ENFIN, LA FIN D’UNE LÉGENDE ??
Une étude en laboratoire du généticien américain Spencer Wells, des analyses d'échantillons d'ADN provenant du Liban et de la Tunisie, confirme que Carthage était une civilisation locale et non phénicienne,et que la proportion de l'élément local est supérieure à 90% et que les gènes étaient de race pure, locaux et stables. La présence de l'élément phénicien très faible était culturelle, pas génétique.
Les Phéniciens n'ont pas laissé de gènes importants à Carthage, juste un échange culturel.
Le généticien insiste et signe que les Phéniciens n'avaient aucun rôle dans la fondation de Carthage et que les Libanais devraient l'accepter.
Soutenue par l'archéologue britannique et professeur d'histoire ancienne à l'Université d'Oxford, Josephine Crawley Quinn, dans son livre : « In the Search of the Phenicians », où elle soulignait l'absence de toute trace phénicienne à Carthage et que les Phéniciens en tant que nation sont un concept très faible et dont l'existence est douteuse.
Certains veulent nous faire croire que Carthage a été construite par les Phéniciens,malheureusement pour eux, l’ADN prouve le contraire. Carthage est purement tunisienne, nous sommes les fils d'un grand empire qui possédait la terre, la mer, l’art de la construction navale, l'art de l'architecture, les arts de gouverner, l'art de l'exploration et l’art de la stratégie guerrière.
Les Carthaginois sont allés en Sicile, à Malte, en Sardaigne, en Espagne, en Grande-Bretagne française, aux îles Canaries et en Amérique paraît-il... ?
Et si c’était nous qui avions envoyé nos bateaux chargés de parfums de jasmin, de dattes, d'oranges, de vin, d'huile et de poterie et qu'ils revenaient remplis de bois de cèdre Libanais ?
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