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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
23 avril 2012, 07:20
CURIOSITE.
Pièces jointes:
CONFIGURATION.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
23 avril 2012, 08:15
Menichon est parti
Adieu mon bon Bayrou
Notre bon curé de paroisse
Médite sur sa poisse.

Adieu Madame Joly
Vos lunettes branchées ont parlé
Bien plus que vous.
Y’a plus qu’à chanter L’Eva Maria de Gounod.

Ahahahaha..Voilà le Poutou
Qui est loin de notre Poitou.
Je préfère encore le BREITOU.
A peine ses valises ouvertes
Qu’il doit les refermer.

Au revoir Madame Arthaud
Quel bon plaisir de ne pas vous avoir
Entendu.

Salut mon bon Jacques pas aussi célèbre
Que celui de l’chansonnette.
Tu a raté ta fortune sans tirer le jack pot.

Mr Dupont Dupont .. ???? Quelle malchance
Bien plus d’un qui soit aussi Faignan
Pour scribouiller votre nom
Sur bon nombre de bulletins.

Voilà la MARINE qui porte haut
Son flambeau, à 18 nœuds sans freins
Son bateau de croisière file toute poupe en l’air.

Notre Cheminade s’est perdu en chemin
Un zéro virgule devant et deux petits derrière séparés
Par une barre de travers,
Cela ne fait pas une sacrée bonne affaire.

Et voilà l’SARKO notre grand bling bling
Je le préfère à l’autre le dring dring,
Celui qui nous fera un nouveau grand BING BANG.

Avec beaucoup de tact,
Notre Sarko propose 3 rounds et pas un de plus
Pour confondre en toute simplicité le constipé.
Qu’on apporte les serviettes,
Le match risque d’être pénible
Mais lorsqu’on a la foi,
Je vote encore SARKO.
Lol.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 avril 2012, 10:36
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 avril 2012, 10:45
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 avril 2012, 10:47
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 avril 2012, 11:06
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 avril 2012, 00:37
Israël - Société : quand Facebook contribue aux mariages juifs
par Misha Uzan
Un couple de Bat Yam avait projeté son mariage, mais sa situation financière très précaire ne laissait pas espérer un grand mariage, pas même de véritable célébration.

Leurs amis – et invités – choqués par la situation ont tenté un appel à la solidarité à l'insu des deux futurs mariés.

Une des amies de ce couple a créé un groupe Facebook qu'elle a intitulé : "organisons tous ensemble le mariage de ….", demandant aux internautes israéliens leur aide :
"Nous voulons organiser un mariage selon la tradition juive pour ce jeune couple qui, en raison d'une histoire de vie compliquée, n'a pas un sou pour se marier. Nous voulons organiser un mariage digne de l'occasion et serions heureux de recevoir votre l'aide."

La première contribution est arrivée d'une maquilleuse, qui a offert d'officier gracieusement, puis d'un service de voiturier qui a offert de convoyer les futurs époux.
Très vote, les propositions ont afflué : musiciens, photographes, fleuristes, artistes, etc.

Plusieurs dizaines de propositions sont ainsi parvenues, chacune proposant une meilleure prestation que son concurrent bénévole.
A ce stade, l'initiatrice du projet a alors proposé de transformer les contributions en équipements pour le jeune couple et là encore appareils électriques, meubles, ont afflué.

Ce sont finalement près de 300 internautes qui contribueront très solidairement à l'organisation de ce mariage.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 avril 2012, 07:55
Bel élan de solidartité. Celà me rappelle ce que mon papa me raconter. Autrefois lorsque deux jeunes indigents voulaient se marier et qu'ils n'en avaient pas les moyens, tous les habitants du quartier de la hara se mobilisaient pour leur venir en aide ainsi que les commerçants juifs des grandes avenues. Idem pour des funérailles.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 avril 2012, 10:21
DAR BABA OU OMI.
La maison de mes parents etc….

