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Envoyé par albert 
Re: PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...
12 octobre 2007, 01:47
Trés belle chanson du "métèque".

L'expression "mère juive" est dans le vocabulaire et il n'est plus rare

d'entendre :

"Ne fais pas ta mère juive".
Re: PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...
12 octobre 2007, 19:38
> **Michka a écrit:**
>
> Trés belle chanson du "métèque".



Georges Moustaki ? Le Meteque ? 1969
Uploaded by gippo
>
> L'expression "mère juive" est dans le vocabulaire
> et il n'est plus rare
>
> d'entendre :
>
> "Ne fais pas ta mère juive".

Mère juive - Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le stéréotype dit de la mère juive peut désigner la mère-courage d'une famille nombreuse, ainsi qu'illustré dans la chanson A Yiddishe Mame (qui a connu de nombreux interprètes, dont Charles Aznavour). C'est un stéréotype classique de l'humour juif. Actuellement, il est beaucoup plus habituellement utilisé par les comédiens ayant des origines israélites lorsqu'ils évoquent leur passé (fictif ou réellement vécu) de leurs relations avec leur maman.
Bien que le type de relation évoqué soit classiquement de type mère-fils, certaines comédiennes, comme Fran Drescher décrivent aussi les non moins remarquables relations mère-fille.


Caractéristiques

Les traits typiques de la mère juive stéréotypiques incluent (sans prétendre à l'exhaustivité):

- une fierté excessive des réussites, même mineures voire imaginaires, de leurs enfants. Elles parleront toujours de "Mon fils, le docteur", ou "Mon fils, l'avocat". Allan Sherman a parodié cette habitude en intitulant son album "My son the folk-singer", et d'autres albums avec le même préfixe. Dans La Vérité si je mens, on entend la blague suivante : une mère juive court sur la plage, criant : "Au secours ! Mon fils avocat se noie !"

o trois preuves de la judaïté de Jésus :
+ il a vécu 33 ans auprès de sa mère.
+ il croyait que sa mère était vierge.
+ sa mère le prenait pour Dieu.
- À l'inverse, une mère juive ne cessera de se plaindre si elle estime qu'ils n'ont pas (assez bien) réussi (à leur goût) dans le domaine académique, financier, voire et surtout amoureux! Il n'y a rien de pire qu'une mère juive, sinon une belle-mère juive.
- Elle materne son enfant jusqu'à l'âge adulte, voire au-delà. Si Albert Cohen rend hommage à sa mère dans Le livre de ma mère, Philip Roth estime, dans Portnoy's Complaint, que cela a pour effet qu'"un Juif dont les parents vivent est un enfant de quinze ans, et reste un enfant de quinze ans jusqu'à sa mort."
- Ses certitudes sont érigées en principe d'éducation. À cet égard, la seule différence entre une mère ashkénaze et une mère sépharade, c'est "Manege, mon fils, manege" versus "Monge, mon fils, monge!"
- Elle ne cesse de s'inquiéter pour ses enfants, exagérant, mais rien qu'un peu, les "dangers".
- Elle valorise l'obéissance, voire la soumission de ses enfants, d'où la révocation classion de la théorie freudienne : "Oedipe shmoedipe! Tant qu'il aime sa mère !"
- Elle use et abuse de la culpabilisation afin de manipuler ses enfants. Ainsi,
Question : Combien de mères juives faut-il pour changer ue ampoule ?
Réponse: (D'un ton plaintif et, si possible, avec l'accent yiddish, bien qu'il se perde de nos jours) Ne t'en fais pas, je m'assiérai dans le noir."
Ou encore : "Faites cadeau à votre fils Marvin de deux chemises sport. La première fois qu'il en met une, regardez-le avec tristesse, et dites-lui d'un ton pénétré : « Alors, et l'autre, elle ne te plaît pas ? »" (Dan Greenburg, How to Be a Jewish Mother, Los Angeles, 1964, cité dans Paul Watzlawick et alii, Une logique de la communication, traduit par Janine Morche, Paris, Seuil, 1972, points essais p. 211.)

Ce "syndrome" d'une forte figure maternelle résulte probablement de la place traditionnellement attribuée aux personnes dans la cellule familiale, l'homme s'occupant des affaires du monde "extérieur" (les affaires et la politique), tandis que la femme a la charge du monde "interne" de la famille et du foyer.
L'adulation de la mère par son fils, bien que sans description ironique, est une constante frappante de l'œuvre de Marcel Proust.




