LE PTB ET MOI.

en fin de compte,c'est one photo stereo, avec un chat des deux cotes.

-Monsieur Jacquot l’accident survenu à votre jeune sœur m’a beaucoup ému.
Et je n’en ris pas du tout. Comme certaine s’esclaffe. Elle rirait même d’un handicapé parce qu’elle ne vit pas avec ce genre de choses bien lourdes sur les épaules de leur géniteur.

Elle a la vie en rose et les pensées bien bleues alors aux autres leur merde.

Je suis bien heureux que ces séquelles ont disparu sinon votre sœur serait aujourd’hui ‘handicapée’ par ‘un sale visage’.

L’hôpital ST AUGUSTIN A MUTUELLE VILLE que vous citez, est très connu. J’en sais quelque chose. Quant aux miracles pas besoin de Notre Dame de Lourdes, nous avons nos saints qui sont là et qui sont aussi efficaces, croyez en mon expérience. Il suffit d’y croire.

Je voudrais ne pas rester sur une note pessimiste.
Auriez vous l’amabilité de demander au Maire de votre ville un lopin de terrain même en dehors de votre ville mais proximité d’un cimetière juif si possible. S’il y en a.
Nous lancerons une souscription internationale et construirons, avec l’argent récolté grâce à la générosité harissienne, ces pingres, de grandes cages à poules dans une partie de ce lopin, un terrain de golf pour les professionnels des trous, une baraque comme synagogue, un cabanon pour les liturgies chrétiennes et une grande tente pour nos amis musulmans. Et s’il reste encore un morceau de terrain libre, nous construirons un bac à eau comme piscine olympique, histoire de nager dans les eaux troubles de ces rubriques. Si par hasard, un are serait encore disponible, nous élèverons un cabaret dancing qui recevra tous ces merles déplumes.
Bien sur que certains garderont leur masque hideux car comme vous le savez, les nouveaux beaux parleurs d’aujourd’hui sont des anciennes taupes aveugles qui se brûlent les yeux à la lumière de vos récits.

Petite anecdote pour mon ami Meyer.

Un zaïrois bien pressé...

‘...Il parait que vous êtes le plus grand commerçant dans la vente des produits retardataires pour les éjaculations précoces.... !’
‘...Oui exact, surtout pour les RETARDES comme toi.... !’

Je vous souhaite un Shavoua Tov.

David Douillet. Notre cher judoka, notre D.D. que tout le monde à presque vu lors de la grande parade fiasco de la flamme olympique n’en revient pas encore de sa mésaventure.
Lui le grand récolteur des pièces jaunes, le grand parrain des petites boites à sous, en compagnie de Madame Bernadette Chirac, est encore sous le choc.
Vous l’avez vu en short, debout, l’air béat, ne sachant que faire de cette lanterne éteinte... ?

Quelle belle épopée ce parcours de ce flambeau éteint qui est resté dans ses mains et qui a vu les CRS agir, un peu comme les militaires communistes chinois sur la place Tienanmen ou lors des manif de Mai 68, et s’en donner à cœur joie en tabassant avec violence qqs manifestants hostiles à la conduite du gouvernement chinois qui peine à étouffer dans l’oeuf la contestation tibétaine. Un vrai scandale qui se passe de tous commentaires dans notre pays, celui de la liberté.

Ce genre de spectacle chez nous, nous rappelle combien est grande l’hypocrisie de notre gouvernement qui sait se montrer violent quand il le veut lorsque ses intérêts sont en jeu surtout lorsqu’il s’agit d’une grande nation comme la Chine.

Et puis où a-t-on vu des officiels étrangers venus faire la police dans un pays démocratique... ? Donner des instructions à leurs homologues français... ?

Au pays de la grande cruche à vin, la bonne liqueur enivre tout le monde.

Merci CAMUS.

Breitou, il faut donner le nom de cette grande chanteuse : Hava Alberstein.

Il y a qqs années, un ami qui n'est plus là,fidéle harissien pour un temps,Henri Fitoussi z'al, connu sous le pseudo de Halqel'oued, m'envoyait ses textes bien avant qu'il les publie juste pour le kif.
Nous entretenions une correspondance écrite quotidienne et même télèphonique. Il était très érudit et connaisseur des bonnes choses culinaires, un fin cordon bleu.
Hélas, le meqtoub a voulu que je prenne mes distances plus tard d'avec lui.

J'ai gardè quelques écrits intérrèssants dont celui là puisque Paque approche.

Je vous le poste.



'...En enlevant le hametz de ma maison, en lavant, epoussetant, recurant et frottant, je me souviens avec tendresse et emotion du Pessah de mon enfance.
Les melodies du seder me reviennent.
Celles que l on entonnait, alors, que le plat du Seder, passait sur nos tetes...


Etmol !


