Rires 7

LE WEB DES JUIFS TUNISIENS

RIRES 7

** un enfant va voir son pere en lui demandant:"papa,c'est quoi la difference entre la theorie et la pratique?"
le pere:"pour bien comprendre,il te suffirait d'aller poser 2 questions,une a ta mere et une autre a ta soeur ."
le fils:''LESQUELLES?"
le pere :"a ta mere ,tu lui demanderais si elle est prete de me tromper pour un million de $ et a ta soeur si elle est prete d"aller dancer dans un cabaret pour le double de la somme ."
l"enfant revient apres un petit moment et dit a son pere :"papa,elles ont toutes les deux repondu oui a la question mais je ne vois pas le rapport ".
le pere:"et bien mon fils c'est tres simple : dans la theorie on aurait ete des milliardaires aujourd'hui et dans la pratique on vit avec deux p..."
merci et a tres bientot:navita@bgumail.bgu.ac.il

Cette histoire se passe aux cours des dernières inondations de STRASBOURG.
Le rabbin de la grande synagogue était en train de prier pour qu'il y est un peu plus de pluie sur ISRAEL plutôt que sur STRASBOURG. Arrive alors un pompier en courant ;
« Monsieur le rabbin, venez vite car bientôt nous allons être inondés et vous risquez de vous retrouver prisonnier ici »
« Jeune homme, il y a tellement de gens à sauver avant moi, allez d'abord vous occuper des autres, moi, je suis dans ma prière, j'ai une foie inébranlable en l'éternel et je suis sûr qu'il ne m'abandonnera pas » Effectivement, les trombes de pluies sont telles que l'eau monte, monte. Le rabbin monte au 1er étage, et voit, par la fenêtre, arriver les pompiers en barque qui l'interpelle :
« Monsieur le rabbin venez vite, on essaye de sauver tous les habitants de ce quartier parce que les eaux continuent à monter »
« Ecoutez, messieurs, , il y a tellement de gens à sauver avant moi, allez d 'abord vous occuper des autres, moi, j'ai une foie inébranlable en Dieu, que son nom soit béni, je suis sûr qu'il ne m'abandonnera pas » Et l'eau continue à monter. Le rabbin se hisse sur le toit de la synagogue.
Arrive alors un hélicoptère . On lui jette une corde en lui criant :
« Venez vite, monsieur le rabbin, la ville est inondée, après on pourra plus
rien faire pour vous »
« MERCI encore, messieurs, mais ne vous inquiétez pas pour moi, je suis sûr qu'il y a encore des gens à sauver avant moi, allez d'abord vous occuper des autres, moi, je suis très proche de Dieu que son nom soit sanctifié, je suis sûr qu'il ne m'abandonnera pas »
L'eau arrive maintenant aux chevilles, puis aux genoux puis au ventre et là
le rabbin commence à avoir peur. Alors de sa voix la plus profonde il
implore :
Dieu, toi, le créateur, toi qui voit tout, tu es unique. Tu sais combien ma foi en toi est sans mesure, je t'implore. Fais moi un signe, montre moi la
voie, sinon je vais mourir »
Tout à coup le ciel s'assombrit, un éclair jaillit des nuages et une voix
grave se fait entendre :
(cette voix avait un accent prononcé de LA GOULETTE, car je reste persuadé qu'Abraham et Moïse ont entendus le même accent ! !)

« DIT MOI YA RHMAR, CA FAIT TROIS FOIS QUE J'ENVOIE QUELQ'UN TE CHERCHER, TU ES CON OU TU LE FAIS EXPRES »

A MEGEVE, en pleine saison de neige, arrive un couple de Belges à l'Hôtel et interpelle le concierge :
« Nous souhaiterions prendre des cours de ski comme l'an dernier. Cependant nous aimerions avoir le même professeur que l'an dernier car il était très bon et très patient car nous ne sommes que des débutants ».
« C'est simple, Messieurs/Dame, comment s'appelait-il ? »
« Nous ne savons pas nom, mais il avait un pull bleu marine, col montant, avec une bande rouge sur les manches »
« LES MONITEURS ONT TOUS LES MEMES PULLS »
« Il avait un pantalon stretch noir avec une bande blanche sur les côtés »
« ILS ONT TOUS LES MEMES PANTALONS »
« Il avait des lunettes noires magnifiques comme des miroirs »
« ILS ONT TOUS LES MEMES LUNETTES » le concierge commence à souffler bruyamment
La femme belge dit alors à son mari :
« Ecoute une fois, s'il faut lui dire dit lui »
« Et bien voilà, monsieur, ce moniteur avait un problème physique peu commun, il avait 2 anus ! »
Le concierge, les yeux ronds leur rétorque « Mais comment vous savez ça,
vous ? »
« JE ME SOUVIENT TRES BIEN QU'UN JOUR OU NOUS ETIONS, MA FEMME ET MOI, EN PLEIN COURS, UN AUTRE MONITEUR QUI DEVALAIT LA PENTE LUI A CRIE :
ALORS COMMENT TU T'EN SORS, CE MATIN, AVEC TES DEUX TROUS DU CUL »