Rôles

* Pour Woody Allen dans une longue phase de sa filmographie où il apparaissait en tant que trentenaire ou quadragénaire dans les films qu'il réalisait, la présence, le surgissement inopiné dans une scène ou simplement l'évocation de sa mère juive, sont un des facteurs de ses comédies. Dans New York Stories (en), elle réapparaît même en majesté dans les nuages surplombant les immeubles vicinaux du loft du personnage, apparition persistante pour surveiller en permanence depuis le ciel ses faits et gestes...

* Le personnage de la mère juive a été incarné au cinéma par Marthe Villalonga, qui depuis Un éléphant ça trompe énormément a souvent été employée pour ce personnage. La mère juive est un stéréotype proche de celui de la mère pied-noir, tel que Guy Bedos par exemple l'a utilisé dans ses sketches à propos de sa vraie, ou supposée telle, mère. Guy Bedos jouait par ailleurs le fils étouffé de Marthe Villalonga dans Un éléphant ça trompe énormément.

* La pièce de théâtre "Comment devenir une mère juive en 10 leçons" de Paul Fuks, d'après Dan Greenburg, a fait un retour triomphal récemment. Après Marthe Villalonga dans les années 1980, c'est Ludivine de Chastenet qui a repris le rôle de la mère possessive. Cette pièce, créée en 1983, a dépassé les 3000 représentations.[/color]

Extrait : Le fils: Bonjour M'man La mère: Oh, tu es si beau que je ne t'ai pas reconnu!

Bibliographie

* Gilles Achache, J'aurais tant voulu qu'il soit docteur ! - Toute la vérité sur les mères juives, Calmann-Levy, 1999
Re: PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...
13 octobre 2007, 01:19







‘...QOBARA ALLIK..... YA OULDI...’











Jeune célibataire, Éric est d’un tempérament très doux et surtout soumis à sa mère Fritnè qui, elle par contre, est d’un caractère impossible ...Jusqu’à l’âge de 3O ans, Eric vit entre son père Moumou et sa mère .

‘Lè mé téckhdè’mech mya oubbouk.....Mè tét yass’rouch....’
(Non....ne travailles pas avec ton père...Vous ne vous entendez pas…!’

dit elle un jour à son fils alors que le père Moumou sentant l’âge s’appesantir sur ses épaules
émet le désir de voir son fils l’aider dans sa grande épicerie. Passant par dessus la volonté de sa femme ,le père engage le fils à ses cotés.

Arrive le jour où Éric, convole en juste noces.

Les remarques désobligeantes n’allaient pas tarder à tomber drues. Acerbes, méchantes, mauvaises, irrespectueuses dépassant la limite de l’indécence sur ce fils sans reproches, toutes les fois que ce dernier rend visite à ses parents du genre......

Elle le prenait en aparté pour déverser ses inepties..

‘…Ta femme ne vaut rien…! Elle est paresseuse....’
‘…Elle n’est pas venu m’aider à ‘degousser’ les petits pois....’
‘…Pour le Chabbat...Tu ne peux pas lui dire de m’aider à faire les boulettes..!’

Ou alors

‘Ahhh...Vous êtes partis à Juan les Pins…! Khir mèl méjèlli…!’

Alors qu’elle connaît la moitié du monde.
Et vas y que je t’en donnes sur la tête.....

Erice écoutait ...S’énervait ....Et s’en retournait chez lui vers sa femme, les yeux rougis par les larmes. Claudine, se rendait bien compte de l’état piteux de son mari.

‘Ah...tTu a été voir ta mère…! Elle t’a fait un shampoing…!’
‘Non....Non.…! Je t’ assure…! Elle est gentille maman…! Je suis un peu fatigué…’

Malade...Fatigué...Éric prétexte à chaque fois une excuse pour assouvir la curiosité de sa femme...Elle savait bien que son mari mentait. Mais ne voulant le peiner encore plus elle coupait court à la conversation.

A la naissance de son premier enfant ...Moumou décède après trois mois.

‘…Klè môkhou…! Oubayék…!’ (Il a bouffé la vie de ton père)

Dit t’elle un jour à son fils qui lui rendait visite avec son petit bébé dans les bras.

