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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
03 avril 2012, 12:13

La sortie d’EGYPTE vue par MEIHA z’al.

‘…Chouf ye ouldi, Eh’né cadin e’kè ouél béb dac… ! EchkouuuuN… ??
‘…Regarde mon fils, alors que nous étions assis toute la famille dans le salon, on entend frapper à la porte….QUI C’ESSSSSSSST…. ?’)
‘…E’ne MOUCHI ould MRIDEKH….Hel…. !
( C’est moi Moise le fils de Mridekh…Ouvre… !’)
‘..Ech’téme yé Mouchi, khdoudéc mham’rin… ?’
(‘…Attends Moise, mais dis moi comment se fait t’il que tes joues soient rouges… ?’)
‘…E’ye hadar nef’chéc enti ouél famiglia… !’
(‘…Allez prépare toi, toi et ta famille… !’)
‘…AllaiIIIIch… ?’
(‘…PourquoIIIIIIIIIIIIi…. ?’)
‘…El âdou ourana…. !’
(‘…L’ennemi est derrière nous… !’)

Meiha, ses enfants et son époux s’habillent en catimini et sortent avec qqs baluchons.
Dehors, une foule immense, des juifs du quartier de la Hara, suit Moche. Parmi cette jmââ,( bande) des enfants pleurent, des vieux sanglotent. Une foule trainant valises et couffins. Certains tirent des ânes, d’autres portent des cages à poules, des agneaux, certains de grands canouns, des bidons d’eau etc…Plus de 1000 juifs suivent Moche qui avec beaucoup d’aisance avance vers l’inconnu. Il semble implorer le ciel à mesure qu’il avance.

Deidou le fou leur lance

‘…ECHBIKOM…. ? ECHKOUN MET…. !’ Mais qu’avez-vous mais qui est mort… ?’)
Khanazat le prend par le collet et le fait entrer dans la queue leu leu.

‘..Eh’né méchin, ouéhed oura ouehed, Chouââ rajli jé mââ ou callou…’.’ ….Ye Mouchi brass dinéc ouine méchin… ?’

(‘..Nous marchions à la queue leu leu, Choua mon époux lui lance…’ Eh Moise, par ta religion où allons nous… ?’ Moise ‘…Il nous faut sortir du gueto, l’ennemi nous poursuit… !’ Elle ‘…Bon dis moi où allons nous… ?’ ‘ Suis moi et c’est tout… !’)

Mouchi

‘…Lejjém ne rer’jou mél harra, el adwen fi jorotné…. !’ Moise.
‘…Mnih kolli ouine méchin… ?’ Elle.
‘..YEZZI FI OUINE MECHIN…. ? Tebââ’ni ché tout… !’ Lui.

(‘… CESSE DE REPETER MAIS OU VAS T’EN…. ! Suis-moi… ! Ché tout… !)

La nuit se passe. Et notre HARRA plus de 1000 personnes rentre dans la Goulette. Elle fait une pause de qqs heures et au petit matin, elle repart vers l’inconnu. On voit de la poussière monter dans l’horizon.
‘…Euch’coun fi jorotné ye MOUCHI…. ?’ Meiha.
‘…Mais qui nous suit enfin…. ?’
‘..AÂWEDDA…. !El ââd’ouén… ! Rabec… !’
‘…REPETE….. ! Les ennemis… !’ Juron.

Le grand groupe marche…. Marche sans s’arrêter, bravant la nuit froide, le vent glacé , la neige et la pluie de la campagne. Beaucoup d’entre eux sont épuisés mais la foi leur fait tenir bon. Enfin des lumières au loin. La ville de Béja là ou les béjaouias attendent la fameuse poule. Qui n’est jamais venue d’ailleurs. Emile Tubiana mon ancien ami et qui a prit la fuite depuis, en sait qq chose mais il en garde le secret de cette foutue poule que personne n’a vue.
Moche tjs guidant sa smala décide d’une halte. Alors que les ââd’ouén sont à qqs kilomètres du campement. Il rassure ses jeunes, adultes et vieillards.

‘..Mé tkhefouch, rabi myane… !’
‘..N’ayez crainte, D ieu est avec nous… ! Radcom.( Juron encore)

Nos marcheurs sont rassurés. Ils font confiance à Moché.

‘…Chouffe ye ouldi, e’ne bssakaye… ! Melle mââ Mouchi hatta él bouratij’mou mchew… !’
‘…Regarde mon fils, moi déjà j’ai mal aux pieds… !Mais avec Moise même les rhumatismes se sont évanouis… !’)
‘…Oussélné fi Béja…§ Ou’me ché’ffouné él Bejéouias hallouné bibénem… ! Rtahne ou Kliné hatte khrina, tfedina… !’
(‘…On arrive à Béja… ! Les Béjaouas nous voyons dans quel état nous étions, nous ont accueilli les bras ouverts… ! On a bu mangé, chier et reposé jusqu’à s’en rassasier… !’)
Fél sbah….’ Eh’ne kadin nekh’chlou oujouné ou Mouche jé fi ghassra kbira… !’

