GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.
L’organisation terroriste "Daech" appelle ses disciples au Maroc, en Tunisie, en Libye et en Algérie à s’attaquer aux touristes étrangers dans ces pays, en les incitant à préparer leurs opérations dans le secret le plus absolu.
L’appel émis selon des sources du quotidien Akhbar Al Yaoum par un dirigeant de "Daech" de Rikka, en Syrie, s’adresse principalement aux "loups solitaires" et aux groupes composés de 2 ou 3 personnes, les incitant à prendre pour cible les officiers de police, après avoir espionné et surveillé leurs domiciles.
Daech recommande également à ses hommes de tuer les innocents de différentes manières, notamment avec des armes blanches, mais aussi mener des attentats contre les touristes étrangers dans ces pays, précise la même source.
L’organisation terroriste fait appel à ce que l’on appelle "les loups solitaires", après avoir échoué à conduire des opérations terroristes directes au Maghreb, où elle n’arrive pas à s’étendre comme en Irak et en Syrie.
En mars dernier, le groupe terroriste "Daech" avait menacé de voler les armes à feu des équipes de "Hadar", dispositif anti-terroriste marocain, pour mener des opérations terroristes, avant d’inciter moins de deux semaines plus tard ses cellules à tuer les Marocains.
Caïd Essebsi, décrétant l’état d’urgence : « Nous sommes en guerre ! »
Décrétant dimanche l’état d’urgence sur l’ensemble du pays pour la première fois depuis le 5 mars 2011, le président de la République affirme que la Tunisie est en état de guerre, exigeant des moyens appropriés et une large mobilisation populaire, dans le respect des libertés. En chef de guerre, il s’achemine vers un renforcement important du dispositif sécuritaire et militaire. Graduellement, pour d’endiguer les graves menaces de Daech après le carnage de Sousse, la montée en régime des mesures préventives et le déploiement de l’armée vise à éviter toute nouvelle attaque, comme l’a expliqué le président Béji Caïd Essebsi, samedi après-midi, dans une adresse télévisée à la nation. « Si la catastrophe de Sousse se répète, l’Etat risquerait de s’effondrer ! » a-t-il souligné.
Concrètement, en plus des pouvoirs supplémentaires conférés au ministre de l’Intérieur et qu'il peut en déléguer certains aux gouverneurs, l’état d’urgence instaurera un cadre juridique permettant à l’armée de se déployer dans les villes et agglomérations pour assurer la protection de lieux sensibles.
La décision de décréter l’état d’urgence avait été envisagée dimanche 28 juin dernier, lors du conseil de sécurité, réuni d’urgence au palais de Carthage au surlendemain de l’attaque de Sousse. Mais, Caïd Essebsi a préféré en reporter l’entrée en vigueur. Voulait-il garder cette carte en main ou laisser aux forces sécuritaires et militaires de bien préparer sa mise en œuvre, surtout après le rappel des réservistes de l’armée ? Les deux à la fois, affirment les connaisseurs du sérail. Suivant de près l’évolution de la situation et la confirmation de nouvelles menaces. Il a fin par s’y résoudre et il ne restait plus aux communicants de Carthage qu’à la mettre en mesure.
Tirer les Tunisiens de leur insouciance
Le déroulé se fera en deux temps : annonce en alerte la décision samedi vers 14 heures en précisant que le chef de l’Etat sera à la télévision à 17, puis l’adresse télévisée elle-même. Choisir ce timing d’un samedi après-midi, à 17h, soit après la baignade pour les côtiers et avant la rupture du jeûne pour tous, entend sans doute capter l’attention de larges franges de la population et contribuer à leur mobilisation. Aussi, et en rupture des cadres habituels des scénographies de Carthage, Caïd Essebi parlera du Salon doré, réservé aux grandes audiences accordées à des hôtes de haut niveau.
Son adresse est mesurée, pédagogique, en exposé de motifs pour expliquer les motivations de sa décision et sa portée. Le chef de l’État reviendra longuement sur les multiples difficultés économiques et sociales, venues s’ajouter à celles sécuritaires. Les obstructions à l’acheminement du phosphate vers Gabès, cité en exemple, sont qualifiées d’acte de rébellion. Quant au soutien international dont commence à bénéficier la Tunisie, il doit gagner en coordination et en stratégie commune.
