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LE PTB ET MOI ZOUZ.
Envoyé par albert
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 31 août 2011, 22:49 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 01 septembre 2011, 00:52 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 01 septembre 2011, 07:43 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 01 septembre 2011, 09:28 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 01 septembre 2011, 11:52 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 161 |
En gros??? Grosse que tu es, des roumains...? Pourquoi pas des GITANS...? Ye seq laba...! Que tu es...! Si j'ai gardé qqs liens précieux avec toi c'est parce que tu complétement à l'ouest...!!
Lorsque je te vois assise dans ta mini nain de voiture tu ressembles à Nini Matisse.
Lorsque je te vois assise dans ta mini nain de voiture tu ressembles à Nini Matisse.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 01 septembre 2011, 12:41 |
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Pourquoi ce regain d’intérêts pour notre vécu… ? Est-ce que le présent ne vaut pas autant que le passé… ?
Parler de notre vécu se traduit quelque part par une sorte de narcissisme.
Voilà comment avant j’étais.
Alors qu’aujourd’hui j’ai beaucoup changé donc je veux garder l’image d’avant et d’ailleurs nombre d’internautes mettent à profit leur profil d’avant et ensuite il change trois mois plus tard de profil afin de nous montrer la vérité sur leur portrait. HMOUM OU BRAD. MOCHE ET LAID.
Avant c’était l’insouciance. Elle dure en générale et en moyenne entre 25 et 30 ans. Pour les filles entres 13 et 20 ans, ensuite, elles se marient. Les hommes lorsqu’ils se marient rentrent dans ‘la souciance.’ C’est dans la nature humaine.
Avant nous étions beaux, musclés, svelte, mta kif, on était branché et bien branché avec le temps. Nous étions les rois de la toupie, du cerceau, de la pêche, des jeux etc….Collectif ou pas, nous étions des amoureux du sport et des champions selon les catégories. Il y avait bien sur des champions qui se disaient champions et des cons qui n’ont jamais admis qu’ils ne l’étaient pas . Remarquez 40 ans plus tard, ils sont toujours champions de la connerie. Cela ne change rien au problème.
Avant nous étions intelligents. Aujourd’hui un peu moins, que voulez lorsqu’on se marrie on commence à s’abrutir alors que la jeune fille bêbête qu’elle était avant devient intelligente.
Il y a des jus qui profitent aux femmes et abêtissent les hommes. C’est naturel D’ailleurs la nature fait bien les choses. Il suffit seulement de l’admettre, je parle des hommes, pour que tout soit naturel.
Les hommes qui veulent rester intelligents à 60 ans manque d’objectivité, la femme ( intelligente) le reste parce qu’elle ne manque de réalisme et d’objectivité et il vaut mieux avoir une femme intelligente à 60 qu’une goulue tartre.
Oui, mais enfin remarquez le, toutes les femmes vous diront que leur mari ne ressemble plus à ce qu’il était avant. Elles se disent qu’elles sont mieux maintenant qu’avant parce qu’elles ont pris de l’étoffe. L’étoffe se paye et s’entretient, liposuccion, tirage des chaires, pilules amaigrissantes, anneaux, liftong, massages sauna….etc… et le mari qui n’a plus d’étoffe est un homme nu ce qui fait souvent dire à la femme ‘…Mais enfin tu ne vois pas combien tu a été ridicule cette soirée… ! La prochaine fois avant d’ouvrir ton bec réfléchis… ! Ils ne réfléchissent plus les hommes parce qu’avant, bien jeunes ils réfléchissaient bien mais voilà que l’âge leur fait dire des conneries. Et les amis diront de lui ‘…Mché fi ghélta…. Si flén… ! Il est parti dans l’erreur untel…. !’
