LE PTB ET MOI ZOUZ.

J’ignore les règles de TSAHAL en matière de comportement.
Un tsunami s’est élevé à la suite de la mort d’un jeune terroriste alors
Que l’on sait par avance qu’ils sont faits pour être tué après leur attentat.

Je ne crois pas que dans un autre pays du monde, Un soldat se serait posée la question de tuer ou de ne pas tuer un terroriste actif, dans sa mission du respect de l’ordre. Nous avons vu ici à PARIS, des islamistes radicaux, tuer à bout portant un policier. A Toulouse…
Dans le métro de Burxelles, aéroport…A quoi servent les soldats, s’ils doivent réfléchir avant d’agir… ?

Nous avons vu en Israël, et ailleurs des situations hors normes…
Un soldat est un soldat….Et dans un moment de panique, que doit t’il faire lorsqu’il voit son compagnon poignardé… ? Marchent t’ils sur la tête les BIBI et compagnie… ?

Où est ce de l’excès de zèle…De la peur des médias…Qui , comme tout le monde le sait approuvent les assassinats de juifs israéliens… ? Dans ce cas là, le soldat doit avant de tirer relire son manuel… En a-t-il le temps… ???
En Israël, l’éthique veut qu’on ne tue pas un ‘homme’ sans arme à terre… ? Par contre s’il avait un couteau entre les mains oui…. ! La situation aurait été différente à leurs yeux.

L’ ombre de mon pays.

Au lever du soleil…
L’ombre des murs s’étirait
Comme moi au lever du lit.
Elle raccourcissait à midi
Comme moi, je le suis…
A mon âge où tout rétrécit …

Au couchant…
Elle disparaissait…
Dans le silence
A l ‘approche de maman nuit.
L’ombre n’est plus.

L’ombre, celle par qui,
Agenouillé, dos au mur,
Donnait un répit à ma sueur…
Moi qui bien jeune, sous elle,
Etirée d’un palmier, je goûtais
A un semblant d’air frais….

Serait t’il devenu une ombre
Lointaine, le pays de mes ombres… ?

_{^{Si un terroriste vient pour te tuer,il faut le preceder et ne pas hesiter ,car lui ne te donnera aucune chance.
Ces salopards n'ont pas hesite et ont tue la mere aux yeux de ses enfants.}}

_{^{Si un teroriste vient pour te tuer,il faut le preceder et ne pas hesiter ,car lui ne te donnera aucune chance.
Ces salopards n'ont pas hesite et ont tue la mere aux yeux de ses enfants.}}

Donc, la décision d 'incarcérer ce jeune soldat ne doit pas avoir lieu...

Vous les entendiez
D’entre les rocs..
Les crêtes écumées
Les rageuses glissaient
Sur la mousse verte.

Et l’écho sorti d’entre leurs entrailles des blocs
Monter, comme des anges vers le ciel.
Aux pieds du tout Puissant.
Il était déposé comme je fus reposé.

D’entre les rocs des blocs…
L’enfant de la mer sautillait…
Insouciant et sans peur…

Il entendait les vagues
Qui se mourraient
Sur leur lit d’algues.

Heureux celui qui….
S’est bercé du chant
Des houles, de ce pays
Aujourd’hui plein de remous..

Hou…Hou…Siffle vent
Aux ouïes des enfants du pays.

Comme toutes villes portuaires et ouvertes à tous les courants,
La Goulette avait son bordel….Il n’y avait pas de rue expressément nommée pour cela mais les arrières cafés et brasserie ( salons) des patrons de bistrots dont la plupart étaient des maquereaux. Il fallait montrer patte blanche pour s’abonner. Recommandé.

C’était bien avant l’indépendance et après l’indépendance, il fut mit fin à ces trafics en tout genre où la drogue circulait entre gens avertis. Les tripots avaient aussi fermés, et la Goulette s’est retrouvée assainie de tous vices et débauches.

Les dames de petites vertus étaient pour la plupart françaises ou italiennes venues de la métropole ou du Sud de l’Italie. Les patrons faisaient ce qu’on appelait la tournante. Et une fille ne restait jamais plus de six mois au même endroit.

Pour ne plus me faire avaler ma CB....
Pièces jointes:

Chez les BROTHERS MEBEL……MAGIE…PERRUQUES…ESOTERISME…

Rentre un monsieur d’un certain age….Vers les 9 heures du matin…
Dés qu’il me voit, il se met à pleurer…

‘…Nar mabrouk…. !’ Belle matinée….
‘…Oui, de quoi s’agit t’il…. ?
Baki, il pleure…
‘…Je vous écoute…. !’
‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
‘…C’est si grave… ?
‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
‘..Yé khlika mchoumé… !’ Sale profil
‘…………………………………………..
‘…Yejji mék bké…. ! Ca suffit de pleurer… !
‘ ‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’ !
‘…Je viens d’essuyer… !’
‘ ‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’ !’ !
‘…Alors c est quoi ton problème… ?’
‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
‘….Tu peux tout me raconter… !’
‘..’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’ !’
‘…Je viens de perdre ma mère…. !’

Je me suis mis à pleurer avec lui tellement, il m’a fait de la peine.

Suite à mon système D au sujet de la perforation de ma CB et à l’astuce mise en ligne pour la retirer sans qu’elle me soit avalée, ce matin vers les 6 heures tapantes, le GIGN a encerclé mon immeuble et un colonel de la gendarmerie Mr LE BEC s’est présenté à mon domicile et m’a signifié ma garde à vue.

Je suis donc sorti de chez moi, devant tous les voisins, menotté et cagoulé….Au commissariat, on m’a posé un tas de questions sur l’épingle et le trou ( voir plus haut) et j’ai dû m’expliquer sur
La chose, arguant du fait que je ne pouvais pas retirer ma CB vu que l’espace était trop réduit pour la retirer et que je craignais un avalement de celle çi par la DB.

Une confrontation a eu lieu ce matin vers les 8 heures sur place, à Charenton et tjs accompagné par 10 hommes fortement armés. J’ai donc pu procéder devant eux à la manœuvre et là comme par hasard, la carte est sortie d’un centimètre. J’ai fait valoir mes droits argumentant que cette fente ne correspondait à celle du LCL Barbés. Nous nous sommes donc rendus tous à l’agence en question….Mais mal nous en prit, l’agence est fermée donc nous stationnons devant la dite agence jusqu’à demain matin afin de prouver que je ne mens pas.

Si vous passez par là bas ce matin, je vous serai grès de bien vouloir m’apporter qqs oranges, des kiwis, qqs bananes, des dattes, deux kilos de clémentines, trois kgs d’oranges THOMSON..

Le siège de la banque risque de tenir longtemps.