‘ …Comment se fait t’il que ce mois ci, tu m’as donné que 3.000 frs....’
‘….Mais maman ,les recettes ont baissé depuis que le Franprix....’
‘.....Depuis que ta femme ‘brille’ de haut en bas tu veux me dire....
mais dis moi toi…! Qu’est ce que c’est ces vêtements qu’elle achète …? Moi à l’époque je reprisais tes chaussettes…!’

Une vie infernale.

L’épicerie d’Eric était au nom de la vieille grincheuse. En bon fils, il partageait correctement le surplus de recette avec sa mère soupçonneuse et grande dépensière. Elle harcelait toujours son fils par des ….
‘Qolli …Tu as acheté une voiture avec l’argent de ton père…! Mort…! Pour ta femme ....La gaspilleuse…?’

Las d’entendre de pareilles inepties, Eric claque souvent la porte et s’e retourne chez lui dans un piteux état.

Le lendemain…

‘Ahhhh…! Wine méchine fèl saiéf....’ (Ou allez vous cet été...?)
‘Il n’y a pas de ‘khlayà ...Maman .....Je travaille..’

(de vacances..)

Gisèle met au monde un second bébé...Trois ans plus tard.

‘Eye…! Méch tyabiq bèl sghaAAAr…!’
(‘Ah....Elle va te remplir de gosses....’=

Les malédictions pleuvent de plus en plus virulentes au téléphone presque au quotidien....
Toutes les deux heures à mesure que la vieille acariâtre et frustrée, comme je ne vous le dis pas, prenait de l’âge .

Les ‘Tu as tué ton père …! Tu m’a rendu malade…! Tu.…! Vous…! Tu…!Yatick…! Yatick…!’
Sont le lot quotidien de ce pauvre Eric, excède par cette vie infernale que lui menait sa maman.

Éric écoutait, patientait la rage au cœur, les diatribes sans fin de ‘l’écorchée’ aigrie qui accusait l’univers du malheur de son veuvage..

Tous les jours à rendre visite à sa mère en bon fils et tous les jours les mêmes rengaines…

‘…Ahhhh...Tu es venu me quereller.…!’
‘….Non....maman....te rendre visite.....’

puis elle lui lança à la figure...

‘Vous êtes des voleurs.....’

Éric voit rouge. Ses nerfs à vif et déjà mit à rudes épreuves, court-circuitent dans sa moelle épinière.
Il sent sa tête exploser. Son sang faillit jaillir de ses yeux, de sa bouche, de ses oreilles et de ses narines.

Il se dirige machinalement vers la cuisine, ouvre le tiroir aux couteaux et saisit une lame à la poignée de bois noir. Sans hésiter, il porte une multitude de coups d’une violence inouïe sur sa mère.

Sur celle qui durant des journées entières, des mois entiers, des années de 365 jours sans interruption et cela pendant plus de 25 ans lui rabachait, jusqu’à l’usure de son âme, les même refrains, sans égard pour lui ni pour sa femme ni pour ses enfants.

A n’en plus finir.

Une vraie maman ‘teigne’.

Sa besogne terminée et tandis qu’il enjambait le corps convulsif de sa mère, toute ensanglantée .....Il faillit glisser sur une flaque de sang....

Sa maman ,voyant son fils déséquilibré , et dans un dernier sursaut de vie lui dit....

‘Mén aïche ââlla ouldi…! Qobara allik.....’
‘Que je ne vives pas après toi...Que je partes en sacrifice...)

Cet épisode n’a jamais existé -que D.ieu nous préserve ...Seule, l’attitude de sa maman est vraie.

Pour vous dire que quelque soit la maman qu’on hérite. Elle reste jusqu’à la fin de sa vie .Une maman d’amour avec tous ses jalousies, ses comédies, ses caprices et ses mauvais traitements.

A bon entendeur salut.......


Cet espace est résèrvè au PTB.
Et ne rentrent que ceux que j'estime.
Et qui m'apprécient.
Ils se reconnaitront.
Re: PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...
13 octobre 2007, 01:35
[www.chanson.udenap.org] (klic klic)
Les paroles son au PTB.

Envoi de Monsieur Suggest dont je suis devenu le porte parole.
Merci Monsieur Suugest de l'honneur que vous me faites pour le bien de tous.