Voilà pourquoi j’évite les fêtes… ! Alors les fêtes, je ne vous raconte, je parle de celles des juifs où l’ont voit des minettes de 70 ans se tortillaient encore sous des danses orientales alors qu’elles peinent à lever le pied et pourquoi… ? Parce qu’ elles s’imaginent encore avoir 20 ans. Et puis aux yeux des autres vieilles concurrentes, les kmenchin, les ridées, elles passent pour être en forme, d’où les CINQ et les YEUX en colliers d’or qui tapissent leur vieux cous sillonnés.
Alors pour les hommes, je ne vous dis pas le ridicule. Ils poussent tout le monde pour faire un pas de danse avec la danseuse, genre j’ai encore du charme, ils pensent encore à leur 20 ans.
Prenons le cas de la vieille Tita. La semaine dernière, elle s’est à peine levée pour danser, qu’elle se casse le col du fémur. Takhbilla, nœud géorgien. Pour un peu la fête allait tourner au vinaigre parce que le gendre a eu une sacrée bonne idée en disant à haute voix à sa femme ‘…Lejem ââliyaAAAA tcoum…Omoc… ! Elle a besoin de se lever ta mère… ?’ Alors la réponse de l’épouse a fusé comme un éclair ‘…Allaish omoc khir men ommi…. ? Pourquoi ta mère est mieux que la mienne… !’ Juste au moment, où elle dit cela, sa maman allait étouffer par un morceau de makroud, le quatrième en cinq minutes. Et le fille de dire ‘…Tu l’as pris d’un mauvais œil…. !’Celà s’est passé à l’EQUINOX.
J’évite les fêtes à cause de cela, je ne veux pas être témoin de ce genre de spectacle bien que j’en raffole.
C’est pour vous dire combien dans nos têtes, nous restons jeunes et vieillir ne nous rend pas jeunes.
Faites comme moi, lorsque vous allez dans une fête soyez prudents
.
Parler de notre vécu se traduit quelque part par une sorte de narcissisme.
Voilà comment avant j’étais.
Alors qu’aujourd’hui j’ai beaucoup changé donc je veux garder l’image d’avant et d’ailleurs nombre d’internautes mettent à profit leur profil d’avant et ensuite il change trois mois plus tard de profil afin de nous montrer la vérité sur leur portrait. HMOUM OU BRAD. MOCHE ET LAID.
Avant c’était l’insouciance. Elle dure en générale et en moyenne entre 25 et 30 ans. Pour les filles entres 13 et 20 ans, ensuite, elles se marient. Les hommes lorsqu’ils se marient rentrent dans ‘la souciance.’ C’est dans la nature humaine.
Avant nous étions beaux, musclés, svelte, mta kif, on était branché et bien branché avec le temps. Nous étions les rois de la toupie, du cerceau, de la pêche, des jeux etc….Collectif ou pas, nous étions des amoureux du sport et des champions selon les catégories. Il y avait bien sur des champions qui se disaient champions et des cons qui n’ont jamais admis qu’ils ne l’étaient pas . Remarquez 40 ans plus tard, ils sont toujours champions de la connerie. Cela ne change rien au problème.
Avant nous étions intelligents. Aujourd’hui un peu moins, que voulez lorsqu’on se marrie on commence à s’abrutir alors que la jeune fille bêbête qu’elle était avant devient intelligente.
Il y a des jus qui profitent aux femmes et abêtissent les hommes. C’est naturel D’ailleurs la nature fait bien les choses. Il suffit seulement de l’admettre, je parle des hommes, pour que tout soit naturel.
Les hommes qui veulent rester intelligents à 60 ans manque d’objectivité, la femme ( intelligente) le reste parce qu’elle ne manque de réalisme et d’objectivité et il vaut mieux avoir une femme intelligente à 60 qu’une goulue tartre.
