Antisemitisme

dany a écrit:
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> sarel a écrit:
> --------------------------------------------------
> -----
> > chers amis je propose d'ajouter quelques mots
> qui
> > aideront a mon avis
> > a mieux comprendre le rapport entre
> > l'antisemitisme et le juif.
> >
> > L'identite juive
> > Assez complexe et facile a discerner
> > Chacun essayera de la definir
> > La sentira profondement seulement
> > "l'interresse"
> > Quatre actions primordiales seront notees
> > pour la reconnaitre et la prouver.
> > La circoncision'la bar mitsva'le mariage et
> > l'enterrement
> >
> > Cela consistera l'appartenance a la nation et
> > aupeuple
> > Le lien entre chaque juif est surtout
> spirituel
> > Base obligatoirement sur une certaine foi
> > commune
> > Tout cela cree l'attache profonde et la
> garantie
> > mutuelle
> > avec beaucoup d'amour et devouement
> illogiques
> > Les commandements et les lois ajoutent et
> > renforcent
> > chaque personnalite juive pour ne pas flechir
>
> > devant toute derive
> > Les traditions essayent de garder le
> patrimoine
> > de chaque communaute
> > Ne sachant pas exactement les significations
> > des termes de la "loi ecrite"
> > ces groupes eparpilles ne peuvent pas etre
> > capables de s'unir
> > Cela ne diminue en rien' ni n'efface
> > differentes nouvelles idees
> > Il y aura continuellement des colloques
> > productifs pour les generations futures
> > Mais jamais une rupture 'desengagement ' ou
> > adaptations etrangeres
> > L'identite civile sert les besoins
> > journaliers du devoir et du droit
> > On ne pourrait l'ajouter ' l'unir ou la faire
> > fondre dans l'entite du "juif"
>
>
>
> Cher Sarel
> je copie collé votre phrase
>
> ""chers amis je propose d'ajouter quelques mots
> qui aideront a mon avis a mieux comprendre le
> rapport entre l'antisemitisme et le juif. ""
>
>
> j'irais plus loin en vous proposant de mediter
> de l'antisemitisme sans juif !!!c'est fort de
> café hein !!!
> vous me direz mais ou cela a existé ?
> et je repondrais ;il n'y a pas si longtemps ,au
> Japon!!
> voila alors mediter et tacher de faire coincider
> vos arguments ou theorie dans ce cas la!!
> bien a vous !!

Mais voyons ! Il y a toujours eu des Juifs au Japon,,,
Et il y a fort à parier, qu'il y en aura toujours.

Quand à l'antisémitisme, il s'est développé grâce à la chrétienté, à partir du moment ou Paul de Tarse ( St. Paul ), a déclaré qu'il n'était nullement nécessaire, pour les païens de passer par le Judaïsme, pour devenir chrétien, rejetant ainsi les racines juives de ses propres origines ( Un Juif antisémite ), et la synagogue des Judeo-Chrétiens, qu'il désigna par le terme de " synagogue de satan ! ", cette philosophie cultivée par l'église catholique, pendant des siècles, fut le principal vecteur de l'antisémitisme, repris par des religions issues du christianisme.

L’ex Grand Mufti de Jérusalem au Zenith de Lille !

mardi 22 février 2011, par L’ex Grand Mufti De Jérusalem, par Au Zenith De Lille
La Voix du Nord interroge le responsable du congrès sur la présence du révisionniste et djihadiste Ikrima Sabri : Amar Lasfar, président du Conseil régional du culte musulman, assume !

Après une décennie de bonnes relations avec les islamistes lors des congrès précédents, la mairie PS de Lille annonce pour la première fois qu’elle n’enverra pas un représentant sur place "choquée par l’invitation du Cheikh Ikrima Sabri" rapporte La Voix du Nord de ce vendredi.

[jforum.fr]

Recettes équilibrées et savoureuses20/02/2011

Eva Samak

Une recette unique. Piquante, amère par endroits et que l'on craignait indigeste. Car le sujet abordé par Alexandre Feigenbaum, Kébir Jbil et Bernice Dubois ne concerne pas tant les Juifs que leur anéantissement. Derrière un titre provocateur, se cache un ouvrage des plus sérieux. Les trois militants des droits de l'Homme dressent le triste constat de la progression de la diffamation des Juifs et d'Israël dans la société.

