Annonces Réunions, Conférences, manifestations et spectacles communautaires

Chers amis,

Une manifestation de paix et d'harmonie au niveau communal, dans le cadre d'échanges permanents entre les traditions.
Un exemple à suivre dans les communes où résident des communautés diversifiées.
En tout cas ici, personne ne vous demande de faire un don et personne ne cherche à se faire valoir: donc pas d'argent et pas d'ego déplacé.
Mais vous pouvez témoigner de votre intérêt en allant voir, ou en vous en inspirant, pour faire quelque chose d'analogue chez vous

bien à vous

albert soued



Bonjour,

Nous vous faisons part de l'Exposition - Evènements prochaine :

"Al Andalus, Rencontre de cultures"

et nous vous serions reconnaissants de l'annoncer autour de vous ou dans votre media, si vous en avez un


10 jours d’exposition interactive et d’évènements au SEL (Sèvres, Espace, Loisirs)

47 Grande Rue 92310 SEVRES du 27 mars au 6 avril 2008

sur le thème : Vivre ensemble hier, en Andalousie, en méditerranée

Vivre ensemble aujourd’hui à Sèvres, Meudon, Ville d’Avray, Chaville


A l’initiative de l’association « Dialogue Juifs, Chrétiens, Musulmans » de Sèvres -Meudon dont le but est de promouvoir et favoriser la rencontre et le dialogue entre toutes personnes de différentes cultures, en particulier juive, chrétienne et musulmane, pour une meilleure connaissance mutuelle, dans un esprit de fraternité.


L’exposition sur l’histoire d’"Al Anda­lus, héritage ou­blié? " se prolonge par une 5ème partie :

Aujourd’hui, que signifie pour nous vivre ensemble à Sèvres, Meudon, Chaville, Ville d’Avray… ? ».

Des habitants de nos villes, des femmes, des jeunes ont apporté leurs pierres à l’exposition.


Des évènements :

Ø Jeudi 27 mars 19h au SEL: Inauguration

Ø Samedi 29 mars 18h rotonde du SEL: Soirée contes

Ø Mardi 1er avril 21h au SEL : Ciné-débat Film d’Amos Gitai « Désengagement »

Ø Jeudi 3 avril 20h30 au CIEP Table ronde sur le Vivre ensemble hier et aujourd’hui,

Ø Dimanche 6 avril 16h30 au SEL : musique arabo andalouse par l’ensemble El Mawsili


Soutenu par : La mairie de Sèvres,

Le Sel (Sèvres, Espace, Loisirs),

Le CIEP (Centre international d’études pédagogiques),

Les Conteurs de Sèvres


Pour en savoir plus, consulter le blog : [dialogue-jxm.blogspot.com]

et le site du Sel : [www.sel-sevres.org]



Pour l'association "Dialogue Juifs, chrétiens, Musulmans" de Sèvres

Marie Odile Lafosse-Marin, Khadija Seddiki, Laurent Chetrit 06 8000 1975

LA COMMUNAUTE ISRAELITE DE SAINT GERMAIN EN LAYE


VOUS INVITE A UNE CONFERENCE DONNEE PAR



Monsieur Albert SOUED – Ecrivain



Quand le Moyen-Orient verra-t-il la lumière ?



Ce sujet, que notre conférencier analysera pendant la soirée à l

laquelle nous vous convions, est d’une brûlante actualité. Ce

titre est aussi celui d’un livre que Monsieur A.SOUED vient

de publier et qui sera présenté lors de la conférence.

Notre invité est un observateur très attentif de la scène

moyen-orientale, qu’il connaît très bien. Il intervient

régulièrement en présentant des articles dans la presse et par

la tenue de conférences. Il dirige un site politique


www.nuitdorient.com


SAMEDI 15 MARS A 20H30


Dans les locaux de la SYNAGOGUE

6 Impasse Saint-Léger – 01 34 51 26 60

La soirée d'hier au Palais des Congrés en l'honneur de Shimon Peres fut une très belle soirée, très émouvante.

8ème festival du cinéma israélien de Paris 2008

18/03/08 - - : Culture

Né d'une double passion pour le Cinéma et pour Israël, le Festival souhaite faire connaître au Public Français et Européen, le cinéma Israélien. Cette année, le festival se déroule du 25 mars au 1er avril 2008
au mk2 bibliothèque, 128/162 avenue de France 75013 (Métro bibliothèque/ Tolbiac).

