LE PTB ET MOI.

Vous aimerez le BILLET le grand récit du PRINTEMPS.
Soyez attentifs au déroulement des faits.
Merci.

LE BILLET m'a étè inspirè un soir alors que je voyais une émission de télè où un narrateur parlait de BILLETS pendant l'occupation allemande en France.
A partir de là, tout s'est enchainè à une vitesse halucinante.
Merci de votre attention, Albert et son équipe sont là pour vous émouvoir et vous distraire avec les moyens de bord.

En avant première pour les fidéles d'HARISSA. Bien avant le final.

ET VOICI LE DISCOURS IMPROVISE DE MONSIEUR BERTIER..




‘…Monsieur le Premier Ministre….

Puis se tournant vers les dignitaires religieux…

‘…Messieurs les rabbins et vous messieurs les Ministres du gouvernement d’ Israël..

Je voudrais tout d’abord vous remercier pour ce grand honneur que vous nous faites aujourd’hui….. !'Puis vers le public…

‘….Durant toute mon enfance et adolescence, j’ai rêvé de servir, me rendre utile à ma patrie et surtout envers mes semblables…..

Je dois ces sentiments qui m’étouffent ; de solidarité et d’amour pour le prochain, à mon cher père qui, tout au long des voies ferrées, insipides et mornes, m’entretenait de cela.

A aucun moment de ma vie, je n’ai jamais dérogé à ces règles élémentaires de la vie courante telles qu’elles sont prescrites dans tous nos livres sacrés.

J’ai aussi la chance d’avoir une femme et une maman qui, tout au long de notre aventure n’ont jamais été défaitistes. Elles m’encourageaient dans cette voie, moi qui toute ma vie a suivi des voies froides et insipides. (Rires)

Je n’ai fais, en mon âme et conscience, que mon devoir, nos devoirs envers nos semblables dans des situations pénibles et dures à vivre. A une époque d’horreur qui ne que fut drame tragédie et désolation.

Comme les journaux d’ici vous l’ont rapportes avec force et détails, la libération de la famille Leïbovici fut pour toute notre famille la consécration de nos idéaux….La sauvegarde de nos valeurs morales…Quand à ce petit BILLET, pour moi une encyclopédie, en apparence anodin, dangereux mais O combien exaltant, il me fait l’honneur aujourd’hui d’être auprès de vous et de croire que les simples gestes sont parfois des monuments.

Il conclut….

‘….Au nom de tous les miens, je tiens à vous remercier pour cet hommage et pour l’honneur que vous nous réservez depuis notre arrivée ici en Israël…… !’

http://harissa.com/forums/list.php?58

L’origine des « Justes de la Nation » vient du Talmud (traité Baba Batra, 15b).

Tout au long des générations, il a permit de désigner « toutes les personnes non juives ayant manifesté une relation positive et amicale envers les Juifs ».

« Et je leur donnerai, dans ma maison et dans mes murs, un mémorial (Yad) et un nom (Shem) qui ne seront pas effacés ».
Bible, Isaïe 56.

Devoir de mémoire et de gratitude, ce titre ancestral vieux de 2.000 ans dans la tradition juive, est appliqué aux hommes et aux femmes qui sont des amis du peuple juif. Ainsi Cyrus conquérant perse reçu ce titre lors de sa décision de ramener tous les déportés des bords du Tigre et de l’Euphrate vers leur lieu d’origine.

LE BILLET V paru.

Pièces jointes:

SHALLOM ISRAEL.



CH'MA ISRAEL.






ATA TOTAH






SHALLOM AAL KO ISRAEL.

PET TROLL Ô MON BON PET TROLL.

Le galion prend du galon
Il nous envoie par le fond.
Il crève le plafond
C’n’est pas du bidon.


Le pet TROLL ce bon laiton
Que l’on verse dans les biberons
De presque toutes les locomotions.
Y’a pas a être pris de commotions.