Et proposent un menu riche et varié : la tendance à culpabiliser les victimes, notamment celles de la Shoah ; les mythes indétrônables propagés par nos ennemis, les politiques antijuives et les nouveaux combats antisionistes. Les informations sont précises, les explications claires et les exemples bien ciselés. Des ingrédients de qualité, réunis pour servir une juste cause et rendre la thèse facile à lire.

Jerusalem Post : Comment est né ce projet ?

Alexandre Feigenbaum : Ce projet est né d'un colloque de HEVEL, l'association d'aide aux peuples victimes de crimes de masse. Les victimes de crimes de masse sont forcément innocentes. Ce colloque a montré comment les négationnistes, à l'aide de leurs mensonges, espèrent continuer les génocides interrompus. Ils veulent culpabiliser les victimes et les tétaniser. Peu après, avec Kebir, nous avons constitué le Collectif Contre TOUS les Racismes, qui a révélé à la France que son principal mouvement antiraciste, le MRAP, ne remplissait plus sa mission, qu'il avait des collaborateurs racistes et faisait dévier le combat antiraciste.

J.P. : Kébir Jbil et Bernice Dubois ont coécrit cet ouvrage avec vous. Ecrire à trois plumes, qu'est ce que cela apporte ?

A.F. : Ecrire vous permet toujours de formaliser votre pensée. Personne n'a raconté (ou n'a pu raconter) la conférence soi-disant contre le racisme à Durban, en 2000 : dans l'enceinte même de la conférence, ces salles pleines de monde, hurlant leur haine des Juifs et en même temps leur mépris de la femme. Bernice a vécu tout cela et nous a donné dans le livre un témoignage inédit et exceptionnel. Une Antillaise et des Arméniens ont aussi donné leur témoignage dans le livre.

En ce qui concerne Kébir et moi, nous avons mené une réflexion commune sur ce nouveau visage de l'antijudaïsme. Certains textes ont été écrits séparément par chacun de nous ; d'autres ont vraiment été écrits à deux, par retouches mutuelles et successives.

Cela est très enrichissant. Kébir me faisait remarquer, par exemple, que lui, Arabe, pouvait critiquer des gouvernements arabes, mais qu'il ne serait jamais anti-arabe. Cela a conduit à la réflexion sur les Juifs antijuifs.
Aussi, à nous trois, et avec notre éditeur chrétien engagé, nous voulons montrer à la France le chemin d'une nouvelle solidarité.

J.P. : Quel est votre but ici ? Pensez-vous que vous pouvez réellement influencer / convaincre les ennemis d'Israël de leur erreur ?

A.F. : Tous les trois, nous sommes des militants de longue date pour les droits humains et la laïcité. Nous avons écrit de nombreux articles, des brochures, des communiqués. Le livre permet de faire un point global.

Il y a deux objectifs : D'abord, que les gens qui ont envie de lutter contre le racisme soient conscients des enjeux et ensuite, tenter d'entrer dans le débat public. Les commentaires des premiers lecteurs néophytes sont très positifs : malgré leur différence idéologique, les antijuifs puisent dans un fonds commun raciste, que le livre met en exergue. Ceci est à l'origine de convergences contre nature et de passages de l'extrême droite à l'extrême gauche ou inversement.

J.P. : A qui s'adresse cet ouvrage ? Ne craignez-vous pas de "prêcher des convaincus" : que seuls les amis d'Israël ne lisent votre livre ?

A.F. : Les racistes convaincus sont déjà convaincus de toute façon et, par intérêt ne changeront pas d'avis. Ceux qui refusent l'antijudaïsme et l'antiisraélisme trouveront dans le livre des éléments nouveaux. Ceux qui sont d'ailleurs conscients de la véritable portée de l'antijudaïsme ne sont hélas pas si nombreux. Même parmi les Juifs, même parmi les Israéliens que j'ai rencontrés dans des conférences en Israël, beaucoup pensent qu'il n'y a plus rien d'autre à faire que baisser les bras et faire profil bas. Certains s'imaginent qu'en Israël ils sont à l'abri.

