FEMME... FEMME.... FAIT DU SOLEIL…..
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Plus bleu…
Lorsque il* pose son regard *PTB
Sur tes tableaux
Il rencontre le ciel
Et il se dit : "Mon Dieu,
Mais c'est sensationnel,
Tant de bleu."
Lorsque qu’il pose les yeux,
Il rencontre tant de bleu
Et il se dit : "Mon Dieu,
C'est vraiment merveilleux,
Tant de bleu."
Plus bleu que le bleu de tes toiles,
Il ne voit rien de mieux,
Même le bleu des cieux.
Plus blanc que des chevaux argentés
Ne peut s'imaginer,
Même le blond des blés.
Plus purs que tes peintures si douces,
Le vent, même au mois d'août,
Ne peut être plus doux.
Plus fort que ta passion pour elle,
La mer, même en furie,
Ne s'en approche pas.
Plus bleu que le bleu de tes oeuvres,
Il ne voit rien de si charmants,
Même le bleu des océans.
Si un jour tu devais t'arrêter
Et quitter le PTB
Son destin changerait tout à coup
Du tout au tout.
Plus gris que le gris de sa vie,
Rien ne serait plus gris,
Pas même un ciel de pluie.
Plus noir que le noir de son cœu,
La terre en profondeur
N'aurait pas sa noirceur.
Plus vide que ses jours sans lui,
Aucun gouffre sans fond
Ne s'en approchera.
Plus long que son chagrin, son destin,
Même l'éternité
Près de lui serait court.
Plus gris que le gris de sa vie,
Rien ne serait plus gris,
Pas même un ciel de pluie.
J’ai tort d’y penser, je sais bien,
Aux lendemains.
A quoi bon se compliquer la vie
Puisqu'aujourd'hui...
Plus bleu que le bleu de tes toile,
Moi, ne vois rien de mieux,
Même le bleu des cieux.
Plus blond que des chevaux argentés
Ne peut s'imaginer,
Même le blond des blés.
Plus pur que ta passion qui souffle, si douce,
Le vent, même au mois d'août,
Ne peut être plus doux.
Plus fort que ta passion pour elle
La mer, même en furie,
Ne s'en approche pas.
Plus bleu que le bleu de tes œuvres,
Il ne voit que sur ses scénes
Que tout cela dans ses yeux..
J'haAAAbitais un ancien quartier
Bien loin d’ici mon vieux palier
Dans un modeste appartement
Rue Louis PasteuUUUr ( A la Goulette, Tunisie)
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Un coin pas loin de la meEEr
Aux vagues jamais en colèEEre
Près d’un Casino et deux épiciers
Un baby foot et un flippeEEr....
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Pour laiIIsser maman reposer
Parfois je faisais le marchéEE
Mais pas la cuisiIIIne
Je joue, je saute, je rigoOOOle
A l’occasion d’une partiIIe
De volleyYYYY.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Ces joutes ne faisaient pas peuUUr
J’étais un bon passeuUUr
Dés fois bon smacheuUUr
Un styliIIIIIste
Un sport presque un métier
Que je pratiquais à l’envie
Comme un CHEVRONNE.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
J’avaIIis un coup bien spécIIIial
Une jolie feinte du poignet
FataAAAAAle...
Et dans la tribune je vois queEEE
Mes supporteEErs n’en croyaient pas leurs yeux
Je marquais le set gagnant.....
Comme ils diIIIIIIIsent...
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Après la fin du match
On allait manger chez Kahloun
Tous sexes confonduUUUs
Complets poisson ou grillaAAAdes
On s’en donnait à cœur joie
Et sans complexes
On revoyait la partie.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
On discutait à bâtons rompus
Sur les fautes de chacun
Sans LapiIIIId
Mais on faisait cela avec humour
Enrobés par des mamours
Mouillés par nos rires.
Des attardés, nous rejoignaient
On se poussait pour ces invités
Qui venaient s’attabler
Commander et mangeEEr ;
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Nous étions au dessert
Et les rires repartaient.
Tout en mangeant l’Riquet ( un ami)
Mimait notre ami Nanou
Bien ridicuUUUUle
Ca gesticule et s’insulte
Au dessus des arêtes
Des mieEEEEttes.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Les ‘yeEEzzi’ et les gobelets
Fusaient parfois au dessus d’ nos têtes
Moi, mon nez fourré dans mon assiette
Je bouffais mes frites froiIIIdes
Je suis un champion comme ils disent.
