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ECONOMIE ET COMMERCE

Envoyé par lapid 
ECONOMIE ET COMMERCE
08 septembre 2007, 15:10
Cette rubrique est consacree a tout ce qui concerne le commerce et l'Economie
Economie Israelienne
19 août 2007, 14:32
L'economie israelienne en grande forme

Malgré une année 2006 marquée par un violent conflit avec le Hezbollah, l'économie israélienne affiche une santé exceptionnelle avec une tendance à la croissance qui se confirme au premier trimestre 2007. Le jour de l'Indépendance est toujours l'occasion de faire le bilan et en matière d'économie, le pays peut se targuer d'un bilan très positif.

Bilan Economie israelienne :



Lu sur ADRA

Par Lapid le dimanche 13 mai 2007 - 15h55:

Economie israelienne

Malgré les tensions régionales, l’économie israélienne s’est progressivement transformée, passant d’un système de pays émergent en modèle d’un pays avancé. Avec une économie très ouverte et un PIB par habitant supérieur à 20 000 dollars (soit le niveau de la France à la fin des années 80), Israël est aujourd’hui une puissance économique robuste. Grâce à une très bonne qualification d’une partie de sa main d’œuvre, Israël dispose d’un appareil productif performant et d’une infrastructure bancaire globalement solide.

Outre quelques secteurs traditionnels forts comme la chimie ou la plasturgie, une partie importante de son tissu industriel s’est progressivement réorientée vers le secteur des hautes technologie (aéronautique, électronique civile et de défense, télécommunications, logiciels informatiques, biotechnologies). Le niveau de recherche et de développement civil par rapport au PIB serait un des plus élevés du monde (4,5%). La force de la croissance israélienne s’est confirmée en 2006 (5 %) et ce malgré l’impact du conflit de l’été avec le Liban. ( Mise à jour : 16 Avril 2007)

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Auteur: lapid (IP enregistrée)
Date: 17 mai 2007, 15:26

Economie: Israël trouve dans la mondialisation la source de sa compétitivité. (Par Michaël Beck pour IsraelValley)

Israël s’inscrit de plus en plus dans la mondialisation: le pays voit dans ce phénomène une fantastique opportunité. Privées de marché intérieur important, les entreprises israéliennes doivent très vite « penser international ».

Tout d’abord, Israël profite d’une population très internationale. Plus du quart des israéliens sont nés à l’étranger (35% des juifs). Dans de nombreux cas, les réseaux diasporiques restent vivaces et favorisent les échanges commerciaux. En particulier, tout comme l’Irlande et l’Inde, Israël a grandement compté sur sa diaspora américaine (en l’occurrence, les juifs américains) pour renforcer son économie. Cette tendance est extrêmement visible par exemple dans le domaine du capital risque : l’Etat hébreu, à travers le programme Yozma (1992), a spécifiquement construit son capital-risque (aujourd’hui le deuxième au monde) sur le savoir-faire américain.

A l’inverse de la France qui peut vendre ses produits sans entrave dans l’Union Européenne, les entreprises israéliennes doivent compter sur l’étranger. Autrement dit, sans mondialisation et commerce international, Israël n’aurait jamais pu développer une économie aussi performante.

Cette faiblesse est également une force. Ainsi, du fait de ses faibles ressources et des besoins importants de son industrie militaire, Israël n’a pas pu subventionner ses industries moins compétitives – comme c’est le cas dans de nombreux pays riches. Du coup, l’adaptation s’est faite dans la douleur. Le déclin des kibboutzim, affectés par un prix de l’eau prohibitif, a laissé la place à une industrie de haute technologie extrêmement compétitive.

Alors que la plupart des pays en développement souffrent de lourds déficits commerciaux (du fait par exemple des importations de pétrole et d’automobiles) ; Israël profite, grâce à ses exportations technologiques, d’une balance des paiements positive ($2,2 milliards en 2006).

Dans ce contexte, l’annonce par la banque d’Israël d’une accélération de l’ouverture de l’économie israélienne est avant tout positive : l’état hébreu trouve de plus en plus sa place dans l’économie mondiale.

Les investissements directs étrangers en Israël sont en très forte progression de +135% en 2006. Comme l’a soulignée la Banque d’Israël, les investissements productifs (notamment achats d’entreprises israéliennes par des étrangers et développement de filiales en Israël) se sont élevées à $13,183 millions. Les investissements de portefeuille (achat d’actions et de bonds israéliens par des étrangers) se sont élevés à $7,9 millions en progression de +80%.

Il faut également souligner que les Israéliens investissent eux aussi de plus en plus à l’étranger. L’année passée, les entreprises israéliennes ont par exemple investi $12,3 millions sous forme d’investissement direct étrangers. C’est une hausse de plus de +400% par rapport à 2005.

Même si ces chiffres sont très positifs pour l’état hébreu, cette croissance s’accompagne – comme dans la plupart des pays en développement – d’une très forte hausse des inégalités sociales. En effet, alors que les niveaux chômage en France (8,7%) et en Israël (8,3%) sont comparables, le niveau de pauvreté en 2006 est de 22% en Israël contre 11% en France.


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Compétitivité en hausse - Israël classée 15ème par l'Indice Mondial de Compétitivité (Par Michaël Beck pour IsraelValley)
Source : World Economic Forum


Bonne nouvelle pour Israël : l’Etat Hébreu a progressé de 8 places et se classe en 15ème position du fameux Indice de Compétitivité Mondiale du World Economic Forum.
Ce dernier est une parution annuelle qui classe les pays principalement d’après l’opinion que s’en font près de 11 000 chefs d’entreprise mondiaux.

Cette année, Israël s’est classée 15ème mondial dans l’Indice de Compétitivité Mondial contre 23ème l’année dernière, devenant ainsi l’une des économies les plus compétitives au monde. Ses principales réussites ont été concentrées dans les domaines de « l’ouverture aux technologies » (en progression de 20 places, arrivée 3ème), le management macroéconomique (progression de 17 places, arrivée 50ème), la fluidité du marché (progression de 7 places, arrivé 14ème), et autres domaines d’infrastructure.

Favorisé par la croissance mondiale et la hausse consécutive du commerce mondial, l’économie israélienne a connu en 2005 une progression de son PIB de 5,2%, croissance qui s’est poursuivie au premier semestre 2006.

Ces bons chiffres sont largement liés dynamisme du secteur de la haute technologie dans le monde, secteur représentant à lui seul 70% des exportations israéliennes (c’est le taux le plus élevé au monde). En particulier, le développement de ce secteur en Inde et en Chine ouvre à l’état hébreu deux marchés considérables.

En plus de ces facteurs externes, la compétitivité israélienne a largement profité des réformes du Nouvel Agenda Economique poussé par M. Netanyahou en 2003. Ces réformes, provoquant une réduction des dépenses publiques, une plus grande discipline fiscale ainsi que des baisses d’impôts ont créé des conditions favorables à une augmentation de la productivité et de la croissance. Le déficit budgétaire demeure cependant élevé par rapport aux autres pays occidentaux, classant l’état hébreu à la 71ème place mondiale dans ce domaine (en progression cependant de 22 places par rapport à 2005).

Des réformes récentes – à l’instar de celles approuvées par la Knesset en juillet 2005 – ont également permis d’améliorer l’ « efficacité de marché » (market efficiency) dans l’état hébreu. En effet, des baisses d’impôts considérables sont en train d’avoir lieu, mesures grâce auxquelles le taux maximum d’imposition en Israël ne sera plus parmi les plus hauts du monde. Ainsi, le classement mondial du pays dans ce domaine (58ème en progression de 17 places) ne reflète pas encore toutes les conséquences positives à prévoir.

Le domaine où les progrès enregistrés sont les plus considérables est encore la finance. En effet, Israël se classe à la 13ème place pour ses marchés financiers en hausse de 8 places largement grâce aux conséquences positives de la Commission Bachar. Israël se place également en 2ème place au monde pour l’accès au capital-risque, qui y est excellent, et qui bénéficie grandement au développement des start-ups de télécommunication et de biotechnologie.

Israël se classe 23ème pour la qualité de ses infrastructures, en hausse de 8 places par rapport à l’année dernière. Cette progression est largement due aux efforts consentis dans les secteurs du rail, des routes, des ports et de l’électricité notamment.

Pour en savoir plus :

Israel 2007 - Index of economic freedom 2007 (en Anglais)

[www.heritage.org]
Re: Economie Israelienne
05 septembre 2007, 08:47
Économie d'Israël - Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. -

L'économie israélienne est un système capitaliste moderne d'un pays jeune et se caractérise par un secteur public relativement important et un secteur de la high-tech en croissance rapide. Les entreprises israéliennes, principalement dans ce domaine, sont très appréciées sur les marchés financiers mondiaux. Israël est le second pays en nombre de sociétés cotées au NASDAQ.

