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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 juin 2011, 10:42
tu auras toute ta vie a penser aux remords et a ce qui se fait ou ne se fait pas !! aux ce qu'on dira et ce qu'on ne dira pas, pour l'intant pense au present !! kif ta mere , entourez la d'amour et ravivez ses souvenirs, car le plus cher pour elle a present ce sont ses enfants ....

Comment parler de remords alors que maman HAYA (la vivante) est la !!!!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 juin 2011, 10:49
>
> >
>
> Si j’avais été un bon fils.
> Si j’avais été un bon fils, je serai resté auprès
> de ma mère sans jamais prendre femme. Je me serai
> consacré à elle en sacrifiant le meilleur de ma
> vie. Prendre femme, avoir des enfants et des
> petits enfants. Je n’aurai eu aucune joie.

heureusement t'es pas resté avec elle ......
>
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 juin 2011, 11:13
Mon pére au mariage de sa petite fille en fevrier dernier, alors qu'au mois de septembre tous le corps medical le disait perdu !!!!
Pièces jointes:
papa oriane.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 juin 2011, 09:45
tu auras toute ta vie a penser aux remords et a ce qui se fait ou ne se fait pas !! aux ce qu'on dira et ce qu'on ne dira pas, pour l'intant pense au present !! kif ta mere , entourez la d'amour et ravivez ses souvenirs, car le plus cher pour elle a present ce sont ses enfants ....

Comment parler de remords alors que maman HAYA (la vivante) est la !!!!



Elsa, je t'assure que je n'en aurai pas bcp de remords parce que je pense avoir étè très honnête avec maman, très et pas trop. Je ne lui ferai jamais de reproches parce que nul n'est parafait bien que sa maxime est '...Je suis une maman parfaite...!' Je ne le suis pas non plus, je fais ce que ma conscience me dicte de faire par ce que je suis moi son fils et elle ma maman. Non seulement, je la kiffe mais en plus par sa présence, je rentre dans cette vieillesse qui nous attends un jour ou l'autre. Bien que connaissant déjà cet état par ma grand-mére, il y a plus de trente ans déjà, je deviens un observateur attentif auprés d'elle de choses qui marqueront mes futurs souvenirs.
Sachant qu'un jour, je n'aurai plus la force d'écrire mon état autant l'écrire maintenant parce qu'elle représente et ils représentent le reflet de ce que nous serons.
Certes maman est là mais parfois, elle plane ailleurs et elle le reconnait.

Je vois la photo de ton papa, et je constate qu'il est beau d'abord. On dirait un artiste, et je devine, sans doute une grande chaleur humaine et bcp d'affection, dis moi si j'extrapole. RM.AMIN.

J'apprécie énormément ta solidarite en ce moment ce qui prouve que tu n'es pas dénuè d'affection quoique....!!!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 juin 2011, 12:00


EL AACAL OU NDAR HATTE BEB EL GBAR.
La raison et la clairvoyance jusqu’à la porte de la tombe.

Encore une maxime judéo arabe pleine de bon sens, de sagesse et éloquente de nos ancêtres.

Toutes les fois que je ressorts de la chambre 328, je me dis, en roulant sur ma moto, que ce soir, je vais me reposer. Non pas parce que je n’ai pas envie d’écrire mais parce que je suis triste. Triste de vous narrer des choses monotones, cafardeuses.

La tristesse est contagieuse alors je dis à certains et à certaines d’ici ou d’ailleurs de ne pas attendre, et je ne sais pour combien de temps, des sketchs rigolos, des anecdotes plaisantes etc….

Nous avons, dans le passé, partagés de bons moments, des moments désagréables hélas par la faute de notre égo mais aujourd’hui ma vieille artiste maman HAYA est malade.

Je me dois, à présent de la suivre par devoir, de la réconforter, de lui faire la causette, de la kiffer et aussi de lui rappeler ses tables de multiplications. Je lui dois cela.

