LE PTB ET MOI.

Pour ceux qui prennent le récit de l'Automne Hiver en marche....

Un récit a commencè depuis qq temps, dans l'ancien Ptb déja et repris dans le nouveau.

Yoshua et un jeune garçon juif, issu d'une famille très riche et surtout célèbre.

.....

Il n'est pas instruit des textes sacrès.
Un jour, alors qu'il se proméne à Paris, par un beau dimanche ensoleillè, sirotant une glace, le jeune homme agè de 18 ans fait la connaissance d'une jeune fille qui l'aborde innocemment....

Une glace non kosher interpelle la jeune fille Myriam Ababou.

Yoshua juge surprenante la remarque de cette adolescente agèe de 17 ans.

De fil en aiguille, il s'établit une relation amicale.

La jeune Ababou est issue d'une famille juive tunisienne, immigrèe et isntallèe à PARIS.

Je vous présente les personnages du récit.


Toute ressemblance avec des faits connus n’est que pure coïncidence.
Tous les évènements cités dans cette nouvelle sont imaginaires et ne peuvent se rapporter à aucun fait passe ou récent.

Le Baron Richard de ROCHTENBERG et Madame la Baronne CLAUDE….Châtelains.
Sarah-Noémie de La Guêpière…..Née Rochtenberg…Fille aînée du Baron épouse De William de la Guêpière. 28 ans.
William De la Guêpière…………….Le mari de Sarah-Noémie. 38 ans.
Marc-Sébastien 7 ans et Roy-Nathan 4ans leurs enfants.
Isabelle-Reine de La Jonquière…Née Rochtenberg…La fille cadette du Baron épouse de Romuald de la Jonquière. 35 ans.
Romuald- Pierre De La Jonquière….Le mari de Isabelle-Reine. 45 ans.
Leurs enfants Octave- Albert 10 ans, Frédéric-Siméon, 8 ans et Rolande-Nathalie, 6ans.
M.Yoshua de Rochtenberg………….Le dernier fils de la famille. 17 ans.
Mlle.Myriam Ababou……………….La jeune fille. 16 ans.
M.Gustave Leblanc…………………Le sommeiller attitré de la famille. 59 ans.
François Dejean…………………….Le garde du corps du jeune Yoshua. 38 ans.
M.Roger Ababou…………………Le papa de Myriam. Spécialiste dans les maladies coronaires. 49 ans.
M. Hai Victor Cohen………………Un fidèle de la yechiva de la rue Cadet.
M. Le Rav Liebmann……………….Le responsable de la yechiva de la rue Cadet.
M.Maurice Douieb…………………Le chauffeur de Yoshua. 53 ans.
M. Jean de la Tour………………...Le chef cuisinier attitré de la maison Rochtenberg. 65 ans.
Le Rabin Edmond…………………Détaché par le Rabin Liebmann au château.
Mme. Rachel Ababou née Lévy…… La maman de Myriam. Professeur d’hébreu. 39 ans.
M. Le Rav Simon Akerman…………Responsable de la synagogue de Cleveland. 58 ans.
M. Le professeur André Tubiana …Professeur en neurologies à l’hopitale de la TIMONE à Marseille.
M. Rubenstein Goerges……………Professeur à Cleveland dans les maladies neurologiques. 55 ans.
M.Professeur Courtin Pierre………Professeur dans les maladies neurologiques à l’hôpital américain de Neuilly.
William Robert……………………..Un majordome.
Robert Farton………………………Le médecin personnel de la famille.
Le Rav Eliezer Ben Yehuda…………Grand cabaliste à Kfar Mââlot en Galilée.

Voici le début du roman qui compte plus de 80 chapitres...


2°.


Il y a des cours dans la vie que l’on ne peut maîtriser car la vie que l’on dit être un long fleuve bien tranquille se perd parfois dans des méandres sinueux cachés à notre vue alors que tout semble tracé d’avance. Dés le départ.

Le destin la commande, la vie.

Je l’imagine debout, nul part sur un carrefour, entrecoupé par mille et milles chemins qui se croisent et se recroisent dés le jour de sa naissance. Quel chemin ou voie prendre alors dés cette sortie douloureuse ?

Seul D ieu met sur sa voie sa créature innocente sans que celle-ci ne puisse forcer sa destinée. Son Mektoub.

La famille ROTCHENBERG est une vieille famille juive, très riche et surtout grande mécène. Une famille dont les ancêtres sont barons de père en fils jusqu’à aujourd’hui encore.
...Le Baron Richard de ROTCHENBERG et Madame la Baronne CLAUDE-MARIE née Anselme sont des gens de la haute aristocratie, bien introduits dans le milieu des affaires financières.

Grande boursicotière, leur fortune date depuis deux siècles. Elle gère aussi de nombreux établissements financiers clairsemés dans le monde. La famille ne vit pas très loin de Paris dans un grand hôtel particulier qui leur appartient. Connue pour ses œuvres de bienfaisance et l’amour qu’elle porte pour Israël, elle fait partie de cette rare et grande noblesse israélite très dévouée envers la communauté juive. Une fondation porte son nom à Paris ainsi que des hospices de vieillards essaimés un peu partout dans la capitale.

Ils ont deux filles Sarah, Isabelle et le tout dernier YOSHUA, 17 ans.
Leurs deux filles sont mariées avec des goys.

Nos deux jeunes adolescents vont tisser une grande amitiè.
Yoshua suite à leurs échanges sur cette religion qu'il ignore décide d'en savoir plus.