En 2006, des milliardaires et des magnats américains dont Bill Gates, Warren Buffett et Donald Trump ont chacun loué l'environnement économique israélien[1].

Sommaire


* 1 Quelques chiffres

* 2 Histoire économique du pays
o 2.1 Premières décennies
o 2.2 Années 1990
o 2.3 Années 2000
* 3 Structure de l'économie
o 3.1 Matières premières
o 3.2 Primaire
o 3.3 Secondaire
o 3.4 Tertiaire
* 4 Partenaires économiques
* 5 Références
* 6 Voir aussi

Quelques chiffres

* PNB ppa (à parité de pouvoir d'achat) : 177,000,000,000 dollars selon la banque mondiale (2005). Le pays est au 47e rang mondial.

* PNB par habitant ppa : 31 767 dollars (estimation 2007 du FMI). Le pays est au 18e rang mondial.[2]

* Augmentation réelle du PNB par année : 5,3% (2005), 5,2% (2006)

Son taux de chômage est de 7,6 % de la population active pour le 1er trimestre 2007 [3] mais il devrait sensiblement baisser dans les prochaines années. Le taux d'activité des 15-65 ans, structurellement bas pour des raisons culturelles et démographiques, atteint 55,8% en 2006, contre 53,2% en 2003 (pour rappel la moyenne des pays de l'OCDE est d'environ 65%, 60% en France). Après une violente récession durant les années 2001-2002, le pays connaît une forte croissance économique qui a atteint 4,8% du PIB en 2004, 5,3% en 2005, et 5,2% selon le Bureau central des statistiques d'Israël pour 2006, malgré la guerre au Liban. Sur la première moitié de 2007, la croissance atteint 6,6% en rythme annuel - au dessus des prévisions de la Banque d'Israël[3].

Histoire économique du pays

Premières décennies

Créé en 1948, les principales sources de croissance d'Israël relèvent du talent de ses ressources humaines qui ont permis en grande partie des taux de croissance à deux chiffres pendant les deux premières décennies d'existence du pays. Les années qui suivirent la guerre de Kippour en 1973 ont fait perdre dix années de croissance au pays et entraîné une inflation à 3 chiffres. À partir de 1985, un plan de stabilisation économique et des réformes dans le sens d'une économie de marché ont ranimé le dynamisme économique et permis une nouvelle croissance rapide dans les années 1990.

Années 1990

Les vagues d'immigration massive des années 1990, avec l'Aliyah de plus d'un million de Juifs hautement qualifiés originaires de l'ancien Bloc de l'Est, a donné une nouvelle accélération à l'économie israélienne grâce à leur force de travail et leur impact sur une augmentation de la consommation.

Le processus de paix israélo-palestinien, lancé par la conférence de Madrid de 1991 et qui a conduit aux accords d'Oslo en 1993 et au traité de paix israélo-jordanien en 1994, a grandement profité à l'économie israélienne en mettant un terme à l'isolement économique du pays et en favorisant une intégration régionale et une ouverture des relations économiques avec ses voisins. Cela a également marqué le début d'une augmentation des exportations israéliennes vers l'Asie de l'Est et des investissements étrangers en Israël.

En 1998, Tel Aviv est cité par le magazine Newsweek comme l'une des 10 villes du monde les plus influentes technologiquement parlant[4].

Années 2000

Les années 2000 sont doublement marquées par la récession des années 2001-2002 et la forte reprise due aux réformes libérales drastiques conduites par le ministre des Finances Benjamin Netanyahou.

Suite à l'effondrement de la bulle high tech et au début de la nouvelle Intifada, l'économie israélienne connaît à partir de 2001, une violente récession se traduisant par un recul du PIB de 0,3% en 2001 et de 1,2% en 2002 (en PIB par habitant, le recul cumulé sur les deux ans atteint 6%). Le chômage explose et s'approche fin 2003 des 11%.

À partir de 2003, Benjamin Netanyahou, ministre des Finances du second gouvernement d'Ariel Sharon, entreprend une politique de réformes profondes, comprenant une baisse massive des impôts, une refonte du système des retraites et de l'assurance maladie, et surtout des coupes brutales dans le budget et en particulier dans les allocations - l'idée étant de forcer les gens à travailler.

Ce plan est un succès sur le plan macroéconomique mais, à court terme, il plonge de nombreuses familles (en particulier arabes et ultra-orthodoxes) dans la pauvreté. La croissance redémarre à partir d'août 2003 et atteint 1,8% sur l'ensemble de l'année, puis 4,8% en 2004, 5,2% en 2005, et 5,1% en 2006. Le chômage tombe à 7,7% fin 2006, et le taux d'activité, structurellement bas en Israël, augmente de 53% a 55,8% fin 2006. Le taux de dépenses publiques, qui représentait 77% du PIB en 1985, et 55% en 2002, est tombé à 49% en 2006 malgré les dépenses dues à la guerre au Liban.

Parallèlement la Bourse israélienne retrouve dès fin 2004 ses records de l'an 2000 et les dépasse de plus de 40% début 2006. De 2003 à 2006, les indices de la Bourse de Tel Aviv ont été multipliés par un facteur 3. En Février 2007, les indices de la bourse de Tel Aviv atteignent les 1000 points, contre 100 en 1992.

2006 est aussi l'année des records d'investissements étrangers avec un total de plus de 23 milliards de dollars - dont 4 milliards pour le rachat de ISCAR Metalworking par Warren Buffett, le deuxième homme le plus riche du monde ; et pour la première fois de son histoire, Israël connaît un excédent commercial qui atteint 2,2 milliards de dollars, et devrait monter à 5,3 milliards en 2007.

Structure de l'économie

Matières premières

L'État d'Israël est relativement pauvre en ressources naturelles. La petitesse de son territoire en est sans doute la cause. Ainsi, l'État hébreu importe une bonne part de sa consommation énergétique (100% de sa consommation pétrolière par exemple) et alimentaire. Le pays importe également de grandes quantités de diamants bruts (d'Afrique du Sud notamment) et d'autres produits industriels. Le pays commerce principalement avec l'UE et les USA. Mais l'Asie prend de plus en plus de poids dans la balance commerciale israélienne.

Primaire

Voir Catégorie:Communauté agricole en Israël

2.8% du PIB du pays provient de l'activité agricole. Israël importe d'importantes quantités de céréales mais est totalement suffisant pour les autres produits agricoles. De nombreuses variétés d'agrumes (notamment oranges, pamplemousses et citrons) sont développés par les producteurs israéliens et constituent le principal produit exporté (dont les oranges de Jaffa par exemple).

Secondaire

Les principaux secteurs de l'industrie israélienne sont :

* la métallurgie,
* les équipements électroniques et bio-médicaux,
* les produits alimentaires,
* les produits chimiques,
* les équipements de transport,
* l'industrie israélienne du diamant est l'un des plus importants centres du monde dans la taille de diamants,
* les équipements militaires électroniques (Israël est un exportateur important d'équipements militaires avec une part de 10% du marché mondial).

Tertiaire

* Le secteur des services est également bien représenté.
* Ce pays est une importante destination touristique.
* Israël est notamment un pays leader dans le développement de logiciels. Il possède 4000 start-up, soit une pour 2000 habitants. Il compte la plus grande concentration d'ingénieurs au monde : 140 pour 10 000 travailleurs, comparés à 88 au Japon, 85 aux États-Unis et 60 pour l'Allemagne.

Partenaires économiques

Les États-Unis sont le premier partenaire économique du pays avec un total de 12,6 milliards de dollars échangés pour l'année 1997: les Américains y exportent des ordinateurs, des circuits intégrés, des avions et des équipements militaires, du blé et des automobiles vers Israël, tandis qu'ils importent des diamants taillés, des bijoux, des circuits intégrés et du matériel de télécommunication en provenance d'Israël. Depuis 1985, des accords bilatéraux de libre-échange ont progressivement supprimé les taxes douanières entre ces deux pays, pour un grand nombre de marchandises. Israël reçoit des aides substantielles des États-Unis, qui étaient de l'ordre de 1,2 milliard de dollars par an depuis les années 1970 et ont diminué continuellement d'environ 120 millions de dollars par an depuis 1998.

Des accords d'échange et de coopération existent également avec l'Union européenne et le Canada, et sont recherchés avec la Turquie, la Jordanie et plusieurs pays d'Europe de l'Est.