Nous lui devons mes frères et moi de ne pas la quitter sous aucun prétexte dans cette traversée qui est loin d’être une sinécure.
Si vous sentez monter l’angoisse par mes écrits, ne lisez pas, et je comprends que nous aimons plus la joie que la tristesse.
La philosophie n’a jamais été une matière rigolote mais une matière chiante selon mon avis, une matière qui sonde l’âme, l’esprit et qui tue à la longue ‘…Qu’apprendre à philosopher c’est mourir un peu… !’ Je dirais.

Je pourrais nommer aussi mes notules ‘…CARNET DE ROUTE D’ UN FILS AINE AUPRES DE SA MAMAN MALADE… !’ Or carnet de route ne me convient pas parce que cela n’est pas un voyage. Et puis c’est trop long comme titre donc LA CHAMBRE 328 sied beaucoup mieux à mes feuilles journalières.
Tout un chacun trouvera ce qui lui convient. Appréciera ou pas mes nouveaux écrits.

N’oubliez pas pour autant, qu’il y a aussi une forme d’égoïsme, de pudeur compréhensible de la part de ceux ou celles qui passent sous silence ce que la vie dévoile à nos yeux. Et je ne me fais pas surtout précurseurs de faits racontés, de narrations rapportées pour le moins humaines. Cela fait de moi seulement et humblement un homme, un voyeur, un observateur qui suit une vieillesse, celle de maman.

Sans vouloir vous apprendre quoique que se soit, je me sens envahi, à juste titre, de nouveaux sentiments auprès d’elle qui donnent à la condition humaine, la vieillesse, ses droits d’exister et surtout d’en témoigner comme n’importe quel scribouillard qui pianote sur son ordinateur.

C’est devenu un rituel. Ma présence, tous les après midi auprès de maman est une condition obligatoire, un passage obligé et quelque soit le parcours, je braverai le vent et les intempéries.
Je ne réfléchis plus.

PAUSE BIEN MERITEE.MADAME NORMAN ASSOUPIE.

hebergeur d'image







Je rentre donc dans sa chambre, je salue madame NORMAN. Assise droite comme sa béquille. Elle me répond par son joli sourire tendre. Ses yeux sont à moitié ouverts. Un tendre sourire à la française, poli et agréable. La compagne de fortune de maman est une vielle dame veuve depuis 3 ans. J’ignore le pourquoi de sa présence, Hélène et je n’ose le lui demander. Elle m’a répondu une fois, en haussant les épaules parce que ‘…Je ne me sens pas bien… !’

Et oui, si elle se sentait bien, elle ne serait pas là, seule, assise sans trop grande compagnie. Ses enfants, elle a trois viennent rarement lui rendre visite.

Maman est assise en face d’elle. Elle regarde la télé et dés qu’elle me voit ‘…Nemchi Kobara ââlic… ! J’ai beau lui dire de cesser de se sacrifier pour moi mais en vain, elle insiste à ce qu’elle parte en offrande. Je me demande de quelle belle offrande D ieu va recevoir en héritage. Cela prête à sourire.

Lorsque je vois leur visage, je pénètre une grande chaleur. Et si j’approfondis mon regard à travers ses doux sillons, ces rides régulières, je baigne dans de une ouate enrobé d’un silence à peine perceptible. Il y a dans ces visages aux âges avancés, toutes sortes de notes que seul un homme averti découvre. J’ai un certain sens de l’observation et j’aime regarder ces visages flétris qui respirent la lassitude, et plus tard la décrépitude.

Je suis pris toujours par cette émotion qui noue ma gorge chaque fois que je franchis le seuil de cette chambre. Il y règne une atmosphère de malade certes qui n’est pas joie. Une odeur de tristesse qui défie chaque jour un peu plus l’air extérieur.