Le baril a du relent.
Nous voilà grands pigeons
Qui crachons dans le ‘bassinon’
De tous ces grands patrons.

Evitons les équations,
Réfléchissons seulement
Boycottons toutes les stations.
Mes chers jeunes gens.



Prions donc Sire Cupidon
Ce jeune et beau garçon
D ieu d’l'amour pour les grecons.
Sans être celui du canon.

L’or noir n’est pas la belle Psyché
Il ne mérite pas que nous soyons niqués.

MON FORT.



Harissiens au bon confort
Farfelus de tous bords
Vous qui êtes des ténors
Je vous ourle Minotaures
De mes doigts biens forts
Beyad hazaqa.
Ou bezrouya nitouya.

Harissiens pleins de retors.
Vous n’ pouvez rien contre votre mentor.

Harissiens pleins de torts
Je vous mâcherais comme du roquefort.

Harissiens de Belfort
D’Ali fax ou de Steinfor
De New-York ou du Réfort
Vous êtes nuls en métaphores.
Je suis votre pic adore.

DAHINOU.


J’ai l’zizi bien tordu
Mes deux couilles toutes pendues
Mes fesses pas trop dures
Les mollets peu tendus.
La’b’daine bien ventrue.
L’abdomen bien mal vu.

DAHINOU.

La poitrine toute velue
Et le cou bien ténu.
Les oreilles suspendues.
Le nez bien crochu.
Les narines en trous du cul.
Voilà pourquoi je ne m’aime plus.

SEM’SI’LINOU.

CIEL SEL MON MARDI.... !!!




‘....Monsieur, bonjour, avez-vous du CIEL BLEU en encens... ?’
‘...Bien sur Madame, vous le voulez comment...? En grains ou en bâtonnets... ?’
‘...Je ne sais pas, comment se présente-il ... ?’
‘...En sachet...! De 1 Kgs, 500 grs, un litre ... Un mètre de ciel.... ?Une touffe...?’
‘...C’est pour encenser la maison... !’
‘...Avec du charbon dans un encensoir n’est ce pas ???’
‘...Exactement... ! Combien ça va me coûter... ?’
‘...Pour un sachet 7€ 50... !’
‘...Ok, cela me convient... !’

Je vais dans ma makssoura et je lui apporte un petit sachet vide.

‘....Voilà madame... !’

Elle le regarde de haut en bas, le retourne et enfin me dit...

‘...Mais il est vide ce sachet... !’
‘...Oui, un peu de ciel bleu ne se voit pas dans un sachet... !’
‘...Je ne comprends rien 7 € 50 pour un sachet vide... ?’
‘...Comment vide, regardez le bien de loin... ?’

Elle recule et ....

‘...Bizarre, je ne vois rien du tout... ! Bon écoutez je le prends si vous me dites que c’est du CIEL BLEU A BRULER... !’

‘...Dites moi Madame ne serait ce pas du SEL BLEU que vous voulez.... ?’
‘...Ah oui du SEL OLALAAAAAAAA....Pardon... ! J’ai mal compris au téléphone, c’est du SEL... !’
‘...Pas grave Madame, moi-même je suis dés fois dans les NUAGES BLEUS surtout en ce moment.... ! Ma tante ISHTIR est venue me voir il y a trois semaines et elle m’a apportée de l’azur en paquet... !’
‘...Vous vendez cela aussiIII..... ?’
‘...Oui, Nous faisons des Miracles ici, Madame, tout en BLEU... !’

Vous pouvez me croire.

LE BEAU VOYAGE PASCALE.





Je suis le Mage lent.
Plein d’ ressources et talent.
Encens et hameçons
Pour crocheter les Anes thons.

Vous, espèce d’hannetons
Pies et incroyants,
Nous irons
Comme Magellan
Découvrir les baies roses ‘enivrants’.

N’oubliez pas chers canetons
Vos besaces et vos façons
Et surtout vos édredons
Rapiécés comme dans le bon vieux temps..
Les nuits sont froides sur l’océan.
Emportez vos ‘galetons’.

