]ROBERT COHEN...COLLECTION CLAUDE OBADIA..SON ONCLE...MR ROBERT COHEN est tjs vivant...[[/color]
Pièces jointes:
ROBERT COHEN SON MARIAGE...
Pièces jointes:
COUSCOUS AU SOL DANS SA FAMILLE...
COLLECTION CLAUDE OBADIA..
Pièces jointes:
DE NOTRE AMI RIDHA RZOUGHA....face book.
A PROPOS DE ROBERT COHEN...ETC.....
'....C'etait un grand , un vrai chamion qui a cotoyé en son temps , une véritable légion de battants, stylistes et puncheurs, avec toutefois une préférence générale pour le style. A tout seigneur, tout honneur. Citons les champions du monde Young Perez, Charly Magri, Kamel Bouali, Férid Ben Jeddou, le mystérieux Taoufik Belbouli puis les champions d'Europe Paul Consentino en amateurs, le Tuniso-Maltais (fils de Bab El Khadhra) Gratien Tonna, Gilbert Cohen et Mourad Louati naturalisé hollandais.
En remontant le temps, on se souvient des fougeux Robert Di Mayo, Robert Di Martino, Paul Signorino, Emmanuello, Tony Feliciano, Benito Arancio, B.David, Kid Albert, Kid Hattab, François Zardi, Kid Perez, Edmond Zerbib, Chadly Louati, l'indomptable Sadok Bahri (l'homme qui se battait contre le mur), vainqueur de trois champions de France, du subtil Brahim Jeune (El Mehouachi), du très racé Arturo Riela, du minuscule puncheur Annaloro (le flic de New York), du coriace Kid André, Ahmed Lamine, Rezgui Ben Salah, Moncef Zayani, Moncef Fehri, Emile Bucellato, Mahjoub Sédraoui, Acquaviva, Béchir Jelassi, Fridah, Farhat Loucif, Bill Jo, Mahmoud Lenoir, Sion Lelouch, Lakhdhar Lahrizi, André Guarino, Bob Scrivano, Franck Titone, Touitou, Sparta, José Fantino, Kid Aldo, Kid Jacquot Occhipinti, les grands professeurs Joe Guez, Billy Smadja, Joé Melloul, Charles Zardi, Mokhtar Ben Mrad à Bab El Khadhra, Tahar Ghanjou à Bab Lakoues (Bab Saâdoun), Jo Micelli à la Naceuria, Jilani Kaâboura à la rue des quatres chemins, (Sabbat arbâa thénaya), Young Salah à Bab El Jazira.
Et les célèbres familles de frères de la boxe, Saïd, Kaddour et Laïd Ben Younès, Tijani (El Moallem) et Tijani Jeune, Hédi dit la «Mitraillette» vainqueur de Téo Médina, Tahar Guizani et Rezgui Guizani, Paul et Aldo Consentino, Aldo et Bruno Fioretti, Tino Albanese I et II, Young et Kid Perez, Félix et Patrick Brami, Aldo et Paul Curti, les Cliche, Jack et Thierry, Jacques et Jérôme Ilari.
La tribu des Di Benedetto, Valère Vito, Pascal et Aldo Di Benedetto, Walter et Gaëtan Annaloro, Abdelkérim Hammou dit «El Béhim», Moussa Saâd la perle noire de Bizerte. Sans oublier les Omrane Sadok, Tahar Belhassen, Simon Bellaïche, Paul Giordanella, Brahim Messaoudi, Alain Limorola, Lotfi Ben Saïel, Farouk et Hichem Dahmani, Tahar Laâroussi, Trabelsi, Adel Béjaoui, Tahar Nasri, Ali Ben Messaoud, Fayçel Enneifer, El Fezzani, Mohamed et Lakdhar Touati, Mongi El Hédhili, Ali Bousrih, Mohamed Hmila, Mongi Sayeh, opérant presque tous en Italie, Ali Saïdi champion d'Allemagne et Michèle Syracusa qui fut champion d'Italie puis de France des plumes. Le petit chaton Robert Gambino, Habib Mahjoub, Philippe Binante, Tawfik El Mabrouk, Fahmi Gabtemi, Fawzi Hattab et Férid Ben Jeddou qui fut l'espoir mondial des poids mouche, Moez Fehima et Walid Smichet (champion du Canada) et El Arram (champion de France et d'Afrique) et la liste est longue.
