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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
22 juillet 2009, 04:49
Tu es rassuré à présent ?
Re: LE PTB ET MOI.
22 juillet 2009, 06:53
Sur koi....Sur mes TEST...? Bof, ils se portent comme mes attributs.
Mous le matin, invisibles le soir.
Re: LE PTB ET MOI.
22 juillet 2009, 10:21
Re: LE PTB ET MOI.
23 juillet 2009, 01:46
Avec Albert vous n'êtes jamais au bout de vos surprises.





Hammamet le 14 Avril 2009.

Récit imaginaire.

Le voilà le Breitou de prénom nom béni, le tune parfait, venir ici vous narrer un récit imaginé par son patron Albert Abraham lui aussi béni tier.
Un récit qui vous emportera là ou jamais votre malingre imagination ne peut le faire. Bien sur, qu’on trouve de ceux et celles qui, pour se donner des airs d’écrivains tordus et vicieux
jouent les puceaux et les pucelles en narrant des conneries en faisant croire à notre belle galerie Harissienne réduite à deux chauves et trois couillons, que leurs histoires sont de leurs crues alors qu’en réalité elles ne valent rien du tout. A court de sujets, ils/elles réalisent des scores si maigrichons que je leur conseille vivement de se reposer les quenottes. Sinon, la bobine va se tarir comme sont taries mes couilles.

Bon allez, reconnaissez enfin que mon inspiration et ma gloire je la tiens de Achem. Avec bcp de modestie.

Vous, vous ne tenez rien que du malaise farci de platitude.

AU THEATRE CE SOIR.

Pièce en 4 Actes et 20 scènes.

Dans les rôles de...

Khana Steinberg…..La fille des Steinberg. 10 ans.
Akchim.( Anagramme de Michka)

Hans, Gurt, Willy ses frères……….18 ans, 14 ans, Willy 4 ans.
Camus, Freddy et Vivi.

Reinhard Steinberg…..Le père déporté.
Meyer.
Olga Steinberg…..La maman déportée.
Fanfina.
Isaac Steinberg…..Le grand-père paternel déporté.
Blata.
Octave Steinberg…..Le grand-père maternel déporté.
Braham.
Otto Pimenger…..Le jeune garçon, ami de Khana.
Breitou.

Eva Simpson...............La seconde assistance anglaise.
MaYte.

David Rosenberg….L’avocat juif.
Breitou double rôle.

Burst Holkoze.........Le doyen du barreau de Fribourg.
Meyer double rôle.

SHIMON ABRAHAM BAR SHAI COEN Le Rav de Fribourg.

Braham double rôle.

Rappel historique.
Source Google.

Willy Brant chancelier. 1969.
La guerre de Viêt-Nam. 1959/1975.
La nuit de Cristal du 9/11/38 au 10/11/38.
Fin de la seconde guerre mondiale en Europe 1945.
Entrée des forces américaines, anglaises et françaises dans Berlin en Juillet 45.

Tous les événements narrés dans cette nouvelle sont imaginaires et ne se rapportent à aucun fait réel connu ou déjà relaté.
Les noms et prénoms sont fictifs ainsi que les lieux.



Acte I. Scène I.

A CHEM.
KHANA ET OTTO
.


A Suivre...
Programmé pour la rentrée scolaire.
Re: LE PTB ET MOI.
23 juillet 2009, 02:30
Lorsque maman a fermé pour la dernière fois notre maison à la Goulette que nous avons vendue, après des années de bons et loyaux services, pour émigrer en France, elle n’a même pas eu à verser une seule larme alors que je m’attendais à la voir pleurer.

Je n’ai même pas eu besoin de mouchoir.

Elle est sortie en souriant et durant tout le trajet, nous avons parlé de tout sauf de la maison qui pourtant nous a donné tant et tant de bons souvenirs.

Elle a dû se rappeler certainement les bonnes paroles de sa maman Meiha z’al qui lui disait souvent

‘…Yejji ye meboula, rabi lei yech’ouic… ! Louah… !’ ! ( Tais toi folle, que D ieu te garde tes enfants… ! Jette… !’Lorsque maman voulait se débarrasser de vieilleries qui dormait de longues années dans les armoires et qui n’avaient plus court. Car comme on le sait, les mamans tunes sont très conservatrices de ces objets encombrants. Meiha savait de quoi elle parlait.
J’ai la prétention d’être le gardien de mes sentiments.
J’ai la prétention d’être le gardien de mes émotions. De mes souvenirs.
J’ai la prétention d’être le gardien de ma fidélité envers mes amis(es) lorsque j’ai pour eux une grande admiration, et même un sentiment parfois qui me fait pleurer lorsqu’un ami ou une amie en vienne à pleurer au combiné, cette amitié sincère devient amoureuse dans le sens le plus pur DU TERME. Oui, j’aime les émotives, j’aime le cœur de ceux qui ont de l’émotion et qui s’en confient.

ET LORSQUE J AIME JE NE COMPTE PAS.

Tout comme j’aime celui qui vient me narrer son spleen lorsqu’il quitte sa demeure.

Celle qui a vu ces parents partir sereinement, paisiblement, entouré des siens.

J’aime que la mort dans mon vieil âge ne soit pas triste lorsque dans mon dernier soupir j’entends la voix de mes proches, de mes enfants, mes petits enfants et même la voix de mes amis sincères qui m’offrent le plus cadeau, leur présence, le jour du grand départ.

J’aime ce qui est vrai, putain, j’aime celle ou celui qui me donne des frissons.

Alors à celui ou à celle là, je lui dirais ‘…AIME CE QUE TU AS VÉCU DEDANS, EMPORTE AVEC LE SOURIRE UN PEU D’AIR DE TON JARDIN,LE PARFUM DE TES FLEURS, UN PEU DE TERRE, UN PEU DE CETTE POUSSIÈRE, EMPORTE AVEC TOI LES RIRES ET LES SOURIRES MAIS PAS LES CHAGRINS, ET N’OUBLIE PAS QUE LORSQUE TU QUITTES TA MAISON SOURIT AU MOMENT DE LA FERMETURE DE TA PORTE.

PARCE QUE TOUT CE QUI Y ÉTAIT A L’INTERIEUR, TE SALUE SANS JAMAIS TE DIRE ADIEU. ILS T’AIMENT AUSSI.

RM.

Re: LE PTB ET MOI.
23 juillet 2009, 02:50
Salut L'aziz

Je redescends sur terre ,après une semaine passe dans un lieu de rêve.
Je t'envoie un aperçu ,pour répondre , à ta demande de faire un test.
Tu peux voir ma petite fille 11 ans , que nous avons amenée , ma femme , et moi .
Le régime crétois , dont la renommée n'est plus a refaire a fait , des miracles sur ma vieille carcasse .
Nous avons été étés bien reçus , bien nourris , et moi bien arrosé .

Notre hôtel le "Creta Maris" , est conçu comme un grand village crétois avec une multitude d'arbres fruitiers .

À bientôt
de MON CORRESPONDANT EN CRÊTE.
FREDDO. COPYRIGHT. TOUTES REPRODUCTIONS SONT INTERDITES SANS
L' AUTORISATION DE L AUTEUR.



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Admirez Monsieur FREDDO.
Re: LE PTB ET MOI.
25 juillet 2009, 11:59
Et ouiIII, surtout il faut être patient et supporter l'attente de la première clope.

Vivement que sorte le Chabath.

La vipère des buissons du cimetière est déjà sortie et avec elle son baiser venin.
Re: LE PTB ET MOI.
25 juillet 2009, 12:17
Article relevé sur le Fiagaro et publié par notre correspondante attitrée Mamili au KFE DU PTB Là où l'ennui n'existe pas de 7 HEURES DU MAT A 23 HEURES.

Rabi men'iac mél yanc'bout.



Juan-les-Pins, la Riviera dorée

François Simon

22/07/2009 |

Le port de l'Olivette.