Jusqu'à la dernière décennie, les échanges avec le monde arabe se limitaient au strict minimum à cause du boycott de la ligue arabe qui refusait non seulement de faire du commerce avec ce pays mais aussi avec toute entreprise commerçant avec Israël ou toute entreprise commerçant avec une entreprise qui commercerait avec Israël (boycott au deuxième et troisième degrés). (Lire à ce sujet, l'article Office de boycottage d'Israël)

Références

1. ↑ AIPAC: Today's Briefing, 12 décembre 2006.
2. ↑ [1] [www.jpost.com]

3. ↑ [2] [www1.cbs.gov.il]

4. ↑ Tel Aviv Hailed as One of the World's Top Hi-tech Centers. The Israeli Economy Achievements and Potential. Ministry of Finance of Israel (MOF) November 1998.

[www.mof.gov.il]

Voir aussi

Articles connexes

* Liste d'entreprises israéliennes

[fr.wikipedia.org]

Liens externes

* Israel Valley, site sur l'économie israélienne en français

[www.israelvalley.com]

* Globes, site sur l'économie en anglais

[globes-online.com]

* The Marker, site sur l'économie en anglais, du groupe Haaretz

[www.haaretz.com]
Economie: Israël trouve dans la mondialisation la source de sa compétitivité
05 septembre 2007, 02:26
Economie: Israël trouve dans la mondialisation la source de sa compétitivité - Par Michaël Beck - Pour IsraelValley -

Israël s’inscrit de plus en plus dans la mondialisation: le pays voit dans ce phénomène une fantastique opportunité. Privées de marché intérieur important, les entreprises israéliennes doivent très vite « penser international ».
illus-economie

Tout d’abord, Israël profite d’une population très internationale. Plus du quart des israéliens sont nés à l’étranger (35% des juifs). Dans de nombreux cas, les réseaux diasporiques restent vivaces et favorisent les échanges commerciaux. En particulier, tout comme l’Irlande et l’Inde, Israël a grandement compté sur sa diaspora américaine (en l’occurrence, les juifs américains) pour renforcer son économie. Cette tendance est extrêmement visible par exemple dans le domaine du capital risque : l’Etat hébreu, à travers le programme Yozma (1992), a spécifiquement construit son capital-risque (aujourd’hui le deuxième au monde) sur le savoir-faire américain.

A l’inverse de la France qui peut vendre ses produits sans entrave dans l’Union Européenne, les entreprises israéliennes doivent compter sur l’étranger. Autrement dit, sans mondialisation et commerce international, Israël n’aurait jamais pu développer une économie aussi performante.

Cette faiblesse est également une force. Ainsi, du fait de ses faibles ressources et des besoins importants de son industrie militaire, Israël n’a pas pu subventionner ses industries moins compétitives – comme c’est le cas dans de nombreux pays riches. Du coup, l’adaptation s’est faite dans la douleur. Le déclin des kibboutzim, affectés par un prix de l’eau prohibitif, a laissé la place à une industrie de haute technologie extrêmement compétitive.

Alors que la plupart des pays en développement souffrent de lourds déficits commerciaux (du fait par exemple des importations de pétrole et d’automobiles) ; Israël profite, grâce à ses exportations technologiques, d’une balance des paiements positive ($2,2 milliards en 2006).

Dans ce contexte, l’annonce par la banque d’Israël d’une accélération de l’ouverture de l’économie israélienne est avant tout positive : l’état hébreu trouve de plus en plus sa place dans l’économie mondiale.

Les investissements directs étrangers en Israël sont en très forte progression de +135% en 2006. Comme l’a soulignée la Banque d’Israël, les investissements productifs (notamment achats d’entreprises israéliennes par des étrangers et développement de filiales en Israël) se sont élevées à $13,183 millions. Les investissements de portefeuille (achat d’actions et de bonds israéliens par des étrangers) se sont élevés à $7,9 millions en progression de +80%.

Il faut également souligner que les Israéliens investissent eux aussi de plus en plus à l’étranger. L’année passée, les entreprises israéliennes ont par exemple investi $12,3 millions sous forme d’investissement direct étrangers. C’est une hausse de plus de +400% par rapport à 2005.

Même si ces chiffres sont très positifs pour l’état hébreu, cette croissance s’accompagne – comme dans la plupart des pays en développement – d’une très forte hausse des inégalités sociales. En effet, alors que les niveaux chômage en France (8,7%) et en Israël (8,3%) sont comparables, le niveau de pauvreté en 2006 est de 22% en Israël contre 11% en France.
Re: L'économie israélienne en 2006 - Entre croissance et inégalités
05 septembre 2007, 02:50
L'économie israélienne en 2006 - Entre croissance et inégalités (video de 28 mn) - Par Jacques Bendelac, Economiste, enseignant-chercheur à Jérusalem - Pour Akadem - Jérusalem - janvier 2007 -

Source :

[www.akadem.org]

Plan de la conférence

Les performances de l’économie en 2006
Un niveau remarquable dans un contexte difficile ( 05m 35s )

Les facteurs de la croissance
Investissement et consommation ( 07m 26s )

Le prix de la politique libérale
Des inégalités sociales qui se creusent ( 05m 21s )

Retrouver le juste équilibre
Le nécessaire retour de l’Etat ( 04m 05s )

Les hypothèses d’une croissance
Politiciens et contexte régional ( 06m 38s )

Les documents :

n° 1: Les chiffres de 2006 (économie et société)

[www.akadem.org]

n° 2: Les secteurs clé de l'économie israélienne

[www.akadem.org]

n° 3: La transaction d'Iscar

[www.akadem.org]

n° 4: La réforme de privatisation

[www.akadem.org]
Israël PIB : 31800$ per capita - Le Fonds monétaire International et l'OCDE classent Israël à la 16ème place mondiale, à égalité avec la France - Par MBA - Pour IsraelValley - 29 aout 2007 -

Le Fonds monétaire International et l’OCDE ont établi le classement annuel des pays au prorata de leur PIB per capita.

Belle performance d’Israël qui passe de la 23ème place l’an dernier à la 16ème, à égalité avec la France : 31 800$.

En tête de ce hit-parade, l’Irlande avec 46 800$, suivie de la Norvège (45 400), les Etats-Unis (45 200), l’Islande (41 200) et Hong-kong (40 800).

Israël précède, entre autres, Taïwan, l’Italie, l’Espagne ou encore la Grèce.-
En 2006, Israel se place au 21eme rang dans le monde avec un PIB de $27.688 per capita - Par Craig S. Bloomberg - Mercredi 29 Août 2007 -

Selon les dernières estimations effectuees par le bureau central de Statistics/OECD, le PIB per capita en Israel etait de $ 27.688 en 2006.

L'estimation du PIB par habitant effectuee par le Bureau central de statistique en Israel (CBS), qui s'est avérée la plus stable de toutes celles existantes, est calculée en utilisant un taux de change basé sur la parité de pouvoir d'achat (PPA) publiee par l'OCDE une fois tous les trois ans. Selon l'estimation mise à jour par CBS/OECD, le PIB per capita d'Israel en 2006 était $ 27.688, plaçant Israel a la vingt et unième position dans une liste descendante comprenant les pays membres d'OCDE (voir la figure ci-dessous). En 2005 le PIB per capita était $ 26.051, placant Israel au vingt et unième rang aussi. Le CBS effectue une estimation du taux de change de PPA chaque année afin d'y inclure les changements réels du PIB d'Israel. Le CBS a employé la même méthode de calcul au cours des années, basée sur les données de PPA éditées par l'OCDE.

Le FMI a récemment changé sa prévision du niveau du PIB per capita PPA-AJUSTÉ en Israel. Les perspectives économiques dans le monde ont permis d'ajuster le PIB per capita PPA-AJUSTÉ pour Israel en avril 2007 et l'ont estime à $ 31.767, ce qui met l'Israel au dix-huitième rang dans la liste des pays de d'OCDE. Cette comparaison de PIB per capita prouve qu'Israel est dans une position comparable à celle de plusieurs pays d'OCDE, y compris la France ($ 31.872) et l'Allemagne ($ 32.178), et pas très différente de la moyenne des pays de l'OCDE qui est de $ 32.098. L'ajustement ascendant du PIB per capita d'Israel dérive de l'ajustement du taux de change de PPA : en termes de shekel, le PIB per capita a à peine change, mais le taux de change de PPA de FMI qui a été corrige (abaissé) rétroactivement, a contribue a relever le PIB per capita PPA-AJUSTÉ estimé d'Israel pendant les premières années aussi.