Le Manichtana que mon pere me faisait chanter...
Le Dayenou...et combien encore...
Je me souviens de l’odeur incomparable du Msoki qui flottait dans la maison, du osbane que ma mere preparait avec tant de fierte...
Des olives, du beldi, de l’adhem el h’out, des matsot que mes parents appelaient "galettes".

De la coupe du prophete Elie sur la table.... de la porte ouverte.. "Que tout étranger qui a faim vienne a notre table et fete Pessah !"

Et lorsque choulh’an orekh, etait prononce alors, dans un silence quasi religieux ma mere (zal) entrait triomphante avec son msoki fumant...
Les premieres bouchees etaient degustees et comme chaque annee invariablement Papa (zal) lui disait : Bravo ! Il est encore meilleur que les autres annees..

Apres birkat hamazone, le hallel et la 4eme coupe de vin bue jusqu’a la fin..

Nous entonnions le Lechana habaa be Yerouhalaim ha benouya... L’an prochain a Jerusalem reconstruite..
Et enfin pour clore la soiree, a qui le chanterait le plus vite sans se tromper, le fameux Had Gadya ! ! !

J’ai retrouve un seder tune dans les regles de l’art a Jerusalem, c etait le merveilleux et charmant et venere Maitre Charles Haddad qui le conduisait chez moi.

En effet je suis a Jerusalem depuis quelques annees... mais vous n’etes plus la, avec moi, mes parents tant aimes..
Mon msoki n’a plus le gout de celui que tu preparais maman..
J’essaye de me rappeler... c’etait comment cet air papa que tu chantais... ? Oui je sais :
-Khalini nessker ya youdi..fi bissah’ farh’at jdoudi !
-Laisse moi m’enivrer, o juif, a Pessah a la joie de mes ancetres !
Je suis a Jerusalem, je bois dans la ville tant revee, je prepare chaque annee mon msoki, mes friteches, je me souviens des melodies... je garde la corbeille en osier, maman, dans laquelle tu preparais le plat rituel du Seder avec le voile de mariee de ma soeur, qui elle aussi vous a rejoints au paradis...
Je me souviens.. et la tendresse refoulee.. Oui je suis à Jérusalem.
Papa comme tu l’avais reve...
Oui je prepare les plats comme tu me l’as montre maman, oui ma soeur cherie, ton voile de mariee est toujours la avec moi... la vie continue.
Le jasmin refleurit sur ma terrasse comme chaque annee.. et Pessah revient ... et vous me manquez ; la nostalgie m’envahit, quelques larmes roulent sur ma joue.... et je me souviens.
Etmol !

Henri Fitoussi z'al. Pur goulettois.

'...Repose en paix...!'

J'ai retrouvè les paroles de Had gadiyia...dans mes archives.
Le voilà....

'....C’est un chant en Judéo arabe, voici également la traduction.

H’az gadyia, h’az gadyia, eldi srali baba bjowj flouss.
Un chevreau, un chevreau, que mon père m’a acheté pour deux sous.

Ou jat el qatouss, ou klat ejdi, elli srali baba bjowj flouss.
Le chat est venu et a mangé le chevreau que mon père m’a acheté pour deux sous.

Ou jat el kelba ou guetmet el qatouss elli klat ejdi etc.
Le chien est venu et a mordu le chat qui a mangé le chevreau, etc.

Ou jat el âssâ ou darbet el kelba elli gadmet el qatouss, etc.
Le bâton est venu et a frappé le chien qui a mordu le chat, etc.

Ou ja ennar wah’raq el âssâ, etc.
Le feu est venu et a brûlé le bâton, etc.

Ou ja el ma wetfa ennar etc.
L’eau est venue et a éteint le feu, etc.

Ou ja ettawr ou srab el ma, etc.
Le taureau est venu et a bu l’eau, etc.

Ou ja eddebah’ wedbah’ ettawr, etc.
L’égorgeur est venu et a égorgé le taureau, etc.

Ou ja melk elmawt ou dbah’ eddebah’h, etc
L’ange de la mort est venu et a égorgé l’égorgeur, etc.

Ou ja Qadoush Baroukhou ou dbah’ melk elmawt, etc.
Le Saint Béni Soit Il est venu et a égorgé l’ange de la mort, etc.

Henri Fitoussi z'al. GRAND JUDAISANT.

NB/Sa femme vient toujours acheter chez moi ses lifas( gants) de toilettes.

Breitou mon ami

Ton message était très touchant et merci !!

Mais je ne comprends pas pourquoi tout cela n'est plus que des SOUVENIRS, des ..".Je me souviens..."

Pourquoi n'avoir gardé que des souvenirs de ces belles choses ? Pourquoi ne les a-t-on pas continuées, même après le départ des parents et surtout celui du Papa ?

Je l'ai déjà dit plusieurs fois, ce n'est parce qu'on est moins pratiquant qu'eux qu'on est moins juif-tune ?

Qui a décidé que pour faire (et transmettre aux plus jeunes) toutes les choses que nous avons aimées, il fallait suivre toutes les règles religieuses ?