Je t'embrasse khouye, l'homme au coeur tendre et fier comme un harisson.

RM.
Re: PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...
13 octobre 2007, 03:21
Dans le PTB, début d'insertion de toutes les officines commerçantes à la Goulette.

Cette rubrique, une fois terminée, sera transférérèe entiérement dans la rubrique SOUVENIRS. Pour la postéritè.

Chacun de ces personnages étaient une figure sympathique au pays.
Et un acteur hors du commun à son époque.

Plus de mille noms de métiers seront publiès par étape. Avec noms, prénoms et surnoms ou surnoms tout cour.

Tout a éte relevè en son temps par mes soins et surtout grâce au témoignage de Monsieur FRANCOIS LELLOUCHE dit AGOUBA z'al dit aussi 'L'Oncle'. Figure légendaire car il était celui qui savait tout sur le microcosme goulettois.
Re: PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...
13 octobre 2007, 03:37
Au PTB...Michka m'offre '..MA TUNISIE ET MOI..'
Un jardin des délices.
Grand merci pour ce qui sera ma couverture.

Soudain tout redevient Ombres et Lumières. Avec toi.
Re: PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...
13 octobre 2007, 05:19








LES AMIS DU PTB...

Et tous ses acteurs


SOUHAITENT UNE BONNE FËTE DE L AID A TOUS NOS FIDELES AMIS MUSULMANS DU SITE HARISSA.


AID'QOM MABROUK OU KOL ÂÂM BKHIR
ESSALEM ÂÂLIKOM OU ÂÂLLINE OU BARAQAT ALLAH.

Bonne fête Tawfiq. RM.

Albert.







Re: PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...
13 octobre 2007, 11:11
‘...Et puis quoi et zut.... ! A part tout ce que les femmes endurent pendant une bonne partie de leur vie voilà que la MENAUPOSE arrive comme un bouquet de fleurs pour les empêcher de vivre enfin un peu de repos... !!! A un âge supposé de la retraite.


Je rêve par ce disfonctionnement que la nature impose aux femmes arrivées à un certain âge.

Chaleur, froid, sueur, tout en même temps comme si certaines d’entre elles sont touchées par le paludisme. Bard ou chrénè.

Non seulement, elles ont leurs menstrues dés leur jeune âge, grossesses difficiles, césariennes,LIFTINGS, LIPOSUCION à part ce qu'elles sucent, qu’elles enfantent dans la douleur, qu’elles élèvent nos enfants, qu’elles se sacrifient la plupart du temps pour le bien être de leur progénitures,le couscous, la bsal ou loubia, le nikitouche etc...Et j'en passe.
Le linge, la vaisselle,leur travail etc...Voilà les grands soucis de l’après 40 ans arrivent.

J’entends parler de cas de femmes qui souffrent de Ménaupose durant tout le restant de leur vie ; Froid, chaud, sueurs toutes les nuits. Au point de ne plus trouver le sommeil.

Comme dirait ma petite fille SHARON ‘...C’est quoi ça... ?

Je compatis à leurs souffrances très sincèrement, mais pas à ce mystère de la nature.

De toutes les manières, j’ai été toujours contre certains déreglements de la bonne mère....!'

-Michka, j'a vu le film. C'est d'une grande profondeur.
Je m'y noie.
Re: PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...
13 octobre 2007, 11:18
NOUVEAU.


Dorénavant un PASS va être envoyè à mes amis pour rentrer au PTB et ici. Gratuitement. Il leur sera adréssè par courriel.

Voiçi le premier exemplaire adréssè à Michka.
Les autres suivront.
Re: PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...
13 octobre 2007, 13:07
Voila une recette que je viens de trouver sur un site qui n a rien de juif ... c est quand meme incroyable ... Est ce que l un d entre vous a deja mange ca ???

Bouillon de poule des "grands-mères juives"


Pour 6 personnes:

1 carcasse de poulet et les ailes
1 carotte
1 oignon
1 branche de céleri
6 oeufs
200 g de farine de pain azyme
levure de boulanger
2 càs de graisse d'oi
safran
gingembre en poudre
macis
noix de muscade
sel, poivre
coriandre fraîche

Je connaissais la symbolique de la ""mere juive "" mais voila qu on y rajoute la Grand mere Juive !!!

AM ISRAEL HAY
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