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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 juin 2011, 05:21
ca me rapelle la blague du mec qui a une peur bleue de l'avion !!
sa femme lui dit : allez monte si c'est ton heure, c'est ton heure ya rien a faire !!
et lui : oui mais si c'est l'heure du pilote ???
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 juin 2011, 05:56
Elsa Chalom,
Tu as ete recu a l'examen!!!
Il vaut mieux compter sur le pilote que sur le medecin, car lui fera tout pour nous sauver!!!!!!!!!
Chabbat chalouuum ve mebourahk.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 juin 2011, 08:31
Juste en passant ce proverbe judéo de Meiha....Concernant le tménic.
'...El médbouh cam i tfei'chekh ââl mess'nouc cam él mssé'tar i'dhaK ââ'liom...!

L'égorgé s'est levè pour se moquer du pendu, arrive celui qui passe à la moulinette ( comme le merguez) pour rire d'eux..!

Pourquoi ma grand-mére à toujours pensé que les médecins sont 'des charlatans' pour une raison bien simple lorsque l'épidémie de choléra s'est déclarèe dans son quartier, elle perd ses trois enfants en bas âge en deux semaines.

Pour vaincre l'adversité, le couple décide d'en faire d'autres mais hélas le médecin lui prédit qu'elle n'en aura jamais plus et que toutes tentatives d'en faire est vouée à l'échèc.

Or 7 ans plus tard, elle tombe enceinte et c'est maman qui née suivis par un frère et une autre soeur. Elle dira '...El toubââ beyem...!'

Les médecins d'aujourd'hui sont moins catégoriques dans leur diagnostic voilà pourquoi dés fois, ils vous envoient chez des spécialistes pour mieux se couvrir.

L'évenement de mon gendre tombé dans le coma accidentellementil y a 5 ans est aussi hallucinant car le médecin avec toute sa franchise nous a fait comprendre que le non retour était engagè or six heures plus tard, les faits le démentaient.



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 juin 2011, 09:50


DILEMMES.

On ne finira pas de parler de la maman juive.

Je connais la maman juive tunisienne, un peu les mamans italiennes ou siciliennes, les mamans françaises un peu moins et les mamans musulmanes presque toutes mères poules à des degrés différents.



Nous savons combien la maman tune porte ses garçons aux nues à tel point que parfois cela tourne au drame le jour où ils prennent épouses. Souvent cette dernière sera considérée comme la ‘BARANIYA’ ‘l’étrangère’. Celle qui s’est accaparée de son fils et là lorsque le fils aime de ‘trop’ sa femme et qu’il le montre, ce premier deviendra à ses yeux ‘…L’ ENSORCELLE… !’ Mess’hour.



La maman tune ignore les sentiments que peut avoir un fils envers sa femme. Pour elle, il est impensable qu’il puisse aimer qq un d’autre qu’elle. Or les fils intelligents, pour ceux qui assument cette situation, cet état obsessionnel usent de stratagèmes, il achète le silence de leur maman en leur offrant toutes sortes de bien être. Fric, vacances, appartement etc… Croyant trouver la paix, elles ne cesseront pas leur harcèlement jusqu’à la fin. De ce profit, elles ont font un bail longue durée.



Des ruptures entre couples trouvent parfois leur source à cause de la maman. Certains hommes d’esprit fragile bien plus que d’autres sautent la barrière pour fuir les remarques quotidiennes qui amenuisent au fil du temps l’entente du couple.



Il y a de ceux qui usent du chantage et souvent ca marche. Du moins pour un temps.

Les mères possessives juives existent encore au grand malheur de ses époux qui supportent mal l’acrimonie d’une maman qui se considère comme gestionnaire du bonheur de leurs enfants alors qu’elles font leur malheur. Sans qu’elles le sachent. Et c’est toujours la faute à la femme si le fils divorce. Jamais à celle du fils.



Maman est une femme de caractère. De l’acier trempé et la convaincre que ses enfants son heureux en ménage est un mensonge. Maman s’est mêlée de tout. De son frère marié, de sa sœur mariée bref et de nous aussi.



Depuis mon jeune âge, j’ai assisté aux scènes que maman faisait à mon oncle, un homme doux et aimant. Un bon père de famille. Cette période a marqué mon adolescence parce que j’y voyais là une grande injustice envers celui qui était profondément humain. Serviable. Chaleureux et conviviale.

Ma tante prit le relais. Maman a mit son grain de sel et bien sur son mari décida de couper tous liens d’avec sa belle sœur, ma mère.