Nous hisserons le pavillon.
Le perroquet, emporterons
Fock à l’avant.

Galétiens d’embarcadères
Imbéciles de forbans
Piètres corsaires de saison
Pirates de mal façons
Voleurs et photocopieurs
De patrons*
Suivez votre maître L’Albe rien
Laissez tomber le Breitounien
Et surtout fermez vos geuletons.
Y’a pas de place pour la révolution.

Profitez du bon Sam à riton fanfaron
Nous prendrons un Baril ton
A la voix tonitruant.
Un bon prophète de maison.
Du hrou-choute en salaison
Du hlou-choux en contre façon
Vous serez nourris cependant.
Mes petits nourrissons.



(formes en papier)

Un peu de soleil juvénile dans ce fatras bien sombre.

SUE GESTE



A l’ombre de mes saAAAAules
Je ne suis pas pleureur
Mais un gentil petit chanteur

Do ré mi....§§§§§
Je ne suis pas de Don Rémy
Mais bien loin du pays d’ici.
D’une Goulette bien citée.
Fa sol...
Où les plants de parasols poussent comme courgettes en été.
La SI....
Avec des Si, je pourrais reconstruire Paris.
Mais me voilà bien las et sans trop d’ énergie.




‘...J’aime le pays d’ ProvEEEEEence
C’est mon Orient en FrAAAAAance

La Provence des accents qui chaAAAAntent
Celle de Raimu, de Giono et de Pagnol
Celle de Cézanne, de Chagall, de Van Gogh
La Provence des herbes qui parfUUUument
Celle de l’ail, du thym, et du romarin
Celle rouge et or des treilles enivraAAAAntes.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

La Provence des colliIIIInes qui bleuissent de lavande
Celle des cigales, des genêts et des platanes
Celle de l’olivier, du figuier, du pin parasol
La ProvEEEEEence de la mer qui rayonne
Celle des calanques, des golfes et des sables d’or
Celle des vents et de l’odeur saline des algues... !’


De la reine.

Des calanques ma langue
Sèche par tant de bons mots.
Je me sens à la traîne emporté dans ces filets.
Qui sentent le bon poisson de son printemps.
Le soleil sûrement me chauffe la raison.
Je m’en vais faire trempette en caleçon.
Et pourtant je ne suis pas Francs-maçons
Encore moins un très bon maçon
Pour reconstruire sans façonS
Toutes mes vieilles dérisions.

Ma chanson de geste
Me rappelle Sue Geste.
En laissant tomber sa veste
Il nous laisse en reste
Au fond de l’abîme avec du bon lest.
Il nous vient de l’Est
Alors que nous sommes tous à l’Ouest.

Et notre Maboulette,
Nous laisse sans boulettes
En cette semaine de paquette.
Elle qui était de la fête
Elle se cache sous sa couette.

Un coup d’oeil rapide sur le menu du jour
Et nous voilà chez Nappes Léon
A bouffer des moules d’Arcachon
Bonnes pour les gros cochons.

Notre ami Victor
Nous parle de Durban
Des crocs niques de Z ...Arbour
Qu’avec ma bitte je laboure
Conventions et intentions.

Notre bon Sarel,
Nous instruit de tout
Alors que le Breitout
De rien, mais il s’en fout.
Du Msoki notre repas de détresse
Nous le dégustons avec allégresse.
Et moi enfle par tant de finesse,
Je pense faire du fitness.
HASS GADIYAAAAAA...
HASS GADIYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA AHAHAHAAH...
Elli jebli Breitout me yandouchHHHH....

HASS GAAA......DIYAAAAAAAAAAAAAAA....
HASS GAADIYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA...
Edéq.... BreitouTTTTT.... men’ ach’boucHHHHHHH....
EL ÂÂN.....CROUCHHHHHHHHHHHHHHHH...§§§§§§