Ce que Daech vise, c’est le modèle de transition réussie
Caïd Essebsi met en garde les Tunisiens contre le grand danger qui menace le pays, affirmant certes que les forces sont en état d’alerte, sans cependant reconnaître que des points faibles restent à combler. « Nous sommes en guerre, martèlera-t-il, une guerre spécifique qui exige une mobilisation générale, dans le respect des libertés et droits ». Ce souci du respect de la liberté d’expression et de la presse, en particulier, et des libertés individuelles, en général est hissé en principe, car il fait partie selon Caïd Essebsi des acquis démocratiques constitutionnalisés, précisément visés par l’État islamique. Daech s’emploie en effet à disloquer l’État et ses institutions en Tunisie, pour saper son modèle de transition résussie.
Si la situation intérieure exige la proclamation de l’état d’urgence, le contexte régional le recommande encore plus fortement, dira Caïd Essebsi. Evoquant l’aggravation de la crise en Libye, il déplore les risques de partition et ses conséquences. L’appel qu’il lance aux Tunisiens est un appel à prendre conscience des enjeux et dangers, un appel à l’union nationale. S’il ne révèle rien du soutien effectif des partis politiques et de la concrétisation de l’aide internationale promise et restée depuis lors sans suite, il essaye de faire un effort d’explication indispensable pour sortir les Tunisiens de leur défiance et de leur insouciance. Sans être alarmiste, ni aux abois, il s’est adressé à la raison des Tunisiens et à leurs cœurs, espérant être, cette fois, bien écouté, bien entendu.
Tunisie : après Sousse, la tentation de « taper » sur tout ce qui bouge ?
Après l’attentat de Sousse, qui a fait 38 morts et une quarantaine de blessés le 26 juin, de nombreux Tunisiens ont posté des témoignages sur les réseaux sociaux. Pour exprimer leur compassion à l’égard des victimes, leur crainte d’un retour de l’Etat policier et leur incompréhension face aux incohérences de la lutte antiterroriste en Tunisie.
Parmi ces messages, celui d’une avocate, qui flirte avec la trentaine. Sur Facebook, elle a raconté ses galères, alors qu’elle partait en vacances avec sa mère. A l’aéroport de Tunis, les autorités lui ont demandé une attestation pour pouvoir quitter le territoire, à cause d’une escale à Dubaï. « Toute personne de moins de 35 ans a besoin de l’autorisation de son père pour voyager dans les pays arabes », lui a-t-on expliqué.
Une mesure censée refroidir les jeunes Tunisiens tentés par les groupes extrémistes – la Tunisie est le premier pourvoyeur de combattants, par habitants, au Moyen-Orient. En plus d’être archaïque sur la forme, cette disposition se heurte à une contradiction majeure sur le fond : les candidats pour Daech privilégient le périple clandestin, via la poreuse frontière libyenne.
Sans leur maman.
« Arrête-t-on d’être terroriste à 35 ans ? »
N’ayant plus son père, la jeune femme aurait dû présenter un certificat de décès selon la douane. Après un bref interrogatoire, elle a fini par passer. « J’ai cru à une caméra cachée. » A Dubaï, galère bis pour les deux voyageuses. Alors qu’elles avaient réservé un hôtel pour leur escale, les autorités leur ont refusé un visa de transit.
Là-bas, les Tunisiens de moins de 40 ans ne sont pas les bienvenus depuis 2014, pour des raisons sécuritaires pas vraiment détaillées, mais que l’on pourrait cyniquement paraphraser ainsi : s’ils font flipper leur propre gouvernement, pourquoi ceux des pays étrangers ne flipperaient-ils pas aussi ?
La jeune avocate s’interroge :
« Je suis financièrement indépendante et vis seule depuis sept ans. Est-ce que mon père pourrait y changer quelque chose si j’étais terroriste ? Arrête-t-on d’être terroriste à 35 ans ? »
Et s’inquiète :
« Je serai amenée à voyager régulièrement pour mon nouvel emploi. Comment faire pour le garder si je ne suis pas en mesure de quitter le territoire quand je le souhaite ? »
« Il a la tête de quelqu’un qui part en Syrie ! »
Certains médias tunisiens ont rapporté des cas similaires au sien. Sayida Ounissi, députée Ennahdha à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), précise :
cette mesure d’exception existe depuis 2013 et n’a pas vocation à durer :
elle témoigne d’un code de la famille dépassé (l’autorisation du père) et d’une diabolisation contre-productive :
« Le terrorisme n’est pas un problème générationnel. D’ailleurs, c’est la jeunesse qui paye le plus lourd tribut des problèmes socio-économiques que rencontre la Tunisie depuis des années.