( ‘…Au petit matin alors que nous étions entrain de faire nos petites toilettes, Moise arrive avec une grande angoisse… !’)
‘..E’ye ouffét la récréation…Lejjem fi louél neb’kaw bahda él oued SI ZMAIMER… !’

(‘…Allez la récré est terminée… ! Il faut que nous soyons à midi pile devant l’oued DES PETITS POISSONS SALES ET FUMES… !’)
Toute la tribu des HARAISTES se posait des questions. Les juifs Bejaouias ont décidé de grossir le grand peloton des JUIFS HARAISTES. Il comptait à présent 20 000 juifs. Après une longue marche, le peloton du tour de PAQUE arrive enfin devant l’OUED. Alors que les ââ’douénes sont à quelques centaines de mètres. Mouché se retourne et dit

‘…Voilà nous sommes arrivés… !’ Enti ye Chmyâne mech él mé chouf loucen berdé… !’
(‘….Toi Chimon, tu vas tâter l’eau voir sil elle est froide… !’)
Chmiyane le fils de Haim trouba mta guez (cor de trompette à cause de son nez) , se déchausse et pose un pied dans l’eau glacée de la ZMAIMRA.

‘…BERDAAAAAAAA…. !’
(‘…ELLE EST GLACIAAAAAAALE… !’)

Moché ‘…Mnih euchkeut chwiye, teoua él adwouen yess’maouné… !’

(‘….Bon, tais toi, tu vas alerter les ennemis… !’)
Des bruits de galops de chevaux se font entendre. Alors Moche implorant le ciel, lève les bras vers le ciel et là, l’oued comme par magie se retire un peu.
‘…MOUCHE…ECH NAAMLOU TEOUE… ? Maiha.
(‘…Moise nous faisons quoi maintenant… ?’
‘…Kadem ou chéd yé rajléc… !’
(‘…Avance et tiens la main de ton époux… !’)

Toute la smala passe tandis que les ââ’dwouén tente de franchir l’oued sans succès. Alors le chef des Aâdouéne ‘…Arefta, ourass sidi ISIS arefta… ! Loucen khdiné el TGM qénè nouss’lou gbél ménem.
(‘…Je savais, sur ISIS, je le savais… !’ Si on avait prit le TGM, nous serions arrivés avant eux pour passer le fleuve… !’)
Lorsqu’on rate l’horaire précis d’un train Goulettois, on se retrouve forcément en retard d’une cause gagnée par les HARAOUITES JUIFS.

HAG SAMEAH ET LI A …….TRAM.NOT.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
03 avril 2012, 22:04
Reboker tov mon ami Bebert,
Pourquoi lit on la agada de pessah?
Premierement parceque c'est ecrit dans la Torah,( ve aguad'ta les banehka) tu le raconteras a tes enfants.
Deuxiement pour que les enfants soit captives par ce recit miraculeux et ne l'oublient pas.
C'est exactement ce qu'a fait Meiha,avec beaucoup d'humour specifique aux Chemouni!!!!.
Yom tov lehka.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
04 avril 2012, 06:48
En effet sa façon de raconter smiling smiley est des plus simpliste quand même mais bon j'ai mis un peu mon Ahchrouchout.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
04 avril 2012, 11:31
Pa..name…Pa..name..Pa..name
Tu ne ressembles en rien
A ma ville pleine de charme
Là où autrefois Ma Pâque
Différée de la tienne.

La vieille assise sur son fauteuil rassit
Elle tendait le bras pour le morceau d’agneau
Et elle chuchotait Bezrouya nitouya
Tandis que nous rions d’elle lorsqu’elle
Mordait un bout de cette viande.

Pa..name…Pa..name..Pa..name
Mon D ieu comme tu es laide
Ta Pâque ne ressemble en rien
A ce que nous enfants avions vécu
Autour de la table familiale
Entourés de nos parents.

Et le vieille MEIHA
A gouter au plus présse
Cette fine mazza, la galette
Alors que nous étions dans la salade
Marour ZE….Ze pas oublié ces soirées
D’antan, où le rire fusait.

Pa..name…Pa..name..Pa..name
Oui c’est vrai, elle me semble
Un peu plus belle
Ma Pâque d’aujourd’hui
Depuis papi je suis entouré
De mes chers petits.

Pa..name…Pa..name..Pa..name
PâÂÂque..Pâque..Pâque…
Oui c’est le viIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIe….
Qui poursuit son chemin
Car il est en ainsi…III./////


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 avril 2012, 10:31
DESTINS BRISES.