CHEZ MABEL, boutique ENCENS…MAGIE..JESUS…ODIN…etc….
‘….Ah les femmes…’ !
Ouahad oussif tembla, i fejaa...Un oussif bien noir, qui fait peur..
‘….Mr… !’
‘…Bonjour Mr…. !’ Moi.
‘…Voilà, je vous expose mon problème, je suis tout le temps
A découvert à la banque, j’ai comme l’impression qu’un génie me pique
L’argent… !’
‘…C’est possible, j’ai eu le même cas avec une autre cliente…Mais elle
C’est pour en avoir toujours plus…. ! Et elle y arrive… !’
‘…Ah bon, et qu’est ce que vous lui avez vendu… !’
‘…Bien, la lotion FINANCE…MONEY DRAWING…BUDHA…CHANCE…. !’
‘…Et vous me conseillez quoi… ?’
‘…Poudre ARRETE DECOUVERT…FORTUNE…Encens BANCO…Lotion MOIN
CA DIT CECA…. !’ Ca vous fait 35 €… !’
Il me tend sa CB…. !’
‘…Bizarre votre nom….MR JOSEPH …DOREMIS…. !’
‘…Pourquoi me dites vous cela…. ?’
‘…C’est que toutes les semaines, une dame qui porte le même nom que vous,
Vient acheter pour 300 € de produits, dés fois un peu moins… !’
‘…GlaDISSS…. ?’
‘…Oui c’est cela… ?’
‘…C’est ma femme… ! Donc elle me pique ma CB… !’
‘…GENI..AL… !’
TEL AVIV SUR SEINE....MOMENT HISTORIQUE.
Je voulais juste dire un mot aux détracteurs juifs français et autres, de tous bords surtout ceux et celles qui ne sont jamais satisfaits de ce font certaines hommes ou femmes
Politiques pour nous être agréables, il y a toujours ces corbeaux qui viennent coasser et sous entendre un tas de choses désagréables sur cet événement, comme récupération politique, ou alors ambition politique pour ramasser le vote juif, quel vote juif… ?
Ces crabes, sans rire, ne sont que des fouteurs de merde, venant rappeler à chaque fois ‘…Oui..Mais, tu sais il ne faut pas oublier que qui etc… !’
Ces personnes là sont contreproductives et roulent pour des officines obscures.
Il ne faut pas nous prendre pour des cons.
Nous aimons la France. Aimez là ou alors partez.
PHOTO ELSA. Mon envoyé spéciale sur place. Elle kiffe la life.
Pièces jointes:
Chez Mabel, boutique accessoires coiffure, gods, préservatifs, et cul cul la praline.
Je suis toujours confronté à des situations burlesques.
J’excelle bien plus dans le domaine de la magie que dans la politique qui ne me fait pas rire.
Je n’arrive pas à croire ce que je vois et entends.
Or, devant certaines situations qui sortent de l’entendement,et sans me pincer la main, je vis des choses extraordinaires.
Je suis sur que bcp d’entre vous ne croient pas à ce que je raconte or, mes anecdotes sont vraies à 98 %.
J’ai l’habitude d’écrire qqs mots sur des papiers volants, et de les oublier par çi
Par là, et parfois, même souvent, je tombe sur l’un deux, tout froissé….
Rire ou ne pas rire that is the question… !’
Donc le 8 Janvier 2015….
Une dame noire, sénégalaise…
‘…Monsieur, je suis déjà venue chez vous, et vous m’avez prescrit (pharmacie oullit)
Des médicaments pour chasser le démon… !’
‘…Et alors… ?’