Pour toute information : [www.isratim.co.il] ou

[www.crif.org]

Le programme du 8ème festival du cinéma israélien de Paris

La suite du programme du 8ème festival du cinéma israélien de Paris

Le judaïsme francophone à Netanya

25/03/08

- - Thème: Débat

La deuxième rencontre mondiale du judaïsme francophone vient de se dérouler en Israël à Nétanya. C’est autour du thème « Le peuple du livre en terre africaine » que plusieurs centaines de personnes se sont retrouvées le 19 mars dernier dans l’amphithéâtre du Collège académique de la station balnéaire.
Directeur de la rencontre, Roby Harly a lancé dès le matin la manifestation lors d’une cérémonie d’ouverture au cours de laquelle sont intervenus, le président du Collège, Zvi Arad, S.E. Jean-Michel Casa, ambassadeur de France en Israël, le professeur Ilan Greilsammer de la Fondation France-Israël que préside Jacques Huntziger, Jean-Pierre Allali, représentant le CRIF et Claude Grundman-Brightman, vice-présidente de l’association des Amis du Collège.
Jean-Michel Casa et Jean-Pierre Allali, dans leurs discours, ont mis l’accent tout particulièrement sur la position d’Israël par rapport à l’Organisation Internationale de la Francophonie, Jean-Pierre Allali, insistant fortement sur la situation injuste dans laquelle est placé l’Etat hébreu dont quelque 20% de la population parle peu ou prou le français alors que les récents pays admis au sein de l’O.I.F., tels l’Albanie ou la Macédoine sont loin d’atteindre ce chiffre. Après avoir rappelé les interventions du président du CRIF aussi bien auprès du chef de l’Etat que du Premier ministre et de nombreuses personnalités dont le secrétaire général de l’O.I.F., Abdou Diouf, Jean-Pierre Allali, a rappelé que l’AFAL, Association Francophone d’Amitié et de Liaison, qui siège en Israël, a organisé un concours original de rédaction où, dans un texte libre, il s’agissait de placer les dix mots suivants : apprivoiser, s’attabler, boussole, jubilatoire, palabre, passerelle, rhizome, tact, toi et visage. Il a ensuite donné lecture d’une composition de son invention intégrant les dix mots, en forme de plaidoyer pour l’admission d’Israël au sein de l’O.I.F. : "Face à un amour si jubilatoire de la langue française, on perd la boussole, le visage s’empourpre. Pourquoi tant de palabres devant un manque de tact si évident ? Il faut s’attabler au plus vite pour apprivoiser la raison. Il est temps, avec toi, ami israélien francophone, de franchir la passerelle de rhizome."
Puis, tout au long de la journée qui a été honorée par la visite de la maire de la ville, Myriam Ikar Feyerberg, des tables-rondes très intéressantes ont réuni des spécialistes de la littérature juive francophone du monde arabe : Cyril Aslanov, Myriam Braunshvig, Claude Senouf, Raphaël Draï, Albert Bensoussan, Jean-Pierre Allali, Claude Sitbon, David Sultan, ancien ambassadeur d’Israël en Egypte, Raphaël Sigal, Tobie Nathan et Patrick Chardenet.
La journée s’est achevée par l’inauguration d’une exposition de peintures de Claude Senouf intitulée « Réponse à l’hystérie », en présence du député Amir Peretz.

[www.crif.org]

[Est-ce qu'un(e) harissien(ne) d'Israël y a assisté et peut nous en rendre compte ?]

1er Salon du Livre de l'antiracisme et de la diversité
01/04/08

- - Thème: Culture

La Fédération de Paris de la Licra organise le 1er Salon du Livre de "L'antiracisme et de la diversité", le dimanche 13 avril 2008, de 14 h à 19 h, à la Mairie du 6ème arrondissement de Paris, 78, rue Bonaparte.