DE CAMUS CHELLY COIFFEUR A SOUSSE

Moise du sentier qui est très embété, il a un stock énorme de soutiens gorges à écouler il a pensé à appeler son frère aaron en israel pour lui demander conseil ce dernier lui répondit
Ici en Israel on résoud tous les problèmes envoie moi tous les soutiens gorges te je vais te les vendre.
Moise envoie des wagons de soutiens gorges en israel.
Après un mois ou deux Moise téléphone à son frère pour savoir oû il en est?
Aaron lui répond écoute je t'ai vendu tous les soutiens gorges à un prix intéressant.
Mais comment as tu fais pour liquider tout çà ?
Aaron lui répond "j'ai pris ton stock de soutiens gorges je me suis rendu au mur des lamentations et là je les ai coupé en deux avec un ciseau et je les ai vendu comme kipas pour les touristes

C'est un gars qui rentre dans un bar avec un magnifique oeil-au-beurre-noir. Il s'installe devant le zinc, et naturellement, son voisin lui demande comment ça lui est arrivé.

-Hier, c'était dimanche, alors je suis allé à l'église. Devant moi, il y avait une jolie jeune femme, avec une petite robe en soie. Au moment où elle s'est levée pour chanter, sa robe en soie s'est coincée entre ses fesses. Comme ça, elle avait vraiment l'air ridicule, alors pour lui éviter d'être embarrassée en sortant de l'église, j'ai avancé la main et je lui ai tiré le pli qu'elle avait de coincé entre ses fesses. ça a du la vexer car elle s'est retournée et m'a balancé un direct dans l'oeil!

Le lundi suivant, le même gars entre dans le même bar. Cette fois-ci, c'est son autre oeil qui est coloré de noir! Comme on lui demande ce qui lui est encore arrivé, il raconte:

-Hier, c'était dimanche, et je suis retourné à l'église. Je me suis placé derrière la même jeune femme de dimanche dernier. Elle portait d'ailleurs la même robe. Cette fois-ci, lorsqu'elle s'est levée, sa robe était ample et aucun pli ne s'était coincé entre ses fesses. Pensant que qu'elle préférait avoir un pli coincé entre les fesses et pour réparer ma bévue de l'autre dimanche, j'ai avancé la main et avec mon index, j'ai tenté de lui réintroduire le pli dans ses fesses ...

Il s'agit d'un type (si si vraiment), loser. Il entre dans un bar et se dirige vers le barman.

Le barman réfléchit et se dit qu'il est impossible que cet homme ait un autre oeil en verre puisqu'il se déplace sans mal.

Le type retire alors son dentier et mord son autre oeil. (Ah, vous me suivez toujours).

Un peu plus tard dans la soirée, il revient: "Je vous donne une autre chance de regagner vos sous. Je vais poser ce verre sur le bar et je vais pisser dedans de derrière cette ligne sans mettre une goutte à côté"

Il s'éloigne donc et rate complètement son objectif. Le barman est tordu de rire et lui demande ce qu'il lui a pris de faire un pari si insensé.

Loser: "Tu vois ces types là-bas. Je leur ai parié 1000 balles que je pisserais sur ton bar et que tu rirais comme un dingue."

J'etais en voiture a Carthage avec Bertie Pariente et Claude Sfez lorsque
l'on se dirigeait vers la route principale menant vers Kherredine. La il y a
un stop que nous avons marque bien que brievement.

A ce moment la coup de sifflet. Un agent arrive et nous dit:" vous n'avez
pas marque le stop".
"Mais Mr l'agent on est arrete. Vous avez vu qu'on s'est arrete".

" Peut-etre que les roues arrieres etaient a l'arret, mais pas les roues
avant. Vous devez payer 1,5 Dinars ou bien c'est au poste".

Histoire surrealiste mais vraie. A bientot, claude Tartour.

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