C'est peut être moins complet, mais je crois que c'est mieux que de parler de Souvenirs.

Alors H'ag Pessah' Sameah' !! Dans la joie d'une grande famille réunie et les remarques qu'on lance aux enfants impatients qui veulent que les plats remplacent vite les livres de la Haggadah.

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Pièces jointes:

MOKA L AGENT SECRET DU MOSSAD EN VENEZUELA.



Il y a des moments où, sans que je le veuille, ma mémoire fait un bond en arrière.

Je parle assez souvent de ceux ou celles que j’ai connu.
Ceux ou celles qui ne sont plus là.
Après tout ce forum n’est t’il pas fait pour rappeler.
Rappeler leur mémoire.

L’homme ne peut être parfait.
Il n’atteindra jamais la perfection.
Il ne peut jamais changer de caractère.
Ils portent en lui certaines gênes qui le portent souvent à croire en sa vérité.
Celle des autres ne lui convenant pas.

Henri Fitoussi z’al et moi avons eu beaucoup de discussion sur un tas de sujets actuels et d’autrefois. A l’époque.
Nous en avons bien ri au point que nombre d’harissiens ont cru que j’étais complice de ces dires ou de ces faits. Pas du tout. J’avais mon avis et mon opinion sur beaucoup de choses.

Lorsque une chose n’allait pas, je le lui disais mais il n’en tenait pas compte parce qu’il était dans sa vérité. Il jouait parfois les emmerdeurs rien que pour faire monter la sauce.

A plusieurs reprises, il s’ingéniait lorsqu’un internaute lui paraissait selon ses vues ‘antipathique’ de le harceler par mails. Et bien sur ils venaient chez moi se plaindre et me demandaient qu’il cesse ces petits jeux à la con. Henri obtempérait. Mais sans avouer qu’il était l’auteur de ces mails. Il adorait titiller sous différents mails ses ‘emmerdeurs’ qui lui ‘faisaient du tort’ sur le site. Il était un génie pour cela.

Sous le nom de MOKA, bien connu des anciens harissiens, il a mené en bateau tout ce petit monde. Il a réussi même à se faire passer pour un agent du MOSSAD. Pendant un mois.
Il m’a fait baver avec ses rendez vous d’agent secret et il m‘avoua même qu’il avait une MISSION DE LA PLUS HAUTE IMPORTANCE et qu’il fallait qu’il me recrute.
Je le crus et j’attendais mon ordre de MISSION qui n’arriva jamais.

Il alla jusqu’à me faire croire que son COMMANDANT EN CHEF voulait me voir en un lieu tenu secret. AU VENEZUELA. Je lui faisais comprendre que je ne pouvais pas voyager.
Il me passe un FARFELU au bout du fil. SON COMMANDANT qui me parlait en HEBREU.
Lui traduisait. Le voyage était payé bien sur et je serai rémunéré après ma MISSION.
50 000 Dollars. Pour deux jours de MISSION. J’en parlais à mon associé, mon frère, qui tout peiné me dit alors ‘...ET MOI... ? Je fais quoi... !’ ‘ Tu attends, deux jours 50 000 Dollars, c’est un an de salaire plus le VENEZUELA que je ne connais pas... !’

Trois jours plus tard, une dame me parlant ESPAGNOL me téléphone.
Je lui fais comprendre que je ne parle pas cette langue et c’est dans un accent français cassé qu’elle m’expliqua qu’elle passerait me donner un ACOMPTE et une enveloppe. Mon ordre de MISSION. Je l’attends depuis SALOME. Comme je ne voyais rien arriver, je téléphonais à HENRI, pour lui raconter MA MISSION. Il était emballé et me conseilla surtout d’être prudent et de ne rien accepter tant qu’il ne superviserait pas l’opération du nom de CODE ‘HALLELUIA’, par lui-même.

Il voulait me suivre le jour du nouveau rendez-vous parce que Mademoiselle SALOME me rappela trois jours plus tard pour me faire dire que son premier RENDEZ-VOUS avait été annulé par le grand patron. Elle me le confirma par mail en espagnol du VENEZUELA.
J’attendais donc le cœur fébrile, ce second rendez-vous. J’en avertissais HENRI qui commit la faute, le lendemain, de faire parler sa femme au téléphone en espagnole ou une amie, alors que le numéro qui s’afficha était celui de sa maison. Il oublia de masquer l’origine de l’appel.
Puis, lorsque la dame raccrocha, ce fut lui qui me parla une heure plus tard pour avoir de mes nouvelles. Il ne se doutait pas que j’avais compris enfin le stratagème.

30 jours à me faire poiroter.

Un sacre farceur qui ne se reconnu jamais en MOKA.
LE GRAND AGENT SECRET DU MOSSAD AU VENEZUELA.

Pourquoi ais-je cette facilitè du pardon alors que bcp ne l'ont pas BORDEL....!!!!