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et ca cartonne aussi a tripoli ... a qui le tour

Envoyé par elsa 
Re: et ca cartonne aussi a tripoli ... a qui le tour
01 mars 2011, 03:02
28 février 2011
Castro, Chavez et Ortega aux côtés de Kadhafi

Au Conseil de sécurité des Nations unies, le Brésil et la Colombie ont voté les sanctions contre la Libye, adoptées à l’unanimité.

La plupart des pays d’Amérique latine ont condamné la répression des troupes du colonel Mouammar Kadhafi. Trois exceptions : Cuba, Venezuela et Nicaragua. Florilège :

Prix Kadhafi des droits de l’homme, Fidel Castro a écrit dans ses « Réflexions », reproduites par les médias cubains : « pour moi il est évident que le gouvernement des Etats-Unis ne se soucie absolument pas de la paix en Libye, et qu’il n’hésitera pas à donner l’ordre à l’OTAN d’envahir ce riche pays, peut-être dans quelques heures ou dans quelques jours ».

Le ministre des relations extérieures de Raul Castro a repris la même idée : « des politiciens et des médias américains incitent à la violence, à l’agression militaire et à l’agression étrangère ».

Au Venezuela, le lieutenant-colonel Hugo Chavez, chef de l’Etat, a lancé sur Twitter, à l’adresse de son propre ministre des relations extérieures, Nicolas Maduro : « En avant, chancelier Maduro : donne une autre leçon à la droite pro-yankee ! Vive la Libye et son indépendance ! Kadhafi fait face à une guerre civile ! »

Au Nicaragua, le président Daniel Ortega a téléphoné personnellement à son ami Kadhafi, « qui est en train de livrer à nouveau une grande bataille ».

Ortega vient de lancer sa candidature à la réélection, interdite par la Constitution. L’auteur du petit livre vert (le colonel Kadhafi) est au pouvoir depuis quatre décennies : quel exemple !

[america-latina.blog.lemonde.fr]

Pièces jointes:
Khadafi-dictateurs.jpg
Re: et ca cartonne aussi a tripoli ... a qui le tour
01 mars 2011, 14:26
Khadafi a accepté un interview avec la journaliste CHRISTIANE AMANPOUR de la chaîne américaine ABC. L'entretien s'est passé à Tripoli dans un restaurant du bord de mer.

TRIPOLI, Libya, Feb. 28, 2011

I interviewed Col. Moammar Gadhafi this evening, when he told me he could not step down because he is not a president or king, and denied there were demonstrations against him anywhere in Libya.




"They love me. All my people with me, they love me," he said. "They will die to protect me, my people."

We conducted the interview at a beachfront restaurant in the Corniche, a coastal road on Tripoli's Mediterranean coast. Dressed in his flowing
trademark robes and gold-rimmed aviator sunglasses, Gadhafi looked every inch the flamboyant character he's known to be. The longtime leader, who
didn't seem to be surrounded by huge amounts of security, seemed relaxed and focused. Walking unabashedly into the restaurant, Gadhafi wanted to
show he's not hiding in any underground bunker and that he believes he's still very much in charge.

Gadhafi said he wanted to speak to the press to get the truth out, and he spent more than an hour with us trying to put forth his side of the story.

The Libyan leader laughed when I asked him whether he would step down in response to calls against violence by Secretary of State Hillary Clinton and President Obama.

"Would anyone leave his homeland? Why would I leave Libya?" Gadhafi said, laughing.

He invited the United Nations and any other organization to come to Libya and do a "fact finding mission" and questioned how they could freeze assets, impose sanctions and an arms embargo, and implement a travel ban based purely on media reports alone.

The current uprising is the most serious challenge posed to Gadhafi's leadership since he came to power in 1969. The 11-day revolt has turned the international community against Gadhafi and spurred the United Nations to impose new sanctions against him.

Just today, a funeral for one of the protesters killed last week in Tripoli turned into a small anti-Gadhafi rally. At Tripoli's central hospital, a doctor confirmed that he received the bodies of nine people shot to death during protests.

But Gadhafi's version of the truth seemed to be at odds with what people have been talking about and reporting here, and he does not seem to fully comprehend the drama and the magnitude of what's going on around him.

He said he would not be leaving Libya, and denied -- in very strong terms -- using any force against his people. I asked him several times about reports that aerial bombardments had been used against protesters, but Gadhafi said they did not happen and that they had only bombed military and ammunition depots.

