Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
11 avril 2011, 11:19
Aândi neftah él farh, ye baba.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
12 avril 2011, 05:01
Aândi neftah él farh, ye baba,.... oul fedleik
Ce qui n'est pas le moins important!!
Rabi maak ya hkouya, meme si je ne reagis pas toujours, je ne manque jamais de te lire avec plaisir
Hag Pessah cacher vve sameah.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
12 avril 2011, 07:25
Me ten'ssech zédè MEFTAH EL FRAJ OU MEFTAH EL KHIR..YE BABA.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
12 avril 2011, 07:33
Lis moi tjs Henri Yossef, tjs hatte on devient vieux et tu sais ma lecture djib el FREJ Crois moi... Alors que celle des autres apporte la REMA.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
12 avril 2011, 07:36
ADELE FROMENT.

CHAPITRE 16° PARU

au PTB SIEGE

SALLE RACHEL.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
12 avril 2011, 09:29


lE PARLE EST FAUX. C'est un langage de pieds noirs du genre algérien mais surement pas français tune.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
12 avril 2011, 09:57


Des sports ? J’en ai pratiqué à la Goulette car le sport chez nous c’était une institution, tous comme les jeux au demeurant.



Du football de plage ou du terrain noir, du hand-ball en passant par la natation et le water-polo, rien de ces pratiques ne nous étaient inconnues.



Nous n’avons pas eu la chance d’avoir un terrain de POLO, dompter les chevaux est une affaire sérieuse idem pour les ânes. Aucun espace de glisse sinon nous aurions été aussi aguerris au HOCKEY SUR GLACE. Au patinage artistique et la moitié des jeunes goulettois auraient été PD.

Les seuls patineurs que nous ayons connus étaient ceux qui, involontairement, ont glissé sur le macadam par un jour d’inondation.



Le basket, je n’en ai pas fait, de la boxe aussi. Ce n’était pas dans nos gênes les gants. Par contre le VOLLEY, sport sain et intelligent, était la passion pour bcp d’entre nous. Maitrise des nerfs, self contrôle, choses que nous n’avions pas parce que les jeunes goulettois étaient pour la plupart fougueux. Nerveux. Bagarreurs. Gueulards. Combatifs. Perdre nous exaspérait. Les meilleures mauvaises fois que D ieu a crée c’était nous et nous en étions fiers à cette époque.

Nombre de volleyeurs étrangers de la capitale ont voulu nous imiter mais hélas, ils faisaient dans l’amateurisme alors que nous nous étions licenciés PROS dans un domaine que nous maitrisions parfaitement. Pour ce qui est injures, le dictionnaire en était réduit à une simple expression CON. Pas plus alors que nous, c’était toute une encyclopédie naturelle.

Vous avez sans doute remarqué, et cela n’a pas échappé à vos yeux de lynx que mes introductions n’ont rien à avoir avec les sujets traités. C’est un style comme un autre et cela afin de me démarquer des grands écrivains. Je veux avoir mon style PROPRE pour qu’un jour vous puissiez dire celui là ‘Saute du coq à l’âne… !’ Et alors chers lecteurs… ! C’est ma nouvelle façon d’écrire pour qu’un jour, un de vos petits fils ou petite fille dira à votre adresse ‘…Il est bizarre ce Somelier, il a un genre… !’ Et de lui répondre ‘…Oui ma petite fille, il était bizarre et drôle ce Richard… !’ Et là je serai inscrit au PANTHEON de celui qui ne ressemble à personne….



Mais ce n’est pas de sport ni de style que je vais vous entretenir, neni nono, mais d’autre chose.



A Suivre dans ‘…LE BEAU FIANCE… !



Il n’était pas goulettois le beau SERGE*. Mais tunisois. Etudiant ???? , il venait passer les week-ends et jours fériés et une bonne partie de l été chez une tante goulettoise. Il était le cousin germain. Sa cousine était très belle et nombre d’entre nous n’osait la draguer par respect pour sa beauté.

Elle était aussi d’un caractère difficile la Martine* du haut de 16 ans. Sauf qu’un jour, la rumeur avait couru qu’elle sortait gentiment avec un ami de prénom Edouard*. Un garçon boutonneux mais gentil. Il ne se passait pas un jour sans qu’une querelle n’éclate entre eux. Ce n’était pas de l’amour mais de l’acharnement à s’aimer en se disputant. Je fus un peu l’intermédiaire entre eux mais à la longue j’abandonnais par trop de disputes.

Serge notre cher nouvel ami donc ne faisait pas partie du sérail, il le fut par l’intermédiaire de sa cousine. Nous l’acception dans notre bande. Il avait à cette époque 22 ans.

Claude se plaisait parmi nous. Il appréciait nos surboums et nos sorties en bus.

Dans une bande garnie de jeunes garçons et de jeunes filles, il y a tjs un ou une qui a la chkoumoun, si ce n’est deux ou trois individus.

