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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 avril 2011, 08:36
NE DEVIENT PAS "MABOULE" bark !!!!!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 avril 2011, 11:26
T'inquiétes ma chére, cherche bien et tu trouveras qui est Maboul. Bof...!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 avril 2011, 11:58
DANS LES AVENTURES DE BREITMAGIC...!
L'AMOUREUX.



Vers les 10 heures ce matin, une heure après le lève de rideau, une très belle jeune femme se présente devant moi. A son profil, je devine qu’elle est marocaine. Je m’abstiens de causer en arabe et voilà son souci.

‘…Bonjour Monsieur, je suis TARAUDE….’ !

‘…FOFANAAAAAAA….Apporte moi UN TAROT…. !’

‘…Je suis gérante de mon salon… !

‘….LE TAROT LA SIBYLLE DES SALONS… !’

‘…De massage… !’

‘…ET AUSSI DE L HUILE DE MASSAGE…. !’

‘…Donc, depuis un mois, j’ai un client, entre les deux âges, qui vient tous les jours à la même heure se faire masser… ! Et il ne veut être massé que par moi… !’

‘…Quel honneur et je le comprends…. ! Avec de si jolies mains qui ne voudraient pas l’être… !’

‘…Je lui propose lorsque je suis prise une autre masseuse mais il refuse catégoriquement… ! Il attend que je sois disponible… !’

‘…Ok, mais s’il a fait ce choix en quoi cela vous dérange… ?’

‘…Ca me prend la tête et en plus il y a quelque chose qui me gêne… !’

‘…Quoi donc… ?’

‘…Lorsqu’il se met sur le dos, je m’aperçois d’un gros ronflement… !’

‘…Il bande, c’est cela… ?’

‘…Exactement, et ca me met mal à l’aise… ! Une fois, j’ai demandé à mon employée de lui dire s’il revenait, que je ne n’étais pas là… ! Il est resté assis en disant ‘….Qu’il m’attendrait… ! Or, j’étais cachée en haut et bien sur, je ne suis pas redescendue de la journée pour évite que ma salariée ne passe pour une menteuse, il est sorti qu’à la fermeture… !’

‘…En effet, là ca devient dangereux, vous avez affaire à un homme qui je crois est tombée amoureux de vous… !’

‘…Que dois-je faire… ?’

‘…Ecoutez, je vais vous proposez une crème spéciale faite par notre maison à base de VALERIANE. Cette poudre mixée avec la crème a une odeur épouvantable… ! Donc, lorsqu’il va venir, vous allez vous en mettre un peu sur vos mains, et surtout étalée un soupçon de cette mixture sur votre table de travail, il ne pourra pas supporter l’odeur et il s’en ira croyant par là que vous êtes prise par un mauvais génie, surtout si vous en faites allusion la veille… ! Et le lendemain matin, il aura peur, vous croyant ensorcelée il ne viendra plus… !’

‘…Ok ca marche, je vais supporter la crème autant elle que lui… !’

Elle achète le pot de puanteur bien cacheté.

Une semaine plus tard, je la vois arrivée la mine renfrognée.

‘…Alors… ?’

‘…Ca n’a rien fait sur lui et j’ai du supporter et l’odeur du crème cadavre et lui, c’était trop, en plus il me dit ‘…SAMIRA…Vous êtes GENIALE… ! Avez-vous une autre solution… ?’

‘…DEMENAGEZ AILLEURS, ce MEC FLIRTE AVEC LE DIABLE… ! …A moins que vous ne l’EPOUSIEZ…. !

‘..EL LOTEF…EL LOTEF… !’ Que D ieu préserve…!’



A sa suite…Rentre un noir… !

‘…Je veux le savon SOLUTION… !’

‘…Tu as UN PROBLEME… ?’



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 mai 2011, 02:04
Merci ma chére Elsa pour cette belle chanson de Dalida, mise au PTB siége. Que de beaux souvenirs.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 mai 2011, 03:07
Depuis que tu as mis cette vidéo, j'ai les larmes aux yeux, l'émotion ye orti, ca me rappelle que j'en avais fais une belle piéce de cabaret dans laquelle tu étais la vedette, tu t'en souviens...? YE orti, ye hassra, tu sais Elsa, souvent je joue avec mes vieux amis à Belleville à la belotte et je fredonne ta belle chanson alors mon compagnon il me dit '...On dirait qu'elle te fend le coeur cette chanson...!'
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 mai 2011, 06:47
rafraichis moi la memoire alors !! je ne me souviens plus de cette piece, a mon age, j'ai la memoire qui flanche ...
comme ca dés que la lirais on sera 2 a pleurer !!!!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 mai 2011, 07:53
Doucement, ne sautes pas du coq à l'ane, l'ane étant moi. Tu vois si nos deux mémoires flanches alors dis moi comment ce fait t'il que tu te rappelles si bien de NASSER 60 ans aprés, alors que ma comédie musicale est passée il y a 7 ans dans l'ancien PTB...???? Hein...???
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 mai 2011, 08:26

Comme promis, j'annonçais ailleurs sur FB, une petite anecdote qui prend naissance dans ma boutique spécialisée dans l’envoi des bons sorts, mauvais sorts, sortilèges en sorcenlissimo.