Parmi tous ceux qui viendront signer leur livre, il y aura entre autres les auteurs suivants :
- Armand Abecassis
- Fabrice d'Almeida
- Pierre Assouline
- Elie Barnavi
- Philippe Benassaya
- Esther Benbassa
- Sophie Body-Gendrot
- Clémence Boulouque
- Carmen Callil
- Jean-Marie Carzou
- Malek Chebel
- Myriam Chimenes
- Philippe Cohen
- Jean-Paul Cointet
- Jean Daniel
- Alain David
- Anny Dayan Rosenman
- Eric Deroo
- Eric Fottorino
- Caroline Fourest
- Max Gallo
- André Et Raphaël Glucksmann
- Marek Halter
- Jean Hatzfeld
- Mariette Job
- Gaston Kelman
- Théo Klein
- Julia Kristeva
- Elisabeth Levy
- Patrick Lienhardt
- Frédéric Martel
- Mathieu Meranville
- Danielle Mitterrand
- Leonora Miano
- Nine Moati
- Alexandre Moatti
- Gérard Mordillat
- Olivier Philipponnat
- Benoît Rayski
- Jacqueline Remy
- Eric Roussel
- Françoise Rudetzki
- Antoine Sabbagh
- Antoine Sfeir
- Daniel Sibony
- Jacques Tarnero
- Simone Veil
- Etc.

Trois tables rondes sont, par ailleurs, prévues :
14 h 30 - Identité et intégration, animée par Laurent Joffrin,
16 h 00 - Laïcité, rempart contre l'obscurantisme, animée par Elisabeth Levy,
17 h 30 - Israël Palestine : le chemin douloureux vers la paix, animée par Ivan Levaï

[www.crif.org]

Le Cinéma israélien … au service de la Mémoire

Par TOLERANCE Tunisie

Le 8ème Festival du cinéma israélien, tenu à Paris, entre le 25 mars au 02 avril 2008, vient de clôturer ses portes ce mardi à Paris. Longs métrages, fictions et documentaires y étaient présentés. Plusieurs rencontres avec les comédiens et metteurs en scène ont été effectués ainsi des projections de certains classiques israéliens, comme "La vie selon Agfa", qui était suivi d'un débat avec son réalisateur, Assi Dayan.

Ce 8ème Festival du cinéma israélien (1) était une occasion de faire connaître au public français et européen, le cinéma israélien. En démontrant leur savoir-faire artistique, les professionnels du cinéma israélien ont favorisé la chance de la compréhension de la société israélienne.

Parmi les œuvres qui ont été proposées au public français, citons le film d'Avi Nesher, "Sodot" (Secrets), ou encore ceux d'Eran Riqlis, "Ets Limon" (Le citronnier) et d'Amos Gitaï, "Itnatqout" (Désengagement).

Mais ce qui a attiré notre attention c'est le film de Joseph Cedar (2) Beaufort, adapté du roman de Ron Leshem, récemment publié en français aux éditions du Seuil (3) qui avait inauguré cette manifestation à Paris , avant de sortir en salles le mercredi 26 Mars 2008.
[www.isratim.co.il]

Mai 2000, au Sud Liban dans l’ancienne forteresse de Beaufort (4) au sommet d’une montagne éloignée du sud Liban, l’armée israélienne maintient depuis 1982 (5) un avant-poste de défense gardé par une petite troupe sous les ordres d’un jeune lieutenant de Tsahal Liraz 22 ans.

Joseph Cedar, a réussi à transmettre au public européen dans le film « Beaufort » les épreuves difficiles des derniers jours qui précédèrent l’abandon de cette forteresse libanaise par l’armée israélienne.
Après l’avoir conservée courageusement pendant dix-huit ans au prix de nombreuses vies humaines, Tsahal décide un jour de se retirer de cette position.Le film de Joseph Cedar retrace les quelques jours qui précédèrent le 24 mai 2000.
Beaufort rappelle un conflit très amère qui a traumatisé les israéliens (6) et qui a symbolisé la fierté de l’armée israélienne qui refusa de céder devant le terrorisme chiite .Le film fait revivre la fin de la guerre du Liban, moment où l’état-major décide de prendre une décision courageuse, mais nécessaire, qui concerne le retrait des troupes de Tsahal (7).

La vie des quelques très jeunes soldats isolés dans le Beaufort au Sud Liban était difficile.
La place forte était pilonnée en permanence par les miliciens du Hezbollah .Pendant des années, Tsahal y ajouta de nombreux systèmes de défense dans le but d’empêcher les dégâts causés par les fusées et les obus sur les soldats obligés d’y vivre durant des mois, voir des années sous les tirs.

Le film Beaufort réussite cette histoire courageuse d’un groupe de très jeunes soldats dans la citadelle médiévale du Sud Liban, juste avant que l’armée israélienne l’abandonne définitivement. C’était une manière de rendre hommage à ceux qui ont servi sous les drapeaux, surtout dans cet avant-poste, symbole de l'une de ses guerres les plus dures qu’Israël avait connu.