Je m’explique, ils n’ont pas de chance à s’accrocher une fille ou un garçon. En boum, ils sont souvent à faire tapisserie. Et certains d’entre nous, n’ont pas eu la chance de flirter. Oui, aussi bizarre que cela soit, aucune expérience du baiser. Perso, j’ai eu de la chance. Il faut dire que j’étais mignon à croquer et surtout plein d’entrain. Certaines filles disaient que je ressemblais à BURT LANCASTER tandis qu’à d’autres, je ressemblais au héros de l’ARNAQUE PAUL NEWMAN. Jolies références n’est ce pas. Ca me donnait du baume au cœur d’autant plus que mon profil ne valait à cette époque que ce qu’il méritait.

Donc notre ami, faisant partie de la bande à présent, jette son dévolu sur une jeune fille au sourire éclatant. De bonne famille, surtout riche et possédant un grand bien, une belle villa. Rosine* n’était pas draguable et pour cause, nous la considérions comme une sœur qu’autre chose et si vous dites cela à une fille qui jette son dévolu sur vous, c’est la cata. Donc tous les garçons n’en voulaient pas comme flirt.

Elle n’a jamais eu de flirt à son âge de 20 ans et même plus tard, elle collectionna le célibat.

Serge la dragua et la jeune fille lentement en tomba amoureuse. Lui aussi au point que le jeune homme sans travail, étudiant s’épancha auprès d’elle après quelques semaines de fréquentation. Il lui fait miroiter des fiançailles. La jeune fille n’en croyait pas ses oreilles. Elle en éprouva un fort sentiment de fierté car elle sortait de la chkoumoun. Elle était donc capable de lever un jeune homme. Un an passe et ‘leur amour’ semble dur comme béton.

Elle décide de présenter son fiancé à ses parents. Des parents qui s’interrogeaient sur cet amour dévorant de leur fille. Ils lui posèrent les bonnes questions et elles trouvèrent toutes réponses vaseuses parce que lorsqu’on aime, toutes les réponses valent la peine d’être entendues avec semblant.

Il est donc agrée chez la famille et notre Serge est heureux d’avoir trouvé des parents compatissants et une belle fiancée à son goût. Il passait donc qqs beaux week-ends au logis de sa fiancée. De plus en plus amoureuse.

Un jour, Marlène s’aperçoit que de la menue monnaie manque dans son sac. Elle n’y prête pas trop d’attention et elle se dit qu’elle l’avait surement dépensée sans se souvenir du quand.

Plus tard, c’est qqs billets de banque qui manquent à l’appel. Là encore, elle se tut. Plus tard, le manque de billets devenait courant. Elle n’osa même pas poser la question à ces parents.

Sauf qu’un jour, une forte somme manquait dans son sac. Elle en parle à ses parents et là, le doute s’impose. On accuse la domestique de ces larcins. Elle est renvoyée sur le champ après des années de bons et loyaux services. Une autre domestique prend la place de cette dernière. Les vols s’arrêtèrent suite à ce renvoi de la bonne. La maison retrouva son calme.

18 mois plus tard, les fiançailles de Marlène et de Serge sont célébrées en toute intimité dans la famille de la jeune fille

Il lui offre une très jolie bague. Elle lui offre une montre de valeur. Qu’il dit après perdu une semaine plus tard, qu’à cela ne tienne, il recevra la même.

Notre jeune homme rentre et sort comme chez lui. Il ne travaille pas et vit de quelques subsides que lui donne sa tante.

Les vols d’argent recommencent au grand damne des parents de la famille. Là ce n’est plus de petites sommes mais des sommes importantes cachées dans le tiroir du papa. Dont lui seul détient la clef.

Pris d’un doute, il en parle à sa fille qui bien sur défend son protégé. Elle lui en parle mais lui se dit innocent des faits qui se passent chez elle. Le papa lors d’une réunion familiale jette le trouble lorsqu’il annonce que 500 dinars ( Environ 500) d’époque ont été encore une fois subtilisés.

Tout en lorgnant le fiancé de sa fille. Ce dernier fait le mort.

Le lendemain matin alors que tout le monde dort, notre Serge se réveille tout en délicatesse, charge ses affaires dans sa sacoche est disparait pour toujours.

Personne ne le reverra . Et personne ne sait ce qu’il advenu de ce gentil fiancé de la haute voltige.

*Prête noms.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
13 avril 2011, 07:09
Dans ma boutique hraouar,( épices) magie, hrouchouts etc….

Rentre une belle dame africaine au dessus de tous soupçons, soupe au lait.Lol.

‘…Pourriez vous me renseigner sur quelque chose qui me turlupine… ?’

‘…Je vous écoute Madame… !’

‘…Qu’est ce qu’un gris gris… ?’

‘…Un gris gris madame est gris… !’

‘…Est-ce maléfique… ?’

‘…Tout dépend de l’usage qu’on en fait… !’