L’offre qui lui est proposée dans son propre pays est insuffisante, à tel point que certains sont prêts à mourir en Syrie ou en mer pour rejoindre l’Europe. »
D’ordinaire, elle n’est pas vraiment appliquée. Ou bien, c’est à la tête du client. Un article de nos confrères de Nawaat le raconte très bien. Il rapporte les propos d’un policier après l’interrogatoire d’un jeune couple. L’homme était barbu, la femme voilée :
« Il a la tête de quelqu’un qui part en Syrie ! »
C’est mieux d’avoir le numéro du ministre...
La panique post-attentat pousse au zèle, le bordel aussi. Dans son enquête (abonnés), Pierre Puchot, journaliste à Mediapart, met en lumière les graves défaillances de l’appareil sécuritaire tunisien. Si le terroriste de Sousse a eu une demi-heure pour massacrer, c’est parce que le coup de fil qui indiquait sa présence n’est pas arrivé jusqu’aux services compétents – lesquels auraient pu intervenir en dix minutes.
La faute aux guéguerres qui minent le ministère de l’intérieur. C’est la patronne de l’hôtel, l’un des théâtres de la tuerie, qui a dû prévenir elle-même le ministre de l’Intérieur. Que se serait-il passé si elle n’avait pas réussi à le joindre ?
Les réservations en Tunisie annulées en masse par les touristes français
Les voyageurs ont, pour une large part, préféré changer de destination au sein du Bassin méditerranéen.
Echaudés par le nouvel attentat après l’attaque du musée du Bardo, les vacanciers se rabattent sur d’autres destinations dans le Bassin méditerranéen. Mais elles sont plus coûteuses.
Edgard pensait renouer avec des souvenirs d’enfance. «La Tunisie, j’y allais avec mes parents quand j’étais petit», se souvient-il. Début juin, Edgard pousse la porte d’une agence de voyages. En tête, le sable fin des plages de Djerba, «du repos et des activités nautiques bien moins chères qu’en France». Départ prévu : fin du mois d’août.
«Lorsque j’ai réservé, je ne pensais plus aux attentats. Il peut y en avoir partout», explique-t-il. Après les 21 morts de l’attentat du musée du Bardo, le tourisme et les réservations commençaient juste à repartir. Mais vendredi 26 juin, le Breton âgé de 22 ans allume son poste de télévision. Il découvre les images des corps des touristes tués sur la plage de Sousse. Nouvel attentat et nouveaux doutes. Edgard réfléchit quelques jours, puis cède à la panique. «J’ai écrit Djerba sur Twitter pour voir ce que les gens disaient. Beaucoup écrivaient que le futur attentat aurait lieu sur l’île. Ça m’a refroidi.»
Edgard n’est pas le seul à avoir annulé son séjour. Quelques heures après l’attentat, l’ensemble des agences de voyages propose à leurs clients ayant des billets pour la Tunisie en juillet la possibilité de modifier leur destination. Ou de partir plus tard. Réactions immédiates : le Snav (le syndicat national des agences de voyage) enregistre 80% d’annulation de ses réservations pour juillet. Le Seto (syndicat des tour-opérateurs) constate entre 25 à 50% d’annulations.
DES RECORDS DE FRÉQUENTATION DANS D'AUTRES PAYS
La plupart de ceux qui renoncent optent pour d’autres destinations, généralement au soleil. Les cartes touristiques dans le Bassin méditerranéen sont rebattues. Edgard s’envolera avec sa copine en Turquie et piochera un peu plus dans ses économies. «Ça nous coûte 200 euros de plus, chacun. Et nous avons dû payer 100 euros pour annuler», précise-t-il. Le nouvel attentat en Tunisie a aussi des répercussions sur le tourisme dans les pays arabes voisins : le Maroc enregistre une baisse de fréquentation de 33% par rapport à 2014 et l’Egypte de 4%.
