LE WEB DES JUIFS TUNISIENS

RIRES 8

- Papa j'ai mal aux yeux, il faut que tu m'emmenes chez le Zieutiste

- Non mon fils pour yeux on ne dit pas le zieutiste, mais on dit plutot l'OCCULISTE,

- non, Papa je sais quand meme ou j'ai mal!!!

= Simon Barouk SBa1038486@aol.com

 

Un jour Jeha a perdu son bourricot et il parcourait toute la ville en lançant  si on ne rend pas mon bourricot je ferais comme avait fait mon père et il allait de partout dans les souks oû se trouvent tous les grands commerçants en criant toujours " Si on ne me rend pas mon bourricot, je ferais comme avait fait mon père" Tous les commerçants étaient inquiets et apeurés ils se sont réunis ensemble et ont décidé de se cotiser afin de lui racheter son bourricot et le lui remettre pour être tranquille.
Une fois qu'on a remis le bourricot à Jeha on lui demanda
Mais qu'avait fait ton père????
et Jeha répondit : et bien il en a acheté un autre !!!

CHELLY CAMUS COIFFEUR rené

mche@club-internet.fr

Une petite photo qui tend à prouver l'existence de D...
La personne que l'on voit sur la photo et que je connais personnellement, te
propose pour la modique somme de 100$ de te donner, par mon
intermediaire"SON "numero personnel .
Fraternellement...RC"robert-costa" robert-costa@wanadoo.fr

Jeha était en âge de se marier. Sa mère lui dit "Va voir ta cousine pas loin de chez nous,
je suis sur qu'elle te plaira.
Il alla acheter un chechia et une chelaba cette robe épaisse qui couvre le corps, alla chez le coiffeur et sa mére lui acheta dix mêtres de tissus pour lui faire un sarouel .
Après avoir fini le sarouel, il lui resta deux mêtres de tissu qu'elle mit de côté, Jeha prit donc la route pour aller rencontrer sa future. Chemin faisant un besoin pressant le prit, il accrocha son sarouel sur un arbre et fit ses besoins et reprit sa route.
MAIS IL REPARTIT EN OUBLIANT SON SAROUEL SUR L'ARBRE
Arrivé devant sa promise qu'il trouva vraiment belle , il lui dit :
"Tu me plais tu as une belle robe," et il entra en excitation
elle lui répond toi aussi tu as une belle chechia et une belle jelaba
et Jeha lui répond : çà c'est rien, regarde le sarouel que m'a fait ma mère en soulevant sa jelaba. La jeune fille rougit et mit ses deux mains sur ses joues et dit :
"YA CHOUMI (j'ai honte)"
Et encore ce n'est rien, j'ai encore deux mêtres à la maison

CHELLY CAMUS COIFFEUR rené mche@club-internet.fr

La scène se passe dans un pays africain, dirigé par une dictature militaire.

Au cours d’un déjeuner offert en l’honneur d’une délégation européenne, et afin de faire bonne figure, on avait troqué la tenue militaire contre des tenues civiles.

Le menu se composait de poisson en premier plat, puis de viande.

Le maître d’hôtel, croyant bien faire, s’approche du Général-président afin de lui faire goûter le vin rouge.

Le Général-président ayant appris qu’on servait du vin blanc avec le poisson lui dit :

« Imbécile ! Le blanc d’abord ! »

Et le Maître d’hôtel s’en va servir le chef de la délégation.

Henri FITOUSSI  hfitou@wanadoo.fr

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