PIB Per Capita - Source : Banque d'Israel
Pièces jointes:
PIB per capita - israel-times-oecd-gdp-capit1.gif
Les réserves en devises étrangères d'Israël ont augmenté de 517 millions de dollars au mois d'août, par rapport au mois de juillet, et se montent au total à la somme respectable de 28,8 milliards de dollars. (Guysen.International.News) - 3 septembre 2007
le géant de la construction avait des fondations pourries
03 septembre 2007, 12:47
Heftsiba : le géant de la construction avait des fondations pourries

Depuis que le groupe a déposé le bilan, la police, les banques, et les acquéreurs malheureux vont de surprise en surprise. Boaz Yona a laissé derrière lui près d’un milliard de shekels de dettes et un édifice malade aux ramifications inattendues.

Des centaines de millions de shekels ont été détournés et blanchis. Or de telles sommes ne disparaissent pas sans aide. La police a ouvert une enquête criminelle. Des directeurs de banques, de compagnie de construction, et des avocats, sont soupçonnés d’avoir fourni une aide plus ou moins illicite au président de l’une des plus anciennes entreprises de construction et promotion immobilière israélienne.

Des assurances bancaires ont été promises puis non émises, des chèques ont été versés sur des comptes privés non autorisés, des appartements vendus, puis des ventes non déclarées…

Devant la détresse des petits propriétaires, la Banque d’Israël s’est engagé à défendre leurs intérêts face aux requins de la finance, eux aussi blessés par l’effondrement du géant.

Un mandat d’arrêt international a enfin été lancé contre Boaz Yona, repéré en Roumanie. S’il est rattrapé par Interpol, notre truand de première catégorie devra bien finir par rendre des comptes.

Justice
02 septembre 2007, 14:31
Justice
2007-09-02 16:27:00


Après l'arrestation du patron de Hefstiba, Boaz Yona, à Vérone, jeudi 31 août, (par la police italienne) les officiers israéliens viennent de déposer une requête d'extradition au ministère italien de la Justice.

Boaz Yona avait quitté Israël après la faillite de sa compagnie Heftsiba qui a laissé de nombreuses familles en difficulté.

Pour retrouver le fugitif, l'Unité des fraudes de la police nationale israélienne avait émis un mandat d'arrêt international et avait même eu recours à Interpole pour l'aider dans ses recherches.

Trois semaines ont été nécessaires pour que ce mandat soit effectif.

L'avocat de Boaz Yona, Yair Golan, a cependant déclaré que son client avait l'intention de coopérer avec la police et qu'il se soumettrait à cette requête d'extradition si nécessaire.

Des enquêteurs de l'Unité de fraude de la police nationale israélienne sont actuellement en route pour Venise afin de rencontrer Boaz Yona et l'escorter jusqu'en Israël.
Relations commerciales Israel - Chine
02 septembre 2007, 02:45
Relations commerciales Israel - Chine - Partenariat sous haute surveillance - 29 août 2004 - par PASCAL AIRAULT

Depuis dix ans, les échanges et la coopération entre les deux pays vont s'intensifiant. Ce qui n'est pas pour plaire à Washington.

Souhaitant profiter du dynamisme de la demande chinoise, l'État israélien a récemment concocté un plan stratégique de conquête de ce formidable marché. Objectif : quadrupler, d'ici à 2008, les exportations vers l'empire du Milieu - qui se sont élevées à 506 millions de dollars en 2003. Aussi Tel-Aviv a-t-il mis à la disposition des opérateurs économiques un appui technique et une enveloppe de 1 million de dollars pour promouvoir leurs activités. Secteurs clés : hautes technologies, sécurité, automobile, intrants agricoles, industrie plastique et conditionnement.

« La Chine est devenue une priorité pour l'expansion de notre commerce », expliquait, en juin dernier, à Shanghai, le ministre israélien du Commerce, Ehud Olmert, qui conduisait une délégation de deux cents hommes d'affaires, une des plus importantes jamais envoyée à l'étranger. L'État hébreu souhaite particulièrement commercialiser ses produits de haute technologie (systèmes de télécommunications, équipements médicaux et informatiques, logiciels). Et propose également ses techniques de production agricole : abattoirs, agro-industrie, semences, méthodes d'irrigation... La délégation s'est rendue dans la province de Heilongjiang, au Nord-Est, une vaste région de production céréalière. Plusieurs experts israéliens y assurent depuis un an la formation des producteurs chinois.

Pour l'ambassadeur de Chine en Israël, Chen Long-long, la dynamisation des échanges et la constitution de partenariats économiques entre les deux pays permettent d'améliorer le savoir-faire des sociétés chinoises. Mais il a également fait comprendre à ses partenaires que le « ticket d'entrée » sur le marché chinois était payant en recommandant vivement aux sociétés israéliennes de participer au plan national de développement des provinces de l'Ouest.

Selon Jonathan Goldstein, auteur de China and Israel, 1948-1998 : a Fifty Year Retrospective, les relations entre les deux pays, avant d'être commerciales, sont fondées sur une évolution sociale et politique commune. À travers des siècles de persécution, de discrimination, de colonisation, de défaites, les Chinois comme les Israéliens ont réussi à édifier un État et à se faire reconnaître dans la grande famille des nations. En 2000, pour symboliser le rapprochement entre leurs peuples, le président Jiang Zemin n'avait pas hésité à se coiffer d'une kippa à l'occasion d'un voyage en Terre sainte. « Les nations chinoise et juive, avait-il alors déclaré, ont toutes deux une longue histoire et une splendide culture, et toutes deux ont apporté de remarquables contributions au progrès de la civilisation humaine. »

Cette convergence de destins a beaucoup compté lorsque les deux pays ont entrepris d'établir des relations diplomatiques en 1992. Depuis, la coopération et les échanges n'ont cessé de croître, aussi bien dans le domaine commercial que militaire. Ce qui ne va pas sans inquiéter Washington, qui rappelle constamment à l'ordre son allié israélien. En juillet 2000, Tel-Aviv a dû annuler un accord sur la fourniture d'un système de défense radar, susceptible de guider des raids offensifs et de détecter une menace aérienne. Le contrat, estimé à 2 milliards de dollars, et pour lequel Pékin avait déjà versé un acompte de 250 millions, était en cours de réalisation, lorsque les Américains se sont brusquement réveillés, menaçant Israël de représailles économiques si le contrat était honoré. Selon la Maison Blanche, cette livraison menaçait l'équilibre des forces en Asie et la sécurité des États-Unis. Quatre ans plus tard, la position de Washington n'a guère évolué. Un rapport de la Commission d'analyse économique États-Unis/Chine a révélé, en juin, que les ventes d'armes de la Russie à l'empire du Milieu - ajoutées à la fourniture de hautes technologies par Israël - étaient très dangereuses ; elles permettraient aux Chinois d'élaborer un scénario de conquête de Taiwan qui obligerait les États-Unis à un lourd déploiement de forces aériennes et navales en cas de conflit. Et la Commission de recommander à Washington de contraindre Pékin à reconnaître la souveraineté taiwanaise en utilisant l'arme économique.

Aux États-Unis, les relations commerciales entre la Chine et Israël sont donc scrutées à la loupe. L'État hébreu reçoit annuellement près de 3 milliards d'aide américaine, dont une partie concerne les technologies de pointe. Et Washington redoute que son allié ne livre à Pékin des secrets technologiques qui pourraient un jour se retourner contre ses propres intérêts.

Source : Jeune Afrique

[www.jeuneafrique.com]
MERRILL LYNCH prévoit des taux d'intérêts israéliens à 5,25% en 2008
26 août 2007, 23:50
MERRILL LYNCH prévoit des taux d'intérêts israéliens à 5,25% en 2008 - 27 aout 2007 - Par Sébastien Fortin -

Stanley Fisher, gouverneur de la Banque d’Israël, annoncera ce soir sa décision sur les taux d’intérêt pour septembre.

Hier, le consensus parmi les sociétés d’investissement israéliennes était que les taux d’intérêts vont progresser d’au moins 0,25%. Certains pensent que Fischer aurait décidé de les augmenter de 0,5%.

En ce moment, les taux d’intérêts israéliens sont à 3,75%, comparé à 5,25% aux Etats-Unis.

L’indice des prix à la consommation a progressé en juillet d’un surprenant 1,1%, dépassant les prévisions de 0,8%, et Stanley Fisher devrait tenter de faire baisser l’inflation avec le remède traditionnel qui consiste à augmenter les taux d’intérêts.

Un certain nombre d’analystes et d’experts économiques comme la Banque Hapoalim et Lehman Brothers, prévoient que les taux d’intérêts israéliens vont atteindre 4,5% d’ici la fin 2007. Merrill Lynch prédit que les taux d’intérêts en 2008 atteindront 5,25%, égalant les taux d’intérêts américains actuels.
Taux de croissance impressionnant pour 2007
23 août 2007, 16:04
Taux de croissance impressionnant pour 2007

Avec une croissance qui frise les 7% pour l'exercice en cours, l'Etat d'Israël fait preuve d'une solidité singulière sur le plan économique et ce, malgré la tendance à la baisse des places boursières principales dans le monde ces derniers temps.