A l’époque, je disais ‘…Dekhel fi dar baba…’ Je rentre dans la maison de mon père… ! La maman n’étant pas propriétaire de la maison, seul le papa avait le droit à cette appellation. Le papa étant le chef de maison, bien que souvent pas propriétaire, il lui incombait donc ce titre de LA MAISON DE MON PERE.

Une jeune fille qui s’apprête à se marier dira ‘… KHERJE MEL DAR BABA… !’ Je sors mariée de la maison de MON PERE…. !’ D’ailleurs chez les juifs tunes ou musulmans, cette expression est usuelle. ‘…KHARJET Mââr’ssa mél dar OUBOUE… ! Elle est sortie mariée de la MAISON DE SON PAPA. C’est de bon temps et même encore aujourd’hui le papa est fier que sa fille sorte mariée de la MAISON DU PATERNEL.

DAR BABA. La maison de mon père. Celle où j’ai grandi, celle qui m’a tout donné, celle que je ne retrouverai plus une fois mariée sauf lors des visites. La MAISON DE BABA se transforme donc par DAR EL AROUSSA. La MAISON DE LA MARIEE et pas DAR EL AROUSS. La MAISON DU MARIE.

Plus tard les enfants auront aussi la même réflexion.

Lorsque le papa n’est plus là, et que la maman devient veuve. DAR BABA devient DAR OMI. La maison appartient donc virtuellement à la MAMAN après la disparition du PAPA.

Là encore l’expression ‘…KHERJET Mââr’ssa MEL DAR OMA… !’ S’applique tout autant que celle du papa. Il faut y voir là encore un grand respect pour la maman vivante qui s’attribue ainsi par la voix de ses enfants la fonction de CHEF DE MAISON.

‘..Allons dans la maison de MAMAN, chéri… !’ Lorsque la fille se marie alors qu’elle est orpheline du papa. Idem pour le marié.
Si tout se passe normalement selon les règles de l’art que les enfants grandissent, se marient etc…DAR DEVIENT SOIT TJS DAR BABA s’il est vivant ou Omi si elle est vivante après la disparition du géniteur.
Et lorsqu’en dernier ressort la MAMAN part. La MAISON DEVIENT DAR OMI…Elle appartient donc dans l’usage à celui ou à celle du dernier vivant.

On ne dit plus ‘..Ey’è némchiou dar BABA…Mais DAR OMI… ! Même si elle n’est plus là.

Si les enfants ont été orphelins et éduqués par une tante, ils diront ‘…DAR KHELTI… !’ S’ils ont vécu avec la grand-mère ‘…DAR MEMETI… !’ Idem pour un oncle ‘…DAR KHELLI…’ !

Pour une vieille décédée à l’auspice ‘…KHERJET MEL DAR EL TKIYA… !’ Sortie de la maison des VIEUX.
Comme quoi on sort tjs de la maison de QUELQUE PART.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
30 avril 2012, 10:38
les-francophones-d-israel.over-blog.com
Dimanche 29 avril 2012
Charles, Georges, Valéry, François, Jacques, et Nicolas jardiniers

J’ai reçu en héritage et en indivision, une propriété importante. En raison de l’étendue de cette propriété, et du nombre des indivis, nous avons été amenés à choisir un jardinier que nous renouvelons régulièrement.



Nous avons eu dans l’ordre : Charles, Georges, Valéry, François, Jacques, et Nicolas.



Charles a façonné notablement notre potager. Il a défriché le terrain, ameubli la terre, et a tracé les plates-bandes. L’ensemencement, et la récolte demandaient beaucoup de travail, et les légumes étaient toujours superbes. Tout le monde a connu des repas agréables.



Georges a apporté l’amendement au sol qui le réclamait. Les récoltes sont devenues plus importantes, et de qualité de nouvelles espèces ont vu le jour qui sont renommées à l’autre bout du monde.