‘…Ils sont tjs là, la preuve qu’à 60 ans, je ne suis pas encore mariée, bien que j’ai
8 petits enfants…. !’
‘…Donc vous avez 8 petits enfants, sans avoir été mariée, comment vous les avez eu vos enfants.. ?
‘…Mon premier mari est mort, j’ai pris un second, il est mort, et le troisième a fini de vivre il y a deux semaines…Et comme je suis musulmane, très pratiquante, le coran m’impose de me remarier, une quatrième fois… !’ ( Hattati ââ’li béch ââ’ti… !) Il me faut de l’amour, je ne peux pas rester sans amour, j’ai besoin d’un homme légale… !’
‘…Donc un époux avec ses papiers… ?’ Moi.
‘…Si possible, oui, pas illégale… !’( Hattati ââ’li béch ââ’ti… ! bis)
‘…Bien donc, vous cherchez un autre époux alors que le troisième vient d’expirer… ?’
‘…Il n’a pas expiré, il est mort… !’
‘…Ah pardon, il est mort sans expirer… !’
‘…Oui…Exactement… !’
‘…Voilà, je vais vous prescrire qqs médicaments, avec mode d’emploi afin
Que votre solitude ne soit pas trop longue….Ca va vous couter dans les 48 €… !’
‘…Je payerai plus si le résultat est là… !’
Elle paye ce que je lui demande et elle s’en va….
Deux mois, plus tard, je la vois revenir et je la reconnais à cause de son niqab.
‘…Monsieur, qu’Allah le miséricordieux vous bénisse, vos produits ont marché
Et je me suis remariée avec un type bien au pays. .. !’ ( Hattati ââ’li béch ââ’ti… ! trois fois)
‘…Je suis content pour vous, croyez moi… !’
‘…Mais vous savez quoi, j’ai trouvé un autre, donc j’ai deux, un légal et l’autre illégale comme cela si le légal meurt, j’ai l’autre sous la main… !’ ( Hattati ââ’li béch ââ’ti… !) quatre fois pour le 4 ieme mari.)
‘…Ah une roue de SECOURS…. QUOI… !’
[ www.medmem.eu]
LE 15 Aout …Jour de l’Assomption.
La sortie de la MADONNE DE TRAPANI le 15 Aout à la Goulette était une grande fête Un événement ‘national ’chez nous, suivi par des Juifs, des musulmans et bien sur par des chrétiens.
Je crois qu’elle fut la seule grande manifestation religieuse, sans doute au monde, où trois religions monothéistes se donnaient rendez vous à la nuit tombée, dans une ville anodine, où rien ne distinguait le juif de l’arabe ou du chrétien.
Cette nuit là, il y avait un esprit d’une véritable alliance cette union, qui force le respect, et donne à réfléchir aujourd’hui, sur la grande convivialité qui régnait parmi nous.
C’était un moment fort, très fort, où la passion prenait ses jeunes, adultes et vieux pêcheurs d’origine sicilienne, tous goulettois, et non goulettois venus des banlieues avoisinantes pour suivre un cortège fascinant. Une foule bigarrée dont le regard était accroché vers cette Dame, STE PATRONNE des pêcheurs, qui déambulait dans les rues jusqu’à la mer, soutenue à tour de rôle par des hommes qui se bousculaient pour avoir le privilège de la porter.
Cet exemple, cette communion d’esprit qui a fait de la Goulette, une ville aimante, ne se retrouve nulle part ailleurs aujourd’hui.
Cette dynamique s’est brisée et avec elle a disparu ce qui faisait de nous, goulettois, des gens à part.
Lorsque je n’étais qu’un enfant, en âge d’aller à l’école tout seul vers mes 8 ans,
J’embrassais la mezzouza avant de sortir et je disais à maman ‘…Yé mââ, mchit… !’( Maman, je pars) elle répondait ‘…Bara, terj’ââ farhan… !’ Va mon fils, tu reviens content… !’