Oui, mais enfin remarquez le, toutes les femmes vous diront que leur mari ne ressemble plus à ce qu’il était avant. Elles se disent qu’elles sont mieux maintenant qu’avant parce qu’elles ont pris de l’étoffe. L’étoffe se paye et s’entretient, liposuccion, tirage des chaires, pilules amaigrissantes, anneaux, liftong, massages sauna….etc… et le mari qui n’a plus d’étoffe est un homme nu ce qui fait souvent dire à la femme ‘…Mais enfin tu ne vois pas combien tu a été ridicule cette soirée… ! La prochaine fois avant d’ouvrir ton bec réfléchis… ! Ils ne réfléchissent plus les hommes parce qu’avant, bien jeunes ils réfléchissaient bien mais voilà que l’âge leur fait dire des conneries. Et les amis diront de lui ‘…Mché fi ghélta…. Si flén… ! Il est parti dans l’erreur untel…. !’
Voilà pourquoi j’évite les fêtes… ! Alors les fêtes, je ne vous raconte, je parle de celles des juifs où l’ont voit des minettes de 70 ans se tortillaient encore sous des danses orientales alors qu’elles peinent à lever le pied et pourquoi… ? Parce qu’ elles s’imaginent encore avoir 20 ans. Et puis aux yeux des autres vieilles concurrentes, les kmenchin, les ridées, elles passent pour être en forme, d’où les CINQ et les YEUX en colliers d’or qui tapissent leur vieux cous sillonnés.
Alors pour les hommes, je ne vous dis pas le ridicule. Ils poussent tout le monde pour faire un pas de danse avec la danseuse, genre j’ai encore du charme, ils pensent encore à leur 20 ans.
Prenons le cas de la vieille Tita. La semaine dernière, elle s’est à peine levée pour danser, qu’elle se casse le col du fémur. Takhbilla, nœud géorgien. Pour un peu la fête allait tourner au vinaigre parce que le gendre a eu une sacrée bonne idée en disant à haute voix à sa femme ‘…Lejem ââliyaAAAA tcoum…Omoc… ! Elle a besoin de se lever ta mère… ?’ Alors la réponse de l’épouse a fusé comme un éclair ‘…Allaish omoc khir men ommi…. ? Pourquoi ta mère est mieux que la mienne… !’ Juste au moment, où elle dit cela, sa maman allait étouffer par un morceau de makroud, le quatrième en cinq minutes. Et le fille de dire ‘…Tu l’as pris d’un mauvais œil…. !’Celà s’est passé à l’EQUINOX.
J’évite les fêtes à cause de cela, je ne veux pas être témoin de ce genre de spectacle bien que j’en raffole.
C’est pour vous dire combien dans nos têtes, nous restons jeunes et vieillir ne nous rend pas jeunes.
Faites comme moi, lorsque vous allez dans une fête soyez prudents
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 01 septembre 2011, 13:56 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 02 septembre 2011, 11:59 |
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VACANCES A RIMINI.
Il y a un volet que vous connaissez mal.
Peut être l’ignorez vous par manque d’infos. Or lorsqu’on n’a pas la bonne info, on passe à coté.
Mais qq un comme moi à l’ouïe mal intendante, je ne peux pas rester sans entendre, ni écouter.
Restez de marbre devant tants de témoignages me fait souffrir et je suis là non point pour subir ce mal être mais pour me soulager comme de bien entendu.
Donc à qui vais-je me confier si ce n’est à vous après 35 ans de silence en solitaire.
Avez-vous entendu parler de Rimini… ???? Cette jolie cité balnéaire sur l’Adriatique, face à la Yougoslavie de cette époque… ? On la compare à Nice mais en plus beau parait t’il… ! Ce n’est pas peu dire et bien figurez vous, à une certaine époque, elle a été très prisée par les familles juives parisiennes. Bien avant JUAN LES PINS.
On n’en parle plus maintenant et pour cause, la mode ayant changé de point géographique, les juifs de Belleville, las de rester dans les cafés estivaux en saison chaude et au vu de leur nouvelle situation se sont donné rendez vous dans cette cité durant une bonne période.