‘…Alors maman tu as déjeuné ce matin… !’
‘…Non, ils ne m’ont pas donnée à manger… !’ Faux, Hélène me dit le contraire en y rajoutons ‘…Que voulez vous, nous avons des oublis… !’
‘…Et pour le midi…?’
‘…Rien, on veut me tuer de faim… !’ Hélène sourit.’…Que voulez vous, nous avons des pertes de mémoire de temps à autre… !’
‘…Maxo est venu te voir… ?’
‘…Non… !’ Faux, il m’a téléphoné de chez elle et il me dit ‘…Maman perd la boule par moment.
‘…Hier soir, je leur ai fait un scandale, je me suis levée et je suis descendu à l’accueil pour me plaindre… !’ Elle affabule. Elle n’arrive pas à se lever pour aller aux toilettes. Son esprit s’égare.
‘…On t’a changé de couche… ?’
‘…Non… !’
‘…Alors on ne s’occupe pas de toi… Ici… ?’
‘….Ils veulent se débarrasser de moi… !’ Sic.

Après ce court conciliabule, je m’allonge sur son lit de malade, histoire de m’imprégner de son odeur.

‘ ….Ecoutes Bébert, tu te rappelles du plombier de la Goulette…( Elle a oublié son nom, il reviendra dans une demi heure) notre voisin, j’ai été le voir pour qu’il me loue son studio pour passer un mois à la plage… !
‘…Maman mais nous habitions à la Goulette…Alors pourquoi lui demander cette location… ?’
‘ …Mon fils, tu sais à mon âge, je déraille, donc il ne faut pas faire attention à ce que je raconte… !’

Puis, elle s’assoupit en mâchant son chewing-gum.

MAMAN ASSOUPIE EN MËME TEMPS QUE MADAME NORMAN. MEHLEME EL ZOUZ.




hebergeur d'image



Elle reprend après sa petite pause.

‘…Il me demande 250 Dinars pour un ‘damouch’ (cave) il est fou MOUMOU (le prénom est revenu) je vais le voir pour qu’il me fasse un prix…!’
Je l’écoute en rigolant. Bref, elle flirte avec un autre univers. Elle en est consciente. Ensuite, elle me parle de sa tante Louise, la sœur de sa maman, puis elle parle de sa maman, passe mon père, elle revient à nous, ses enfants. Et le délire continue entrecoupé de somnolence.

Je l’observe, je dissèque son état d’esprit, j’analyse un peu plus son état et à mesure que je note mentalement tous ses petits détails, je me rends compte que la grosse corde, son esprit raccourcit au fil des jours. Il est devenu petits cordons, filaments qui peinent à former une ficelle logique et solide. Maman a une très bonne élocution, elle a un large bagage de vocabulaire et pour tester ses capacités je lui fais les règles de multiplication, elle s’en sort admirablement bien.
Avant de partir je l’embrasse sur le front et lui donne rendez-vous pour demain. Alors que je bise son front, Hélène, sa compagne de chambre me lance.

‘…Vous êtes un bon fils Monsieur… !’

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 juin 2011, 13:40
Monsieur Albert vos visites à votre maman sont trés émouvantes, je ris mais j ai aussi des larmes.
Ma soeur que vous avez au téléphone m en avait parlé mais je n avais pas lu.
Je souhaite que vous la gardez encore longtemps en bonne forme meme si sa mémoire n'est plus comme avant. Le principal est qu elle ne souffre pas.
Encore merci d avoir effacé sur le site mon adresse que j avais mit là par erreur.

Hag saméah bonne fete de chavuot.[/[/size]b]
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 juin 2011, 09:37
Ma chére Monroe_555 quel plaisir de te lire aprés la débacle de ce que tu sais.

Vous manquez tous MAMILI...SUZON...HELENE...TOI...ET LES AUTRES....au PTB mais bon, maktoub, on a du nous faire du SOHR pour nous séparer.smiling smiley smiling smiley smiling smiley Je soupçonne Elsa.

