Le Miracle sous la STE VIERGE.
-‘…Monsieur Bernard-Julien né Laffont…! Voulez-vous prendre pour épouse Mademoiselle Marianne- Grâce née Rodier ici présente selon les liens sacrés du mariage de notre sainte Eglise et lui jurer fidélité et amour pour tout le restant de votre pour le meilleur et pour le pire… ?’
-‘…………………………… ‘
Silence.
Marianne tourne la tête vers Bernard qui transpire.
Elle remarque sa gêne.
Bernard fait un effort surhumain car il ne veut pas faire de geste affirmatif…Puis dans un élan formidable, il lance….
-‘…EUU….EUH…..EUHEUUUUUU…… !’
Pour enfin accoucher d’un… Tiré de par le fond de sa gorge…
-‘…EEEEE ….UUUU…...Oui ….JE LE VEUX………………. ! OUI JE LE VEUX….. !…Je le veux… !’
Bernard suite à la trop grande émotion vient de retrouver la parole devant plus de 350 invités ébahis, qui peinent à croire leurs oreilles…
-‘…OUI JE LE VEUX… !’ Hurle t’il à l’adresse du père.
Un miracle vient de se produire sous les regards de Jésus et de Marie.
Un hourra s’élève de la foule aux bords des larmes.
Marianne n’en revient pas. Elle tremble de tout son être. Son mari vient de parler.
-‘...Mais tu parles Bernard… ! Tu parles Chéri.. ! Bienvenu chez nous… !’
La Cigale et la Fourmi
La Cigale ayant boursicote
Toute l’annee,
Se trouva toute nue
Quand la crise fut venue :
Plus aucun profit
De Dollar ou d’Euro elle ne fit.
Elle alla quemander quelques billets
Chez la fourmi sa vache a lait,
La priant d'a nouveau lui preter
Quelque monnaie pour remiser
Jusqu’a la chance nouvelle.
"Je vous rembourserai, lui dit-elle
Avant ma mort, foi de fumiste
Capital et benefice"
La Fourmi n’est plus confiante,
C’est la sa nouvelle defense.
Que faisiez-vous aux temps d’indigence?
Dit-elle a cette inconsciente
Nuit et jour, chaque heure durant
Je speculais, ne vous en deplaise.
Vous speculiez? J’en suis fort aise
Et bien, comme moi, chomez maintenant!
EN JUDEO ARABE...JACQUIE.
[[color=#3300FF] La Cigale et la Fourmi
Hi la Cigale lââ’bet fél boursa
Toul el yam.
Lcat rou’ha ariane le zoc.
Kif jet el khou’bei’la.
Hatte robh me je tah’ida.
Lé dollar, lé euro oullé zomara.
Mchet kha’toua kha'oua,el fez'ra
Tet’leb comcha mass’rouf
Y’and él nemila, bag’reta.
Teb’ci ou tech’ci béch tsse’lefa
Tarf flouss.
Hatte i dour el dou’lab.
‘…OuaAAA'layi en rod’mom’loc … !’
Tah’lef ou tet’qetef.
‘…Gbel men mout…!’
Clem mta el gue’debin
‘…El capital ouel robh.. !’
Sidetna el nemile, ma yand’ech tica
Ede elli yanda béch tokh'roj mél âân'crou'che.
‘…Ye cahHHHH’ba oué ch’cen tokh'ssol fe qel ouakt él sââb… ?
Calte’la él ne'mila.
‘…Lil ou nâr, ou hatte col cha’ya elli haye
Nel’yab loucun yaj’bec… !’
‘…AHHHH...Lou’cen ââjeb’niIII ZedaAAAA..? Ah, tel’yab… ? Ye yad’jena…
Mele tewe coum es’tah…!
YATCI HAZOUC ALLA BLED'TEC...YE KHAN FOUCH EL STOUCH...!'[/color]
Paris le 17/05/2009.
Récit.
Tous les événements cités dans cette nouvelle sont imaginaires.
Et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.
La STATUE DE PIERRE.
Clémence….La maman.
Julien...........Le fils.
Edgar………….Le papa.
Octave……….Le domestique.
Marie………...La domestique.
Je venais d’avoir douze ans en ce jour du 23 juin 1979, et décrochais en même temps, aisément mon passage en classe de quatrième secondaire.
Et pour corser le tout, cerise sur le gâteau, mon père nous fit la surprise, à maman et moi, d’élever une statue au milieu du grand parc de notre propriété. Mais pas n’importe quelle statue.
Je me souviens encore, quarante plus tard, de ce matin alors que j’étais encore en pyjama, et ‘craqouillant’ mes petits toasts, de ce vacarme assourdissant qui pénétrait ma chambre donnant sur le grand jardin.
Pris d’une grande curiosité, je courrais vers ma fenêtre de ma chambre pour ouvrir les volets. Encore sous le coup de mon réveil, papa me lança cette boutade, cette phrase qui durant une bonne partie de ma vie allait m’accompagner.
‘…Elle te tiendra compagnie fiston, et surtout surveille là, elle m’a coutée très chère… !’
A Suivre...
Bientôt au PTB.
SALLE POUPEE...
REPRISE DU RÉCIT
'...GUET...!'
7iéme 8 iéme et 9 iéme chapitres au PTB.
Avant parution...!!!!
Récit imaginaire raconté par Breitou.
Les faits rapportés ici ne sont que pure imagination et ne peuvent constituer un plagiat ou inspiration de quelque nature qu’elle soit. Les noms cités sont fictifs.
Ma Conseillère bien aimée...I
Narration.
Je me présente. Je m’appelle Jules Vernet. Je suis un homme d’affaires, grossiste en import-export, et mes relations de travail ont toujours étaient empreints de cordialité, envers mes collaborateurs directs et indirects..
Il n’en fut rien avec ma nouvelle conseillère commerciale nouvellement promue dans le service de la B.T.E. Mon ancienne collaboratrice Madame Fournaise, fut dirigée dans un autre service, à un échelon supérieur.
Elle m’avertit cependant, par simple lettre, de son remplacement par Mademoiselle Caroline Chaumont . Une jeune femme âgée de 28 ans.
Mes relations avec Madame Fournaise ont toujours été au beau fixe.
Elle se déplaçait parfois à mon bureau pour faire signer quelques documents majeurs.
Cette dernière me connaissait bien caractériellement et aplanissait souvent mes petits soucis avec sa hiérarchie. Mon ancienneté méritait quelques entorses au règlement quand je jugeais que mes prélèvements de frais de toutes sortes étaient ‘injustifiés’.
A Suivre et à bientôt pour le 6 Aout.
Ah vous ignorez sans doute cette belle expression d'avant, du temps de ma grand mère Meiha qui disait
'...Erhi ye Mraima...!' Hatte djic él raheya...!
A l'époque, nos mamans n'avaient pas de moulin à grains, elles 'moudraient"  leurs grains dans un pilon.
Donc en attendant, ce bel ustensile, elles étaient contraintes de moudre de moudre sans arrêt, c'est à dire de ruminer.
'...Erhi ye Mbarec, hatte dji el djeja mél Béja...!
La rancune c'est l'anti-chambre de la haine et du désamour.
J'ai adressé qqs tests à mes amis en pv.
TEST : étymologie
Du latin testiculus, dérivé de testis, « testicule ».
Apparenté à témoin, tester, attester, etc.
C’est « ce qui atteste (de la virilité) ».
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