‘…C’est pour mon mari, il a une maitresse et je voudrais m’en débarrasser, elle me fait de l’ombre… !’

‘…Donc vous voulez un gris gris malfaisant… !’

‘…Oui, aidez moi s’il vous plait… !’

‘…Elle est blanche ou noire cette dame… ?’

‘…Blanche… !’

‘…Donc je vous propose de prendre une petite poupée blanche, vous inciserez le ventre et là vous introduirez un petite feuille de parchemin sur lequel vous aurez inscrit son nom prénom et date de naissance… !’

‘…Sa photo aussi… ?’

‘..Le ventre de la poupée est étroit mais si vous voulez plus grand, genre poupée Barbie, il n’y a pas de problème… ! Ca vous coutera 20 € main d’œuvre non comprise… !’

‘…Et ensuite… ?’

‘…Ensuite, après l’avoir bien fermé, vous enterrerez ce gris gris dans un cimetière pendant la lune noire… !’

‘…Et que va-t-il se passer après… ?’

‘…Faire une oraison lugubre ‘…Esprit du mal va t’en… !’ 1€ 50.. !’

‘…Et après… ?’

‘…Au bout de trois jours la maitresse, votre ennemie succombera de mort naturelle, ni vu ni connu… !’

‘…Ah non, je ne voudrais pas la tuer, ca jamais, je suis très croyante… !’

‘…Mais c’est la seule façon de vous en débarrasser…. !’

‘…C'est-à-dire que mon mari elle et moi, nous…. !’

‘…Vous formez un trio en amour….Vous partagez vos ébats…?’

‘…Oui, exactement mais il s’occupe plus d’elle que de moi… !’

‘…Dans ce cas, je vous donnerai la formule moins dangereuse, elle se cassera seulement la jambe… !’ Ca vous convient… ?’

‘…Oui, parfait… !’

‘…Mais dans ce cas làaAAAAAAAAAA elle NE PRENDRA PLUS SON PIED….!’



Ainsi va le monde.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
13 avril 2011, 07:20
Une haïtienne bien potelée me demande de bon matin à l’ouverture.

‘..Auriez-vous de la PIPI DE CHAT TOUTE CHAUDE… ?’
‘…Oui madame, j’en ai… !’
‘…Juste une seconde, je vois si ma chatte est réveillée…. !’
‘…Je vous attends… !’
‘…Combien de cl vous voulez…. ?’
‘…Juste 50 grammes… !’
‘…Ok, alors 15 centimètres… !’

Je vais derrière mon laboratoire…

‘…Minou, Minou chérie, c’est l’heure du BOULOOOO….Allez viens ma chatte adorée, fais moi un joli pipi tout chaud…. !’
J’ouvre un petit robinet et on entend l’eau coulé, en vérité c’est moi qui pisse dans une bouteille au goulot très étroit, la moitié du liquide inonde ma main.
La fiole en main…
‘…Voilà madame, toute chaude et ca vous coute 7 € parce que je l’ai réveillée… !’
‘…C’est de la pipi de chat… ?’
‘…Oui bien sur, vous pouvez GOUTER SI VOUS VOULEZ…!’

Ainsi coule l’eau de la SEINE sous les ponts de Paris.
Si vous ne croyez pas, je vous offre une invitation dans ma boutique.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
13 avril 2011, 07:38


Petita c’est son nom d’artiste. Elle est brésilienne, 25 ans et à damner le pion d’un curé de compagne.

Elle est relookée de haut en bas, ses joues sont tirées, son nez joue presque du clairon, ses oreilles sont plates, allez savoir pourquoi surement pour entendre les platitudes de ces clients, car Petita est travesti. Longue queue de cheval, une postiche, jean moulant et bottes de cuir. Un fessier à faire pâlir CLAUDIA CHIFFON.

‘…Dis moi mon coco, tu ne m’as pas dit que tu vendais de la crème pour galber les fesses… ?’

‘…Oui BOOSTER FEMALE… ! Pourquoi tu en manques… ?’

‘…J’en veux plus…. ! Et ca marche cette crème… ?’

‘…Très bien, ma chère, tu devrais l’essayer et tu seras étonnée par le résultat… !’

‘…J’en veux 6 de tubes… !’

‘…C’est une cure… !’

3 semaines plus tard…

Petita rentre CHEZ MOI DANS MA BOUTIQUE…Je ne la reconnais plus…Ses lèvres sont si gonflées qu’elles flirtent avec la bordure de ses yeux…

‘…Petita… ? C’est toi… ?’

Elle a du mal à remuer les lèvres.

‘…O..u…i… !’

‘…Tu as fais quoi… ?’

Son ami intervient.

‘…Elle en a mit pendant deux semaines sur les lèvres et là, elles ont prit du volume, depuis elle PETE PAR LES LEVRES ET ROTE PAR LE CUL… !’

Je vous le répète ce monde est FOU.

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