Y’a rien à craindre chez moi, tout est fait avec art et subtilité et surtout avec bcp plus de réconfort que d’ingrédients douteux. Certaines gens désespérés ont besoin d’aller consulter mais à moindre cout, elles préfèrent consulter chez moi gratuitement et ce qui me rassure le plus, c’est qu’elles sortent rassurées et pleines d’espérance. Parfois avec une chandelle allumée dans la main.

Deux handicapés physiques, des mendiants, se disant du Kosovo rentrent dans ma boutique. Fait rare, ils sont blancs.

L’un est manchot d’un bras et oui forcément sinon il ne le serait pas et l’autre porte une prothèse au pied. Une jambe de bois enfin pas un truc super moderne quelque chose pour ne pas qu’il reste sur place. Bref, je comprends que l’un veut récupérer sa main et l’autre son pied.
En fait, ils marchent souvent ensemble, l’un tend la main pour le manchot et l’autre prend le métro pour le cul jatte.

J’explique au manchot, celui qui ne peut pas faire BEZROUAT NITOUYA à la soirée de BICHAH ye hnin, de prier LA MAIN PUISSANTE afin qu’elle intercède en sa faveur. Quant à l’autre, je lui préconise la lotion SAN PIED (Elle existe) en massage afin que sa jambe repousse, on ne sait jamais, les miracles existent.

Six mois plus tard, voilà que mes deux compères reviennent me voir. L’un a perdu son autre bras tandis que l’autre a perdu son autre pied, ils ont encore sauté sur la même mine qui les attendait sagement au carrefour de BRITSLAVA.

Ils étaient désespères. Dans pareil cas, il faut faire profil bas. Je leur ai remonté le moral en leur disant que cela aurait pu être pire. Mais qu’ils sont grâce à la PROVIDENCE DIVINE EN VIE. Je discutais avec eux lorsque je vois rentrer un autre de leur compatriote mais celui là entrain de ramper à même le sol au point que je chuchotais aux oreilles des deux présents, de l’éloigner de ma boutique. Ce qu’ils firent sans problème.

‘…Tu n’as pas qq chose pour lui… ?’

‘…Oui bien sur, tiens DEUX EUROS… !’

Parfois, il faut savoir solutionner une situation délicate
.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 mai 2011, 09:32
TSUNAMI A BARBES SHOW.



J’ai une chance insolente.

Sans rien demander à mon quotidien, ce dernier m’offre par moments quelques situations critiques frisant parfois le tragique.

Je vous racontais il n’y as pas si longtemps, dans un article passé dans les archives d’ici avec bcp de sérieux LA RATP RENOVE, cette nouvelle manière, très au point, qui consiste, pour cause d’escalator mécanique en panne, à canaliser au moyen de rubans rouges la descente et la montée des escaliers du métro CHATEAU ROUGE prise d’assaut le samedi matin et jusqu’au soir. Des agents remplacent les feux tricolors.

Or, il faut savoir aussi que la RUE POULET, qui a perdu ses plumes blanches depuis longtemps pour se doter de plumes noires et aussi prise d’assaut ce jour là. En effet, toute la rue est assaillie par des vendeurs à la sauvette. Montres, bijoux, lunettes, valises, attaché-case, vêtements etc….étalés sur les capots des voitures, sans aucune gêne, à tel point qu’un soir j’ai cru ma voiture enlevée par la fourrière alors qu’elle roupillait sous un tas de jean’s et chemises estampillés Diésel. Du faux. De la pacotille.

Bref, je tenais la queue comme tout le monde, bien sagement, humant ces effluves dont Paris a le secret surtout sur les quais de la STATION CHATEAU ROUGE gorgés d’un monde sélectionné sur CV, lorsque soudain, une voix

‘….CREEEEEEESS….!’ Ce qui veut dire C.R.S dans la langue des guetteurs se fit HURLANTE.

En un rien de temps, les étals de cartons des camelots non attitrés, voleurs à la tire, voyous en tout genre, indicateurs, maquereaux sans autorisation, femmes de petites vertue etc….Prirent leur jambe à leur cou, laissant sur place qqs objets sans valeur. Le macadam, revu et corrigé, de la rue présentait un terrain de bataille désert sur lequel qqs paires misérables de tongs donnaient à ce misérable spectacle un décor tout en noblesse. Le tsunami humain, dans sa fuite, se dirigea vers le seul endroit qui pouvait lui servir d’échappatoire, le métro. Pour ce fendre ainsi dans la foule des honnêtes voyageurs. Pour peu que les gens se soient retenus in extrémis à la rampe en fer forgée salvatrice, nous aurions eu des victimes potentielles où des enfants auraient pu être malmenées, blessés.