Myram l'introduit chez le rav de la syna de la RUE CADET.
d'Obedience loubavitch.

Il est prit en mains par Monsieur HAI VICTOR un membre de la choul qui va le diriger dans ses premiers pas.

Le jeune homme obéit tandis que M. Cohen Victor (Hai) lui cale un calot sur la tête.
Yoshua vient de franchir pour la première fois de sa vie, un lieu de culte juif.
Il pénètre et ses yeux tombent sur une vingtaine de fidèles debout. Certains sont assis à poser les phylactères et le taleth sur leurs épaules.
Yoshua semble perdu lorsqu’il aperçoit Myriam assise sur un banc en compagnie d’autres femmes, la tête couverte par un foulard et un livre à la main. Il veut aller vers elle, mais M. Cohen lui fait comprendre qu’il lui est interdit de franchir le paravent.
'...!



Le jeune garçon semble très intérrèsse par celà de jour en jour.
Il décide d être assidu aux cours de la yeshiva.
Il va apprendre très vite au point que qqs mois plus tard, il sera même à lire la paracha de la semaine...

Il convainc ses parents de respecter ses convictions religieuses.
Il gagne sur tous les plans et son papa consent à suivre le mode de vie de son unique fils.

Entre Myriam et lui s'installe une grande complicitè.
Ils se parlent au télèphone.

Entre le PTB et moi, il s'instale un lien qui échappe à bcp d'entre vous.

Lorsque d'autres entassent richesses qui n'iront à personne, d'autres comme moi ou presque s'enrichissent d'autre chose.
Un espace virtuel qui donne tant de bonheur.
Là, je me sens comme nouè à une fiancèe qui m'obéit au doigt.
Un espace dans lequel je m'étale sans m'ennuyer et si dés fois, je sens trop d'ennui alors lui vient à mon secours et je vole.

En plus, je n'ai nullement besoin de me déranger.
Il est à à qqs métres de mon lit.
Je l'ouvre lorsque je le décide.
Alors, j'imagine mes acteurs répètant chacun de son cotè leurs partitions, parfois se chamaillant pour des broutilles, et moi qui essaye de raccomoder les petites querelles, les qqs jalousies qui n'en finissent pas, au moint que fusent après des gros mots.
Bon, il en faut, dans un theatre tous les directeurs sont confrontès à ce genre de caprice de gamins.

Il en faut sinon tout baignerai dans l'huile d'argan.

Je ne pense pas que directeur de theatre soit une sinécure.
Non, au contraire, c'est une grande responsabilitè et j'en suis conscient. Alors, j'essaye de maintenir mes actrices tant bien que mal.

Tiens, je viens de me rappeller qq chose, un ami me dit '...Albert surtout n'abandonne pas le PTB sinon Harissa s'effondre..!'

Là, je me suis mis à rire, et je lui réponds ici.

'..Mon cher toi, ce que tu viens de m'ecrire tombe dans le non sens...! Et je m'étonne qu'un homme de ta trempe puisse me donner ce conseil.
Comment est ce possible qu'HARISSA s'effondre si je m'en vais...!

Tu délires et tu sais bien que je suis qq un qui crèe qui anime qui donne de la vie à un site qui m'a accueillit à bras ouverts, et comme nul n'est indispensable, je serai le premier à souffrir de celà. Haj ve challom.

Non, Harissa ne s'effondrera pas parce que sa FONDATION est solide.
Ton conseil bien que génèreux est superflu.
Alors, ne me répète plus ce genre de conneries.

Je ne souhaiterai jamais la disparition d'un site, d'un patrimoine, d'une encyclopédie aussi riche qu'HARISSA. Et même d'autres site dans lesquels j 'ai signè leur livre d'or.
Qui se veut assassin se pende.

Cette personne me lit bcp.

Donc voilà Yoshua.

J'ai mis 2 mois pour l'ecrire.
Par moment, je me lassais mais le lendemain je revenais à la charge.
Hargneux surtout de vouloir le terminer.Sans baisser les bras comme une peintresse princesse qui revient sur sa toile sans jamais abandonner.

Puis, je ne trouvais plus à trouver la fin.
Epiloguer.Dans un récit-roman, c est l'épilogue qui est importante.
Que de fois, j'ai refais cette fin, que de fois, j'ai effacè des pans entiers d'écriture, que de fois, j'ai repris depuis le début pour corriger des incohérences constatèes et malgrè celà il doit s'en trouver.

Le PTB et moi c est comme une affiliation.
Un peu comme avec L URSSAF.
Entre lui et moi, il y a de la connivence.
Beaucoup de complicitè. Il a aussi de l'indulgence pour moi car par moment ce que j'ecris est mauvais. Il en faut du mauvais, le bon par dés fois se fait rare mais bon, on ne peut pas toujours être bon, ce
n'est pas possible. J'essaye qd même déquilibrer tant que je peux le faire mais ce n est pas évident.

LE PTB ET MOI c est une relation charnelle.
Un consentement mutuelle Je te donne de l'écrit donne moi du plaisir
Et du plaisir,il m'en offre alors que d'autres préfèrent les salons obscurs où l'on géle. Tiens la dérnière fois, j'ai vu un tas repliè sur lui même. Je me suis approchè et soulevè la couverture, je tombe sur un gros glaçon, une silhouette féminine recroquevillèe à 4 HEURES DU MATIN.
Je l'ai reconnue mais j'ai fais semblant de rien.
J'ai recouvert la masse froide afin qu'elle se réchauffe.
Au petit matin, ce n'était plus qu'un petit étang signè par le nom de la dame.