C'est à ceux qui veulent s'engager contre le racisme mais ne savent pas comment que ce livre s'adresse avant tout. Nous leur transmettons notre expérience de militants. Avec nos origines diverses (américaine, marocain, français), nous leur montrons que l'antijudaïsme c'est l'affaire de tous. Dans l'ouvrage, une Antillaise et des Arméniens expliquent aussi que tant que le peuple juif sera opprimé, calomnié, tant qu'il y aura de l'antijudaïsme, les autres peuples ne peuvent espérer de justice pour eux-mêmes. Par la pluralité de ses auteurs, par la diversité de nos expériences, le livre espère rencontrer un public pluriel.

J.P. : Vous évoquez longuement les positions des personnalités publiques qui adoptent des positions anti-israéliennes / antisionistes. Comment percevez-vous la brutale annulation du concert de Vanessa Paradis et l'ensemble des célébrités qui souscrivent aux mouvements de boycott ?

A.F. : Qui dit annulation dit aussi que Vanessa Paradis voulait sincèrement venir, ce qui est positif. Mais cette annulation montre aussi et surtout la force et la puissance des lobbies antijuifs en France. Bien des jeunes antijuifs ne savent même pas qu'ils sont les héritiers d'idées nazies ou staliniennes. S'ils le savaient (et le livre le leur dit), ils seraient pro-israéliens. Beaucoup de jeunes Français sont généreux, mais leur générosité est dévoyée par des mouvements soi-disant pro-palestiniens, en fait anti-israéliens et antijuifs. Le livre aide à se positionner vraiment contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples, pro-israéliens et pro-palestiniens à la fois. Le titre, provocateur, est une façon d'interpeller la société civile.

J.P. : Autre sujet intéressant que vous traitez : le paradoxe qui consiste à accuser le Juif de tous les maux de la terre ; et en parallèle l'étonnement du 'Comment un Juif a-t-il pu faire cela ?' Pouvez-vous détailler ?

A.F. : Les antijuifs accusent les Juifs des pires turpitudes et en même temps, ils font semblant de s'étonner dès qu'un Juif commet un acte qui sort de l'ordinaire. La phrase "comment un Juif a-t-il pu faire telle chose ?" est pour les antijuifs une façon perfide d'accuser les Juifs, de les culpabiliser. Cette phrase suggère même que les Juifs, parce qu'ils ont subi la Shoah devraient être des gens exemplaires, meilleurs que les autres. Depuis quand exige-t-on des victimes qu'elles doivent prouver leur innocence ? Depuis quand faudrait-il contraindre les victimes de faire mieux que les autres ?

Malheureusement, à cause du traumatisme de la Shoah, beaucoup de Juifs et d'Israéliens craquent devant la pression internationale sur Israël et ces manœuvres de culpabilisation menées par les antijuifs. Ils sont gênés par toute opération de défense de Tsahal. C'est cela, c'est de cette dévictimisation que le livre tente le pari.

J.P. : Concrètement, comment changer les choses ? N'est-ce pas se battre contre des moulins à vent ?

A.F. : Quand on veut l'amélioration de l'humanité, on se bat toujours contre des moulins à vent. Mais il arrive qu'on gagne. Nous apportons quelque chose de nouveau qui n'a jamais été tenté contre le racisme. Des Arméniens, des Musulmans, des Noirs, refusent l'antijudaïsme et, comme Kebir, ils le disent. Ils disent aussi que c'est une maladie dont les Musulmans doivent se débarrasser pour accéder à la démocratie et ce message est crucial avec ce qui se passe en ce moment en Tunisie et en Egypte. Les Tunisiens et les Egyptiens se battent eux aussi contre des moulins à vent. Ce livre peut leur indiquer des chemins pour la paix et le progrès.

J.P. : Vous êtes activement engagé en faveur des droits de l'Homme et de la démocratie. Quel est votre prochain projet ?

A.F. : Nous aimerions que ce livre déclenche une prise de conscience dans l'opinion et nous sommes prêts à jouer notre rôle dans un vrai combat contre le racisme en France. Nous aimerions aussi agir et écrire sur la paix pour Israël et pour tout le Proche-Orient, riche de superbes ressources. Peut-on imaginer un Proche- Orient uni, débarrassé de ses dictateurs et de ses marchands de haine et retrouvant le chemin de la paix des peuples ? Il y a aussi une association qui, personnellement, me tient à cœur, et dont le nom seul est une réponse cinglante au fasciste Dieudonné : la Fraternité judéo-noire.