Pour en savoir plus :

Retour en images sur une économie qui a fait ses preuves.

[www.infolive.tv]

Source : Infolive.tv 23 Aout 2007
rapidité de la croissance israélienne
23 août 2007, 16:14
CROISSANCE de l'ECONOMIE Morgan Stanley considère que les résultats annoncés démontrent la rapidité de la croissance israélienne - Par S.F. - Pour IsraelValley - 23 Aout 2007 -

L’économie israélienne est en très forte croissance. Le Bureau Central des Statistiques (CBS) a annoncé hier que la vente de produits domestiques avait progressé de 6,6% au premier semestre 2007. C’est le taux le plus important depuis 2000. La plupart des estimations étaient légèrement inférieures.

Le ministre des Finances, Roni Bar-On, estime que cette forte croissance économique a été favorisée grâce à la politique économique du gouvernement. Selon Bar-On, le gouvernement doit suivre une discipline fiscale et respecter son budget, tout en poursuivant ses objectifs comme par exemple les réformes économiques structurelles prévues dans le budget 2008.

Au second trimestre, le PIB a progressé de 6,1%, après avoir augmenté de 6,2% au premier trimestre et de 8% au dernier trimestre 2006. La banque d’investissement, Morgan Stanley, avait estimé une croissance de 5,8% pour le premier semestre 2007. Serhav Cevik, analyste en Israël pour Morgan Stanley, considère que les résultats annoncés hier démontrent la rapidité de la croissance israélienne actuelle.

Les exports de biens et de services ont augmenté de 8,3% et les dépenses dans les biens de consommation de 5,7%. Ce dernier chiffre montre une augmentation du niveau de vie. Le secteur des services financiers et d’affaires enregistre l’une des plus fortes progressions avec 14,7%.

Le taux de chômage est descendu à 7,7% de la population active. Selon CBS, 37 000 personnes ont rejoint la population active au second trimestre 2007, soit une progression de 1,4% par rapport au premier trimestre.

La croissance israélienne en chiffres

* Consommation : +5,7%
* Investissements en capitaux : +5,9%
* Exportations de biens : +8,3%
* Produits d’affaires : +7,9%
* PIB : +6,2%
La banque d'Israël révise ses prévisions de croissance pour 2007 à la hausse
21 août 2007, 03:20
La banque d'Israël révise ses prévisions de croissance pour 2007 à la hausse.- lundi 19 mars 2007 -

C'est devenu rituel ces dernières années: les prévisions de croissance sont systématiquement revues à la hausse tous les 3 mois.

Après une première estimation de 4,6% pour 2007, la banque d'Israël a aujourd'hui rehaussé cette prévision a 5,1% de croissance, identique à la croissance de 2006 (contre 5,2% en 2005 et 4,8% en 2004). Le chômage, qui atteignait 7,7% fin 2006 devrait continuer de diminuer vers les 7%.

En 2006. pour la première fois en 60 ans, le commerce extérieur a été excédentaire, tandis que l'inflation était nulle et que la dette atteignait le point historiquement bas de 88% du PIB – contre 110% en 2003.

Le mini-boom économique que connait Israël depuis 2004 est généralement porté au crédit des réformes libérales drastiques conduites par Benjamin Netanyahou lorsqu'il était ministre des Finances entre 2003 et 2005. Les mesures prises incluaient une baisse massive des dépenses publiques, en particulier des coupes sévères dans les dépenses sociales, une baisse parallèle des impôts, une réforme des retraites, de l'assurance-maladie, de nombreuses privatisations etc… Les classes sociales les plus défavorisées, en particulier les Arabes, les juifs ultra-orthodoxes, et les personnes âgées, ont particulièrement été touchées par ces mesures, mais il semble que les fruits de la croissance commencent doucement aussi à les toucher.
Les relations économiques avec l’Amérique latine sont florissantes
20 septembre 2007, 00:42
Les relations économiques avec l’Amérique latine sont florissantes

Le monde israélien des affaires s’est réuni à Tel-Aviv lors de la cérémonie annuelle de la chambre de Commerce Israël-Amérique Latine. Les hommes d’affaires ont fait l’éloge des relations entre Israël et les pays latino-américains et ont prédit un « boom » économique dans les prochaines années. 19/09/07

[www.infolive.tv]
Israël vient de se doter d'un nouveau prestige économique.
27 septembre 2007, 14:42
Israël vient de se doter d'un nouveau prestige économique.- Par Guysen International News - 24 septembre 2007 -

Le "Financial Times Stock Exchange", (FTSE), une entreprise spécialisée dans la diffusion et le calcul des indices boursiers à travers le monde, vient de classer Israël parmi les 25 pays développés.

Ainsi, ce pays minuscule de seulement 21 000 kilomètres carrés a devancé la Corée du Sud, qui avec ses 78 000 kilomètres carrés supplémentaires devra encore attendre quelques années avant de rentrer dans le classement.

L'Etat hébreu est donc aujourd'hui considéré comme un pays capable de se confronter économiquement parlant, aux autres puissances développées, qui sont pour la plupart des pays occidentaux.

Désormais, Israël pourra bénéficier d'une réduction sur le coût de ses emprunts obligatoires, ce qui lui permettra d'accroître son expansion économique.
Israël VILLES - La richesse des 14 plus grandes villes d’Israël.
25 septembre 2007, 22:06
Israël VILLES - La richesse des 14 plus grandes villes d’Israël. - Par Sébastien Fortin - Pour IsraelValley - 8 septembre 2007 -

Rishon Lezion est la ville la plus riche d’Israël.

Le Bureau Central des Statistiques (CBS) a publié jeudi son rapport concernant les dépenses des ménages en 2006. Ce rapport inclut les 14 plus grandes villes d’Israël.

Selon ce rapport sur les dépenses des ménages, c’est la ville de Rishon Lezion qui était la ville la plus riche d’Israël en 2006.

Classée première parmi les 14 villes citées dans le rapport, les dépenses moyennes des ménages de Rishon Lezion atteignaient, en 2006, 3 166 dollars par famille et par mois.

Bat Yam, classée à la 14ème et dernière place, a eu des dépenses moyennes mensuelles des ménages de 1 998 dollars par famille, soit 37% de moins qu’à Rishon Lezion.

Selon les données de CBS, la dépense mensuelle individuelle la plus élevée en 2006 (1 389 dollars) a été atteinte à Tel-Aviv, alors que la plus basse (492 dollars) était obtenue à Bnei Brak. Bnei Brak a également obtenu le chiffre le plus élevé de personnes vivant dans un appartement (4.3), alors qu’à Tel-Aviv ce nombre était 2.2.

Les ménages de Rishon Lezion ont également atteint la première place pour ce qui concerne la possession de téléphones portables (90.6%), d’ordinateurs (74.1%) et de voitures (75%). Bnei Brak a été classé dernier avec seulement 31.9% de ménages possédant une télévision, 42% un ordinateur et 24.2% une voiture.-

Source : [www.israelvalley.com]

Rishon Lezion
Pièces jointes:
Rishon_Lezion.jpg
L'économie : Priorité des Israéliens
07 avril 2009, 13:17
L'économie : Priorité des Israéliens - Par Jerusalem Post en francais - 7 avril 2009

Une claire majorité des Israéliens s'est prononcée en faveur d'une lutte contre la crise économique selon un sondage conduit en mars 2009 par les Professeurs Ephraim Yaar et Tamar Hermann, publié par l'université de Tel Aviv.

62% placent la crise économique en première ou seconde place. Loin derrière, les problèmes de sécurité et de politique, et notamment la menace iranienne qui représente 39% de leurs préoccupations et les négociations avec les Palestiniens, seulement 27%. Les problèmes intérieurs sont également relégués à une place moindre, les écarts économiques (31%), la corruption (19%) et l'amélioration du système de gouvernance (16%).

Une majorité des citoyens Juifs israéliens (53%), mais un tiers des Arabes israéliens (33%) croit en les déclarations du Premier ministre Netanyahou quand il annonce qu'il s'attachera à restaurer la paix avec les Palestiniens. Cependant, la majorité des deux secteurs soutient l'idée qu'une "paix économique" peut contribuer à rétablir une certaine stabilité dans la région.