Du fait des reports, l’Espagne, l’Italie, la Grèce, Chypre, la Croatie et même la Bulgarie pourraient connaître des records à l’issue de la saison. L’office de tourisme espagnol annonce une augmentation de sa fréquentation de 17%. L’Italie table sur 19%. Chypre prévoit une hausse de 75% (sources Seto, au 31 mai 2015).
Problème pour les touristes : ces pays sont plus chers. «Certains voudraient du coup partir aux Canaries au prix de la Tunisie ! Mais des destinations comme les Baléares ou la Turquie […] sont plus chères», résume à l’AFP René Marc Chikli, président du syndicat des tour-opérateurs français (Seto). Des vols supplémentaires sont déjà prévus vers les Baléares, l’Espagne et Chypre.
Pour la Tunisie, c’est un nouveau coup dur. Son activité touristique est en panne sèche : en baisse de 41% par rapport à l’année dernière qui était déjà une mauvaise année. Une catastrophe économique pour un pays où le tourisme représente 7% du PIB et génère 473 000 emplois.
Il y a seulement 70 ans, les Juifs étaient menés à l’abattoir comme des moutons.
Pas de pays. Pas d’armée. Il y a 65 ans !
Sept pays arabes déclarèrent la guerre au petit Etat juif, seulement quelques heures après sa création !
Nous étions alors 650 000 Juifs !
Contre le reste du monde arabe !
Pas de Tsahal (armée de défense d’Israël).
Pas de puissante Armée de l’Air, seulement des gens courageux avec
nulle part où aller.
Liban, Syrie, Irak, Jordanie, Egypte, Libye, Arabie Saoudite
attaquèrent tous en même temps.
Le pays que l’ONU nous a « donné » était un désert à 65%.
Le pays est sorti de nulle part !
Il y a 45 ans ! Nous avons combattu les trois armées les plus puissantes du Moyen-Orient, et nous les avons balayées en six jours.
Nous nous sommes battus contre différentes coalitions de pays arabes, qui avaient des armées modernes et de nombreuses armes soviétiques, et
nous les avons toujours battues !
Aujourd’hui nous avons :
Un pays,
Une armée,
Une puissante Armée de l’Air,
Une économie à la pointe de la technologie, qui exporte des millions de dollars.
Intel – Microsoft – IBM y développe des produits, chez nous.
Nos docteurs remportent des récompenses pour leurs recherches dans le domaine médical.
Nous faisons fleurir le désert, et vendons des oranges, des fleurs et des légumes au monde entier.
Israël a envoyé ses propres satellites dans l’espace !
Trois satellites en même temps !
Nous sommes fiers d’être au même rang que :
Les Etats-Unis, qui ont 250 millions d’habitants,
La Russie, qui a 200 millions d’habitants,
La Chine, qui a 1.3 milliards d’habitants ;
Les Européens – France, Grande-Bretagne, Allemagne – qui ont 350
millions d’habitants.
Les seuls pays au monde à envoyer des objets dans l’espace !
Israël fait aujourd’hui partie de la famille des puissances nucléaires,
Avec les Etats-Unis, la Russie, la Chine, l’Inde, la France, et la
Grande-Bretagne.
(Nous ne l’avons jamais admis officiellement, mais tout le monde le sait)
Et dire qu’il y a seulement 60 ans,
Nous étions menés, honteux, sans espoir, au massacre !
Nous nous sommes extirpés des ruines fumantes de l’Europe,
Nous avons remporté nos guerres ici avec moins que rien
Nous avons construit notre petit « empire » à partir de rien.
Qui est le Hamas pour me faire peur ?
Pour me terrifier ?
Vous me faites rire !
Pessah’ a été célébré ;
N’oublions pas de quoi il s’agit.
Nous avons survécu à Pharaon,
Nous avons survécu aux Grecs,
Nous avons survécu aux Romains,
Nous avons survécu à l’Inquisition en Espagne,
Nous avons aux pogroms en Russie,
Nous avons survécu à Hitler,
Nous avons survécu aux Allemands,
Nous avons survécu à l’Holocauste,
Nous avons survécu face aux armées de sept pays arabes,
Nous avons survécu à Saddam.
