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Polemique sur une eventuelle liberation d'Igal Amir.

Envoyé par Henri 
Re: Polemique sur une eventuelle liberation d'Igal Amir.
24 octobre 2007, 06:17
Cacou tu changes de sujet,

Je reponds a ton "Voyons Henri,

Quand tu annonces : "Itsak Rabin, un des premiers a tuer des juifs pour de la politique."

Est ce bien ton opinion, ou bien reprends tu, celle d'un quelconque mot d'ordre ?

Explique toi s'il te plait,

Comme tu vois,e n'est pas MON opinion.
Re: Polemique sur une eventuelle liberation d'Igal Amir.
24 octobre 2007, 06:35
Oui mais je te fais remarquer qu'en disant : "Itsak Rabin, un des premiers a tuer des juifs pour de la politique.",,, c'est bien toi qui a changé de sujet,,, alors je me suis intèressé à cette phrase venant de toi,,,

smileys with beer
Re: Polemique sur une eventuelle liberation d'Igal Amir.
24 octobre 2007, 06:45
cacou,
Je repondais a ton
"ou bien reprends tu, celle d'un quelconque mot d'ordre "

Je n'aime pas la desinformation qui presente Rabin comme un heros,comme le sauveur d'Israel.

Je veux que nos enfants sachent la verite, pas la propagande.

Yom tov lehka.
Re: Polemique sur une eventuelle liberation d'Igal Amir.
24 octobre 2007, 07:48
Je n'aime pas la desinformation qui presente Rabin comme un heros

L information serait donc de dire qu il n est pas un heros d Israel ??? Ben ca c est nouveau !!!

Si Rabin n est pas un heros d Israel moderne ... qui l est ???

AM ISRAEL HAY
Re: Polemique sur une eventuelle liberation d'Igal Amir.
24 octobre 2007, 08:04
Cacou,
Itsak Rabin etait le commandant qui a coule l'Altalena et cause la mort d'une partie de ses occupants.

[palestine1967.site.voila.fr]


Es tu bien sur qu un site qui s appelle palestine 1967 soit bien un site qui peut etre un referend pour l Altalena ???

L Altalena est je pense , malgre le prix en vie que ca nous a coute , une decision qu il fallait prendre ... les armes que contenaient le bateau allait faire plus de mal au ychouv juif ... Tsahal devait naitre et il ne peut dans un pays avoir plusieurs armees et plusieurs decideurs ... sinon on assiste a une situation que l on connait celle justement de l Autorite Palestinienne ou la main droite ne sait pas ce que fait la main gauche ... Alors Itshak Rabin a execute les ordres qu il avait recu apres avoir prevenu les occupants de l Altalena ... Ce n est pas un acte terroriste ni un crime ...

La naissance de l Etat d israel et de Tsahal s est faite dans la douleur ... grace a ces hommes qui ont lutte depuis le premier jour ... Rabin a ete dans le palmah , il a ete celui qui a protege les passages vers jerusalem , il a ete chef d etat major , pendantla guerre de 67 et aussi pendant Entebbe ... Il a ete premier ministre , 2 fois , il a cru a la paix ... on peut etre ou ne pas etre d accord ... cela lui valait il d etre assassine par un moins que rien , une pourriture qui avait decide qu il n etait pas d accord ... ou va t on ??? Ni yr miklat , ni liberation ... ni meme la plus petite pitie la seule chose qui lui convienne c est l enfermement a vie et l isolation ...

Sa femme est aussi monstrueuse que lui ... elle a quitte son mari et ses 5 enfants pour la "" celebrite "" que lui donnait cet assassin ... qu elle en paye le prix .