Watch World News and Nightline for more on Christiane Amanpour's interview with Moammar Gadhafi

He seemed to be in complete denial about the protests against him, and that other big cities in Libya, particularly those in the east, had been taken by his opponents.

REPORTER'S NOTEBOOK By CHRISTIANE AMANPOUR

[abcnews.go.com]
Re: et ca cartonne aussi a tripoli ... a qui le tour
01 mars 2011, 21:27
Kadhafi le roi de l'Afrique.

Oui, le roi des fous de l'Afrique, et il n'en manque pas!!!!!!!

Mais en attendant, comme on dit chez nous ma'boul abal ejm'a.
Re: et ca cartonne aussi a tripoli ... a qui le tour
02 mars 2011, 01:18
Henri a écrit:
-------------------------------------------------------
> Kadhafi le roi de l'Afrique.
>
> Oui, le roi des fous de l'Afrique, et il n'en
> manque pas!!!!!!!
>
> Mais en attendant, comme on dit chez nous ma'boul
> abal ejm'a.

[[size=large]color=#0033FF]
D'ou la JAMA'YA du baal a Libya
avec Ma-boule en prime
[/size][/color]
Re: et ca cartonne aussi a tripoli ... a qui le tour
05 mars 2011, 11:12
Dessin de Cam paru dans le Ottawa Citizen
Publié dans Le Monde daté du 6 mars 2011.

Hé, regardez !
Je suis encore debout


Pièces jointes:
Khadafi-debout-LM-060311.jpg
Re: et ca cartonne aussi a tripoli ... a qui le tour
07 mars 2011, 09:18
LA TRADUCTION.

L’hymne israélien de la révolution libyenne cartonne

L'hymne israélien de la révolution libyenne cartonne



Zenga Zenga Song est bien partie pour être LA chanson de la révolution libyenne, si l'on en croit le site du New York Times. Il s’agit d’une vidéo musicale parodique, qui remixe le discours télévisé de Mouammar Kadhafi du mardi 22 février. Elle cartonne sur Internet, avec déjà plus d’un million de visiteurs lundi 28 février, cinq jours à peine après sa publication sur YouTube.

Dans son allocution télévisée, le chef d’Etat menaçait les Libyens d’une répression sanglante si les manifestations continuaient. Sans même comprendre l’arabe, n’importe qui peut distinguer le mot «zanqa» repris plusieurs fois par le «Guide» libyen. Le colonel assurait en effet qu'il allait traquer les manifestants «de maison en maison, et de ruelle en ruelle». D’où la Zenga Zenga Song, en écho à ce mot qui signifie «ruelle», analyse The New York Times.

La vidéo est l'oeuvre d'un Israélien, Noy Alooshe, journaliste et musicien vivant à Tel Aviv, la capitale d’Israël.

Il a superposé aux beats électro de Hey Baby (une chanson du rappeur américain Pitbull) le discours de Kadhafi, puis il a ajouté des femmes dénudées dansant autour de lui. (Il a également réalisé une version sans danseuses, au cas où cela choquerait.)

Contacté par le New York Times, Noy Alooshe explique qu’au départ, il ne voulait pas dévoiler son identité. Puis voyant toutes les réactions positives, il a fini par tomber le masque, puis révéler sa nationalité.

Un opposant libyen l’aurait même encouragé en lui disant que si le régime de Mouammar Kadhafi tombait, ils danseraient tous sur la Zenga Zenga Song. Noy Alooshe est enthousiaste:

«C’est excitant en tant qu’Israélien de faire un tabac dans le monde arabe.»

Dans cette perspective, le Jerusalem Post relate l’implication des juifs de Libye. Quand Mouammar Kadhafi est arrivé au pouvoir en 1969, ils n’étaient qu’une centaine.

Le Guide aurait alors ordonné que tous leurs biens soient saisis et qu’ils ne soient pas autorisés à quitter la Libye. Selon l’article, il n’y aurait plus aucun juif en Libye depuis 2002. La vidéo d'Alooshe prouve qu’ils ne sont pas pour autant indifférents au sort de leurs voisins arabes.
Re: et ca cartonne aussi a tripoli ... a qui le tour
07 mars 2011, 12:21
La vidéo é été consultée 3 039 935 fois sur YOUTUBE.
Re: et ca cartonne aussi a tripoli ... a qui le tour
08 mars 2011, 15:24
Kadhafi voulait créer un parti politique à la Knesset
04/03/2011

GIL SHEFLER

La Libye a secrètement offert à des Israéliens d'origine libyenne une somme d'argent confidentielle pour former un "parti politique libyen". C'est ce qu'a affirmé Meir Kahlon, dirigeant de l'Organisation mondiale des Juifs libyens au Jerusalem Post, mercredi.