Valéry devant la sècheresse qui menaçait de tout bruler, a stocké l’eau qu’il a distribuée à ceux qui en manquaient. Il a utilisé un arrosoir au pommeau muni de trous très fins, qui humidifiait les légumes en juste proportion. Comme l’eau manquait, il a acheté de l’eau d’Évian, tout le monde sait très bien quel en est le prix.



François a décidé qu’il fallait modifier l’ordonnancement du jardin, ce qui demandait de distribuer l’eau en grande quantité. Il a percé le fond de l’arrosoir de trous qu’il a agrandis au fur et à mesure du temps. Comme le chemin est long du robinet aux plates-bandes, l’eau s’était déjà échappée de l’arrosoir lorsqu’il arrivait aux légumes, il s’est fait livrer des quantités de plus en plus grandes d’eau d’Évian. Nos charges locatives ont connu une importante progression.



Ensuite Jacques est arrivé, grand connaisseur de la campagne, il fréquentait les foires et salons de l’agriculture, il saluait tout le monde, ripaillait avec tous, mais ne faisait rien. Il ne s’est pas rendu compte que le fond de l’arrosoir se rouillait, et que l’eau partait à flots. L’eau d’Évian ne suffisant plus, il fit venir de l’eau de toutes provenances à des prix toujours en hausse. Nos charges locatives ont explosé.



Vint alors Nicolas, qui nous a proposé un plan qui nous a séduits :

- Remodelage de tout le jardin.

- L’arrosage à l’eau minérale et de source coûtant trop cher, qu’il convenait de colmater le fond de l’arrosoir, que nous ne pouvions pas le changer immédiatement.

Dès sa prise de fonction, le monde a été confronté à des sècheresses successives comme il n'en avait jamais connu jusqu'alors.

Il a donc mis des rustines au fond du seau, il en perdait moins en chemin. Dernièrement, il a décidé que l’arrosoir ne suffisait pas, et qu’un fin tuyau ne perdant pas l’eau permettrait des économies.

Devant le succès escompté, il fut envisagé de supprimer l’arrosoir et de le remplacer par des tuyaux au goutte à goutte, qui dispensent juste la quantité d’eau nécessaire, il convenait également de réduire la superficie irriguée.

Des graines amenées par le sirocco avaient germé, en bordure des plates-bandes des herbes folles avaient poussées qui captaient l’eau des légumes cultivés, qu’il convenait de les arracher.



Une grande partie des copropriétaires se sont alors manifestés, ils ont questionné un autre jardinier nommé François qui a expliqué, qu’il fallait laisser les herbes folles prospérer, qu’il convenait de les arroser sans limites afin que d’autres puissent s’épanouir. Il précise aussi que pour arroser tout ceci, nous achèterions de nombreux arrosoirs au fond percé, qui viennent d’un pays de l’Est, et que ces gens n’utilisent plus depuis des décennies, et que de nombreux commis seraient engagés pour les utiliser. Devant le doute d’un tel plan, il a dit que les beaux légumes seraient arrachés, qu’ils laisseraient leur place aux nouvelles herbes folles, et que tout irait pour le mieux.



Huit autres jardiniers questionnés nous donnaient tous des réponses divergentes. Dimanche dernier nous avons éliminé ces huit novices dont les solutions ne convenaient qu’à peu de monde, car il fallait ensuite choisir entre les deux premiers



Depuis quelques semaines, Nicolas et François se disputent nos suffrages, et enfin mercredi ils devaient entrer en joute oratoire devant un public qui demande depuis longtemps d’être informé. L’assemblée des copropriétaires devrait se prononcer dimanche prochain sur l’opportunité de changer de jardinier, ou de reconduire Nicolas.



Le choix sera de savoir si nous préférons sacrifier les beaux légumes pour laisser pousser les herbes folles en augmentant nos charges locatives, ou si nous préférons investir dans du goutte à goutte, grand économiseur d’eau, et arracher ces herbes folles dont nous n’avons que faire, ce qui réduira à terme nos charges.


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