LE PTB ET MOI.

AH ok excuse moi Rahelina.
Ici tu es la bienvenue.
Tu rentres quand tu veux.
J'ai donne des instructions aux portiers.
Toi au moins tu as la parole de la torah en toi.

On apprécie plus un travail perso qu'une liturgie connue et remise cent fois.

merci breitou pour tes places VIP dans ton THEatre! au fait vous servez le the ici pendant l entracte?

A Rahel et a tous les Amis, vous aurez, ici, l'embarras du choix.

THE ou CAFE ?

SHABBAT SHALOM
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Pièces jointes:

Servis avec nos coeurs tendres ma chére RAHEL LA BELLE LA JEUNE MAMAN aussi brillante que sont les lumières du SHABBATH.

MA TERRE.

Pour l’avoiIIIIr
Si souveEEEnt piétinèEEEEe...
Elle me pardonnera... !

Pour l’avoiIIIIIIr../////

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Si souvent écraséEEEEe...
Elle me pardonnera...

Pour l’avoiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIr
Si souvent foulèEEEE...
Elle me pardonneraAAA aussi
Le moment veEEE....Nu....//////

Pour avoiIIIIr../////

Si souvent remuéEEEe
Ces entrailles
Elle me pardonnera
Comme elle me pardonnera
De lui cracher dessus.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Pour avoiIIIIIr
Si souvent jardinèEEEE...
Son sol, retourné ces viscères
Elle me pardonnera
Comme elle me pardonne
Toutes mes mauvaises actions.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§


Pour l’avoiIIIIr
Si souveEEEEnt marquéEEEe
Par mes pas mesuréEEEEs
Elle ne me tiendra pas rigueur

Ma teEEEEErre
Que j’aiIIIIme...§§§§§§
Que je chaAAAAAAnte....
Celle quIIIIi me protégera un jouUUUr
Dans son ventre humiIIII IIIIIde.
Qui protégera mon corps
Fané, bouffé par ses disciples
Les vers .... Qui m’attendent.....§§§§§§§

Elle se souviendra
De mes careEEses...

Elle se souviendra de l’empreinte
De mon ziziIIII que j’ai souvent enfoui
Dans un trou de plage....§§§§§§§§§§§
De l’amour, je lui en ai donne aussi...


Voilà pourquoi elle me pardonneEEEE...RAAAA.....
Aussi..////

MMMMMmmmmm....

MON AMIE.
C'est à toi qu'elle s'adresse cette chanson.
Ecoute là.
Merci.

Les occasions perdues
Ne se rattrapent guère.
Guerres perdues.
Sur des champs de bataille.

Ni vainqueurs ni vaincus
Rien que des mots, dépouilles
Gisants d’entre les sillons
Qui pourrissent au soleil de la désillusion.
Ni sépultures ni caveaux à foison.

Les Sfarjels (Coings) sont prêts pour préparer la confiture de Rosh Hashanna et la “Grosse Perle Brune” aux clous de Girofle, pour Yom Kippour.
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Pièces jointes:

On m'écrit.


Je reçois ce mail de mon ami REINE DOUIEB.
Je vous laisse lire gentiment sa requete.
Donc, si des anciens amis ( es) de collège de Colette se reconnaissent, elle serait ravi de prendre attache avec eux.
Merci.




Cher Albert
Comme promis et comme tu me l'a si gentiment proposé, je t'envoie une photo de collège avec ci-dessous le texte que j'aimerais publier (avec le titre sur la première page de Harissa) :


Une photo envoyée par Colette Douieb - email : coldou43@yahoo.fr

Ci-joint une photo de la promotion 1962 - 1ère de Secrétariat - Collège Paul Cambon, Tunis.
J'ai perdu de vue toutes mes camarades de cette époque et j'aimerais pouvoir contacter au moins l'une d'elles pour savoir ce qu'elle devient ou deviennent ; sur la photo au milieu de la rangée du bas, apparaît Mme Simone Bellaïche, notre professeur de sténo-dactylo, personne très touchante et bon prof. Moi je suis sur la même rangée du bas, la deuxième à gauche, les mains dans les poches de ma blouse. J'ai maintenant 65 ans et vous, entre les 65 et 70 ans. Oû êtes-vous?
A cette époque (belle époque encore), dans notre section nous étions toutes religions confondues : dans cette classe, il y avait des italiens, siciliens, maltais, juifs et musulmans; jamais, au grand jamais, il n'y eut entre nous la moindre réflexion ou critique vis-à-vis de la religion ou la manière de penser de chacune. D'ailleurs on n'aurait jamais pensé à autre chose qu'à de la camaraderie et à nos études; nos professeurs étaient très sympa. A part Mme Bellaïche, il y avait aussi M. Monaco, Mme Chocron (si je me rappelle) et les autres dont je ne me rappelle plus le nom. Oui, c'était le bon temps.
Je suis retournée à Tunis en mars 2007 et je suis allée visiter notre collège qui ne porte plus le même nom; la directrice m'a laissé entrer et j'ai pu le visiter; la cour est la même, ainsi que les préaux et les salles de classe; il y avait une petite cantine sous un préau et un monsieur, très aimable, m'a offert un thé à la menthe et des kakis, il n'a pas voulu que je le paie, il a seulement voulu que je lui raconte le temps passé. Je suis resorti de là avec une très grande nostalgie en pensant à ce temps passé qui, malheureusement, ne reviendra plus.
Dans l'attente de vous lire très bientôt, je vous adresse où que vous soyez, mes pensées les plus affectueuses.

Merci encore Albert pour cette publication et j'espère pouvoir un jour rencontrer une de mes camarades de classe ou du moins correspondre avec elle. A toi, je te dis : shabat shalom et à bientôt.
Colette