts les mois prochains.”
“Les opérations marketing ont parfaitement fonctionné cette année. De nombreux touristes restent plus d’une nuit en Israël faisant ainsi grimper les chiffres des longs séjours. En tout, ce secteur nous a rapporté 940 millions de dollars depuis janvier – soit 3% de plus que l’an passé à la même période”, a poursuivi le ministre du Tourisme.
Meseznikov espère aussi que l’accord d’unité entre le Fatah et le Hamas ne perturbera pas le bel élan touristique en Judée-Samarie, l’une des principales sources de revenus pour l’Autorité palestinienne.
“Avec cette réconciliation entre le Fatah et le Hamas, le ministère du Tourisme tente d’assurer la poursuite de la coopération touristique”, a expliqué Meseznikov. Il a également espéré pouvoir “garder un accès aux sites saints situés sous le contrôle de l’Autorité palestinienne”.
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Re: Tourisme en Israel 22 mai 2011, 17:14 |
Israël : depuis toujours et pour toujours - Par Pacale Primi - Pour Nicematin.fr - 22 mai 2011
Confluent des trois grandes religions monothéistes, Jérusalem se découvre, se visite, se ressent mais ne se comprend jamais tout à fait.
Dessous : admirablement restauré, le vieux Jaffa dispose de multiples attraits.
S'il y a un pays au monde où vous serez sûrs de ne pas bronzer idiot - tout en bronzant tout de même - c'est bien Israël. Car un voyage en Israël est bel et bien une occasion de faire plus et mieux que du tourisme. Et d'ébranler les visions que nous forgent, jour après jour, les journaux télévisés qui braquent si souvent leurs caméras sur ce coin du monde grand comme deux départements français.
Que vous soyez chrétien, juif, musulman ou athée, que votre propos de départ soit d'aller chercher le soleil ou d'entamer un pèlerinage, il arrivera toujours un moment où vous vous sentirez à votre place, presque chez vous, dans ce pays pourtant si déroutant.
Tant de siècles et si peu de kilomètres
Sachez-le d'abord : fouler le sol israélien, c'est mettre ses pas - entre autres - dans ceux des Juifs de l'ancien testament, des Romains, des Egyptiens, des Byzantins, des premiers Chrétiens et des Croisés tout en se plongeant au coeur d'une des actualités les plus brûlantes du monde. C'est bien sûr à Jérusalem que se croisent et se recroisent les traces de ces milliers d'années de conflits et de prières, avec pour épicentre l'esplanade du temple où chaque pierre, chaque grain de poussière, a une histoire, antique ou contemporaine à raconter. Mais de Saint-Jean d'Acre à Massada - un voyage en Israël ne saurait se concevoir sans la découverte de la forteresse et de son siège, fondement de l'esprit de résistance du peuple juif - en passant par Césarée, les sites archéologiques se succèdent et l'émotion vient s'ajouter à la découverte historique.
Que l'on se rassure : culture et vacances plaisir font ici bon ménage et les distances sont si courtes que rien n'interdit au touriste d'envisager une soirée « branchée » suivie d'une matinée plage à Tel Aviv, un déjeuner dans les ruelles de Jaffa puis une après-midi à découvrir les sites de Saint-Jean d'Acre ou Césarée avant une soirée dans la vieille ville de Jérusalem. C'est possible et c'est même recommandé. Pour la diversité des paysages et des ambiances sur de si courtes distances. Et pour découvrir que, loin de vivre sur le qui-vive et dans l'angoisse permanente, les Israéliens savent profiter de chaque instant et le partager avec leurs visiteurs.
Loin de nous ici l'idée ou l'envie de nier la complexe réalité géopolitique du pays. Le voyage ne vous la laisse pas ignorer lorsqu'au détour d'un paysage biblique vous apercevez un morceau du mur ou de la barrière de sécurité, un village palestinien entre deux rangées de barbelés ou une colonie juive enclavée en Cisjordanie. De quoi vous faire franchir à toute vitesse deux mille ans au moins. Et réaliser qu'Israël, c'est cette poudrière sur laquelle le monde a les yeux braqués. Mais aussi un des berceaux du monde. Depuis toujours et pour toujours.