Recettes pour l'anéantissement du peuple juif, d'Alexandre Feigenbaum, Kébir Jbil et Bernice Dubois. Editions l'àpart de l'esprit - 253 pages

[fr.jpost.com]
PHOTO: JPOST
Pièces jointes:

"Le Crime et le silence", d'Anna Bikont : le pogrom refoulé

| 21.02.11 | 15h50 • Mis à jour le 21.02.11 | 15h50

Au terme d'une journée de violence et de fureur, le 10 juillet 1941, 1 600 habitants du village polonais de Jedwabne, soit plus de la moitié de la population locale, ont péri dans d'atroces souffrances, pour la plupart brûlés vifs dans la grange où ils avaient été enfermés. Tous étaient de confession juive. Pendant près de soixante ans, à l'entrée de la bourgade, une stèle a témoigné de la tragédie, attribuant le massacre de ces juifs polonais aux soldats allemands qui, quelques jours plus tôt, avaient envahi cette région de l'est de la Pologne, placée sous contrôle soviétique depuis 1939.

Une vague de sidération a traversé le pays à l'été 2000, quand un ouvrage de l'universitaire américain d'origine polonaise Jan T. Gross, Les Voisins (Fayard 2002), a démontré que la stèle, érigée sous le régime communiste, mentait. Le pogrom avait été l'oeuvre des villageois eux-mêmes, aidés par des habitants des bourgs alentour. Un temps incrédule, le pays dut l'admettre : des Polonais avaient tué d'autres Polonais parce qu'ils étaient juifs. Contrairement à la croyance véhiculée par le régime communiste, ce peuple avait eu ses propres bourreaux. Le 10 juillet 2001, le président de la République, Aleksander Kwasniewski, s'est recueilli devant un nouveau monument fraîchement érigé, il a demandé pardon au nom de l'Etat. L'acte de contrition était sincère, mais il n'a pas clos ce chapitre noir de l'histoire de la Pologne.

C'est ce que va découvrir la journaliste Anna Bikont, au fur et à mesure d'une enquête de plus de dix années. Le Crime et le silence est un voyage dans la mémoire collective polonaise. Mémoire en friche depuis que la révélation du crime de Jedwabne a fait voler en éclats l'histoire officielle. Sous forme d'un journal retraçant sa quête quotidienne au début des années 2000 et une série d'entretiens poignants avec des protagonistes du drame, l'auteure rassemble peu à peu les fragments du passé - ce terrible été 1941 pendant lequel d'autres pogroms sanglants ont eu lieu dans la région - pour, finalement, recomposer le portrait incommode d'une société polonaise contemporaine qui n'a toujours pas soldé son antisémitisme.

Anna Bikont, intellectuelle polonaise qui elle-même apprit tardivement ses racines juives soigneusement cachées par sa propre famille, raconte les deux réalités de la Pologne d'aujourd'hui. Celle qui a fait, depuis "l'affaire Jedwabne", le nécessaire travail de mémoire et de repentance. Et celle à laquelle la journaliste s'est heurtée à chacune de ses visites à Jedwabne, "là où les insultes antisémites et haineuses font partie du quotidien".

Si l'omerta règne dans cette petite ville, ce n'est pas un silence gêné, un refus vaguement honteux. Parmi cette population, qui souvent habite les maisons prises aux voisins juifs après le massacre, on perçoit encore la haine qui, un jour de canicule il y a soixante-dix ans, s'est transformée en folie meurtrière. A Jedwabne, les panneaux installés en 2001 pour indiquer l'emplacement du monument commémoratif ont été enlevés. Et si une modeste cérémonie est encore organisée chaque année, aucun habitant du coin n'y a jamais assisté.

LE CRIME ET LE SILENCE d'Anna Bikont. Denoël, 512 p., 28 euros.
Jean-Jacques Bozonnet
Article paru dans l'édition du 22.02.11

Hé ben nous n'irons plus chez Dior !!!


