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LES BLEUS.
Envoyé par Mon_Germain
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Re: LES BLEUS. 08 juillet 2010, 04:40 |
UNE SUPERPRODUCTION BREITOUNA AND C°.
Entrées @#$%&
ARBITRE RACHID A DATI.
Ce film sera projeté en avant arrière en présence de SARKOZY.
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Re: LES BLEUS. 11 juillet 2010, 14:39 |
AFP
Nicolas Sarkozy avec Thierry Henry en juin 2008.
Dans un chat sur LeMonde.fr, Stéphane Mandard, chef du service des sports du "Monde", estime que "ce n'est pas parce que les politiques s'intéressent à la bonne gouvernance du football français que les Bleus vont se mettre demain à bien jouer".
Mona : La rencontre entre Nicolas Sarkozy et Thierry Henry ne montre-t-elle pas une évolution de la politique plus que du monde sportif ? C'est-à-dire d'une politique qui entre dans tous les domaines de la vie.
Stéphane Mandard : Il y a bien longtemps que l'omniprésident Sarkozy nous a habitués à s'intéresser à tout ce qui est médiatique. Le fiasco des Bleus en Afrique du Sud a fait la "une" de tous les médias du monde entier. Il aurait été surprenant que le président de la République ne s'intéresse pas à ce sujet et n'intervienne pas dans le débat public.
Nicolas Sarkozy attendait sans doute beaucoup de cette Coupe du monde pour lui rapporter quelques points dans les sondages. L'élimination prématurée des Bleus lui a, si l'on peut dire, coupé l'herbe sous le pied. Pour reprendre la main, il était important pour lui d'apparaître comme la personne qui pouvait redresser la situation dans laquelle s'est mis le football français dans le mélodrame tragicomique qui s'est joué en Afrique du Sud.
JARJAR : Sarkozy est un amateur de sport bien connu. Attache-t-il une attention particulière à ce sujet ? Conduit-il une politique sportive particulièrement volontariste ?
Coach Sarkozy est un vrai amateur de sports en général et de football en particulier. Avant d'entrer à l'Elysée, il allait régulièrement au Parc des Princes pour suivre les matches du Paris-Saint-Germain. On se souvient aussi de son admiration pour le cycliste américain Lance Armstrong. Le septuple vainqueur du Tour de France est soupçonné de dopage et, malgré tout, Nicolas Sarkozy a trouvé le temps de le recevoir à l'Elysée, comme Thierry Henry.
Elliott : Ce "mélange des genres" est-il, selon votre expérience, propre au gouvernement Sarkozy ?
C'est vrai qu'au niveau français on avait rarement assisté à une telle ingérence, pour reprendre les mots du président de la FIFA, Joseph Blatter, dans les affaires du football. Dans d'autres pays, en revanche, où le football est depuis longtemps une affaire d'Etat, les frontières sont poreuses depuis bien longtemps.
karim : Savez-vous si la relation politique-foot est la même dans les autres pays ?
Dans des pays comme l'Italie ou l'Espagne, le football est vraiment une affaire d'Etat. Berlusconi, par exemple, a construit sa conquête du pouvoir en s'appuyant à la fois sur un groupe de communication très puissant, la RAI, et un club de foot, le Milan AC.
L'ex-président de Barcelone, autre exemple, Laporta, compte bien aujourd'hui embrasser une carrière politique après avoir dirigé avec succès le grand club catalan.
Augustin : Pensez-vous que la FIFA oserait vraiment suspendre la FFF en représailles à l'interventionnisme de l'Etat ?
Je ne le pense pas. Joseph Blatter, qui adore faire de la politique, déteste une chose par-dessus tout : c'est que les politiques se mêlent de ses affaires. Si par le passé il est passé des menaces aux gestes en suspendant temporairement des petites fédérations qui avaient eu maille à partir avec leur gouvernement, je ne vois pas la FIFA et son président mettre à exécution les menaces formulées récemment à l'encontre de la France.
fernand : L'exclusion des Bleus de la scène mondiale ne serait-elle pas finalement la meilleure des choses pour permettre à la FFF et à Laurent Blanc de faire un vrai ménage ?
Je crois effectivement que la sortie des Bleus à l'issue du premier tour est peut-être la meilleure chose qui pouvait arriver au football français, car si les Bleus avaient poursuivi un bout de chemin en Afrique du Sud, on serait peut-être passé à côté de l'essentiel et d'une remise en cause profonde du mode de gestion de l'équipe de France.
Maintenant, reste à savoir si les choses vont vraiment changer chez les Bleus. Les sorties médiatiques des joueurs de l'équipe de France ces derniers jours font craindre que non.
Et ce n'est pas parce que les politiques s'intéressent à la bonne gouvernance du football français que les Bleus vont se mettre demain à bien jouer.
Petit-lu : Est-ce que la FFF ne va pas simplement faire le dos rond pendant quelques semaines pour ensuite reprendre sa route tranquillement ?