AM ISRAEL HAY
Re: Polemique sur une eventuelle liberation d'Igal Amir.
24 octobre 2007, 08:26
Je te ferais remarquer que c'est Henri qui a fait référence à : [palestine1967.site.voila.fr]

Par contre j'ai pour ma part cité : [fr.wikipedia.org] d'ou j'ai extrait l'information publiée :

Voici ce qui est publié sur Wikipedia :

C'est en souvenir de leur inspirateur Jabotinsky, que l'Irgoun (organisation clandestine armée de la droite révisionniste en Palestine mandataire) a nommé Altalena un bateau que l'organisation utilisait jusqu'en 1948 pour importer clandestinement des armes. Ce bateau est sabordé le 20 juin 1948, suivant l'ordre de David Ben Gourion, devenu le premier Premier ministre du jeune État d'Israël le 15 mai. Dans le contexte de l'unification d'une armée nationale israélienne fusionnant la Haganah, l'Irgoun et le groupe Stern-Lehi, le bateau Altalena arrive au large de Tel Aviv, chargé d'armes et de 800 immigrants. Aux termes de discussions, le mouvement Atzel de Menahem Begin refuse de remettre son chargement d'armes à la nouvelle Tsahal. Exprimant son refus de l'existence de plusieurs factions armées, Ben Gourion fait alors tirer sur les militants de l'Irgoun les 21 et 22 juin 1948, quand ceux-ci essaient de débarquer les armes. Le bateau est coulé. Lors de l'assaut contre le bateau, il y a 18 morts : 16 membres de l'Irgoun et 2 soldats de Tsahal. Eytan Haber, dans son livre "Menahem Begin" [1], rappelle l'implication de Yitzhak Rabin dans cet épisode tragique.

Les détails sur : [fr.wikipedia.org]

En m'adressant à Henri, je lui disais :

Si l'on suit ton raisonnement, c'est toute la chaîne de commandement de Tsahal jusqu'à Ben Gourion que tu qualifierais de tueurs, en général l'armée est faite pour obéir au gouvernement, et non le contraire comme c'est le cas dans les pays sous régime de pronunciamiento militaire, complètement impensable dans une démocratie comme Israël.

En fait ça serait plutot Beghin, qui a pris un gros risque de planquer des armes au milieu de 800 immigrants.

Je pense avoir été assez clair, et je suis parfaitement d'accord, qu'il ne peut y avoir plusieurs armées, pour un même pays, le contraire serait ridicule, et totalement innéficace.
Re: Polemique sur une eventuelle liberation d'Igal Amir.
24 octobre 2007, 10:01
Jacques Pinto

Agence France-Presse

Jérusalem

Israël marquait mercredi le 12e anniversaire de l'assassinat d'Yitzhak Rabin sur fond d'une campagne de l'extrême droite pour libérer son meurtrier qui suscite l'indignation.

Le 4 novembre 1995, Yigal Amir, un juif religieux d'extrême droite, avait abattu le premier ministre de trois balles dans le dos, à Tel-Aviv, dans le but affiché de faire capoter les accords de paix israélo-palestiniens de 1993. Le 12è anniversaire tombait mercredi selon le calendrier lunaire hébraïque.

Cet assassinat, perpétré lors d'une manifestation pacifiste monstre, avait plongé le pays dans la stupeur alors que pointait l'espoir d'une possible issue au sanglant conflit israélo-palestinien.

«Je me tenais au côté de Rabin; son visage rayonnait face à cette merveilleuse manifestation de soutien. Au même moment, l'ennemi abject, impitoyable, attendait, froidement, au bas des marches, un pistolet chargé dans la main», s'est souvenu mardi soir le président israélien Shimon Peres.

«L'assassin lui a tiré dans le dos mais il a frappé la nation au coeur. L'histoire et le peuple ne pardonneront jamais cette ignominie», a-t-il ajouté, excluant toute grâce pour l'assassin.

La cérémonie officielle débute à 15H00 locales (13H00 GMT) au cimetière du mont Herzl à Jérusalem où se trouve sa tombe et celle des grands de la nation en présence de M. Peres et du premier ministre Ehud Olmert.

La Knesset (parlement) consacrera ensuite une séance extraordinaire à la commémoration qui se tient cette année sur fond de polémique déclenchée par l'extrême droite, à l'origine d'une campagne pour obtenir la libération du meurtrier, Yigal Amir.

Elle organise à Tel-Aviv une contre-cérémonie pour, selon elle, révéler «le véritable visage de Rabin» et réhabiliter les opposants d'Oslo, a déclaré Katty Cohen a l'AFP, une des organisatrices.

