Les assurés sociaux ont du génie, il vaut mieux en rire !
(Ces phrases sont extraites de lettres adressées à la Sécurité Sociale par des assurés)
- Il y a cinq mois que je suis enceinte et je n’ai pourtant rien touché !
- Avoir des enfants n’est pas à la portée de toutes les bourses.
- Depuis que le médecin a dit à mon mari de prendre de la courtisane, il va beaucoup mieux.
- Je nourris mon enfant au sein sans arriver à joindre les deux bouts.
- Ma femme étant tombée malade, j’en ai pris une autre pour la remplacer, comme c’est une jeune fille, dites-moi ce que je dois faire.
- Je me suis marié il y a huit jours, dites-moi comment couvrir ma femme.
- Mon enfant n’a pas une bonne glande tyrolienne.
- Je me suis soigné avec les feuilles de maladie.
- J’ai été victime d’un accident de la circulation provoqué par un chien en bicyclette.
- Fille-mère, je me suis mariée après coup.
- Je vis seule avec une tierce personne.
- Depuis que je suis enceinte, je n’ai plus été réglée.
- J’ai ma femme à l’état de grossesse et désire m’inscrire à la pré-natation.
- Mon mari souffre d’un abcès sédentaire.
- Je vis maternellement avec ma concubine.
- Quand mon petit a eu cinq ans, la caisse m’en a coupé la moitié.
- Faites un effort, mon enfant va naître.
- Suite au passage du contrôleur, veuillez m’envoyer un carnet de maternité.
- Orphelin depuis l’âge de treize ans, j’ai vécu de droite et de gauche mais toujours dans le droit chemin.
- Mon mari pour le moment est décédé et jusqu’au vingt, la quinzaine c’est loin.
- Je suis resté malade à cheval sur deux mois.
- On a coupé les bourses à mon fils, il ne va plus en classe.
- Je possède quelques pieds de vigne que mon fils fait marcher.
- N’étant pas chômeur, je me suis mis à ramasser quelques bouts de tôle pour faire manger mes enfants.
- J’espère que vous aurez pitié d’un pauvre homme qui a sept enfants à manger, plus sa femme et sa belle-mère.
Comme mon mari doit partir chez les fous, je l’envoie à votre bureau.
- Mon mari est au créventorium, on lui fait un plumeau au thorax.
- Ça fait quinze jours que je suis au lit avec le Docteur Durand et je voudrais en changer car il n’a encore rien fait.
- Mon mari est mort depuis deux mois, que dois-je faire pour le sortir de la caisse ?
La maire de Lille doit avoir des affinités marquées avec l'Algérie pour permettre que le drapeau Français soit relégué au second plan au profit du
> Drapeau Algérien .
Que va t-elle faire si elle est élue à la tête de l'état ou si DSK la devance et qu'elle devienne premier ministre ? Du souci à se faire!...
> A L'attention de M. P.HOURDAIN Président de la CCI Grand Lille
Monsieur le Président
> Je vous transmets, en pièce jointe, la photo de l'entrée de aéroport de LILLE LESQUIN, que j'ai prise il y a 8 jours.
> En tant que gestionnaire de cet aéroport, trouvez-vous normal que le drapeau de l'Algérie soit positionné sur le même plan que celui de l'Europe
et que le drapeau de la France soit en second plan ?
Comme beaucoup de concitoyens français, j'emprunte régulièrement cet aéroport et nous trouvons choquant que ce ne soit pas le drapeau de la
République Française qui soit en symétrie avec celui de l'Europe.
La nation algérienne a-t-elle une participation financière supérieure à celle de la C.C.I. Grand Lille ? Pourquoi mérite-t-elle un tel honneur ?
Pièces jointes:
NE VOUS INDIGNEZ PAS SURTOUT.
Les règles d'immigration en vigueur
1. Il n'y aura pas de programmes en langues étrangères dans les écoles.
2. Toutes les annonces du gouvernement et les élections se dérouleront dans la langue nationale.
3. Toutes les questions administratives auront lieu dans notre langue.
4. Les étrangers ne seront pas un fardeau pour les contribuables.
Pas de sécurité sociale, pas d'indemnité de repas, pas de soins de santé ou tout autre avantage public ne seront accordés.
Tout abus provoquera la déportation.
5. Les étrangers peuvent investir dans ce pays, mais le montant doit s'élever au minimum à 40.000 fois la moyenne journalière de subsistance.
6. Si les étrangers achètent de l'immobilier les possibilités sont limitées. Certains terrains, en particuliers les biens immobiliers disposant d'accès à l'eau courante,
seront réservées pour les citoyens nés ici.
7. Les étrangers ne peuvent pas protester chez nous.
Aucune manifestation, aucune utilisation d'un drapeau étranger, aucune organisation politique. Aucune calomnie sur notre pays, le gouvernement et sa politique.
Toute violation conduira à la déportation.
8. Si quelqu'un pénètre dans ce pays illégalement, il sera traqué sans merci. Arrêté, il sera détenu jusqu'à ce qu'il soit expulsé.
Tous ses biens seront saisis.
Sans pitié, inhumain, trop dur ?...
Les règles ci-dessus sont les règles d'immigration
en vigueur en Arabie Saoudite et dans les Émirats Arabes Unis !
COULEUR HEMORROÏDES.
AU PTB SIEGE.
RUBRIQUE SKETCHS ETC...
Censé être facile
D’écrire sur ce monde
Décrire son décor
L’envers l’endroit.