Le couturier John Galliano interpellé à Paris, accusé d'insultes antisémites

Le couturier de la maison Dior, John Galliano, a été interpellé jeudi soir à Paris après une altercation à la terrasse d'un café avec un couple qui l'accuse d'avoir proféré des insultes antisémites, une version démentie par l'avocat du créateur britannique.



John Galliano a été suspendu de ses fonctions chez Dior "dans l'attente des résultats de l'enquête", a annoncé vendredi la maison de couture.

Le célèbre couturier, dont l'alcoolémie s'est révélée positive, a été entendu "quelques heures" par les policiers du commissariat du IIIe arrondissement parisien avant d'être laissé libre "sur instruction du parquet".

Selon les premiers éléments recueillis par la police, la scène s'est déroulée jeudi vers 21H00 à la terrasse du café "La Perle" situé dans le Marais, un quartier historique de la communauté juive de Paris.

Pour une raison encore inconnue, une altercation a éclaté entre le styliste et un couple attablé à côté de lui. Le couturier leur aurait alors lancé en anglais, selon des propos du couple rapportés par Europe 1 : "Dirty jewish face, you should be dead" (Sale tête de juif, tu devrais être morte) et "Fucking Asian bastard, I will kill you" (Putain de de bâtard asiatique, je vais te tuer).

"M. Galliano dément avoir proféré des insultes antisémites", a réagi son avocat Stéphane Zerbib joint par l'AFP, ajoutant : "Il y a eu une altercation, M. Galliano a été agressé verbalement, mais à aucun moment il n'a proféré de telles insultes, nous avons d'ailleurs des témoignages dans ce sens".

Selon une source policière, le couturier a également "allègrement" insulté la femme du couple, commettant des "violences légères".

Rapidement interpellé par les policiers de la Direction territoriale de Sécurité de Proximité du 75 après cet incident, le couturier a été conduit au commissariat pour y être entendu. Un examen médical a ensuite été mené à l'hôpital et l'alcoolémie de John Galliano s'est révélée positive avec un taux de 1,1 milligramme d'alcool par litre d'air expiré.

A l'issue de son audition, il a été raccompagné par son chauffeur. Il devrait être convoqué ultérieurement par la police.

"Pour l'instant on ne connaît pas les raisons qui l'ont poussé à s'en prendre à ce couple, a précisé une source policière. On ne sait pas encore s'ils se connaissaient ou pas".

Les deux victimes ont elles porté plainte au commissariat du IIIe arrondissement, selon une source policière. Le parquet n'a pu confirmer le dépôt de ces deux plaintes.

"Il est passible d'une contravention dans cette affaire", a précisé une source judiciaire.Interrogée vendredi par l'AFP, la Maison Dior s'est refusée à tout commentaire à propos de cet incident survenu quelques jours avant la "Fashion Week" qui débute la semaine prochaine.

A 50 ans, le couturier britannique qui a pris les rênes de la création chez Dior (groupe LVMH) en 1996, s'est imposé comme l'un des créateurs les plus inventifs et flamboyants, puisant son inspiration dans l'histoire et ses pérégrinations autour du monde.

Né à Gibraltar d'un plombier anglais et d'une mère espagnole, il a suivi la formation de la prestigieuse Saint Martin's School of Art à Londres. Installé à Paris en 1993, il est repéré par le président de LVMH, Bernard Arnault, qui l'engage deux ans plus tard comme directeur de la création de Givenchy, autre griffe du numéro un mondial du luxe.

Depuis 1999, il dirige l'ensemble des lignes féminines de Dior ainsi que la maroquinerie et l'image de la marque. Il dessine parallèlement ses propres collections.

28 février 2011
RÉCIDIVISTE - Une vidéo du “Sun” montre John Galliano clamer son amour pour Hitler
Suspendu vendredi par la maison Dior alors qu’il fait l’objet d’une plainte pour des violences et des propos antisémites tenus à l’encontre d’un couple jeudi soir à la terrasse d’un bar parisien, le créateur de mode John Galliano est aujourd’hui mis en cause dans une affaire assez similaire. Ce nouveau scandale est révélé lundi par le Sun, vidéo amateur à l’appui. Le tabloïd ne précise pas quand a été tournée cette vidéo, ni si les faits correspondent à une autre plainte, déposée samedi après-midi pour des propos de même nature tenus en octobre 2010. D’après le JDD, la vidéo a été tournée “il y a quelques semaines”, soit entre les deux dossiers déjà connus.