Aujourd'hui âgé de 37 ans, l'assassin purge une peine de réclusion à perpétuité et n'a jamais exprimé de regret pour son acte, sa famille allant jusqu'à affirmer qu'il s'était «sacrifié» pour Israël.

Dans une vidéo réalisée à 150.000 exemplaires par ses partisans, sa mère Geoulah, estime que son acte était «prédestiné» par son nom, Yigal signifiant «sauveur» en hébreu.

«J'ai vu Rabin descendre (du podium). J'ai décidé de l'abattre pour le neutraliser politiquement. Je ne regrette rien, Dieu m'en garde», dit Yigal Amir, dans un extrait de son interrogatoire au soir du meurtre, rendu public lundi par la police.

Il affirme qu'il aurait pu ce soir là abattre également Shimon Peres, mais qu'il représentait pour lui «une cible secondaire».

Les médias israéliens ont rapporté la semaine dernière que la protection rapprochée du président israélien avait été renforcée sur ordre du Shin Beth, le service de sécurité intérieure, suite à une campagne de dénigrement d'une extrême violence le visant sur des sites ultra-nationalistes israéliens.

Yigal Amir a pu se marier en 2004, et son épouse, Larissa Trimbobler, 42 ans, divorcée et déjà mère de 4 enfants, doit accoucher d'un fils, conçu lors de visites en prison.

«Je pense qu'il aurait fallu le tuer, non pas parce qu'il s'agit de mon père mais parce que l'assassin a tiré dans le dos de la démocratie», a dit Dalia Rabin, la fille de Rabin, à la télévision publique israélienne.

Chef de l'état-major israélien lors de la guerre des Six Jours qui avait permis en 1967 à l'État juif de conquérir la Cisjordanie et la bande de Gaza, Rabin s'était vu décerner le prix Nobel de la Paix en 1994 conjointement avec son ministre des Affaires étrangères Shimon Peres et le dirigeant palestinien Yasser Arafat après la signature des accords d'Oslo.
Re: Polemique sur une eventuelle liberation d'Igal Amir.
24 octobre 2007, 10:30
Cacouboulou ,
C'est juste, avant même que Ben Gourion ait donné l'ordre, on avait donné un avertissement aux personnes du bateau. A part cela il y avait des débats dans le parti des ouvriers d'alors. Plusieurs solutions étaient présentées, mais l'Irgoun refusait de remettre les armes à Tzahal et de s’intégrer dans ses rangs. Ben Gourion n'avait pas trop de choix. S'il devait laisser le Irgoun prendre ses armes il y aurait eu des batailles entre frères. Pour ce qui concerne Rabin ce dernier n’avait fait qu’exécuter les ordres. A mon avis deux forces ne peuvent pas diriger le pays autant plus que c'était la naissance de cet état qui était en jeu.
Re: Polemique sur une eventuelle liberation d'Igal Amir.
24 octobre 2007, 22:42
Hajkloufette,Cacou, Emile,

Meme si vous dites qu'il avait recu des ordres pour l'Altalena, avant l'accord d'Oslo, donnant des armes a nos pires ennemis, on l'avait supplie de ne pas accepter de leur donner des armes qui se retourneraient contre des victimes innocentes, plus de mille a ce jour, sa reponse etait tres dedaigneuse, traitant les demandeurs de "propelo",et la il n'avait pas recu d'ordres, c'etait lui le donneur d'ordres.
Donc, apres cela reste t-il un heros? Celui qui par ses erreurs etait responsable de tant de victimes juives, ne peut pas etre presente comme un heros.
Le pire c'est que la lecon d'Oslo n'a pas ete aprise, on efface et on recommence.

Je reviens sur ce que j'ai dit, les politiciens essayent de transformer leurs erreurs graves en acte de bravoure, et cela ne doit pas passer sous silence. Sinon ou est notre democratie.
Re: Polemique sur une eventuelle liberation d'Igal Amir.
25 octobre 2007, 04:42
Merci de tes réponses Cher Henri,

Pourrais tu cependant, nous donner des information sur les armes qui ont été données, par Rabin à l'ennemi, faisant comme tu le dis plus de mille victimes,,, Merci de ces informations.
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