Kahlon indique qu'entre 2005 et 2007, lui et deux autres membres de l'organisation ont secrètement voyagé à Amman pour rencontrer un représentant du gouvernement libyen sur la question non résolue des biens juifs de Libye.

"Il nous a répondu qu'il ne pouvait pas nous donner de l'argent directement parce que nous habitions en Israël. Mais ils étaient prêts à nous donner de l'argent pour former un parti politique libyen", affirme Kahlon, qui habite à Or Yehouda, dans la banlieue de Tel-Aviv.

"Il n'a pas dit combien et je ne peux vous donner le nom de ce fonctionnaire, mais l'offre était sur la table."

Pendant des décennies, la diaspora des Juifs Libyens, environ 200000 personnes principalement en Israël et en Italie, a demandé compensation pour les biens que ses membres ont laissé derrière eux lorsqu'ils ont quitté ou ont été expulsés du pays. Les vagues de départ ont débuté dans les années 40. Tripoli a continuellement ignoré les demandes d'indemnisation des personnes ou des organisations de cette communauté.

"De nombreux partis politiques, mais un seul peuple"

En 2005, une rencontre entre le petit groupe de Kahlon et l'officiel du ministère libyen des Affaires étrangères a été organisée par un député arabe israélien, une première du genre. Elle a fait naître l'espoir d'une indemnisation pour les Juifs libyens, et les parties se sont rencontrées à nouveau en Jordanie en 2006 et 2007.

Lors de la dernière rencontre en 2007, l'officiel libyen, qui assurait être proche des dirigeants du pays, a proposé la formation d'un parti politique israélo-libyen comme un moyen de contourner l'embargo sur Israël, mais son offre a été rejetée.

"Je lui ai dit qu'en Israël, même s'il y avait de nombreux partis politiques, nous étions un seul peuple », explique Kahlon. "Je lui ai affirmé qu'en aucun cas nous ne formerions un parti libyen." Quel genre de parti politique les Libyens avaient-ils en tête ? Nul ne le sait, vu que l'offre a été repoussée d'entrée par Kahlon. Par conséquent, aucune autre réunion n'a été organisée.

Kahlon, qui est venu en Israël depuis la Libye en 1950 alors qu'il était adolescent, suit de très près l'évolution de la situation dans le pays en proie à un conflit meurtrier.

Il espère encore que les Juifs libyens pourront un jour voyager pour visiter leur pays de naissance et recevoir une compensation pour les biens privés ou communautaires qu'ils ont laissés derriere eux.

"Ce n'est pas l'argent qui m'intéresse. Ce que je veux, c'est pouvoir me rendre sur la tombe où ma mère repose."

[fr.jpost.com]

© 2008 Le Jerusalem Post édition Francaise
Re: et ca cartonne aussi a tripoli ... a qui le tour
15 mars 2011, 01:28
Kadhafi ne perçoit plus les loyers de la Fnac.


lundi 14 mars 2011,

La Fnac annonce avoir gelé les loyers de son magasin de l’avenue des Ternes à Paris appartenant au fonds libyen Lafico, contrôlé par Tripoli.

La Fnac a annoncé a annoncé lundi 14 mars avoir gelé les loyers de son magasin parisien avenue des Thernes (17e), après l’information rapportée par Libération selon laquelle l’immeuble appartenait au fond lybien Lafico, .

"La Fnac a mis en oeuvre toutes les procédures adéquates afin que les loyers de l’immeuble de l’avenue des Ternes soient gelés en France", affirme la Fnac, qui indique se conformer ainsi aux mesures restrictives édictées le 10 mars par l’Union européenne (UE) à l’encontre de cinq entités libyennes, dont Lafico (Libyan Arab Foreign Investment Company).

Cette mesure a été prise "après contact" avec le ministère des Finances et la Direction générale du Trésor, précise la Fnac.

Le magasin de Ternes, situé dans un immeuble du XVIIe arrondissement de Paris, est la propriété de la Compagnie des exploitations réunies (CER), aujourd’hui indirectement détenue par le Lafico, souligne la Fnac.

Le groupe indique également être depuis son implantation sur ce site en relation avec la société française gestionnaire de l’immeuble BBI.

Nouvelobs.com
Re: et ca cartonne aussi a tripoli ... a qui le tour
17 mars 2011, 13:10
la bande a bono !!!
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