Il va être difficile à la FFF de faire comme si rien ne s'était passé. Jean-Pierre Escalettes a d'ailleurs déjà tiré les premières conséquences en démissionnant. Et on voit très bien ce qui va se passer, c'est-à-dire une reprise en main par le monde professionnel d'une Fédération qui fait jusqu'ici encore la part belle au monde amateur.
Alain : Est-ce une première de voir des responsables sportifs ainsi entendus à l'Assemblée ?
Non, ce n'est pas la première fois que la commission des affaires culturelles se penche sur des questions liées au sport. A titre d'exemple, récemment, le président de l'Agence française de lutte contre le dopage, Pierre Bordry, avait été entendu à propos de la politique des contrôles antidopage sur le Tour de France.
Dans le domaine du football, plusieurs dirigeants français ont également été entendus il y a quelques mois au sujet d'un décret de loi en préparation sur les agents sportifs.
Clown : Quelles suites vont-être données à ces auditions sur le terrain politique ? Un rapport, des sanctions, rien...
Nicolas Sarkozy a promis des états généraux du football en octobre. Dès qu'il y a un problème en France, c'est la solution miracle : on propose des états généraux. On a fait de même avec la presse, avec la restauration. Et ça a débouché sur pas grand-chose.
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Re: LES BLEUS. 11 juillet 2010, 15:02 |
AFP
Nicolas Sarkozy avec Thierry Henry en juin 2008.
Dans un chat sur LeMonde.fr, Stéphane Mandard, chef du service des sports du "Monde", estime que "ce n'est pas parce que les politiques s'intéressent à la bonne gouvernance du football français que les Bleus vont se mettre demain à bien jouer".
Tout le monde sait désormais que la bonne entente qui régnait selon le discours officiel n'était que fiction.
Les infos qui filtrent et que nous pouvons confirmer démontrent le contraire.
Il y a bien eu des clans, des caïds comme a dit Bachelot ont voulu régenter le groupe, le terme utilisé n'est pas anodin, nous allons voir ça plus loin.
Bref, rapidement un groupe composé d'Abidal, Gallas, Anelka, Evra, Henry et le crétin Ribery a voulu imposer sa loi, comme par hasard il s'agit des convertis à l'islam ou des musulmans d'origine.
Ce sont eux qui ont fait éliminer de la liste des 23 les maghrébins Ben arfa, Benzema et Nasri car comme déjà explicité dans nos précédents articles dans cette équipe, les histoires des cités ont été reproduites, les noirs détestant les arabes ont écarté ces derniers.
Comme dans nos institutions, les autorités incarnées par Escalettes et le staff technique de Domenench ont vite capitulé devant cette bande racailleuse, par trouille, par aveuglement idéologique, par incompréhension du problème.
Durant le séjour en Afrique du Sud, les infos qui sortent dans la presse le confirment, ce groupe a par l'intimidation, la menace, voulu imposer sa loi, on ne vas en faire le détail ici.
Les problèmes rencontrés par Gourcuff avec Ribery sont réels par exemple, Ribery étant utilisé comme homme de main.
Tout ceci sera désormais mis sur le compte du manque d'éducation, de l'argent facile, du caractère capricieux des intéressés, peut être du traumatisme de la colonisation.
Ce sera la version officielle.
Or, nous savons et tout le milieu du football (des techniciens aux journalistes) et politique le sait, il s'est passé un événement plus grave, plus inédit, plus stupéfiant.
Ces fameux mutins ont agi en tant que musulmans, ainsi outre l'exigence de repas halal, ils ont sciemment expulsé du vestiaire avec violence, en particulier la veille de France-Mexique les "infidèles", les chassant même des douches pour pouvoir faire leur
prière.
Le climat à partir de là fut très très lourd dans cette pseudo équipe.
L'éviction d'Anelka a été le détonateur médiatique, les musulmans montant au créneau pour tenter de faire réintégrer leur frère en religion.
Ainsi est arrivé l'épisode du bus, les réfractaires à cette action étant physiquement menacés (Lloris, Gourcuff, Sagna, Toulalan).
Nous l'avons déjà dit et ceci est confirmé par la presse, la mutinerie a été préméditée le Samedi soir, l'avocat de l'un des joueurs (Evra) rédigeant le fameux communiqué lu par Domenech sous menace d'un forfait de l'équipe qui aurait entrainé une suspension de toutes compétitions internationales de l'équipe pendant 2 ans.
Ils ont voulu imposer la charia, voilà la réalité ! Comme le font les islamistes dans les quartiers où ils sont majoritaires.
Mais cette info sera étouffée.. Il n'est pas bon que le populo découvre l'ampleur du problème, car désormais ce ne sont plus quelques quartiers abandonnés par l'Etat qui sont touchés mais des institutions emblèmatiques.
Maintenant chacun comprendra mieux la signification des propos de Bachelot, ainsi que la convocation des ministres en urgence par Sarko, fait unique dans l'histoire du sport français.
Soyez sans illusions l'heure va venir de la langue de bois, de l'opération réhabilitation des meneurs, c'est qu'il y a des gros intérêt en jeu..
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