Point commun entre ces trois affaires présumées, elles ont toutes eu lieu à la terrasse du café parisien La Perle. Dans la vidéo du Sun, tournée avec un téléphone portable qui prend la scène en cours de route, on voit et entend Galliano déclarer : “J’aime Hitler”. Puis, apparemment en lien avec l’assertion précédente : “Des gens comme vous seraient morts. Vos mères, vos aïeux, seraient gazés.”

Selon le Sun, les insultes s’adressent à à un groupe de personnes françaises et italiennes mais pas juives. L’une d’elles demande : “Vous avez un problème ?” Réponse du créateur, qui outre ses penchants nazis semble avoir une certaine obsession pour la laideur : “Avec toi. Tu es horrible.”

[bigbrowser.blog.lemonde.fr]


L'article du SUN avec la vidéo :

EXCLUSIVE
Film of Galliano’s racist rant in bar
By RICHARD WHITE, Showbiz Reporter

FASHION guru John Galliano was filmed having a vile racist rant during which he declared: "I love Hitler."

The British designer - an alleged Jew hater - then tells a horrified woman: "People like you would be dead. Your mothers, your forefathers, would all be f****** gassed."

His tirade was videoed by a friend of the people he was insulting - who were French and Italian, but not Jewish.

Galliano, 50, was at the same Paris bar where he allegedly launched a vicious verbal attack on two people last week - which led to him being arrested and suspended by fashion label Christian Dior.

After stating he loves Hitler and making the gassing remark, a woman is heard to say, 'Oh my God' before asking slurring Galliano if he had a problem.

He said: "With you. You're ugly." Asked where he was from, he said: "Your a***hole."

Filmed ... John Galliano launches insults at people in the bar
The man who filmed his outburst told The Sun: "Galliano was sitting alone nursing his drink, when a few of us sat at the next table.

"Galliano kept intruding, throwing in comments about us and what we were saying. We knew who he was. He's instantly recognisable.

Tirade ... designer made vile comments
"We were stunned by what Galliano was saying, but then he started making vile anti-Semitic comments. His words were disgusting. He made it clear the Italian girls weren't welcome and should go home. This was pure racism."

Last Thursday Galliano allegedly insulted Geraldine Bloch, 35, and threatened to kill her pal Philippe Virgitti, 41, in La Perle Bar. Ms Bloch told cops he called her a "dirty Jew face".

Galliano has launched legal action against French Ms Bloch and Mr Virgitti, who is of Asian origin, for defamation.

[www.thesun.co.uk]

Suisse
Agression antisémite à Lausanne
28 février 2011 17:59

L'assistant du rabin s'est fait agresser aux abords de la synagogue de Lausanne. [DR]
L'assistant du rabbin de Lausanne s'est fait molester par trois individus mercredi dernier alors qu'il quittait les abords de la synagogue de Lausanne. La communauté juive dénonce l'un des actes les plus graves auxquels un juif a été confronté en Suisse ces dernières années.
L'identifiant comme juif, les agresseurs de l'assistant du rabbin ont proféré des insultes antisémites à son égard et lui ont assené des coups de poing. Deux des trois agresseurs ont pu être interpellés par la police municipale de Lausanne.

Rapportée par la Communauté israélite de Lausanne et du canton de Vaud, l'agression s'est produite mercredi dernier vers 23h30, a communiqué lundi la Coordination internationale contre l'antisémitisme et la diffamation (CICAD).

Plainte pénale
Secourue par des passants, la victime ne souffre que de blessures légères. L'assistant du rabbin a déposé une plainte pénale. Des patrouilles de police sont rapidement intervenues et ont pu interpeller deux mineurs. L'enquête est toujours en cours, a précisé Jean-Philippe Pittet, porte-parole de la police municipale. Il s'agira notamment d'établir leur implication et leurs motivations exactes ainsi que de déterminer la présence éventuelle d'un troisième agresseur.