Mon père z’al souffrit de cet excès de zèle de maman qui ne supportait pas par exemple que ma tante Fortunée, une dame généreuse, c'est-à-dire la sœur de mon père, soit aidée par son frère, mon père, au vue de sa situation miséreuse. Mon oncle paternel, qui venait passer ses vacances prés de chez nous en été à la Goulette, eu droit là aussi aux remarques de maman. Heureusement que sa femme HAYOUNA était sourde et qu’elle n’entendait pas bien les inepties de ma mère. Elle fut sauvée de toutes sortes de querelles par la grâce de ses oreilles bouchées.



Donc cette façon de composer de maman avec son entourage ne date pas d’aujourd’hui. Pour tout dire, ses relations avec la famille étaient inexistantes.

Nous, ses enfants, fûmes les victimes de ce comportement incompréhensif au point de s’interroger.

Pourquoi avons-nous tiré au sort une telle maman… ? Qu’avons-nous donc fait pour mériter une telle distinction… ?



Il y a encore un mois et demi, maman était en grande forme pour nous rabrouer au quotidien. On arguait du fait que nous étions malades de ses inepties alors qu’elle réplique par ‘…Et moi je ne suis pas malade… ?’ On a beau lui dire qu’à son âge elle devrait être plus charitable mais rien n’y fait, elle ne perdait rien de sa fougue. A 4 heures du matin, elle téléphonait pour invectiver ma sœur.

Tout cela m’ont porté à croire que ma mère devait consulter et je lui ai dis mais hélas, j’ai reçu en échanges une volée de bois vert, bleu, jaune bref toutes les couleurs de l’arc en ciel. A ce stade de la compétition, nous avons baissé les bras, et du coup, j’hésitais à lever le combiné lorsque son numéro s’inscrivait. Hélas, je levais ce dernier pour m’entendre dire ‘…Ah et si je mourrais hein… ? Personne pour me sauver… ? Alors qu’elle porte un bracelet électronique et une sonnerie d’alarme. Et le temps d’arriver, elle serait déjà passée avant que je n’arrive.



Or ce fameux soir de son AVC vers le Minuit, comme par coïncidence, ma tante Poupée, sa soeur,était près d’elle alors qu’elle était allongée sur le tapis de tout son long, mais lui recommande de ne pas nous appeler. Pas même les pompiers. Où est le dilemme… ? Entre une maman qui houspille ses enfants pour venir la sauver et une maman allongée qui refuse que l’on soit averti, il y a là un décalage. Une mauvaise connexion.



Soit 9 heures allongée sur le sol, les yeux ouverts et ma tante qui appelle enfin non pas les sauveteurs mais ma sœur. Il y a un dilemme. Celui d’appeler au secours lorsqu’elle va bien et celui d’interdire d’appeler lorsqu’elle va mal.

Depuis sa première hospitalisation, les choses ont bien changé.

La première maman est oubliée et là nous avons affaire à une autre maman. Diminuée certes. Mais si gentille, si brave, si courageuse à tel point qu’on ne reconnait plus la première. Dilemme entre deux mères qui sont à l’opposé l’une de l’autre. Et nous, nous voilà en conflit dans notre for intérieur.

Il y a cette ancienne partie de maman qui remonte à la surface et cette seconde partie d’une maman qui mérite tous les égards, toute l’attention de ses enfants.



Deux êtres vivent en nous. Le premier est celui qui a vécu des anormalités et le second être qui prie pour que la vieille maman s’en sorte.



Cette culpabilité assez connue chez les hommes et les femmes juives, le problème du comportement affectif voulu ou rejeté, nous impose aujourd’hui un revirement total de celui là parce que notre mère est malade. Sa maladie n’est plus un prétexte mais une réalité. Sa maladie aurait t’elle donc un bon coté… ? Ce coté qui efface le passé antérieur pour donner au présent et au futur le moyen de se pardonner alors que nous nous sentons coupables de rien. Dilemme.



Où loge la faute… ? S’il y a faute… ! A présent nous tournons le problème dans tous les sens.

Et nous avons conclu que ce qui compte ce n’est pas le passé mais le présent. E’li fèt mét… ! Ce qui est passé est passe.



On me dit que la maman est sacrée. Cela sous entend que cette divinité doit être respectée quoique qu’elle fasse or une divinité dans toutes les religions prend la forme d’une statue.