CHAPITRE 6°



Arnold écoute et ne propose rien, après tout, pourquoi proposer et donner de faux espoirs à une jeune fille rencontrée la veille dont il ne connait rien d’elle. Sauf qu’elle est très belle. Et qu’il ressent des sentiments pour cette jeune fille. Lui qui n’en a jamais connus d’aussi intenses auparavant.

La voiture roule et sort de Paris. Elle rentre dans la bretelle qui mène vers VERSAILLES.

Enfin, l’hôtel en question apparait à leurs yeux. Dressé en pleine campagne. Un château reconverti en grand palace. Avec Casino dans une aile. Une pure merveille.

Le parking est encombré par toutes sortes de voitures de luxe. Des voitures de riches.

‘…Tu me combles Arnold, en qqs heures tu me fais passer d’un brouillard intense à la clarté… ! A quoi dois-je cette faveur… ?’
‘…A ta sagesse… ! Je devine en toi, une jeune femme mystérieuse qui ne me dévoile pas tout… !’
‘..Si tu savais… ! Je n’ai rien d’exceptionnel, j’habite là où tu m’as déposé, je ne travaille pas, je suis seule, mes parents sont au pays. Ils attendent de l’aide de ma part, moi qui leur promet de leur envoyer de l’argent toutes les fins de mois, repoussant à chaque fois l’échéance et eux qui pensent que je leur ment et que je gagne bcp d’argent… ! Je ne sais plus quoi leur dire au téléphone et lorsque je vois leur numéro affiché, je ne réponds pas parce que je sais par avance ce qu’ils vont me dire… ! Donc ma sagesse tient surtout à ma patience… !’ Elle.

Arnold s’abstient de choquer sa compagne en lui proposant de l’aide. La jeune fille semble fière et lui parler de fric peut avoir l’effet d’une grande prétention.

Soudain le portable d’ Arnold sonne.


‘…Bonjour Sliman, ne t’inquiètes pas, je pense à toi, je suis l’affaire… !’
‘…Ecoute Arnold ca fait trois semaines que cela dure, il faut conclure, alors prend toi en mains et rapidement, je n’aime pas ces longs retards, mes amis me pressent… ! Le contrat est juteux et les américains marquent des points… ! La défense s’impatiente… !’
‘…Dis leur qu’ils n’en ont pas à s’en faire… ! Est ce que l’on peut se voir demain… ?’
‘…Ok disons 14 heures là où tu sais… ! Salut… !’

‘… C’est mon boss, un ami d’enfance, un gros contrat à négocier sur le marché saoudien… !’

A Suivre…
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 avril 2012, 10:59
Dans ma boutique, perruques, magie esotérisme, cosmétique etc...D ieu bénisse ma boutique pour les gens de couleur.

'...Pardon Monsieur, vendez vous de l'eau de mer de la mer ROUGE....?'
'...Oui Monsieur...!' Je lui apporte le flacon transparent.
'...Mais elle n'est pas ROUGE Monsieur....?'
'...Qui vous a dit qu'elle était ROUGE LA MER ROUGE...?'
'...Mais c'est pour cela qu'on l'appelle ainsi...!'
'...Ah ok dans ces conditions vous avez raté le RENDEZ VOUS D'IL Y A DEUX MILLE ANS AVEC MOISE...En effet elle était rouge en ce temps là , au temps des égyptiens mais depuis que les HÉBREUX sont partis, elle est devenue sombre depuis...!'
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 avril 2012, 11:01
'...TENEZ.... lorsque je suis rentré dans ma nouvelle maison à MAISONS ALFORT, j'ai accroché une mezzouza devant la porte. Une semaine plus tard, le président de la copropriété de mes deux, tape à ma port et me dit '...Pardon Mr S.........Qu'est ce donc cela...? ' Koi celà...? ' Cette chose bizarre...!' Ça Monsieur SI KRAH, c'est une ALARME....JE SUIS RELIE AVEC D IEU AINSI QUE TOUS LES VOISINS....! Il ne vous arrivera rien avec cela...!' Deux semaines plus tard, un début d"incendie dans la cave à poubelles...

'..Mais votre ALARME...Mr S.........!'

'...D ieu n'a t'il pas le droit de se reposer un SHABATH...YE MOKHANE...?

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 avril 2012, 07:28
Toi l'ignoble ventre de la terre

Combien d’encyclopédies
Tu as bouffé,
Combien de livres savants
Mais anciennement vivants
Ta panse s’en est repue.
Combien d’hommes et de femmes
De jeunes sans histoire,
Tu as avalé.

Des riches et miséreux
Avec leur histoire
Tu as englouti.
Et jamais revenus.

Combien de mamies et de papis
Combien d’histoire en eux
Tu as enseveli et nous qui les
Racontons aux biens jeunes que nous.