Le kibboutz Ein Gedi : un jardin extraordinaire au milieu du désert
Un décor hallucinant : d'un côté, la Mer Morte et, derrière, les montagnes de Jordanie. De l'autre, le désert de Judée. Au milieu, une oasis. Et au coeur de cette oasis, un jardin tropical où le baobab africain voisine avec les fleurs d'Amérique du Sud et les plantes les plus rares des Antilles ou de Madagascar. Ce lieu à nul autre pareil, c'est le kibboutz Ein Gedi, à deux pas des rives de la Mer Morte. Il est né du rêve fou de jeunes recrues de l'armée israélienne qui le créèrent en 1956 au coeur du désert de Judée. Ainsi naquit le kibboutz qui avait au départ une vocation agricole. Pour l'agrémenter, ses habitants se mirent à planter des arbres, des essences tropicales ou subtropicales. Un jardin qui intéressa vite les botanistes du monde entier et devint un site renommé et étudié, notamment pour ses méthodes d'irrigation économes en eau.
Rapidement, l'hôtellerie prit le pas sur l'agriculture. Le kibboutz propose aujourd'hui à ses visiteurs du monde entier des chambres tout confort enfouies dans l'écrin que représente la végétation luxuriante de ce lieu unique. L'amateur de botanique ne saura plus où donner de la tête - un millier d'espèces en plein air - l'adepte du farniente n'aura que l'embarras du choix entre les jardins, la piscine, la terrasse de sa chambre, les thermes ou les spas au bord de la Mer Morte - où toute baignade, ne l'oublions pas, est en soi une expérience unique à tous points de vue.
Quant aux férus d'histoire, ils trouveront à Ein Gedi le point de départ de randonnées à pied - le site était déjà habité voici 5 000 ans - ou en voiture, vers Massada ou Qumran, où un berger bédouin découvrit en 1947 les manuscrits de la Mer Morte, aujourd'hui exposées au musée d'Israël à Jérusalem.
A une heure de route de Jérusalem et moins de deux heures des plages de Tel Aviv, Ein Gedi - à 400 mètres environ en dessous du niveau de la mer, ce qui lui confère une salubrité exceptionnelle - constitue un de ces lieux exceptionnels à ne manquer sous aucun prétexte.
Au cours de votre séjour, une rencontre s'impose avec Zabon, l'un des fondateurs du kibboutz, incarnation de l'histoire contemporaine d'Israël, qui se fera un plaisir de vous raconter (en anglais), la naissance et l'histoire du lieu.
Tel . 927.8.6594221
Fax. 972.8.6584328
E-mail : eg@ein-gedi.org.il
-------------------------------------------------------------------------
Carnet de route
...Sur place. Un réseau routier moderne et très complet, des facilités de location de véhicules, avant le départ ou sur place, et des transports en commun efficaces et bon marché, il n'est pas difficile de circuler en Israël si vous avez choisi un voyage en individuel. En revanche, n'espérez pas un voyage à l'économie. Israël n'est pas une destination bon marché, le coût de la vie y est comparable au nôtre.
Hébergement. Israël possède toute la gamme d'hébergements possible, des grandes chaînes hôtelières de luxe aux petits établissements plus « roots » en passant par les auberges de jeunesse, les chambres d'hôtes et bien sûr les kibboutz. A découvrir (pour les bourses bien garnies), les très beaux établissements de la chaîne israélienne Dan, présents à Tel Aviv, Jerusalem, Haïfa, Césarée, Hezrzliya, Ashkelon et Eilat.
www.danhotels.com
S'informer. Office national israélien de tourisme, 94 rue Saint-Lazare, Paris 75009. Tél. 01.42.61.85.84.
www.otisrael.com
Source : [www.nicematin.com]
Confluent des trois grandes religions monothéistes, Jérusalem se découvre, se visite, se ressent mais ne se comprend jamais tout à fait.
Dessous : admirablement restauré, le vieux Jaffa dispose de multiples attraits.
S'il y a un pays au monde où vous serez sûrs de ne pas bronzer idiot - tout en bronzant tout de même - c'est bien Israël. Car un voyage en Israël est bel et bien une occasion de faire plus et mieux que du tourisme. Et d'ébranler les visions que nous forgent, jour après jour, les journaux télévisés qui braquent si souvent leurs caméras sur ce coin du monde grand comme deux départements français.