Le long-métrage de Joseph Cedar a reflété un drame profond que les soldats ont vécu dans le Beaufort et la manière dont ils ont dû tenir le siège, alors qu’ils savaient qu’ils quitteraient les lieux prochainement. Les jeunes soldats tués lors des dernières semaines sont morts juste avant la décision de l’évacuation du Sud Liban. Le film tente de soulever de vraies questions et à dévoiler quelque chose du drame intérieur de ces jeunes soldats.

Les derniers jours de Tsahal dans le Beaufort, sont immortalisés à jamais par ce film
« Beaufort ». Peut être qu’un jour des futures générations d’israéliens apprendront un exemple de courage de cette unité de soldats d’élite israéliens stationnée dans le fortin du Beaufort au Sud Liban .Ils se souviendront aussi de la mémoire des autres soldats qui ont donné leur vie pour Israël jusqu’au dernier instant qui précède le retrait israélien de cette région en mai 2000.

tolerance tunisie
tolerance.tunisie@yahoo.fr


(1) Ce festival est conçu et initié par l’association ISRATIM, avec le soutien des services culturels de l’Ambassade d’Israël en France, de la Mairie de Paris.

(2) Né en 1968 à New York, Joseph Cedar émigre avec ses parents en Israël en 1974. Il étudie la philosophie et l’histoire du théâtre à l’université hébraïque de Jérusalem, puis il intègre l’école de cinéma de l’université de New York. Il réalise son premier long métrage de fiction en 2001. Son deuxième film, MEDURAT HASHEVET, était en 2005 le candidat d’Israël pour une nomination aux Oscars. Le cinéma israélien a honoré Joseph Cedar pour la réalisation de célèbres films comme : « Time of favor » et « Feu de camp », les deux ont été lauréats du Prix du meilleur film, décerné par l’Académie cinématographique d’Israël.

(3) Le film « Beaufort » est basé sur le roman de Ron Léchem « S’il existe un Jardin d’Eden ». Beaufort, Éd. du Seuil, coll. «Cadre Vert», traduit par Jean-Luc Allouche, 345 p. Ce livre, raconte le quotidien des soldats israéliens postés au fortin de Beaufort au Sud Liban durant les quelques mois précédant l’évacuation de Tsahal en mai 2000. Le livre avait obtenu le prix Sapir. (La plus prestigieuse des distinctions littéraires israéliennes).

(4) Située à 11 km de Métula, la forteresse de Beaufort est située au sommet d’une colline abrupte qui surplombe la route de Damas -Sidon. Elle est située près du passage le plus aisé pour la traversée du fleuve Litani. A cause de sa situation, le Beaufort fut tout au long de l’histoire du Liban un atout stratégique utilisé par les différentes armées. Entre les années 1982-2000, Tsahal était installé près de cette forteresse, devenue le symbole de la présence de Tsahal au sud Liban.

(5) Le 6 juin 1982, Israël commença l’opération « la paix en Galilée ». Dans le cadre de cette importante opération, le but d’Israël était d’écraser les bases de l’OPL au sud Liban. Le premier jour, la compagnie Golani attaqua le fort et le prit après un dur combat. Six soldats de Tsahal tombèrent. Le Beaufort fut considéré comme l’objectif premier pour prendre le sud Liban, puis après sa prise, il devint le symbole de l’occupation par Tsahal du sud Liban.Les années suivantes, le fort fut sous la protection des forces de Tsahal et de l’Armée du Liban Sud (ALS), jusqu’au retrait de Tsahal du sud Liban en 2000.

(6) Le 4 février 1997 au petit matin près de la frontière libanaise que survint l’un des accidents les plus meurtriers dans l’histoire de Tsahal où 73 soldats trouvèrent la mort.
Deux hélicoptères de l’armée israélienne se télescopèrent et s’écrasèrent au sol. Ils transportaient des soldats vers la position de Tsahal de Beaufort dans la bande de sécurité au Sud Liban. Le gouvernement Netanyahu déclara un deuil national.

(7) Le retrait effectif de Tsahal appelé opération « long souffle » débuta le soir du 23 mai 2000.


--------------------------------------------------------------------------------
Envoyé avec Yahoo! Mail.
Plus de moyens pour rester en contact.

Un colloque organisé par

Le Collège des Etudes Juives de l'Alliance Israélite Universelle

Bibliothèque de l'Alliance Israélite Universelle
45, rue La Bruyère
Paris (9ème)
Métro : Blanche, Trinité
Tél. 0153 32 88 55

Le programme à suivre

Pièces jointes: