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Sarkoscope

Envoyé par cacouboulou 
Re: Sarkoscope
05 décembre 2007, 01:08
La question qui gêne: «Où est donc passée Cécilia Sarkozy»?


La France traque Cécilia jusqu'à Genève
SÉPARATION Officieusement séparée de son mari, Cécilia Sarkozy s'est réfugiée sur les bords du Léman.

Cécilia Sarkozy aurait séjourné deux nuits à l’hôtel la Réserve.

Cécilia est bien à Genève

La presse hexagonale est prête à officialiser la séparation du couple présidentiel. Les rédactions sont dans les starting-blocks. Les journalistes français attendent un communiqué de l'Elysée ou une déclaration de Cécilia Sarkozy pour faire leurs gros titres. «Les pages sont déjà», montées confirme le rédacteur en chef d'un grand magazine. L'info devait tomber vendredi, puis dimanche, puis rien.

Deux nuits à la Réserve
Les journalistes français ont traqué la première dame de France jusqu'à Genève où elle s'est, vérification faite, réfugiée il y a trois semaines. Protégée par ses gardes du corps, elle a effectivement passé deux nuits à l'hôtel la Réserve alors qu'enflait la polémique sur le rôle qu'elle avait joué lors de la libération des infirmières bulgares.

Il n'est pas exclu qu'elle y soit retourné depuis ou qu'elle ait prévu d'y séjourner à nouveau. Ces derniers jours, en tout cas, elle n'était pas sur les bords du Léman mais à Londres.

Ce n'est pas la première fois que Cécilia Sarkozy vient se mettre au vert à Genève. Est-ce suffisant pour donner corps à la rumeur qui enfle dans l'entourage présidentiel? Le Canard enchaîné a lâché hier que le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, «a fait chercher dans les annales quels sont les présidents français ou étrangers qui ont divorcé» en cours de mandat.

Des absences embarrassantes
C'est que les absences de la première dame de France commencent à poser de sérieux problèmes aux services du protocole. On l'a vu aux Etats-unis, où Cécilia a boudé la soirée chez les Bush en prétextant un mal de gorge. On l'a encore vu il y a quelques jours puisqu'elle a refusé de se rendre en Bulgarie où elle était pourtant très attendue.

Les ennuis de couple du président français ne sont plus du domaine de la sphère privée. Pourtant, la presse française ne sait toujours pas comment les aborder. Une question d'éthique? Pas seulement. Les patrons de presse sont tous amis avec le président. Tant que l'info n'est pas officielle, elle n'existe pas. Cécilia Sarkozy et Nicolas Sarkozy ne vivent plus sous le même toit. Est-ce suffisant pour pouvoir parler de séparation? Quelques journaux commencent à s'y aventurer. Beaucoup attendent une «permission» élyséenne pour pouvoir l'écrire. D'autres spéculent encore sur un nouveau rabibochage de dernière minute.

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Re: Sarkoscope
05 décembre 2007, 12:28
S'adressant ce mercredi à des étudiants algériens, le président Nicolas Sarkozy a déclaré : ''Le fait qu'il n'existe pas encore de pays palestinien est une injustice que la France ne peut cautionner''.
En ce qui concerne le dossier du nucléaire, le président français a affirmé la coopération dans le domaine du nucléaire civil constituait les bases d'une alliance entre l'Occident et le monde musulman.

« Je ne veux pas d'un amalgame entre l'islam et les terroristes, entre les musulmans et les fanatiques », a affirmé Nicolas Sarkozy depuis Constantine. Le président français, en visite d'Etat en Algérie, a lancé plus spécifiquement un appel à la jeunesse musulmane, « héritiers d'un islam qui a toujours su faire dialoguer la foi et la raison ».

Dans un courrier au Président de la République Nicolas Sarkozy, la LICRA (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme) ''s'étonne de l'utilisation, dans son discours d'Alger, du mot islamophobie, un concept inventé par les intégristes islamiques iraniens''.
LA LICRA poursuit : ''M. Sarkozy a amalgamé racisme, antisémitisme et islamophobie. Or, sous ce nom d'islamophobie, est visé souvent le droit légitime de commenter, de critiquer un dogme religieux au nom de la liberté d'expression. Le droit au blasphème ou la caricature religieuse visés par le concept d'islamophobie ne peuvent être amalgamés à une forme quelconque de racisme, sauf à condamner Salman Rushdie, Taslima Nasreen, Michel Houellebecq, Philippe Val ou Robert Redeker''.
Re: Sarkoscope
07 décembre 2007, 15:37
Tapi rouge à l'Elysée pour recevoir le plus grand preneur d'ôtages international, 400 millions de dollars,,,pffffft ! un petit investissement qui rapporte 3 milliards d'euros,,, sur le dos de qui ???


Plusieurs contrats seront signés au cours de la visite en France de Mouammar Kadhafi, dont l'achat "pour plus de 3 milliards d'euros d'Airbus" et d'"un réacteur nucléaire", a affirmé le fils du dirigeant libyen, Seif el-Islam Kadhafi, dans un entretien diffusé vendredi par le site internet du quotidien Le Figaro.

Le colonel Kadhafi est attendu à Paris lundi pour une visite officielle de cinq jours.

Interrogé pour savoir si des "contrats importants" allaient être signés à cette occasion, le fils du dirigeant libyen répond: "Bien sûr. Nous allons acheter pour plus de 3 milliards d'euros d'Airbus, un réacteur nucléaire, et nous voulons aussi acheter de nombreux équipements militaires".

Interrogé par l'AFP, un porte-parole d'Areva a indiqué que le "le seul contrat commercial que va signer" le groupe nucléaire "concerne son activité transmission et distribution d'électricité pour un montant d'environ 300 millions d'euros".

Concernant le nucléaire, "il s'agit d'un accord intergouvernemental correspondant au temps du politique, dans lequel nous sommes toujours", at-il dit.

Le fils Kadhafi a aussi indiqué que son pays négociait "sur les Rafale", les avions de combat français qui n'ont encore pas été exportés, a-t-il ajouté.

La France et la Libye ont renoué la coopération militaire à partir de 2005 et un contrat pour la remise en état de vol de 12 des 38 Mirage F1 libyens a été signé à la fin 2006.

Interrogé aussi sur ce qu'attendait la Libye de la visite de son père à Paris, M. Kadhafi a répondu qu'elle devait "couronner les nouvelles relations" entre les deux pays.

"Nous avons commencé avec la résolution de la question du DC-1O d'UTA, puis il y a eu les infirmières bulgares, puis les contrats signés entre notre pays et des sociétés françaises, y compris l'accord sur une centrale nucléaire. Ce fut un long processus, que je suis depuis longtemps. Maintenant, la visite du Guide à Paris montre que nous avons atteint le sommet de notre relation", a-t-il dit.

Notant que des compagnies françaises ont remporté des "marchés importants" en Libye, comme la construction du nouvel aéroport de Tripoli, le fils Kadhafi a estimé qu"'il devrait y avoir plus d'investissement" français dans ce pays. "C'est le moment d'investir en Libye, dans l'immobilier, le gaz, le pétrole, le tourisme", a-t-il plaidé.

Seif el Islam Kadhafi a souligné que la Libye voulait avoir sa porpre industrice nucléaire "pour produire notre électricité". "Ce qui nous permettra d'exporter la totalité de notre gaz et de notre pétrole", a-t-il ajouté.

"La Libye sera un pays moderne, avec des infrastructures modernes, un PNB élevé. Ses citoyens auront le meilleur niveau de vie de la région. La Libye aura des relations plus proches avec le reste du monde, avec l'Afrique, un partenariat avec l'Union européenne. Elle adhérera à l'OMC. La Libye sera le pont entre l'Europe et l'Afrique", at-il dit.

Interrogé par ailleurs sur le projet de l'Union mediterranéenne du président français Nicolas Sarkozy, il l'a jugé intéressant "tant qu'elle n'inclut pas Israël".

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Re: Sarkoscope
09 décembre 2007, 03:57
Khadafi : le PS dénonce «l’aveuglement» de Sarkozy»


Les récents propos du Guide libyen ont choqué en France où le leader libyen est attendu lundi pour une visite de 6 jours.

La controverse sur la visite en France, à partir de lundi, du leader libyen Mouammar Kadhafi a, semble-t-il, de beaux jours devant elle. C’est ce que l’on peut penser au lendemain des déclarations chocs du président libyen vendredi, lors d’une conférence publique organisée à l’université de Lisbonne, à la veille de l’ouverture du 2e sommet UE-Afrique.

Ainsi François Hollande, premier secrétaire du Parti socialiste, a fait remarquer samedi qu’en accueillant Kadhafi, Nicolas Sarkozy allait recevoir «un chef d’Etat qui justifie aujourd’hui le recours au terrorisme international». Pour le premier secrétaire du PS, «aucune signature de contrats commerciaux ne peut légitimer un tel aveuglement de la part de Nicolas Sarkozy».

Avant même ces déclarations, la visite du colonel Kadhafi avait suscité de nombreuses critiques. «On n’invite pas en visite d’Etat un grand terroriste», s’est offusqué vendredi le philosophe Bernard-Henri Lévy. «C’est indigne», a jugé le chef du MoDem François Bayrou. «Très choquant», avait réagi la socialiste Ségolène Royal.

Le réseau écologiste «Sortir du Nucléaire» a demandé «l’annulation de l’accord nucléaire» Paris-Tripoli, dénonçant la visite du «dictateur libyen» et le «troc nucléaire contre otages bulgares».

Pour Villepin, Sarkozy a raison

L’UMP a de son côté dénoncé des «réactions rapides et excessives». Le parti majoritaire, par la voix de Thierry Mariani, secrétaire national chargé des relations internationales, estime «qu’il s’agit de la meilleure manière d’accompagner le peuple libyen dans sa quête d’une démocratie accomplie».

Axel Poniatowski, le président de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, membre du parti au pouvoir UMP, a défendu samedi la «realpolitik» à l’égard de M. Kadhafi, estimant qu’il «valait mieux (...) arrêter de marginaliser» la Libye. Son parti a dénoncé les réactions «excessives» de «certains représentants de l’opposition parlementaire et de quelques intellectuels parisiens».

L’ancien premier ministre Dominique de Villepin a lui jugé qu’il était «tout à fait juste» de recevoir le dirigeant libyen, tout en notant qu’il faut être «vigilants» et «responsables».

Cette dernière déclaration a engendré samedi une vive réaction de Louis Michel, le commissaire européen au Développement, pour qui «les colonisateurs ont déjà payé». En outre, a-t-il estimé, «ces sommes n’ont pas toujours été utilisées au mieux. Et on continue, donc on n’a pas de leçon à recevoir de ce point de vue».

Journal: Le Figaro

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Re: Sarkoscope
10 décembre 2007, 10:32
Kadhafi attendu en France pour une visite controversée de cinq jours



Par Par Alain BOMMENEL AFP - Dimanche 9 décembre, 13h19PARIS (AFP) - La France accueille lundi Mouammar Khadafi pour une visite de cinq jours dont le président Nicolas Sarkozy espère une moisson de contrats, mais qui déchaîne les critiques de ceux accusant Paris de sacrifier les principes pour légitimer et armer le "guide" libyen.

Le colonel Kadhafi sera reçu deux fois, lundi et mercredi, par M. Sarkozy au Palais de l'Elysée. Son fils, Seif el-Islam a annoncé que Tripoli voulait acheter pour plus de 3 milliards d'euros d'avions Airbus, un réacteur nucléaire et de "nombreux équipements militaires".

Kadhafi arrive après une salve de déclarations tonitruantes lors du sommet UE/Afrique de Lisbonne, où il a jugé "normal que les faibles aient recours au terrorisme". A Lisbonne, M. Sarkozy a assuré à M. Kadhafi qu'il était "très heureux" de le recevoir. Il s'est longuement justifié de l'avoir invité à Paris. "J'ai dit au colonel Kadhafi que j'encouragerai son retour à la respectabilité internationale", a dit M. Sarkozy. "Pour le reste, il a sa personnalité, il a son tempérament ce n'est pas moi qui vais le juger".

M. Sarkozy a souligné qu'il ne s'était rendu en Libye, en juillet, qu'une fois les infirmières et un médecin bulgares libérés, après 8 ans de détention dans les geôles libyennes. Paris a joué un rôle majeur dans ce dossier, qui était le dernier obstacle à une normalisation complète des relations avec l'Union européenne.

La Libye avait commencé à sortir de son isolement en 2003 après avoir renoncé à son programme d'armes de destruction massive et indemnisé les victimes des attentats de Lockerbie au dessus de l'Ecosse (270 morts en 1998) et contre un DC-10 d'UTA au dessus du Niger (170 morts en 89). M. Sarkozy a dit espérer que la venue de M. Kadhafi permette de "signer un certain nombre d'accords économiques", le patronat voulant profiter de l'ouverture du pays, 3e producteur de pétrole africain.

Tripoli n'a pas caché sa satisfaction sur cette normalisation. "La visite du Guide à Paris montre que nous avons atteint le sommet de notre relation", a triomphé Seif el-Islam. M. Kadhafi sera notamment reçu à l'Assemblée nationale, même s'il ne bénéficiera pas du privilège d'une visite d'Etat. Respectant la "tradition du désert", sa tente bédouine a été plantée dans le parc de la résidence officielle de l'hôtel Marigny.

Le "Guide" libyen doit notamment rencontrer des "intellectuels", des membres de la communauté africaine, à l'Unesco, plusieurs centaines de femmes, visiter le célèbre château de Versailles et participer à une "partie de chasse". L'opposition et les associations internationales ont fustigé cette visite et une "diplomatie business". Les socialistes refuseront d'accueillir M. Kadhafi à l'Assemblée.

Amnesty International a indiqué à M. Sarkozy qu'il recevait un "dictateur" et une association anti-nucléaire, Tchernoblaye, a porté plainte contre M. Kadhafi pour "tortures" demandant même qu'il soit arrêté, ce qui semble illusoire.

Le parti de droite UMP a défendu la "realpolitik" de M. Sarkozy. De son coté Paris considère notamment que la question des ventes d'armes n'est plus un "tabou" depuis la levée d'un embargo de l'UE. Paris fait notamment le forcing pour vendre une dizaine de Rafale, un avion de combat de 50 millions d'euros qui n'a jamais eu de succès à l'exportation.

Paris avait déjà conclu un accord sur le nucléaire et la coopération militaire au lendemain de la libération des infirmières. Une commission d'enquête parlementaire tente de déterminer si des contreparties ont entouré cet élargissement.

M. Sarkozy a démenti tout marchandage. Il affirme ne pas transiger avec les droits de l'Homme, tout en mettant en avant son son pragmatisme, se félicitant de ramener des contrats de l'étranger, comme lors de sa visite en Chine (20 milliards d'euros de commandes). Il veut aussi aider tous les pays voulant acquérir du nucléaire civil, notamment dans le monde arabe, ce qui inquiète certains partenaires de Paris.



La Tente du Grand Méchoui à l'Elysée

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Re: Sarkoscope
17 décembre 2007, 02:15
Salaire triplé pour financer le divorce, les pensions alimentaires, et les petites amies


A peine deux mois après son divorce, Nicolas Sarkozy ne serait plus célibataire. Le chef de l'Etat fera mercredi la une du magazine du gotha Point de vue, Images du monde puis, selon L'Express, de Closer et de Paris Match. Le président de la République y apparaît en compagnie de l'ex-top model Carla Bruni. Des photos qui n'auraient pas été volées...


La couverture de Point de vue qui sort mercredi...
Sur le même sujet
Sarkozy: Amour, divorce et conséquences...
Elle parle, il se tait...

Alors que sa cote ne cesse de baisser depuis le mois d'août dernier (-3 points au dernier baromètre Ifop-JDD), Nicolas Sarkozy aurait toutes les raisons de garder le moral. L'Express, via son site internet, révèle en effet que le chef de l'Etat fera mercredi la une de l'hebdomadaire Point de vue, Images du monde en galante compagnie, celle de Carla Bruni.

L'ancienne top-model devenue chanteuse à succès, est âgée de 39 ans. Fille d'un compositeur d'opéra, Alberto Bruni Tedeschi, et d'une actrice et pianiste concertiste Marysa Borini, elle a vécu en Italie jusqu'à l'âge de cinq ans. Elle est la soeur de l'actrice, scénariste et réalisatrice Valeria Bruni-Tedeschi. Devenue top-model en 1987, elle met un terme à sa carrière de mannequin dix ans plus tard. Elle se consacre alors à la musique, écrit des textes pour Julien Clerc avant que ne sorte son premier album en 2002, Quelqu'un m'a dit, qui connaîtra un beau succès. En 2007, son deuxième album, No Promises, est sorti avec un retentissement bien moindre que le premier. En 2001, elle avait donné naissance à son fils Aurélien, né d'une liaison avec Raphaël Enthoven, alors qu'elle vivait avec le père de celui-ci, le philosophe Jean-Paul Enthoven.

Officialisation officieuse

Le magazine du gotha n'est pas connu pour travailler avec des paparazzi. Très respectueux des grands de ce monde, Point de vue, qui avait publié il y a peu une interview de la mère de Nicolas Sarkozy dans laquelle celle-ci indiquait qu'elle n'était pas pressée de voir son fils se remarier, ouvrira apparemment le bal avant Paris Match et Closer. Au sommaire donc, sous le titre on ne peut plus explicite Carla Bruni, la dame de coeur du président, des photos, prises au vu et au su des intéressés samedi, qui montrent Nicolas Sarkozy en compagnie de l'ancien mannequin d'origine italienne, se promenant à Disneyland. Le président de la République apparaît souriant et détendu, apparemment peu désireux de se cacher même si, ce dimanche, l'Elysée se refuse à tout commentaire sur le sujet.

Selon L'Express, le couple avait déjà été aperçu la semaine passée dans les jardins du château de Versailles. Nicolas Sarkozy et Carla Bruni se promenaient alors avec la mère de la chanteuse. Sur l'antenne de LCI, Christophe Barbier, directeur de la rédaction de L'Express, a indiqué que Carla Bruni elle-même, qu'il présente comme "une amie", lui aurait confirmé la réalité de la relation. Une relation qui aurait débuté après un dîner chez le publicitaire Jacques Séguéla...

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Re: Sarkoscope
17 décembre 2007, 04:14
Un Président célibataire, quelle aubaine pour les magazines !!!
Re: Sarkoscope
17 décembre 2007, 04:28
Et pour les amateurs de cancans, encore plus !!!
Re: Sarkoscope
17 décembre 2007, 06:04
Surtout que là, on est passé en un temps record d'une journaliste du Figaro, à Carole Bouquet, Laurence Ferrari et maintenant Carla Bruni!!

D'accord, on ne prête qu'aux riches, mais enfin...tout de même!
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Re: Sarkoscope
17 décembre 2007, 10:19
Sarkozy offre 200 millions d'euros d'aide aux Palestiniens !

Lors de l'ouverture de la Conférence des donateurs, le chef de l'Etat a proposé la création d'une force internationale pour appuyer les services de sécurité palestiniens.

L'Autorité palestinienne espère recueillir 5,6 milliards de dollars pour financer un plan triennal qui lui permettrait notamment de construire des infrastructures.
- le 17/12/2007 - 11h29

La Conférence des donateurs pour l'Etat palestinien s'est ouverte lundi à Paris en présence de 90 délégations et de Nicolas Sarkozy, Tony Blair, l'émissaire du quartette international pour le Proche-Orient, le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon et la ministre israélienne des Affaires étrangères Tzipi Livni. Lors du discours d'ouverture, le chef de l'Etat a annoncé que la France fournirait 300 millions de dollars (soit 200 millions d'euros) d'aide à la création de l'Etat palestinien, dont 25 millions dès janvier, "pour que les Palestiniens puissent faire face aux besoins les plus criants".

La communauté européenne a elle annoncé le déblocage d'une aide de 650 millions de dollars en 2008. Et dimanche soir, dès son arrivée à Paris, la secrétaire d'Etat américaine avait promis que les Etats-Unis contribueraient à hauteur de 550 millions de dollars. De son côté, le Japon promet 150 millions de dollars d'aide. L'Autorité palestinienne espère recueillir 5,6 milliards de dollars (3,86 milliards d'euros) pour financer un plan triennal qui lui permettrait notamment de payer ses fonctionnaires et de construire des infrastructures. "Sans ce soutien, nous serons confrontés à une catastrophe totale en Cisjordanie et dans la bande de Gaza", a déclaré le président palestinien Mahmoud Abbas.

Abbas demande "l'arrêt de la colonisation"

A la tribune, Mahmoud Abbas a également appelé Israël à arrêter "toutes les activités de colonisation sans exception" dans les territoires palestiniens et "au démantèlement des 127 colonies sauvages érigées depuis 2001, à la réouverture des institutions palestiniennes fermées à Jérusalem, à la levée des barrages militaires, l'arrêt de la construction de la barrière de séparation et la libération des prisonniers", a déclaré Mahmoud Abbas.

Nicolas Sarkozy a par ailleurs proposé la création d'une force internationale chargée, "le moment venu", d'appuyer les services de sécurité palestiniens. "La conférence de Paris doit accompagner l'édification progressive d'un Etat moderne", a-t-il insisté. "L'Autorité palestinienne s'est engagée à assurer le respect de la loi et de l'ordre. Les services palestiniens doivent se réformer, gagner en professionnalisme. Parallèlement, Israël doit se retirer de la Cisjordanie. La communauté internationale doit apporter son aide à la réalisation difficile de cet objectif", a poursuivi Nicolas Sarkozy.



Photo de la grande famille

Condoleezza Rice, Nicolas Sarkozy et Mahmoud Abbas lors de l'ouverture de la Conférence des donateurs pour l'Etat palestinien à Paris, le 17 décembre 2007

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