Que vous soyez chrétien, juif, musulman ou athée, que votre propos de départ soit d'aller chercher le soleil ou d'entamer un pèlerinage, il arrivera toujours un moment où vous vous sentirez à votre place, presque chez vous, dans ce pays pourtant si déroutant.
Tant de siècles et si peu de kilomètres
Sachez-le d'abord : fouler le sol israélien, c'est mettre ses pas - entre autres - dans ceux des Juifs de l'ancien testament, des Romains, des Egyptiens, des Byzantins, des premiers Chrétiens et des Croisés tout en se plongeant au coeur d'une des actualités les plus brûlantes du monde. C'est bien sûr à Jérusalem que se croisent et se recroisent les traces de ces milliers d'années de conflits et de prières, avec pour épicentre l'esplanade du temple où chaque pierre, chaque grain de poussière, a une histoire, antique ou contemporaine à raconter. Mais de Saint-Jean d'Acre à Massada - un voyage en Israël ne saurait se concevoir sans la découverte de la forteresse et de son siège, fondement de l'esprit de résistance du peuple juif - en passant par Césarée, les sites archéologiques se succèdent et l'émotion vient s'ajouter à la découverte historique.
Que l'on se rassure : culture et vacances plaisir font ici bon ménage et les distances sont si courtes que rien n'interdit au touriste d'envisager une soirée « branchée » suivie d'une matinée plage à Tel Aviv, un déjeuner dans les ruelles de Jaffa puis une après-midi à découvrir les sites de Saint-Jean d'Acre ou Césarée avant une soirée dans la vieille ville de Jérusalem. C'est possible et c'est même recommandé. Pour la diversité des paysages et des ambiances sur de si courtes distances. Et pour découvrir que, loin de vivre sur le qui-vive et dans l'angoisse permanente, les Israéliens savent profiter de chaque instant et le partager avec leurs visiteurs.
Loin de nous ici l'idée ou l'envie de nier la complexe réalité géopolitique du pays. Le voyage ne vous la laisse pas ignorer lorsqu'au détour d'un paysage biblique vous apercevez un morceau du mur ou de la barrière de sécurité, un village palestinien entre deux rangées de barbelés ou une colonie juive enclavée en Cisjordanie. De quoi vous faire franchir à toute vitesse deux mille ans au moins. Et réaliser qu'Israël, c'est cette poudrière sur laquelle le monde a les yeux braqués. Mais aussi un des berceaux du monde. Depuis toujours et pour toujours.
Le kibboutz Ein Gedi : un jardin extraordinaire au milieu du désert
Un décor hallucinant : d'un côté, la Mer Morte et, derrière, les montagnes de Jordanie. De l'autre, le désert de Judée. Au milieu, une oasis. Et au coeur de cette oasis, un jardin tropical où le baobab africain voisine avec les fleurs d'Amérique du Sud et les plantes les plus rares des Antilles ou de Madagascar. Ce lieu à nul autre pareil, c'est le kibboutz Ein Gedi, à deux pas des rives de la Mer Morte. Il est né du rêve fou de jeunes recrues de l'armée israélienne qui le créèrent en 1956 au coeur du désert de Judée. Ainsi naquit le kibboutz qui avait au départ une vocation agricole. Pour l'agrémenter, ses habitants se mirent à planter des arbres, des essences tropicales ou subtropicales. Un jardin qui intéressa vite les botanistes du monde entier et devint un site renommé et étudié, notamment pour ses méthodes d'irrigation économes en eau.
Rapidement, l'hôtellerie prit le pas sur l'agriculture. Le kibboutz propose aujourd'hui à ses visiteurs du monde entier des chambres tout confort enfouies dans l'écrin que représente la végétation luxuriante de ce lieu unique. L'amateur de botanique ne saura plus où donner de la tête - un millier d'espèces en plein air - l'adepte du farniente n'aura que l'embarras du choix entre les jardins, la piscine, la terrasse de sa chambre, les thermes ou les spas au bord de la Mer Morte - où toute baignade, ne l'oublions pas, est en soi une expérience unique à tous points de vue.