Nous survivrons aux ennemis présents également.
Pensez à n’importe quelle époque de l’histoire humaine !
Pensez-y, pour nous, le peuple juif,
La situation n’a jamais été meilleure !
Alors regardons le monde en face,
Rappelons-nous :
Toutes les nations ou les cultures
Qui un jour ont voulu nous détruire,
N’existent plus aujourd’hui – alors que nous vivons toujours !
L’Egypte ?
Les Grecs ?
Alexandre de Macédoine ?
Les Romains ? (Quelqu’un parle-t-il encore latin de nos jours ?)
Le troisième Reich ?
Et regardez-nous,
La nation de la Bible,
Les esclaves d’Egypte,
Nous sommes toujours là,
Et nous parlons la même langue !
Ici, et maintenant !
Les Arabes ne le savent pas encore,
Mais ils vont apprendre qu’il y a un Dieu.
Tant que nous gardons notre identité, nous sommes éternels.
Alors excusez-nous de ne pas nous inquiéter,
De ne pas pleurer,
De ne pas avoir peur.
Les choses vont bien ici.
Elles pourraient certainement aller mieux,
Cependant :
Ne croyez pas les médias,
Ils ne vous disent pas
Que les fêtes continuent d’avoir lieu,
Que les gens continuent à vivre,
Que les gens continuent à sortir,
Que les gens continuent à voir des amis.
Oui, notre moral est bas.
Et alors ?
C’est seulement parce que nous pleurons nos morts pendant que d’autres se réjouissent du sang versé.
C’est la raison pour laquelle nous gagnerons, en fin de compte.
Faites suivre cet e-mail à toute la communauté ,
Et à des gens dans le monde entier.
Ils font partie de notre force.
JAMAIS NE DORT NI NE SOMMEILLE LE CHÔMER D’ISRAËL ! (Gardien d’Israël )
Par alain barenfeld
Trois periodes.
Le deluge, la tour de Babel, et aujourdh'ui
Le deluge, pas besoin d'explication.
La tour de Babel ou Achem a melangé les langues,et ou plus personne ne comprenait son voisin.
Et la periode actuelle ou plus personne ne comprend pourquoi les musulmans
s'entretuent avec une barbarie terrible..
Donc,,, il n'y a rien à comprendre,,, dans cette Chakchouca !
Ce n'est pas une chakchouka, car la chakchouka .....c'est bon, alors que là c'est la folie des hommes, qui assassinent aux cris d'allah ouakbar!!!!
Il y a eu de nombreux articles à son sujet dans les médias arabes, certains d’entre eux affirmant que Mengistu a été amené dans la bande de Gaza par la mer, y compris des articles de la populaire agence de presse palestinienne Maan et du pro-Hezbollah al-Mayadeen.
Des millions de Palestiniens et d’Arabes à travers tout le Moyen-Orient savaient que Mengistu était entre les mains du Hamas, et pourtant le Hamas – et l’État d’Israël – ont gardé le silence.
Razi Hamad, un haut responsable du Hamas, était encore en contact avec Gershon Baskin, un Israélien d’origine américaine qui a contribué à l’échange de Gilad Shalit en 2011, dans le cadre d’un effort visant à lancer des négociations pour la libération de Mengistu. Et le silence a encore continué.
Baskin a déclaré jeudi matin au Times of Israel qu’un haut responsable du Hamas a insisté sur le fait que Mengistu n’était plus à Gaza, qu’il a été libéré après avoir été interrogé – quand il est devenu clair que ce n’était pas un soldat – et qu’il s’était rendu au Sinaï via un tunnel.
Cette affirmation semble hautement improbable. Il est possible qu’elle ait été faite parce que Mengistu aurait été blessé au cours des interrogatoires et que le Hamas veut se dégager de toute responsabilité. Il est également probable que le Hamas ait délibérément propagé de fausses informations pour ses propres raisons tactiques.
Il est facile de comprendre pourquoi le Hamas voudrait semer la confusion en ce qui concerne le sort et l’état de Mengistu.
Il est plus difficile de comprendre pourquoi les dirigeants d’Israël ont insisté pour garder l’opinion publique israélienne dans l’ignorance, y compris en taisant les articles largement diffusés en arabe, au sujet de l’affaire.