Tunis délaissé, à cause de mauvais souvenirs, s’est fait remplacer par RIMINI. Quoique vingt ans plus tard, les tunes parisiens ont renoués avec leur pays d’origine après l’avènement de BEN ALI.
Voilà qu’une famille juive parigo prenant son courage à deux mains estive donc à RIMINI. Il n’en fallait pas plus pour que l’année suivante, les italiens de cette partie de l’Italie ont vu déferler chez eux cette nouvelle manne de bons vivants et du coup les loyers des studios ont flambé d’une année à l’autre. RIMINI était devenue le rendez vous des estivants juifs tunisos parisiens. Ô cela n’a pas duré longtemps, juste cinq ans, après ce fut Juan les Pins.
Lorsque qu’une communauté juive se déplace qq part c’est le branle bas de combat. Et la seule chose qui manquait là bas la première année était le manque de boucher. Une famille juive qui ne trouve pas un boucher CACHER sur place se meurt de viande. Sans la ‘BABA’ et tout le reste point de grâce aux yeux des youpins.
Au début, ils se sont rabattus sur le poisson mais l’année d’après, un boucher de Belleville a eut la bsublime idée d’ouvrir une boucherie CACHER. Un juif sans boucherie CACHER c’est comme une femme fade, pas bonne à voir. Et comme la concurrence est cruelle, un autre boucher a ouvert les portes pendant la période. La CACHROUTE était sauvée pour le grand bien des juifs sur place.
Les prix sont passé du simple au triple mais lorsque qu’on est juif et bien ‘riches’ on paye. Là je ne fais pas la mauvaise langue, loin de moi, et après tout pourquoi ne pas le dire, le juif des années 60 /65 ne ressemblait plus à celui des années 90/2000. Il a prit du galon et sa situation s’était nettement améliorée.
Et cela grâce à notre savoir faire. Je ne dis pas que les autres manquent de savoir faire mais il faut reconnaitre que nous sommes un peuple du savoir faire et que nous sommes capables de déplacer des bouchers, des coiffeurs juifs là où il n’en y a pas.
C’est notre pouvoir. Personne ne peut me contredire. Et puis je n’ai rien contre ma communauté, je suis partie intégrante d’elle et je m’en réjouis car si je ne l’étais pas on me taxerait d’une façon discriminatoire.
Ma tante Poupée fut l’une des premières à prendre ses vacances à RIMINI. Une pionnière.
Il a été la première dans le contingent des parisiens juifs à fouler le grain de RIMINI.
‘…Chou ye Bébert, él yar… ! Regarde mon fils le scandale, de ces gens là, ils posent leurs fessse dés sept heures du mat sur les transat et ils parlent tellement forts que les oiseaux RIMINIENS ont immigré ailleurs… !’
Si ma tante le dit c’est que c’est vrai, elle ne ment jamais et elle a surtout un jugement honnête tellement honnête que sur les photos que j’ai vu, je la vois assise dans une terrasse de café la jambe posée sur une chaise avec un tas de pépites sur la table. Idem pour ses voisines dont le tour des hanches dépasse celui de Pise mais bien droite. Car si elles se penchaient de 10 ° latitude nord est, c’est tout le café qui tourne de l’œil. Et la planète qui s’éffondre.
Sur la plage, le transat était payé pour une personne, et c’est toute la famille que je vois assise sur ce morceau de toile souffrant de surpoids. Pour ne pas trop dépenser, elle cuisinait à la maison pour ses huit enfants donc sur la plage, à part les casses croutes, elle leur faisait des ragouts mis dans des tupéroirs. Les sodas n’étaient pas consommés sur place mais acheté dans les super markets.
Pour sur que ces cafetiers plagistes se sont remplis les poches avec ces familles consommatrices de rien.
La bouffe chez nous est importante et manger le fait -maison est plus approprié que consommer dehors.