Quant aux férus d'histoire, ils trouveront à Ein Gedi le point de départ de randonnées à pied - le site était déjà habité voici 5 000 ans - ou en voiture, vers Massada ou Qumran, où un berger bédouin découvrit en 1947 les manuscrits de la Mer Morte, aujourd'hui exposées au musée d'Israël à Jérusalem.
A une heure de route de Jérusalem et moins de deux heures des plages de Tel Aviv, Ein Gedi - à 400 mètres environ en dessous du niveau de la mer, ce qui lui confère une salubrité exceptionnelle - constitue un de ces lieux exceptionnels à ne manquer sous aucun prétexte.
Au cours de votre séjour, une rencontre s'impose avec Zabon, l'un des fondateurs du kibboutz, incarnation de l'histoire contemporaine d'Israël, qui se fera un plaisir de vous raconter (en anglais), la naissance et l'histoire du lieu.
Tel . 927.8.6594221
Fax. 972.8.6584328
E-mail : eg@ein-gedi.org.il
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Carnet de route
...Sur place. Un réseau routier moderne et très complet, des facilités de location de véhicules, avant le départ ou sur place, et des transports en commun efficaces et bon marché, il n'est pas difficile de circuler en Israël si vous avez choisi un voyage en individuel. En revanche, n'espérez pas un voyage à l'économie. Israël n'est pas une destination bon marché, le coût de la vie y est comparable au nôtre.
Hébergement. Israël possède toute la gamme d'hébergements possible, des grandes chaînes hôtelières de luxe aux petits établissements plus « roots » en passant par les auberges de jeunesse, les chambres d'hôtes et bien sûr les kibboutz. A découvrir (pour les bourses bien garnies), les très beaux établissements de la chaîne israélienne Dan, présents à Tel Aviv, Jerusalem, Haïfa, Césarée, Hezrzliya, Ashkelon et Eilat.
www.danhotels.com
S'informer. Office national israélien de tourisme, 94 rue Saint-Lazare, Paris 75009. Tél. 01.42.61.85.84.
www.otisrael.com
Source : [www.nicematin.com]
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Re: Tourisme en Israel 24 mai 2011, 22:24 |
5 000 chambres d'hôtels supplémentaires en Israël - Par Diane Fink - Pour Guysen International News - 22 mai 2011
L'association des Hôtels d'Israël a présenté un plan prévoyant d'étendre et d'améliorer les chambres des hôtels situés dans les zones touristiques.
Quelques 5 000 nouvelles chambres d'hôtels devraient être construites en Israël dans les cinq prochaines années dans le cadre d'un nouveau plan pour étendre les hôtels déjà existants, a affirmé l'Association des Hôtels d'Israël.
Selon l'AHI la mise en oeuvre du plan pourra permettre de recevoir 410 000 shekels en plus chaque année et créera 12 500 emplois. Ce plan devrait également générer des bénéfices de 28 milliards de shekels au produit intérieur brut en dix ans.
Le plan a pour but de faire face au manque de chambre d'hôtels récemment constaté en Israël tout en prenant en compte le nombre de début de construction d'immeubles dans le pays. Selon l'enquête de l'AHI, cette situation a été créée par le niveau élevé de risque et la non-profitabilité de certains prix constatés sur les terrains. Par ailleurs il semblerait également qu'il y ait un manque de terrain.
"Un investisseur d'hôtel passant en examen les performances de l'industrie serait déçu et préférera largement investir son capital dans des industries plus profitables ou dans des hôtels à l'étranger", a affirmé Ami Federman, le président de l'AHI.
"Nous aurons bientôt épuisé le stock d'hôtel existant. Dans une telle situation nous ne serons plus capables d'utiliser le potentiel touristique et l'Etat perdra les bénéfices ainsi que certains lieux de travail potentiels", a-t-il ajouté.
L'enquête de l'AHI a également révélé un changement significatif dans l'environnement économique. La construction de nouveaux hôtels fournira une solution au manque de chambre pour les huit prochaines années. Les responsables du secteur ont par ailleurs prévenu que le nombre actuel de chambres d'hôtel pourrait freiner la croissance du tourisme de la région.