(Anaïs Brochiero/Le Figaro)
PLAGE D'ÉTÉ (9/30) - Une Ferrari monégasque égarée au pied du Casino Partouche et quelques Porsche Cayenne devant la terrasse du Crystal. Sur le sable, des talons aiguilles, et, dans la ville, des salles de jeux vidéo. Cette station est inimitable. Inimitée, au demeurant : partout, la fête rôde.

Juan est née de l'improbable. On faillit l'appeler Albany (frère du futur roi d'Angleterre), Albany-les-Pins, Héliopolis ou encore Antibes-les-Pins. On l'appela même Pyjamapolis dans les années Marlene Dietrich. À l'époque, sur les allées de l'Eden Roc, au Cap d'Antibes, on voyait l'Ange Bleu « en pantalon de pyjamas Schiaparelli d'un affolant rose pétard, le tout rehaussé d'une veste bleue, d'un chapeau mexicain et d'épaisses lunettes noires qui mangent la moitié de son visage ». En bord de mer, la promenade avait du chien. Elle en a toujours, d'ailleurs, mais disons que l'entassement est tout de même gratiné. Même sur le petit ponton romantique du square Roosvelt, ils doivent bien être ce soir une quinzaine de couples à partager l'illusion de la solitude…

À la nuit tombée, devant la sublime terrasse du Crystal (arrondie comme une épingle à nourrice), les mœurs restent toujours les mêmes : d'abord passer en voiture, se garer ensuite, repasser à pied, vérifier si l'on vous suit, puis s'asseoir et commander. Là aussi, on empile : le «kholossal aphrodisiak» (gingembre, red bull, gin, vodka) se boit avec six pailles (75 €). Après cela, la nuit peut continuer dans les crissements des démarrages sur les chapeaux de roue (toujours drôles), les indignations murmurées et les riverains qui doivent en être à leur dix-neuvième nervous breakdown.




Une évocation Art déco près de la plage du Ruban

bleu.

(Anaïs Brochiero/Le Figaro)

Mais on pardonne tout à cette station, car, précisément, elle est too much : bracelets d'or aux chevilles, maillots de bains aux matériaux brillants, décolletés outrageux, garçons musclés, autos impatientes. C'est dans la nature de Juan que d'être à la fois «ridicule et charmanteet gaie». C'est Marianne Estène-Chauvin, directrice du légendaire hôtel Belles Rives,qui en parle ainsi avec une passion touchante et des vibrations alimentées par une nostalgie gorgée d'émotion : Juan-les-Pins, ce sont d'abord Zelda et Scott Fitzgerald - qui rampait sur la moquette du casino la bouche pleine de billets pour les recracher au pied du portier -, Rudolph Valentino, Mistinguett… Auxquels s'ajoutent l'hydravion-navette pour Tunis, la Cadillac blanche d'Errol Flynn, les Buick, les Studebaker et le ping-pong.

En août 1932, Emil Petersen, champion de ski norvégien, s'y est élancé sur l'eau, sur des spatules en tôle de 20 cm de large. Le ski nautique venait de naître. À la même époque, Lilian Harvey, star d'Hollywood, est venue y enterrer sa neurasthénie, après avoir connu la Hongrie (elle y acheta un château avec 1 500 vaches et 3 000 moutons). À Juan, elle créa un élevage d'escargots. Puis de cockers. Puis de poules. Avant de passer aux bikinis et aux jupes peintes à la main. Elle dormait portes et portail ouverts, avec à son cou un collier de 280 carats…



Au «carrefour de la joie»


Juan est ainsi fait. Aujourd'hui encore, la fête rôde. Dave Stewart célèbre son mariage au restaurant de plage Moorea avec 600 invités : les Rolling Stones, Elton John, Bono sur le sable chaud. Ce dernier vient encore. Il a sa table près de la volière, qu'on montre comme la relique d'un saint. Parfois même, il reste dormir.

Dédé, qui a créé l'institution il y a trente-quatre ans, savoure cette mode qui vient le saluer. Il a déjà renvoyé Kate Moss et Johnny Depp (il paraît qu'ils ne respectaient pas le lieu, mais se sont excusés par la suite, ouf !) et s'amuse de cette société en bermuda camouflage, faux deux-pièces et talons hauts à même le sable qui vient s'apaiser autour de jéroboams de rosé (160 €). Juan n'a de cesse de harceler les nuits qui, sans doute, doivent se refuser suffisamment pour que l'on revienne sans cesse frotter le macadam de la ville.