Une majorité d'Israéliens Juifs (54%) et Arabes (59%) pense qu'en dépit de la formation à droite du nouveau gouvernement, de bonnes relations seront maintenues avec l'administration américaine d'Obama en ce qui concerne le conflit israélo- palestinien.
Les fêtes juives sont une aubaine pour l’économie israélienne
11 avril 2009, 01:54
Les fêtes juives sont une aubaine pour l’économie israélienne - Actu.co.il - 10 avril 2009



La succession des fêtes juives est une aubaine pour l’économie israélienne. Hanouca en décembre, Pourim en mars et Pessah en avril: autant d’occasions pour les commerçants israéliens de redresser leur chiffre d’affaires largement entamé par la morosité ambiante.

Certes, crise oblige, l’Israélien dépensera moins cette année. Mais il ne renoncera pas pour autant à certaines dépenses liées à la fête de Pessah. Les commerçants l’ont bien compris et ils rivalisent d’imagination pour s’attirer la clientèle, quitte à casser les prix.

Cette semaine, il suffisait d’ouvrir un quotidien de la presse israélienne pour se rendre compte à quel point les commerçants tablent sur Pessah pour redresser leurs ventes. Et tous les secteurs sont concernés par le low-cost: ameublement, lunetterie, textile, voyages, multimédias, automobile, etc.
Pessah touché par la crise
13 avril 2009, 05:23
Pessah touché par la crise - Par SHARON WROBEL - Jerusalem Post en francais - 12 avril 2009 -

Dans le contexte de crise, les consommateurs israéliens fêtent Pessah avec moins de faste, d'après une étude publiée par l'organisme des précepteurs d'impôts mardi dernier.



Un Pessah plus modeste à cause de la crise.

L'étude, conduite auprès de 800 commerces de détail, révèle que les consommateurs ont réduit leurs achats de Pessah de 14 % en moyenne cette année par rapport à 2008.

Les secteurs du prêt-à-porter et des vêtements de sport ont été les plus touchés avec un manque à gagner de 18 %. Les ventes d'appareils électroménagers et de produits cosmétiques ont chuté de 12 %. Les coiffeurs et les cosméticiennes ont pour leur part constaté une baisse de 8 % sur leurs revenus.

Une étude publiée par le syndicat général de la Histadrout a abouti aux mêmes conclusions.
"Cette année, les Israéliens fêtent Pessah plus modestement. Ils ont moins d'invités et réduisent le volume des repas", explique Yaron Levinson, directeur du service consommateur de la Histadrout. "L'étude montre que le ralentissement économique commence à toucher les consommateurs, ce qui pourrait nuire à toute l'économie."

17 % des 453 personnes interrogées ont déclaré réduire leurs achats de nourriture à cause du climat économique; 20 % donnent moins aux nécessiteux cette année, 18 % dépensent moins dans les produits d'entretien et 25 % ont eu moins d'invités au Seder de Pessah. 39 % ont réduit leurs dépenses dans les achats pour la maison. La proportion atteint 34 % pour l'achat de nouveaux vêtements et de chaussures, 36 % pour les achats de cadeaux à la famille.

Pendant les fêtes, 26 % réduisent les dépenses des sorties familiales, 36 % celles des vacances à l'étranger et 34 % celles des vacances en Israël.

Le secteur des meubles a été au contraire épargné par la crise, d'après Amnon Schwartz, président de l'Association de l'industrie des meubles et PDG du groupe Aminach. D'après lui, les ventes de meubles avant Pessah ont même augmenté de 5 % par rapport à l'an passé, générant un gain de 520 millions de shekels.

Sur le total des meubles vendus, 80 % sont fabriqués en Israël, explique Schwartz en ajoutant : "A la lumière de la crise économique, de nombreux fabricants locaux ont réduit leurs prix et ont proposé des offres intéressantes pour Pessah, avec des conditions d'achat pratiques."


Source : [fr.jpost.com]
13 entreprises israéliennes dans le classement mondial de ‘Forbes’
13 avril 2009, 18:20
13 entreprises israéliennes dans le classement mondial de ‘Forbes’ - Par Itaï Smadja - Pour Guysen International News - 13 avril 2009 -

La crise ne touche pas tout le monde de la même façon. Tandis que le gouvernement israélien a annoncé une perte importante des revenus de l’Etat, le magazine ‘Forbes’ a rendu son classement annuel des plus grandes entreprises du monde. Bonne nouvelle pour Jérusalem : 13 entreprises israéliennes sont recensées, soit trois de plus que l’année précédente.

Le nouveau ministre israélien des Finances Youval Steinitz n’a pas perdu de temps pour annoncer des mauvaises nouvelles.

Depuis le début de l'année, les revenus de l'Etat provenant des impôts ont diminué de 18 %, a-t-il annoncé, ajoutant que selon les pronostics, le déficit budgétaire devait augmenter de façon spectaculaire en 2010.
Pour les experts, il pourrait atteindre les 100 milliards de shekels, un fait sans précédent dans les annales d'Israël.

Face à cette situation, Y.Steinitz a décidé de convoquer d'urgence les hauts responsables des finances.
Des annonces qui contredisent les performances internationalement reconnues de certaines grosses entreprises israéliennes.

En effet, 13 d’entre elles figurent dans le classement annuel des 2000 plus grandes entreprises du monde du magazine ‘Forbes’. L’an passé, seules 10 avaient été sélectionnées.

Une firme de rafinerie de pétrole a toutefois été retirée du classement tandis que les entreprises Africa Israel, Bezeq , Check Point et Gazit Globe ont fait leur entrée.

Teva est considérée comme la plus grande entreprise du pays et occupe la 381e place du classement perdant ainsi 35 places par rapport à l’an passé. Suivent ensuite la Banque Lehoumi à la 808e place, la Banque Hapoalim à la 859e et le groupe Delek à la 1112e.

Figurent également IDB Holdings à la 1119 position, Israel Corp à la 1238e, la banque Discount à la 1289e Africa-Israel à la 1344e place et Bezeq à la 1554e position.
Check Point arrive à la 1561 place, suivit de près par la banque Mizrahi-Tefahot à la 1600e. Enfin figurent aussi FIBI Holdings au 1832e rang et Gazit Globe au 1882.

Les Etats-Unis ont une position de leader dans le classement ‘Forbes Global 2000’ en particulier grâce à la société d'ingénierie électronique General Electric (GE), qui a pris la place de la banque britannique HSBC. Cette dernière est passée de la première à la sixième place par rapport au dernier classement.

General Electric a été classée plus grande entreprise mondiale avec un chiffre de vente annuel qui s’élève à 182,52 milliards de dollars, un bénéfice de 17,41 milliards de dollars ; 797,77 milliards d'actifs et une valeure boursière de 89,87 milliards de dollars.
L’entreprise britanique et hollandaise Royal Dutch Shell arrive en seconde position, suivie de Japanese motor corporation Toyota, Exxon Mobile et BP.

Le classement prend en compte 62 pays au lieu de 60 l’année précédente. 551 des 2000 entreprises classées sont américaines.


Source : [www.guysen.com]
ISRAËL SPÉCIAL AGRICULTURE
13 avril 2009, 18:28
ISRAËL SPÉCIAL AGRICULTUREL'agriculture israélienne bénéficie de l'envolée des cours mondiaux: la valeur de la production agricole a augmenté de 8,7% en 2008 malgré une baisse de 4,9% en volume. - Par Jacques Bendelac - Pour IsraelValley.com - 13 avril 2009 -

Pessah représente aussi le début de la saison des récoltes en Israël. Or, qu’en est-il des récoltes après une année caractérisée par la pénurie d’eau, la concurrence internationale et le renchérissement des matières premières ?

On disait l’agriculture israélienne en voie de disparition. Et pourtant, en 2008, la valeur de la production agricole d’Israël a augmenté de 8,7% par rapport à 2007 pour atteindre la somme de 24,8 milliards de shekels, soit 6 milliards de dollars.

Comment expliquer ce sursaut de l’activité agricole en Israël? Selon le communiqué que l’Institut israélien de la Statistique a publié à la veille de Pessah, la hausse de valeur de la production agricole s’explique par l’accélération générale des prix agricoles (+14,3 % en 2008).

Tiré par les cours mondiaux, le prix de la plupart des productions (végétales comme animales) s’envole. Autrement dit, l’agriculture israélienne tire un meilleur prix de ses cultures, même si elle produit moins.

Car en volume, la production agricole a reculé de 4,9% en 2008. Il semble que les conditions climatiques n’ont pas été favorables à certaines cultures, comme les légumes et les agrumes dont les quantités produites ont reculé de 4,3%.

Par contre, la production animale a augmenté en volume de 3,6% en 2008. Toutes les productions animales ont continué leur progression en 2008: bovins (+3,5%), volailles (+9,1%), œufs (+7,8%), etc. Dorénavant, la production animale représente 40% de la valeur totale de la production agricole d’Israël.