Sans cesse en surfant
Sur ces vagues folles
Au jour le jour et se dire
Qu’après tout rien ne vaut le silence.
Des abimes de convenance.
Et rouler dans le roulis
Qui broie votre corps
Et votre âme écrasée par tant de ‘sous-dits’
Ne se relèvent point si vous ne faites pas partie
De ce petit peuple érigé en clan, sournois d’ici
Qui s’est dit votre ami alors qu’hypocrite il l’est.
Plus tard il a choisi de vous classer parmi les proscrits
Car votre pensée ne ressemble en rien à leurs dits.
Et si vous en faites l’historique, du bien pensant du début bien poli
Se cache le vulgaire estampillé du sceau de l’infamie.
Mais qui donc le sait sauf les sorciers, les bons apprentis
Médire c’est facile, ca se devine du fond de leur basse alcôve.
Le Roi Radongrin,
Elu par la volonté de ces mesquin’s*
Gens de terre mais culs terreux,
Par ordonnances tous matins
Dictait sa volonté à ceux là.
Ses bons mots tous chauds ont tôt fait
De rassembler autour de sa préséance
Cent rates ‘sourises’ et ratons laveurs
Sur planche du pays qui fut le notre.
Estimé par tous, surtout pour sa grosse voix
Il bénissait sur commande cestui là et cestui ci.
Gonflé à bloc, sur de lui, il médisait en silence
Sur icelui ou icelle qui tombait en ‘ratitude’.
L’ingratitude était chez lui récompense
N’épargnant ancien compagnon ni nonne
Qui par malheur osa élever le timbre dans son château
Pour répliquer à damerat sur un sujet commun.
Envers quidam qui par un mot bien dit touchait l’honneur
De cette rasette du Sir’rat, tant et si bien qu’il en faisait un oukase
Auprès de sa petite population de cons atteinte de métastases.
De beaucoup d’éloges, ces derniers furent servis au commencement
Mais flétris plus tard par notre fabricant de bonnes grâces.
Qu’importe l’habit que l’on porte, il ne fait pas le moine
Mais lorsqu’on se dit bien propre et plein de morale
Il suffit de concilier avec intelligence le bon du mauvais propos.
Et garder autour de soi, avec illumini-science amis de quartiers.
LE CAMION DU 11 SEPTEMBRE.
Tous les noms et prénoms des victimes sont inscrits sur ce camion.
   
Agence Imamili News. Khir men'com.
GAETAN.
Gaétan, de prénom disparu
Depuis bien longtemps,
De par son métier était gueux.
Sous notre belle République
Au fronton LIBERTE EGALITE FRATERNITE
On dirait SDF du coté du quai de Valmy.
Dans son village de CREVE LA FAIM* (imaginaire)
Dans la région du BEARNAIS
Pas loin de la ville de Mon Nez,
Vivait donc Gaétan le gueux.
Il logeait sous une marquise
A l’abri de la pluie et du soleil,
Jusqu’au jour où le proprio
Quémande loyer pour son ombre.
Gaétan ne pu honorer le bail
Puisqu’il ne vivait pas d’oboles.
Il se nourrissait de détritus, ces festins fermentés
Abandonnés et jetés au fond des poubelles.
Gaétan avait une manie, il comptait tout
Sur son chemin, les cailloux, les oiseaux,
Les branches sauf les grains de blé et de raisins.
Il pouvait tout compter sans compter sur personne.
On le disait fou.
Et il le savait mais tant que la manne
Faisandée ornait son quotidien, il ne s’en plaignait pas
Jusqu’au jour où, par une décision collective,
Les CREVE LA FAIM décidèntt d’économiser sur la bouffe.
‘…Pourquoi nourrir un fainéant à nos dépends… !’
Du jour au lendemain les poubelles et autres sacs à merde
Etaient vides, si vides que Gaétan ne trouvait plus pain rassis
Pommes défraichies à croquer depuis de longues semaines.
Chats, chiens, mouches et autres mulots souffrirent
Par cette maltraitance tant et si bien que mort fit bonnes recettes.
Les villageois économisaient sur les restes sans se rendre
Compte qu’un certain environnement se mourrait aussi.
Plus de chats, plus de chiens, ni mouches ni vers.
Gaétan le misérable maigrissait à vue d’œil.
Lui qui comptait les cailloux et autres feuillages
Se disait qu’il ne pouvait plus compter sur son avenir
Puisque personne ne le comptait encore plus à présent.
Au village personne ne s’en ému sauf L’Abbé Jacuse.
Son église tombait déjà en ruines faute de dons
Bien avant cette décision communale.
On retrouva un matin Gaétan squelettique, famélique
Gisant mort sous un saule pleureur par un jour de pluie
Faute de détritus, sa pitance, entouré par dix moribonds.
Chats et chiens.
L’histoire est moyenâgeuse certes.
Aujourd’hui on ne meurt plus de faim
De froid si et parfois l’égoïsme tue les bonnes intentions.
Et si nos bacs actuels sont remplis de bonne nourriture,
Il vaut mieux la bruler que de l’offrir à des Gaétans..
Pélerinage de Jerba 2011.
Un grand crû qui l'eut cru.
Grand succés cette année.
16 pélerins français en tout dans la Ghriba.
Avec comme consignes de ne pas sortir le soir.
Le courage lorsqu'il devient témèraire défie toutes les rumeurs.
Ils en sont revenus heureux et joyeux d'avoir accomplis leur pélerinage.
| 