Les fuyards se jouèrent des agents de police, la plupart sautant la barrière de sécurité, forçant au passage les portes automatiques d’ouverture et de fermeture, sans parler de ceux ou celles qui, bousculant tout ce monde surpris, se glissaient sous le portillon sans payer, pour trouver refuge sur les quais. Ni vus, ni pris ni connus.

Quant à moi, je me suis senti transporté par cette marée de fuyards qui m’épargna de valider ma carte NAVIGO.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
03 mai 2011, 12:51


Mes souvenirs… ?

J’ai pris la décision d’en effacer bcp de mon disque dur. Pour les avoir lu et relu, pour les avoir appris par cœur, mes textes édités dans qqs sites m’ont apportés le sentiment de ne pas être seul à vous les raconter. Déjà bien avant moi et sans complexes, bcp ont écrit des charrettes de souvenirs qu’ils soient écrivains, anodins ou simples lettrés. Au grand bonheur de ceux ou celles qui, par manque de temps, de timidité ou d’autres choses ont eu le courage de confiner en eux-mêmes des moments de leur vécu.



Sans aucun état d’âme, j’ai appuyé sur le bouton de ma gâchette, envoyant ainsi à la casse, à la poubelle, des pièces de théâtre, des chants en arabe, des récits qui n’ont pas faits ma fortune mais qui m’ont satisfait. J’ai relevé le défi, celui de conter, de narrer, selon un style propre à ma modeste langue française. 1989…2011…21 ans à écrire partout, je dis bien partout, sur des bancs de station de métro, sur des sièges de métro, durant un vol d’avion, un trajet de train, sur le dos de ma main, sur la paume de ma main, partout là où l’occasion me souffle de tenir un stylo.



Et des stylos, j’en ai usé, des pages aussi, et rien ne peut démentir ma ligne de conduite. J’ai prêté ma plume à des gens biens, à des filous.



L’écriture et sans jamais démordre cette idée bien incrustée dans mon esprit est mon remède. Elle est pour moi, ma confesseur, ma confidente, celle qui m’apaise lorsque je sens monter la pression. Elle est ma bergère, celle qui guide mes paroles dans le bon sens, parfois dans le mauvais sens.

Oui, m’attirant quelques fois des quolibets, de la part de certaines personnes qui nous ont promis monts et merveilles, des montagnes de récits dont personne ne verra le jour. Du vent.

Certains l’ont fait et bien fait, ils ont construit de très jolis poèmes, d’autres ont copiés sans honte. Mais bon, ce n’est pas grave, il faut savoir être magnanime.

Des souvenirs, je peux encore en trouver et en relater.



Chaque photo de mon viel album rose écru soulève une émotion. Et cette émotion, je la traduits par un écrit. Je trouve merveilleux d’écrire tout en regardant une photo d’époque. Ca me rajeunit. J’ai l’impression de redonner à mes neurones une nouvelle jeunesse. De ne pas se laisser encrasser.

Un ami de volley, je dirais un frère de village, ce village de la Goulette, que j’ai retrouvé à Paris et qui me donne la satisfaction de retrouver à travers lui un peu de ce baume d’autrefois, me rappelait un autre ami de Tunis qui jouait au CNT. Un garçon humble, beau et bon joueur, fort sympa au demeurant émigre en 1965 vers la France. Son bac en poche. Mon ami Max, le rencontre par hasard au bois de Boulogne. Car à cette époque, nos mordus de volley avait installé un carré de terrain d’entre les arbres. Un filet, un ballon et tous les dimanches la messe était dite entre équipes faites au petit bonheur la chance. Une messe qui trouvait souvent des fins tragiques. Des querelles incessantes tant et si bien que les amis de la bonne fraternité décidèrent de déserter le ring.

Au fil du temps, par manque de guerriers, le terrain du bois de Boulogne retrouva son calme et sa sérénité et les oiseaux sereinement leurs nids.



Donc notre ami Max perd de vue cet ancien joueur du CNT. Il n’entendit plus parler de lui.

Les années passent et voilà qu’il y un mois ma sœur m’informe qu’un certain ALAIN COHEN, ancien volleyeur du CNT et de L’Equipe Nationale désire me rencontrer. J’en parle à Max qui euphorique me demande de l’inviter à une sortie de resto. Contact est donc prit ainsi que le rendez vous.

Mon ami Max se souvenant de l’autre ami perdu de vue demande à Alain par email s’il avait des contacts avec son ancien coéquipier.



En attendant sa réponse, Max va consulter certains liens sur Wikepedia. Et là, il reconnait son perdu de vue dans une photo. Ce Monsieur est devenu une GRANDE SOMMITE internationale. Il est bardé de diplômes et court le monde allant de conférences en conférences.



[www.scholarpedia.org]



[www2.cnrs.fr]



[www.ensicaen.fr]



[cerncourier.com].



Je ne pense pas que ce grand Monsieur partage un jour un bon gueuleton chez GUICHI.

En attendant, je vais encore piocher dans mes anciens souvenirs.







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