Je revenais triste et maussade à cause des misères du calcul. Plus tard, vinrent s’ajouter les équations, les fractions, la géométrie variable, les dissertations etc ...
Et tjs ce ‘…Yé mââ, mchit… !’ Et toujours ce ‘…Bara, tarj’ââ farh’an.. !’ Alors que j’avais des envies de pleurer, à mon retour, tellement je ne comprenais rien à rien à ces matières.
Plus tard, l’école m’ayant quitté, sans dédommagement, je commençais à travailler et tjs ce ‘…Yé mââ, mhit… !’ Et….le même refrain de maman qui venait tinter à mes oreilles… ! comme une onde de choc.
13 ans à répéter cette litanie, et même marié avec enfants, je disais
Tjs cela qd je sortais de chez elle.
Lorsque je vais la voir, au cimetière de Pantin, cela m’arrive deux fois par an, je répète encore
‘…Yé mââ, rani mchit… !’ ( Je suis parti)
Je n’ai plus de retour de sa part.
Lorsque j’étais petit, et surtout pas encore en âge de comprendre,soit vers mes 4 ans, j’avais peine à parler…Lsséni cen rzin…Tkil… !’ Ma langue était pesante, lourde.
Je désignais les choses sans rien demander, maman comprenait alors
Que j’avais soif, qd je lui montrais le robinet, ou que j’avais un besoin.
Ajoutons à cela que j’étais anémié, maman craignait que je fusse muet et maladif.
Je ne m’amusais pas dans le grand château dans lequel je vivais. 50 M2 pour 6 personnes puis pour 8.
Je m’acharnais surtout à franchir le bord de ma caisse, genre youpala, pour prendre de l’air. Rentrer au balcon m’était interdit, les croisées des fenêtre étaient bloquées donc aucune chance de chuter du premier étage ou de m’évader..
Mon horizon était donc limite, très limité.
Puis, un jour vers mes 4 ans, j’ai parlé, j’ai dit ‘…Yé mââ… !’ Maman.
Papa voulait faire une fête…Meiha lui dit ‘…Alla celmé béch thal bouk… !’
(‘…Pour un mot, tu vas ouvrir un chantier… !)
Il lui a répondu gentiment ‘…Rabec.. !’Juron. Donc point de fête.
J’avais pour seule compagne avisée Meiha…qui m’occupait, elle essayait de m’apprendre à enfiler le fil dans un chas d’aiguille….( I’jé dekh’ili el fti’lé khait fél ibra… !’…Viens enfiler …) A mon âge, c’était trop me demander.
Papa m’offrait, de temps à autres, de petites voitures mécaniques qui, deux heures plus tard, n’étaient plus qu’un amas de petite ferraille.
La naissance de mon frère me surprit, je ne m’y attendais pas.
Il prit ma place dans le ‘sandouk’…Jusqu’à 4 ans.
Maman s’aperçut que le cadet, distinguait mal les choses. Cen ah’ouel… ! Il louchait. Une épreuve terrible pour maman. Il s’en est sorti qd même…Donc moi muet au départ et anémié mon frère Ah’ouel, rabou, et qd fut né le troisième, une troisième épreuve attendait maman, il était atteinte de ce qu’on appelle LE SPASME DU SANGLOT. Lei i warina ghassra Ye ben Aâz’ra… Que l’angoisse nous épargne Ô toi le fils de Aâz’ra.)
Il nous a fait chier durablement. Mais personne, ne lui en a voulu, il était tellement h’nin ( doux)et gentil, ce petit qu’il pouvait rester des heures assis dans le sandouk, sans pleurer, avec sa merde et son pipi sous lui.
Puis est arrivé Maxo, nous sautâmes tous de joie, on s’est retrouvé avec un quart d’are pour chacun de nous. Il nous a étriqué l’espace.
La venue de ma sœur…Enfin …Fut couronnée de succès, nous quittions le cagibi de l’avenue Pasteur pour la rue du Limousin à la Goulette.
El oucha ouel raha…L’espace et le repos.
| 