Bref. Demain si D ieu veut je vous enverrai un sketch exceptionnel '...LA CHAMBRE 330...! Maman au chevêt de Monsieur GONTRANT...!

ce soir un autre témoignage de la CHAMBRE 328.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 juin 2011, 10:28
Préambule.
Ce matin, il pleuvait des cordes.
Cela ne m’a empêché de prendre la moto et d’aller travailler.
Ma demi-journée finie, vers les 14 HEURES 30, j’ai acheté un kilo de poudre de pois chiche pour ma femme, grande pâtissière de ghreïba à l'occasion de la fête de CHAVOUOT.

Ensuite, dare-dare chez maman sous une pluie battante.

J’ai toujours aimé bricoler. Réparer, créer fabriquer. Tout jeune déjà, j’avais la passion pour désosser mes petits jouets mécaniques, connaitre le fonctionnement. J’aurai fait un excellent mécanicien de voitures mais hélas maman avait prévu autre chose, devenir TBIB ( médecin). Elle me voyait en blouse blanche à tater les pouls des patients, à ausculter les termin ( les fesses) et bien rien de tout cela. Ne pas perdre de vue que c’était la maman à cette époque qui prévoyait le destin de notre vie puisque nous lui devons celle là. Je termine donc ma noble mission en maquillant les noires, en leur prédisant leur avenir, à faire le marabout, le curé le rabbin l’imam etc…

L’important, quelque soit du métier dans lequel on tombe, c'est de d’assumer honorablement, durablement et honnetement son foyer avec les moyens de bord.

On dit chez nous dans notre langue barbare '...El sad, él mézèl ouel fertouna taht él kdem él rajèlè...! La chance et la fortune sont sous les talons des hommes...!

La réussite parfois ne tient pas compte parfois des diplômes mais de la chance et de la volonté qu’on y met pour arriver à ses fins et se dire après des années de dur labeur

‘…Merci Achem… !’

J’ai donc laissé aux autres le stéthoscope, le thermomètre, et toutesles fièvres à coloration variable pour le burin et le marteau d’abord et pour finir dans les perruques. Grand privilège pour un analphabète devenu pha bête. A force de vous fréquenter.

J’ai aussi la main verte. Planter, semer, déterrer piquer repiquer j’adore. Je me souviens de mes citrouilles plantées dans mon jardin de la Goulette, il y a 25 ans et bien elles étaient aussi belles que celles d’Israël parce ce que là bas les CONCOMBRES ressemblent à des saucisses aussi grandes que la tour Effel.

Pauvres concombres aujourd’hui.

Bref, je termine ma carrière honnêtement dans la Magie, à biser les joues des noires et à vendre des préservatifs.

J’aurai aimé être un artiste, un comédien, acteur de pacotilles ou sans pacotilles, hélas je me suis retrouvé directeur du PTB et du PTFB mais cela ne nourrit pas son bonhomme. Le virtuel ne paye pas. Je vous le confirme à ma grande stupéfaction.

J’ai réussi dans ma vie sportive et le seul échec dans ma vie est de pas avoir su couper des plans et les superposer.
L’Education Physique ok mais la maitrise de la Physique nenni. *

Les seules postions que j’ai retenues sont celles du Kama Sutra à la Tunisienne. Autant dire presque rien. Seul le missionnaire a retenu toute mon attention, l’effort n’étant pas énorme.

A Suivre demain en première partie.

Ne ratez pas surtout le SKETCH ‘…CHAMBRE 330…MAMAN HAYA CHEZ MONSIEUR GONTRANT.… !’



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 juin 2011, 09:27
Maman a eu un malaise cardiaque ce matin. Mais celà ne m'empêche pas de continuer à narrer la suite d'hier et ensuite je reviendrais sur ce malaise dans un autre chapitre.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 juin 2011, 10:31
J'ai toujours aimé ce que j'ai fais et ce que je fais.




‘…EL MARD I JI BEL ZEDMAT OUEL FRAJ BEL SARAT… !’
La maladie arrive brusquement tandis que la guérison arrive par petites étapes…!
Tiré des Proverbes de nos anciens.