La chaine continue,
Elle se perpétue.
Malgré ton appétit,
Car l’histoire, des hommes
Et des femmes, se poursuit
Au coin des cheminées
Prés des âtres de l’espoir.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 avril 2012, 08:31
CHAPITRE 7°
DESTINS BRISES.


Le couple franchit enfin la grande porte vitrée et pivotante du grand palace.

Un maitre d’hôtel les invite à le suivre dans la grande salle du restaurant. Un décor de rêve. La salle est pleine. Le maitre de salle les dirige vers leur table décorée avec gout et un grand bouquet de roses trône au milieu des couverts d’argent et de la porcelaine noble.

‘…Elles sont pour toi… !’
‘…Symbole d’amour… !’
‘…Un joli signe, tu ne trouves pas… !’
‘…Oui parait t’il mais ce signe d’amour n’est t’il pas précoce… ?’
‘…Lorsque la foudre tombe dans un cœur, tout va très vite… !’
‘…Que dois-je comprendre… ?’ Elle.
‘.. .Il y a des signes qui ne s’expliquent pas mais qui se vivent… !’ Lui.

Le maitre de salle déplace la chaise et Edwige comprend qu’elle doit y prendre place.
Idem pour son ami.
Le couple parle discute tout en mangeant ces petits mets délicieux servis par un garçon très prévenant.

‘…Je suis époustouflé par ce que je vois et ressent… !’ La jeune est fille vêtue d’une jolie robe vaporeuse de couleur bleu ciel. Un très joli manteau en fourrure rehausse sa stature.
‘… Ta tenue est sublime…. ! Ais-je bien fait de t’amener ici… ?’ Lui.
‘…Oui, je côtoie un autre univers caché et secret… !’
‘…Sans doute pas le plus beau… ! Ici tout est discret et lorsque la discrétion s’en mêle sache qu’il y a anguille sous roche. Tous fortunés certes mais trompeurs de leur épouses et vice versa… !’
‘…C’est moche parfois le monde des riches… !’ Elle.
‘…Le monde de la finance y trouve souvent ses commodités… !’



A Suivre….
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 avril 2012, 10:08
DESTINS BRISES.


CHAPITRE 8°.

Le dessert est servi. Et l’addition arrive discrètement.
Edwige a passé un très agréable moment en compagnie du généreux Arnold. Elle est aux anges et elle le remercie en baissant les yeux.

‘…Demain, tu fais quoi Edwige… ?’
‘…Demain matin j’ai rendez vous comme je te l’ai dis mais pas grand-chose l’après midi… !’
‘…Je viens de chercher si tu veux, pour prendre un café… !’
‘…Non, je préfère m’isoler dans ma chambre. Prendre un peu de recul parce que tout ce qui m’arrive en 24 heures me donne le tournis… ! ‘

Edwige est une jeune fille bien rusée. Chez elle rien n’est le fait du hasard, elle calcule, elle planifie. Son expérience de femme lui permet de jouer qqs peu avec les sentiments des autres.
Des sentiments qui arrivent trop vite chez Arnold. Des sentiments qui fouettent son cœur alors que la veille, avant la rencontre, il n’en avait pas. Et pour personne.
Le refus de la jeune fille est perçu chez lui comme une déception mais il se garde bien de la montrer.
Il a oublié qu’il avait rendez vous avec son fameux Slimane.

‘…Mais as-tu oublié ton rendez-vous avec ton ami… ?’ Et de le lui rappeler.
‘…Ô bien sur où ais-je la tête… !’

Edwige sans le vouloir à atténuer sa tristesse. Il s’en sort très bien, honorablement grâce à ce rendez-vous un instant oublié.
La journée du lundi se passe bien. Edwige n’est pas sortie du matin, non plus le soir. Elle est chez son compagnon Jamel. Dans l’autre appartement beaucoup mieux meublée.

Son ami plus âgé qu’elle de trois ans. JAMEL dit FILOU le dealer doit son renom à la petite délinquance vécue dans son ancienne banlieue. Il a su investir dans l’immobilier l’argent de la drogue, des vols de voiture, des trafics en tout genre en évitant tous les pièges tendus par la police. Cela lui a permis de se doter d’un bel appartement du coté de la place Clichy. Pour ses vieux jours. Il a le temps de les voir venir.

Il perçoit aussi des revenus grâce à deux fonds de commerce dont les murs lui appartiennent.

Edwige est tombée amoureuse de Jamel qui par sa gentillesse et sa générosité a su convaincre la jeune fille, sans attache, errante, fugueuse de foyer pour adolescentes à l’âge de 16 ans. Ses parents, un père français normand et une mère kabyle sont morts dans un accident de la route. Alors qu’elle n’avait que 13 ans.

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