Mengistu et un second captif israélien, un Bédouin qui est rentré dans la bande de Gaza, constituent des atouts importants pour les dirigeants islamistes de Gaza.
Le Hamas a tout tenté, mais n’a pas réussi, pour capturer des soldats israéliens au cours de la guerre des 50 jours de l’été dernier, mais détient désormais deux Israéliens qui leurs sont tombés dessus – et qui, apparemment, ont franchi la frontière de leur propre gré.
Les dirigeants islamistes de Gaza savent qu’Israël ne paiera pas un prix élevé pour les restes de soldats Hadar Goldin et Oren Shaul, qui sont tombés pendant la guerre de l’été dernier. Deux Israéliens vivants peuvent changer l’équation.
Mercredi, le chef en exil du Hamas, Khaled Meshaal, a parlé de négociations entre Israël et le Hamas pour les deux morts et deux disparus Israéliens. Il a affirmé qu’Israël avait cherché à négocier via des intermédiaires européens pour leur retour.
Mais, a poursuivi Meshaal, le Hamas ne fournira aucune information jusqu’à ce qu’Israël libère tous les membres du Hamas qui ont été libérés dans l’échange Shalit, mais qui ont été à nouveau arrêtés à la fin du printemps dernier, quand Israël recherchait des informations sur les trois adolescents israéliens qui ont été enlevés par une cellule terroriste du Hamas et retrouvés assassinés en Cisjordanie.
En d’autres termes, le Hamas cherche un gain majeur avant même de consentir à négocier pour les Israéliens morts et vivants qu’il détient.
Il veut solder la « dette » d’avant-guerre qu’il détient envers l’opinion publique palestinienne, et en particulier envers les familles palestiniennes touchées, par rapport à ceux qui ont été ré-arrêtés. Cela permettrait également au Hamas de gagner de l’importance dans l’opinion publique palestinienne.
La question est de savoir si Israël est prêt à payer le genre de prix que le Hamas a en tête pour Mengistu, un jeune homme avec des problèmes psychologiques apparents qui, apparemment, a franchi la frontière de son propre gré, plutôt que dans le cadre du service militaire, et pour un Bédouin qui est entré à Gaza pour des raisons pas tout à fait claires.
L’accord Shalit a coûté cher à Israël. Beaucoup des 1027 prisonniers sécuritaires palestiniens qui ont été libérés en échange de Gilad Shalit dirigent aujourd’hui l’activité terroriste en Cisjordanie depuis Gaza et la Turquie, où ils ont été exilés.
Ces opérations terroristes ont coûté des vies israéliennes. Israël a accepté l’échange il y a quatre ans pour l’amour d’un soldat qui avait été retenu en otage pendant des années, après avoir été enlevé à l’intérieur d’Israël pendant son service militaire.
L’équation actuelle est très différente, car nous sommes en présence de deux Israéliens qui sont entrés dans la bande de Gaza dans d’autres circonstances.
Néanmoins, les long mois de silence insistant des dirigeants d’Israël sur l’affaire soulève des questions. Il est raisonnable de supposer que si Mengistu venait d’une famille israélienne bien établie, l’effort de censure n’aurait tenu que quelques jours. Le fait qu’il soit d’origine éthiopienne, avec une expérience moindre d’Israël, a rendu cette censure plus facile.
Elle peut aussi avoir donné naissance à la notion qu’Israël pourrait obtenir un accord moins coûteux pour sa libération – une notion qui semble naïve, même enfantine. Le Hamas va certainement exiger un lourd tribut pour la libération de Mengistu et du deuxième Israélien, dont le nom n’a pas été révélé.
Quote LadoudaUne bonne nouvelle surprenante tout de meme. Il y a du changement et pas de la moindre importance.
Visite historique: Le prince saoudien a annoncé son intention de se rendre en Israël
Percée diplomatique? Le Prince al-Walid bin Talal a annoncé cette semaine qu’il comptait venir prier à la mosquée Al Aqsa et visiter la vieille ville. Il a appelé les Arabes “à cesser leur hostilité absurde envers le peuple juif”, et a appelé tous les pays arabes “à œuvrer pour un Moyen-Orient pacifique et prospère” selon les médias saoudiens.
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