La CICAD a toutefois dénoncé l'un "des actes les plus graves auxquels les juifs sont confrontés en Suisse ces dernières années". L'organisation se dit "convaincue que les services de police feront toute la lumière sur cette affaire. Selon elle, il appartient également aux autorités de se mobiliser pour dénoncer publiquement avec la plus grande fermeté l'agression antisémite qui s'est produite et de prendre les mesures qui s'imposent.

ap/hof

"Il m'a demandé de fermer ma gueule"
envoyé par Europe1fr. - L'info internationale vidéo.

ardi 1 mars 2011 11h32
[fr.movies.yahoo.com]


Depuis quelques jours, le directeur artistique de la maison Dior, John Galliano , est en plein coeur d'un scandale. Attaqué en justice pour violences et insultes antisémites, le styliste tente de nier les faits alors qu'une vidéo accablante fait le tour du Web. Égérie de la marque, Natalie Portman s'est exprimée sur le sujet !

"J'aime Hitler et les gens comme vous devraient être morts aujourd'hui, vos pères et vos mères devraient être gazés", affirme le styliste John Galliano dans une vidéo amateur filmée au café La Perle , de Paris, et diffusée par le Sun.

Une séquence accablante pour le directeur artistique de la maison Dior, attaqué en justice pour violences légères et insultes antisémites et racistes depuis vendredi dernier. Suite à une altercation avec un couple parisien, puis à une seconde plainte déposée un peu plus tard, John Galliano a été appelé à comparaître hier au commissariat du IIIe arrondissement de Paris, où il a été confronté aux plaignants.

Dès les prémices du scandale, le créateur a immédiatement été suspendu de ses fonctions chez Dior et son avenir chez la marque devrait dépendre des suites de l'affaire. Cependant, la nouvelle égérie du parfum Miss Dior Chérie, Natalie Portman, a tenu à s'exprimer sur l'affaire, via un communiqué envoyé au New York Times.

"Je suis profondément choquée et dégoûtée par les commentaires de John Galliano sur cette vidéo parue aujourd'hui (lundi, ndlr), a déclaré la star oscarisée. À la lumière de cette vidéo et en tant que juive et fière de l'être, je refuse d'être associée à M. Galliano de quelque manière que ce soit. J'espère qu'au moins, ces terribles commentaires nous rappellent à quel point il est important de combattre et d'agir à l'encontre de ces préjugés encore existants, qui sont l'exact opposé de tout ce qu'il y a de beau."

deja que son pere ne m'a jamais fait rire ....

Nicolas Bedos rappelé à l'ordre par le CSApar Gerard Fredj
[www.israel-infos.net]


Le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel est intervenu auprès de France Télévisions pour l'informer du fait que, "si les propos de l'humoriste Nicolas Bedos au cours de l'émission "Semaine critique",

diffusée sur France 2 le 5 novembre 2010, ne constituaient pas un manquement à ses obligations déontologiques, la séquence évoquant les films Elle s'appelait Sarah et La Rafle avait pu susciter un certain trouble et un émoi légitime dans le public. "

Le CSA avait été saisi par le BNVCA (bureau national de vigilance contre l'antisémitisme)

La semaine critique, c'est le nom de l'émission en question qui, pour l'occasion, recevait entre autres Michel Rocard, Elisabeth Lévy et Alain Finkielkraut.

Au départ, l'humoriste oriente son papier sur la critique du film "Elle s'appelait Sarah" utilisant selon lui " la mémoire de la Shoah afin de renflouer les caisses lacrymales du cinéma français ", grâce bien entendu au " devoir de mémoire, qui dispense au passage le cinéaste de faire preuve du moindre talent, et lui permet de se hisser vers le million d'entrées en raflant les écoliers d'aujourd'hui pour les parquer de force dans des salles de cinéma pédagogiques ".

Et Bedos de poursuivre: " Jeudi je fais un nouveau rêve, celui dans lequel je pourrais dégueuler sur Netanyahou et sur la politique menée par l'État d'Israël sans que personne ne me traite d'antisémite (…) ou d'antisémite inconscient qui, au fond de lui, n'ose le dire consciemment mais rêve de voir pendus : Patrick Bruel, Primo Lévy, Pierre Bénichou et ce qui reste d'Ariel Sharon (…) moi qui suis tellement con que je n'ai pas saisi cette notion très subtile, selon laquelle s'indigner devant une politique honteuse c'est vouloir du mal à tous les juifs de la planète ".