A l’exportation, les agriculteurs israéliens subissent le contrecoup de la concurrence internationale. En 2008, le volume des produits agricoles exportés a diminué de 16% en moyenne: la baisse se situe entre 3% pour les agrumes et 54% pour le coton exporté. En outre, le prix que les exportateurs ont reçu en contrepartie de leurs produits a baissé de 5%, ce qui fait que la valeur totale des exportations agricoles a chuté de 21% en 2008.

Quant au revenu des agriculteurs, son principal frein est la hausse continue des coûts de production. En 2008, les coûts ont augmenté de 16%, après une hausse de 9% en 2007.

Pour certains postes de dépense, la facture a fait un bond: c’est ainsi que le prix des engrais utilisés par les agriculteurs israéliens a augmenté de 61% en 2008 !

Les dépenses s’alourdissent aussi pour les aliments pour animaux en raison de la hausse du prix des matières premières entrant dans leur composition: pour le fourrage par exemple, les agriculteurs israéliens ont dû débourser 20,2% de plus que l’année précédente.

Quant à la facture énergétique, elle continue aussi de s’alourdir: le prix des produits énergétiques (essence et électricité) payé par les agriculteurs s’est accru de 26% en 2008.

Au total, le revenu net des agriculteurs israéliens – déductions faites des coûts de production – s’est élevé à 3,8 milliards de shekels en 2008, soit le même montant que l’année précédente.


Source : [www.israelvalley.com]
Re: 13 entreprises israéliennes dans le classement mondial de ‘Forbes’
13 avril 2009, 18:35
MULTINATIONALES ISRAËL - FORBES CLASSE 13 FIRMES ISRAELIENNES SUR 2000 COMME LES "PLUS GRANDES" DU MONDE. TEVA EST LE "NOKIA" DES ISRAELIENS. - Par IsraelValley Desk - 12 avril 2009 -

Selon le magazine Forbes , 13 firmes israéliennes méritent de figurer dans le tableau mondial des leaders.

La liste des “TOP 10” est la suivante :

1. TEVA
2. AFRICA ISAREL
3. BEZEK
4. CHECK POINT
5. GAZITH GLOBE
6. I.D.B.
7. BANQUE LEUMI
8. DELEK
9. DISCOUNT BANK
10. HEVRA LEISRAEL

ISRAELVALLEY : PLUS SUR TEVA

Leader mondial des médicaments génériques depuis ses dernières acquisitions en 2005, l’israélien TEVA renforce sa suprématie et vise une part de marché de 32% dès 2012. Le Nokia israélien est bel et bien né, dans un secteur totalement inattendu et bénéfique pour les consommateurs.

TEVA se classe parmi les 8 premiers producteurs mondiaux de médicaments en concurrence directe conceptuelle avec les grands tels Glaxo, Sanofi ou Pfizer.

Qu’est-ce qu’un médicament générique ?

C’est un médicament identique ou équivalent à celui d’une marque dont : la molécule active a été utilisée pendant de nombreuses années sur un très large panel de patients.

Ces millions de patients ont payé le prix fort pour l’accès à cette molécule pendant une longue période.

La molécule active n’est plus protégée par son brevet qui tombe dans le domaine public par expiration.

Ce sont des médicaments de confiance qui soignent bien, et en toute sécurité du fait des années d’expérience acquise.

Ils ont l’obligation légale d’être aussi efficaces que l’original.

La consécration des génériqueurs, et de TEVA Pharmaceuticals en première ligne, est venue dernièrement du souhait de la grande distribution d’offrir ces médicaments moins chers. Ainsi Wal-Mart, le n°1 mondial de la distribution, a-t-il passé un accord avec TEVA pour commercialiser des médicaments à 4$ dans ses rayons en 2007. Target, le n°2 américain n’a pas tardé à suivre, favorisant le libre accès à des médicaments de qualité à un prix abordable pour tous. Carrefour serait intéressé par cette stratégie en Europe.

Depuis, le géant Wal-Mart commercialise des médicaments génériques à 4$ contre 20 à 70$ pour les versions des grands laboratoires, et ceci tout en conservant des marges importantes. Wal-Mart compte déjà pour 5% des bénéfices de TEVA en 2006 et pourrait rapidement en représenter 10% avec cette vitesse de développement. Plusieurs centaines de médicaments génériques sont déjà en vente dans ses 2700 supermarchés avec le slogan “No one should have to cut pills in half” (personne ne sera plus forcé de couper la pilule en deux par manque d’argent).


Source : [www.israelvalley.com]
Made in Israel - IMAGE DES PRODUITS D' ISRAËL
13 avril 2009, 18:43
SONDAGE SUR LA MARQUE "ISRAËL" - L'IMAGE DES PRODUITS D' ISRAËL EST BONNE POUR 59% DES ACHETEURS DANS 13 PAYS, DONT LA FRANCE. 2% REFUSENT LE "MADE IN ISRAEL". - Par IsraelValley Desk et D.R. - 11 avril 2009 -

EXCLUSIF - Ceux, une très faible minorité, qui sont des adeptes du boycott des produits d’Israël ont du souci à se faire : une très sérieuse étude menée dans 13 pays dont la France, l’Allemagne, la Pologne, l’Espagne, les USA, le Canada, le Mexique, l’Inde, l’Italie, le Japon, la Russie, la Chine révèle que le “Made in Israel” est plus fort que jamais. Les produits du high-tech, médicaux, alimentaires, software en provenance d’Israël sont les plus appréciés.

Les appels au boycott des produits d’Israël n’ont finalement qu’un impact plus que limité.

Selon un récent sondage paru en Israël et diffusé par Ynet, si l’on déclare à un acheteur qu’un produit vient d’Israël, 31% des personnes interrogées sur 5215 (nombre de personnes qui ont participé au sondage) déclarent avoir une image positive ET veulent l’acheter.

L’étude révèle que 2% des acheteurs ne veulent pas acheter des produits fabriqués en Israël. Ceci correspond bien à notre propre analyse sur le marché français. Les plus positifs vis-à-vis des produits israéliens sont les Indiens qui semblent adorer le high tech d’Israël.


Source : [www.israelvalley.com]
ISRAEL ET LES TENTATIVES DE BOYCOTT EN FRANCE
13 avril 2009, 18:52
ISRAEL ET LES TENTATIVES DE BOYCOTT EN FRANCE : LA REPONSE DES FIRMES ISRAELIENNES QUI EXPORTENT VERS LA FRANCE. - Par Dan Assayah - Pour IsraelValley.com - 9 avril 2009 -

Une bataille a été engagée par des groupes pro-palestiniens qui désirent mettre en place un boycott des produits “Made in Israel” dans des grands magasins en France.

L’enjeu pour les Israéliens est important. En 2008, la France a été le 10ème pays acheteur de produits israéliens. Les produits israéliens exportés vers la France concernent des biens intermédiaires (29%), du matériel de pointe et des biens d’équipement (27%), des produits alimentaires (27%) et des biens de consommation non alimentaires (17%).

Le site de Marianne2 : “Habillés de t-shirts verts Boycott Israël, des militants pro-Palestiniens viennent mettre à sac les rayons de Carrefour commercialisant des produits israéliens ou même d’entreprises commerçant avec Israël. Les vidéos buzzent sur les sites radicaux et l’enseigne joue la neutralité”.

Qu’en pensent donc les Israéliens ? Nous avons posé la question à quelques patrons de firmes israéliennes. Leurs réponses ont été les suivantes :

- “Nous n’avons pas de baisses du chiffre d’affaires sur la France, bien au contraire. L’impact est quasi nul”.

- “La bonne manière de répondre aux agitateurs est de continuer notre activité en étant irréprochables en matière de qualité et de prix”.

- “Les grandes surfaces françaises ont besoin de faire du chiffre d’affaires avec nos produits tels que les célèbres avocats et autres. Notre clientèle est très stable et exigente”.

- “Nos produits textiles et alimentaires sont considérés comme étant de grande qualité : cet argument est essentiel pour nous et pour les consommateurs. Ils sont dans tous les rayons. Impossible, parmi les milliers de références des grands magasins en France d’en distinguer vraiment la provenance”.

Un exemple ? Israël se place parmi les 10 principaux exportateurs de fleurs mondiaux. La France est un gros client d’Israël. Impossible de savoir en grande surface que le bouquet acheté provient d’Israêl.

- “Le label Made in Israel est considéré, d’après des sondages que nous avons mené, comme étant excellents” (un très gros exportateur israélien).

- “Le boycott est illégal en France. Des grands magasins vont porter plainte contre les agitateurs. Déjà un grand réseau Français l’a fait.”

- “De nombreux musulmans achètent des produits casher et n’hésitent pas à le dire ! Les produits alimentaires casher sont pour plus de trente pour cent achetés par des non-juifs.”