§§§§§§§§§§§§§§§
Au petit jour, on poussait le grand kif
Nous passions prendre un bol de drôô
Une merveille
Chez le vieux Challom
Tout surpris notre bonhomme,
Nous servait avec soin
Sa grisaiIIle.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Le soleil s’est levé
Je rentrais me coucher
A son lever.
Dans mon lit, je repassais les moments forts
De notre équipe
Dans ma mémoire.
Mon esprit enfin reposé
Je fermais les yeux
Sur notre belle victoire
Car ce qui comptait le plus
Pour nouUUUs était de relever
Le défiIIII contre des équipes
Bien plus fortes que la noOOOOO...OOOOOOOtre
.

In Barbes streEEEEet...
DONG DONG DONG…
§§§§§§§§§§§§§§§§
I walk my self...
I WorRRRRk.
In Barbes StrEEEEEeet.
[/center]§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
I stand under the spots,
Nights and days, all the hours
Under the rain, under the wind...
The clienT IN THE STATION GARE DU NORD...
aLsoooo...OOOOOO..§§§§§
No youg but old mEEEEEEEn.
In Barbes streEEEEet...
DONG DONG DONG…
§§§§§§§§§§§§§§§§
Walk my self...
I WorRRRRk.
I found bises ness maAAAAn.
With much moneeEEEy…
DARLING ALBERT……!!!!
Many arabs men…no paids meEEE...§§§
Africas men’SSSSS….AlsOOOOO….§§§§§§
WHAT I SAIIIIIDDDD....BABYYYYY..§§§
But no white men because I work in Barbes StreeEEEEEt…
YesSSSS….§§§§§§§§§
Sometime, I think that i have no much CHANCE….!
Because my face is not prettyYYYY….
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
What found the MENNNNN’SSSSSS
For TEN EURO’SSSSS…??????......§§§§§
In Barbes streEEEEet...
DONG DONG DONG…
§§§§§§§§§§§§§§§§
Walk my self...
I WorRRRRk.
i KNOW THAT The BEST pretty womaaaan
n the world DOES not take that SHE have…§§§§§
YESSSSS…..§§§§§…GODZILAAAA…§§§§§§
For ten EurOOOOOO’SSSS…
Tu ne vaux pas plu’SSSSS…§§§§§
DONG DONG DONG....
§§§§§
[[img]http://img411.imageshack.us/img411/76/enseignesperruquesetcsx8.jpg[/img]
[/color][/center][/center][/color][/center]
Mazel Tov a notre ami Papy Albert qui nous annonce la naissance d'une petite fille chez sa fille valerie.
Ahahahah...Moi qui voulait garder le secret, et bien je suis servi par notre chére CAMUS. Merci Camus.
Tu as fauchè la primeur à tout le monde.
Houttè ââliq Ye ghoul.

Felicitations a mon frere
Tu es grand pere
Cher Breitou, frere
Et joyeux compere
Albert
Nous buvons a ta sante
Et nous te souhaitons
Beaucoup de felicite
Aupres de tes rejetons
De la joie de la rejouissance
Ad mea veesrim shana
Petite Rachel, on parle de toi.
On attend ta petite voix.
Tes petits sourires déjà nous berce de joie.
Des milliers de bises
Tu auras lorsqu’on sera là.
Petite fille, on se hâte pour toi.
Pour que bientôt dans un moment
On te retrouve là bas dans ton berceau joli.
Que des milliers de bises...
Tu viens du ciel et les étoiles entre elles.
Ne parlent que de toi
Ton vieux papy tape de ses mains
Sur un vieux tambourin
De notre amour plus bleu que le ciel autour
Petite Rachel, ici on attend au chaud
Sous notre toit qui n’est pas fait de tuiles
Le moment de venir pour te voir, mon cœur.
Les rayons du soleil nous chante une ballade
Je ne l’ai pas encore écrite pour toi
Petite Chérie, tu remplis notre vie
Et c'est pas une blague que je leur fait comme à chaque fois.
Au soleil de St Maur, moi mes poches sont pleines
Et mes yeux pleurent déja de joie.
Tu viens du ciel et les étoiles entre elles
Ne parlent que de toi
D'un Breitou qui fait chanter sa voix
Sur un morceau d’écran pour toi.
De notre amour plus bleu que le ciel autour
Dans la lumière de ce hall d’entrée
Petite Chérie, nous entends-tu aussi ?
Tu n'attends plus que nous pour t’embrasser...
Sous la lumière de ces jolis néons.