Le ponton de l'hôtel Belles Rives. (Anaïs Brochiero/Le Figaro) Marianne Estène-Chauvin se souvient encore de ces époques où les garçons, pour frimer, remontaient la promenade pour terminer au « carrefour de la joie » avec, sur la poitrine, grand chic, un appareil photo. Aujourd'hui, on arbore plutôt du muscle et des airs courroucés. On parcourt inlassablement les rues, on rejoint la pinède, on marche sur les doigts des musiciens moulés dans le sol du trottoir - Chick Corea, Fats Domino -, et dans les salles de jeux, le juke-box et les baby-foot ont cédé la place à de profonds fauteuils en skaï. Face à des écrans, on y joue, larges manettes en mains, au sniper.


.
Re: LE PTB ET MOI.
25 juillet 2009, 12:35
Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ?

Qui est donc la vipère des buissons du cimetière qui est déjà sortie et avec elle son baiser venin ?

Pourquoi ne pas la nommer ? Manquerait on à ce point de courage par peur de l' oeil fendu d'un crotale ?


Re: LE PTB ET MOI.
25 juillet 2009, 13:56
Bonsoir
Chère Jacquie.
Sans elle, je ne me m’inspire pas.
Oui, c’est vrai, crois moi, j’attends donc,
Qu’elle soit entre mes lèvres et aspirer la nicotine,
Pour que les rouages de ma creuse machine
Se mettent en marche.
Alors j’attends.


CHANSON POUR JACQUIE.

J’ai attenduUUU.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

La première étoiIIIIIle

Elle sonne la fin de mon abstinence,
Enfin, j'active tous mes ré mis
Mes SOL FA SI DO et tous mes moOOOOOOOOOOOts

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Qui ce soir sont et vont pour JACQUIIIIIIIEEEE.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Mais quelle est DONC cette belle étoiIIIIIIle

Qui lorsque le temps lui permet,

Lors d’une pause court et vient

Nous fasciner sur la toiiiiiiiiiiiiiiiiiiiile…..

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Mais quelle est DONNNNC.... Cette charmante dame
Pleins de gifs et de vers étincelants MESDAMES.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Elle vient réveiller nos matins par ses matines.
Et les après midis, sans prendre garde
Nous voilà tous remplis, par ses poèmes
Et ses chants sur la gaAAAAmme
De nos accorRRRRds...

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Parfaite amie dame, votre LA donne toute la mesure
A ce joli endroit que bien des envieux nous jalousent.

Et même si tes SI ne sont pas au conditionnel
Ils s’accordent dans notre union parfaiIIIIte…. !!!

Et DO nne nous toujours cette grande envie
De te lire sans que jamais on n’en soit privé.

Ô Grande MamiIIIIIe,
Notre chère JacquiIIIIIIIIe

Qui parfois me fait rire dans mon abri
Sans que jamais dans cent vingt ans à venir
Ne vienne faillir ta grande envie de nous faire plaisir.

A TA grandeur d’âme, nous te remercions JACQUIIIIIIE
De donner ces lettres de NOBLESSE à la viIIIIIIIe.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Tes paroles douces sont comme le miel
Bien loin du fieEEELLL.....

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Elles pénètrent nos cœurs couleur ciel,



Et les fanions blancs aussi purs que tu l’es,
Nous rassurent tout le temps parce que tu nous plais.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Et que surtout nous t’aimons pour ce que tu es.

BON ANNIVERSAIRE….MA CHERE

JACQUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIE…..
NOTRE BELLE JACQUIE SANS ARTIFICES.





AUCUNE GERBE SOIT T'ELLE SI BELLE NE VAUT TA GENTILLESSE.

ELF OU ELF MABROUCK, et je te souhaite

D’être toujours entourée par tes enfants petits enfants


Pour de longues années


bléchi khlef .
AMIN.




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