Maman n’a jamais été une statue immobile qu’on vénère en silence, avec bcp d’encens mais une divinité qui fait tout pour se battre dans ces moments difficiles. C’est ce genre de divinité sacré qu’on aurait, mes frères et moi, souhaitée depuis 40 ans mais au fond de moi, et sans être macho, j’aimerai bien et je prie que maman redevienne comme avant avec ses remarques et ses aptitudes physiques et mentales.

Oui, je la revoudrais comme cela.

Dilemmes.

Tout cela trouve une réponse à ce comportement lorsqu’on fait un retour sur sa vie d’adolescente. Car cela explique ceci.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 juin 2011, 10:14
L'anecdote est vraie, je la tiens de chez ma femme.

Ce couple sans enfants a tout tenté pour en avoir. Tout a étè passé en revue mais rien n'y fait pas de grossesse durant 5 ans.

Il y a un an et demi, ce couple juif se proméne dans leur voiture du coté du marais. A Paris.

Passe un quidam qui s'adresse au mari par la fenêtre ouverte.

'...Monsieur...! Lui dit t'il...'...Faites attention à votre femme, l'an prochain vous allez avoir des jumeaux...!'

L'homme disparait et le monsieur en rit.

'...Encore un farfelu...! Dit t'il à sa femme.

Or un an plus tard, la femme accouche bien de jumeaux et la brit s'est faite, il y a une semaine.

??????????????????
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 juin 2011, 03:00
yosseph a écrit:
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" Question, sur qui doit-on le plus compter, sur le
medecin ou sur le pilote d'avion?"

Réponse. ça dépend de la spécialité eye rolling smiley

Toujours au sujet du médecin
"Ettabib essquolli katlou san3ou" = Le médecin Esskolli a été tué par son disciple (se méfier du plus petit que soi)
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 juin 2011, 09:44
yosseph a écrit:
-------------------------------------------------------

> Il vaut mieux compter sur le pilote que sur le
> medecin, car lui fera tout pour nous
> sauver!!!!!!!!!

S'il n'a pas le mal de l'air
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 juin 2011, 13:41
Peter FALK rappelé à D ieu et l’Ins_Boulakia ont un seul point en commun, ils sont juifs.

A part cela, rien ne les rapproche. Colombo par son acharnement et sa façon de conduire une enquête a marqué un style. Sa manière antipathique de résoudre une énigme a désarçonné plus d’un criminel.

Chez nous on dit ‘…Me i ghélbec fél deniè e’di cen él rkik…Dans cette vie, seule l’antipathique gagne sa cause. Tous les scénarios allaient dans ce sens. Revenir à la charge avec cette naïveté déroutante. Ce don d’acculer l’assassin dans ses derniers retranchements fait de lui un inspecteur tenace et surtout exaspérant.

Dans toutes ses séries, il a su marquer ses distances envers ses femmes provocatrices qui ont tout fait pour amadouer par leur charme ce divisionnaire conscient du rôle d’investigateur honnête qu’on lui a attribué, mettant en avant sa conscience professionnelle au profit de son métier. Ou des ces hommes au dessus de tous soupçons à première vue, riches et se croyant indétrônables. Colombo représentait l’archétype d’un inspecteur que rien ne pouvait soudoyer alors que nous savons qu’aux USA les hommes politiques ou les businessmen se croient tout puissants et au dessus des lois.

Colombo à ce stade n’a jamais failli à sa tache. Trouver le coupable et le confondre sur de simples détails et par là démontrer que le crime ne paie pas. C’est ce coté de l’Amérique que Colombo représentait avec bcp de professionnalisme et de rigueur.

Et toutes les séries policières que nous voyons à la télé tendent à démontrer que justice doit être faite quelque soit les auteurs.

Les Incorruptibles sont aussi l’exemple de cette équipe rassurante qui a mit ses compétences au service de la justice.

Nous sommes bien loin de cette époque où la maffia régnait en maitre dans les conspirations et les ‘soudoiements’ de policiers de haut rang.

Bien que cela n’est pas totalement disparu. Et si aujourd’hui il y a un manquement de la police dans la recherche de la vérité, les journaux sont là pour rappeler que la loi est la même pour tous.

Adieu confrère Colombo.



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 juin 2011, 14:38
JL'AIME BIEN CELLE LA !!
Pièces jointes:
PROVERBE TUNE.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 juin 2011, 23:01
Tu as raison ma poule et te contredire porte tort, ye djejé baïda mta kebour.
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