Le ministère du Tourisme avait également mis en garde que la pénurie attendue de milliers de chambres d'hôtel pourrait durer. Selon des prévisions optimistes, la pénurie devrait commencer seulement en 2015 et devrait représenter 19 000 chambres manquantes, et ce, en considérant un nombre de touristes s'élevant à cinq millions par an.
Selon ces chiffres, publiés par le Bureau Central des Statistiques, seulement 1 700 nouvelles chambres d'hôtels ont été construites ces dix dernières années. Ainsi Israël dispose de 47 400 chambres.
Le plan de l'AHI inclut une expansion et une amélioration des hôtels existants dans les zones populaires. 2 000 chambres seraient ajoutées dans les trois premières années et les 3 000 autres seront construites les deux années suivantes.
"En plus des chambres dans les hôtels déjà existants dans les zones de vacances largement fréquentées il y aura une amélioration considérable du niveau de profitabilité et cela fournira une solution rapide au manque de chambres. C'est bon pour le pays et pour les investisseurs et même pour l'environnement en considérant les nouvelles constructions", a expliqué M. Federman.
Selon le président de l'AHI, un nombre deux fois supérieur à celui des chambres d'hôtels existantes pourrait être construit avec une aide financière du ministère du Tourisme.
L'association des Hôtels d'Israël a présenté un plan prévoyant d'étendre et d'améliorer les chambres des hôtels situés dans les zones touristiques.
Quelques 5 000 nouvelles chambres d'hôtels devraient être construites en Israël dans les cinq prochaines années dans le cadre d'un nouveau plan pour étendre les hôtels déjà existants, a affirmé l'Association des Hôtels d'Israël.
Selon l'AHI la mise en oeuvre du plan pourra permettre de recevoir 410 000 shekels en plus chaque année et créera 12 500 emplois. Ce plan devrait également générer des bénéfices de 28 milliards de shekels au produit intérieur brut en dix ans.
Le plan a pour but de faire face au manque de chambre d'hôtels récemment constaté en Israël tout en prenant en compte le nombre de début de construction d'immeubles dans le pays. Selon l'enquête de l'AHI, cette situation a été créée par le niveau élevé de risque et la non-profitabilité de certains prix constatés sur les terrains. Par ailleurs il semblerait également qu'il y ait un manque de terrain.
"Un investisseur d'hôtel passant en examen les performances de l'industrie serait déçu et préférera largement investir son capital dans des industries plus profitables ou dans des hôtels à l'étranger", a affirmé Ami Federman, le président de l'AHI.
"Nous aurons bientôt épuisé le stock d'hôtel existant. Dans une telle situation nous ne serons plus capables d'utiliser le potentiel touristique et l'Etat perdra les bénéfices ainsi que certains lieux de travail potentiels", a-t-il ajouté.
L'enquête de l'AHI a également révélé un changement significatif dans l'environnement économique. La construction de nouveaux hôtels fournira une solution au manque de chambre pour les huit prochaines années. Les responsables du secteur ont par ailleurs prévenu que le nombre actuel de chambres d'hôtel pourrait freiner la croissance du tourisme de la région.
Le ministère du Tourisme avait également mis en garde que la pénurie attendue de milliers de chambres d'hôtel pourrait durer. Selon des prévisions optimistes, la pénurie devrait commencer seulement en 2015 et devrait représenter 19 000 chambres manquantes, et ce, en considérant un nombre de touristes s'élevant à cinq millions par an.
Selon ces chiffres, publiés par le Bureau Central des Statistiques, seulement 1 700 nouvelles chambres d'hôtels ont été construites ces dix dernières années. Ainsi Israël dispose de 47 400 chambres.
Le plan de l'AHI inclut une expansion et une amélioration des hôtels existants dans les zones populaires. 2 000 chambres seraient ajoutées dans les trois premières années et les 3 000 autres seront construites les deux années suivantes.
"En plus des chambres dans les hôtels déjà existants dans les zones de vacances largement fréquentées il y aura une amélioration considérable du niveau de profitabilité et cela fournira une solution rapide au manque de chambres. C'est bon pour le pays et pour les investisseurs et même pour l'environnement en considérant les nouvelles constructions", a expliqué M. Federman.
Selon le président de l'AHI, un nombre deux fois supérieur à celui des chambres d'hôtels existantes pourrait être construit avec une aide financière du ministère du Tourisme.
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