ISRAELVALLEY PLUS

LE POINT DE VUE D’UN AVOCAT : “Le boycott est un acte illégal qui contrevient aux dispositions les plus fondamentales du droit tant national, que communautaire et international.

Le principe d’égalité de traitement se trouve bafoué par les pratiques de boycottage. Ce principe a valeur constitutionnelle en droit interne ; il se trouve aussi bien affirmé par l’article 6 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 que par la Directive 2000/43/CE du Conseil de l’Union Européenne du 29 juin 2000 relative à la mise en place de l’égalité de traitement entre les personnes sans distinction de race ou d’origine ethnique.

De plus, le boycott va à l’encontre du principe de non-discrimination. Ce principe fondamental est énoncé dans les législations aussi bien au niveau national (articles 1 et 6 de la DDHC de 1789, Préambule de la Constitution de 1946, Préambule de la Constitution du 4 octobre 1958 et en son article 2), communautaire (article 7 du Traité de Rome, article 14 de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme) et international (Convention Internationale de New York du 7 mars 1966 sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale, articles 1, 7 et 10 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme).”


Source : [www.israelvalley.com]
ISRAËL EST BIEN ABSENT DE LA LISTE DES PAYS BLANCHISSEURS D'ARGENT SALE
13 avril 2009, 19:14
ISRAËL OCDE - NI BLANC, NI GRIS, NI NOIR. ISRAËL EST BIEN ABSENT DE LA LISTE DES PAYS BLANCHISSEURS D'ARGENT SALE. - Par Daniel Rouach - Pour IsraelValley - 3 avril 2009 -

NI BLANC, NI GRIS NI NOIR. OUF! L’OCDE, dans sa liste parue hier soir, ne mentionne pas Israël… qui échappe ainsi au statut de “pays pratiquant le blanchiment d’argent”.

Les Israéliens devraient remercier chaleureusement Stanley Fisher, le Gouverneur de la banque d’Israël, qui se doutait très certainement qu’une liste noire allait être publiée un jour ou l’autre.

Pendant des années, les Israéliens avaient fait semblant de ne pas voir les valises qui arrivaient du monde entier (beaucoup de Russie) et contenant des liasses de dollars.

Les banques israéliennes avaient pendant longtemps dit “oui” à l’argent sale.

Depuis quelques années (2005), et sur la très forte pression des officiels américains, les autorités israéliennes ont compris qu’un statut de “pays trafiquant” pouvait poser des problèmes sérieux. Les Américains n’avaient pas laissé le choix aux Israéliens.

Revue de Presse : (un des blogs du journal le Monde) : “Quelques heures après la fin du G20, l’OCDE a publié jeudi soir 2 avril des listes de paradis fiscaux et autres juridictions plus ou moins coopératifs.

En revanche, trois pays membres de l’Union européenne – Autriche, Belgique et Luxembourg – sont, avec la Suisse, les incontestables vedettes d’une liste remarquable. Huit pays appelés « autres centres financiers » : on ne saurait donc les confondre avec de vulgaires paradis fiscaux, appellation dont la Suisse se défend bec et ongle depuis presque aussi longtemps qu’elle en est un.

Quant à Israël, qui figura jusqu’en 2003 parmi les pays blanchisseurs d’argent sale, il n’est nulle part lui non plus : ni blanc, ni gris, ni noir”.—


Source:

[www.israelvalley.com] israelvalley.com et

[dechiffrages.blog.lemonde.fr]
Re: ISRAËL EST BIEN ABSENT DE LA LISTE DES PAYS BLANCHISSEURS D'ARGENT SALE
19 mai 2009, 01:15
L'économie israélienne officiellement en récession - Par Aude le Faou - Pour Guysen International News - 18 mai 2009

L'économie en Israël plonge dans une récession pour la première fois en huit ans. Selon le Bureau Central des statistiques, les exportations ont chuté et l'investissement de capitaux s'effondre. Alors que l'économie de marché a diminué de 2,1%, le secteur des entreprises a quant à lui baissé de 2,6%. Le taux de chômage atteindra 8,7% cette année, soit 250 000 chômeurs.
« C'est une récession, une grave récession, mais par rapport à ce que nous observons dans le monde ce n'est pas si mal » a déclaré dimanche dernier Vered Dar, chef économiste chez Psagot Investment House.

Selon Ori Yehudai, président de l'association du comité économique, il y aurait eu au cours de la dernière année 13 000 pertes d'emploi dans l'industrie, plus particulièrement dans le textile, les matières plastiques, les métaux et l'électronique. D'ici à la fin de l'année, 8000 autres travailleurs seraient licenciés, à moins que la demande mondiale se redresse.

Les exportations de biens et de services ont chuté de 46% lors du premier trimestre de l'année, alors que les importations ont baissé de 63%. Ce sont également les dépenses des consommateurs qui ont baissé en 2009 avec une chute de 4,3% cette année.

« 2009 est une année perdue. La production industrielle d'Israël devrait baisser de 8% et les exportations de 13% - la plus forte baisse de l'histoire d'Israël », a-t-il ajouté.
D'après les prévisions de la banque d'Israël le produit intérieur brut devrait diminuer de 1,5% cette année, ce qui serait la pire récession dans le pays depuis sa création.
Recession en Israel
19 mai 2009, 07:04
14 personnes en compétition pour un emploi - Par Jerusalem Post Edition francaise - 18 mai 2009

Quatorze personnes seront en compétition pour un seul poste, d'ici la fin de l'année 2009. Ils n'étaient que quatre avant le début de la crise financière, d'après un rapport publié lundi par le ministère de l'industrie, du Commerce et du Travail.

Une chute de 56 % a également été constatée dans les offres d'emplois, depuis le début de la crise.
Le rapport du ministère prévoit ainsi que le chômage touche 8 % de la population active, soit 250 000 personnes, au premier trimestre 2010.

Le ministre des Finances, Youval Steinitz, a affirmé devant la commission des finances de la Knesset que "nous devons lancer d'urgence une guerre contre le chômage".

Steinitz a ajouté qu'Israël ne ressentait pas encore tous les effets de la crise financière mondiale en ajoutant : "Si nous agissons comme il faut, nous pourrons sortir de la crise en 2010."

Dimanche, le Bureau central des statistiques a publié des chiffres indiquant qu'Israël était officiellement en récession, pour la première fois depuis huit ans.
Industrie Aéronautique israélienne
16 juin 2009, 13:36
Gros succès pour l’Industrie Aéronautique israélienne - Par Shraga Blum - Pour Actu.co.il - 16 juin 2009

Dans le cadre du salon annuel de l’Aéronautique qui se tien actuellement au Bourget (Paris), l’Industrie Aéronautique israélienne vient d’enregistrer un gros succès en signant un contrat d’une valeur de plusieurs dizaines de millions de dollars, avec un pays dont le nom est encore gardé sous silence.

Il s’agit de la livraison d’un système d’armement ultrasophistiqué appelé « Harop », qui selon le PDG des I.A.I., Itshak Nissan, « est le produit d’années de recherches et d’expérience qui ont permis d’obtenir un système extrêmement précis et efficace».

Le système « Harop », qui fonctionne sur le modèle du drone (avion sans pilote), permet de détruire au sol les lance-missiles ou les systèmes anti-aériens, avec en plus l’avantage de pouvoir être manipulés à partir de différentes plates-formes. Le « Harop » ne transporte pas d’armements lui-même, mais fonctionne à la manière… d’un kamikaze : il peut rôder et planer à très haute altitude pendant plusieurs heures jusqu’à ce qu’il repère sa « proie » à l’aide d’un système électronique de pointe, puis fond sur elle comme un rapace et explose à son contact avec ses 23 kg d’explosifs. Son système lui permet également de neutraliser les radars ennemis.

L’armée et le gouvernement allemands ont également manifesté un vif intérêt pour le système « Harop », et des équipes spéciales allemandes et israéliennes travaillent déjà sur l’adaptation du système aux besoins de l’armée allemande.

Concernant Tsahal, ce système promet d’être très efficace sur les fronts nord et sud, contre les tirs de missiles ou de roquettes, qui seraient détruits – avec les terroristes – avant même d’avoir été lancés.

L’un des autres avantages du système « Harop » est qu’il est soumis à un contrôle humain très précis et sophistiqué, ce qui permet à tout moment de stopper la trajectoire du drone au cas ou des civils se trouvaient soudain dans la zone-cible ou s’il y avait risque de trop grand dégâts collatéraux.

Le stand israélien au Bourget, avec ses produits de haute qualité, est l’un des plus visités dans ce Salon extrêmement important d’un point de vue commercial.
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