Jusqu’à mes 30 ans, je vivais en célibataire chez mes parents. Maman prélevait une dime sur mon salaire. Arguant du fait que j’habitais sous son toit, qu’elle me lavait le linge, bien heureux que l’eau m’était offert gratuitement ainsi que le savon, qu’elle me nourrissait etc…Il a donc fallu que je travaille vers mes 20 ans pour que subitement, elle me prélève un impôt parentale qui représentait la moitié de mes revenus mensuels. Chalina.

Je suis le seul de mes frères à avoir été grugé.
A 31 ans, je me mariais et sa dime s’en est partie avec regrets.
Elle perdait non seulement ca cote part financier mais aussi son premier rôle. Premier rôle échu à mon épouse. Mes enfants sont arrivés. Maman s’est retrouvée à la cinquième place. Ses conseils fumeux allaient à l’encontre de la bonne harmonie de mon couple. Ma femme devenait ma conseillère. Elle avait tous les pouvoirs et aujourd’hui encore, elle a ses pouvoirs et je ne trouve rien à redire. Elle est foncièrement honnête en tout.

Aujourd’hui maman revient au premier plan. Sa maladie la propulse aux premières loges. Bizarrement la maladie d’une maman ou d’un papa vous rappelle soudain votre vieux ou vieille. La détresse rapproche les enfants autour d’eux. Oubliant le passé, nous vivons un épisode où tout peut arriver. Et dans ces moments là, la fibre filiale joue un rôle important.

L’appel du sang. La maladie réunit et fait table rase de beaucoup de choses.

Sa condition de malade nous prend la tête certes, mais nous sommes tous d’accord pour que notre maman puisse vivre le plus longtemps possible sans souffrir. Nous acceptons son état actuel parce que nous avons les moyens de tout faire pour qu’elle soit toujours accompagnée de notre présence. Elle le dit souvent ‘…Melli mrida, en hach él chrénè mta’com…’ ! Depuis que je suis hospitalisée, je sens votre affection… !’ C’est tragique comme expression.

Elle sous entend que nos absences lorsqu’elle était seule et autonome, chez elle l’on beaucoup marquée. Son hospitalisation la rendant plus vulnérable la voilà devenue ‘super gentille’ ce qui a fait dire à ma sœur ‘…Je ne vais plus la lâcher…’Ce qui on dit long sur ce changement d’attitude de maman. Son énergie s’usant par son état actuel, elle devient ‘plus humaine’.

Adieu les remarques désobligeantes et voilà les bénédictions quotidiennes à notre égard.

Je fais la comparaison entre maman et sa maman, ma grand-mère, une mémé admirable en tout point de vue, entre elle et sa sœur Poupée, il n’y a pas photo.

Maman n’a jamais compris pourquoi sa sœur était adorée, aimée par ses enfants alors qu’elle, souffrait de nos absences. J’avais beau lui citer les traits de caractère de cette dernière et les siens mais rien n’y faisait, elle était ‘jalouse’ du comportement des enfants de sa sœur. (Cela fera l’objet d’un autre article).

Revenons à ce que je sais faire et ne pas faire. Je ne peux pas raccommoder ou souder les filaments d’une bobine qui s’amenuise en l’occurrence sa mémoire. Même la micro chirurgie ne peut à l’heure actuelle souder des veines cervicales détériorées ou bien déboucher sur le champ un tuyau, une artère mal en point. Nettoyer un cerveau ou évacuer la matière nocive, d’un cerveau qui tourne au ralentit suite à un AVC qui aurait pu lui être fatale.

Nous sommes là pour lui apporter réconfort, la soutenir, lui apporter de l’amour sur le champ plus encore aujourd’hui qu’avant mais de loin.
Elle a cet amour acquis pour tout le temps qu’elle aura à vivre. Le reste n’est que bla bla.
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