Petite Chérie, nous entends-tu ?
Tu n'attends plus que nous pour te réveiller
Tu viens du ciel et les étoiles entre elles
Ne parlent que de toi
D'un vieux chnoque qui ne saura se retenir
Lorsqu’il viendra se pencher vers toi.
De son amour plus bleu comme le ciel autour
Que d’amis sont partis de ma vie.
D’ici ou d’ailleurs, ils ont fui le sage.
De belles âmes amies aussi.
Laissant derrière eux de bons messages.
Les uns différents des autres.
Ils m’ont tous beaucoup appris.
Les femmes surtout avec envie
Sans elles, je me sens petit.
Je renaissais souvent à leurs beaux écrits.
Elles me manquent déjà et je le leur dis
Combien mon énergie souffre à en mourir.
Je vaiIIIIs ainsi effacer tous mes plaAAAAns
Et touUUUtes mes repartis car l’oubli
Est un joyau pour celle qui me le l’a dit.
Je vais fermer ma porte à mes messageriIIIes
Changer à nouveau ma serrure sans souriIIIre
Afin qu’elles m’oublient pour la vie.
Au diable donc le proscrit.
Je porte en moi les stigmates du mépris.
Le savent t’elles au moins toutes ces rikikis.
Je souffre dans ma pénombre de ce silence.
Je vais partir loin dans mes errances
Chercher un havre plus digne, plus clément.
Ici, tout est sombre, je suis le malfaisant
Qui porte la poisse à tous ces bienfaisants.
Adieu à tous mes vieux amis,
Sans rancune et partis pris.
Je porte en moi mon sac à dos.
Vos souvenirs et vos photos.
La mienne déjà s’est ternie
A l’ombre de mes regrets bien saisis.
Un de moins parmi tous vos soucis.
Je pars le cœur lourd mais bien rempli
Par tous vos beaux mots bien concis.
LE BEAU VOYAGE.
Attend vieux RAFIOT
Ne met pas les voiles.
Je prends juste ma toile
Mon baluchon et quelques victuailles
Un bol d’eau et rien qui vaille.
Le voyage sera dur long mais agréable
Sous l’soleil de ces tropiques géniales.
Pas besoin de sex’tant
Par-dessus bord,
On se laissera guider par le bon vent.
Et si Eole celui là est absent
Je soufflerai avec mes accents.
Dans tes entrailles.
Je me ferai menu et bien petit,
Léger et souple à ton bord, pardi
Toi qui a les flancs si frêles et tenus
Comme sont les miens bien fragiles.
Les tiens de paille, ils sont faits,
Les miens de chaume, reconstitués.
Nous partirons le vague à l’âme.
Affronter l’océan, ce grand sésame
Ce portail de la liberté, avec nos rames bien usées.
On se laissera emporter vers le grand large
Par tous ces courants chauds et de glace.
Par le golf Stream et tous les dreams.
Nous fuirons tous ces tyrans, laissons leur donc nos places.
Il leur faut beaucoup d’espace car ainsi sont les rapaces.
A ton tirant, je me laisserai aller.
Sans jamais ta course freinerais
Mes attaches ne sont plus ici
Comme toi qui largue tes amarres.
Nous affronterons tous les gros grêlons
Ainsi que les noirs frelons,
Sans oublier traîtres et félons,
Que le ciel nous enverra par-dessus son balcon.
Et toutes nos blessures sécheront
Au sel marin c’est marrant
Sous l’azur bleu enfin resplendissant.
Et si par chance, nous croiserons
Au milieu de la grande espérance
D ieu Neptune et son grand trident
Nous l’inviterons sur notre méduse
Pour partager nos indigestes galettes
Le pain enzyme de toutes les galères.
Nous arrimerons sûrement quelque part
Sur la grande côte de l’île de Paque
Et nous vivrons ainsi loin de tout,
Robinson a bien survécu alors pourquoi pas nous... ?
Mon cher tendre et bon ami RAFIOT.
Depuis ce jour où tu as pris l’eau
Coulé sous ces beaux flots creux
Au fin fond de cet aquarium bleu
Ton souvenir s’est ensablé dans ma mémoire
Et depuis je pleure ce grand au revoir.
AloOOOrs,
Maintenant que tu n’es plus là,
Tous mes beaux horizons patatras
Je marche seul sur les eaux de ma tristesse
Avec toi il y avait tant de tendresse
Mais voilà cette grande richesse
Ne dure que le temps ......
D’un soOOOOlfèEEEEEge.
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