Par contre ma tante, adoratrice du casino dépensait 10 francs sur les machines à sous. Pas plus. Un soir, elle osa 20 francs et comble de bonheur, elle voit tomber une manne plus de 150 francs. Elle décida d’arrêter de jouer car me dit t’elle encore ‘…Jit ouni béch nerbah teoue je suis gagnante, khou zouz fi aineem… ! Je suis venue pour gagner….. Maintenant que j’ai ramassé le pactole j’arrête, deux index dans leurs yeux… ! Depuis, elle s’est faite accompagnatrice de ses amies au casino sans plus rien miser.
A son retour, je lui demande si elle passé un mois agréable. Elle me répond, ‘…Khit nous avons eu que du mauvais temps… !’ Renseignement pris auprès d’autres estivants, il faisait une chaleur infernale. C’est que ma tante a peur de l’œil.
Il a de quoi la prendre de l’œil surtout que ma tante passe pour une femme très prés de ses sous.
Aujourd’hui ma tante après des années juanistes passent ses vacances gratos auprès de son gendre en Israël, trois mois. Il possède un très beau pavillon avec piscine et là encore ‘…Alors ma tante, et ses vacances auprès de ta fille…. !’ Tu sais Bébert, il n’y a pas mieux que son chez soi… !’
Surtout lorsqu’on habite un HLM à TELEGRAPHE et mettre un OEIL dehors est risqué.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 03 septembre 2011, 12:38 |
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JUAN LES PINS LA HNINA.
Pardon mes amis pardon, du mloins pour ce qu'il en reste, juste un strapontin parmi vous. Je ne vous demande pas de m’installer dans un rock ing chaire mais même un sceau en plastic retourné bien sur, me convient. Pour vous narrer qqs péripéties sur JUAN LES PINS d’avant.
Donc entouré par vous sous un lampion vétuste, important la vétusté, ca fait parti de l’atmosphère, car les goulettois ont tjs été humbles. Me voilà aujourd’hui devenu vétuste ( on judéo-arabe on dit MTA ÂÂM CACAH… !’ Je répondrai à ceux qui pensent que je suis ‘…UN CACAHIEN…. !’ ‘ … MAHSSOUB… ! YE BASSAS…!’
Bon, je reconnais qu’ avec l’âge, mes souvenirs sentent la naphtaline mais certains ne les connaissent pas. Et même ceux qui les découvrent sont heureux de les remettre au gout du jour. Qu’est ce qu’on va raconter brabi, des choses intimes dés premiers jours de notre jeunesse, des choses périmées par la force des choses, qui d’entre nous va dévoiler ces intimités… ? Personne alors que, dévoiler ses souvenirs de jeunes hommes, de jeunes filles ne portent du tort à personne tant que l’intimité est sauve gardée.
Les jeunes filles de cette époque, devenues depuis longtemps mamans et grandes mamans, n’oseront jamais parler de leur premier baiser à 16 ans, jamais. Ca fait provoc parce que si le mari d’aujourd’hui s’aperçoit qu’il n’était pas celui de la première fois, le vieux papi traitera sa femme de menteuse et de ‘boutana’ à 90 ans et j’imagine la suite surtout chez les italiens. Passe encore pour les époux juufs plus tolérants en la matière.
Chez les juifs, les femmes savent comment s’y prendre ‘….Pourquoi, tu crois que ta maman n’a pas fait une enquête sur moi… ?’ Et puis c’est moi qui suis venue te chercher… ? Rappelle toi, tu es venue avec ta mère me demander la main, j’ai dis oui après une semaine de réflexion… ! Si ce n’est pas ma mère qui m’a poussée à te prendre parce que tu étais bijoutier et riche, j’aurai épousé un médecin… !’ C’est lamentable que de forcer une jeune fille à épouser un riche bijoutier.
Et puis à force d’entrée en matière, je vais rater le vif du sujet à savoir JUAN LES PINS LA HNINA.
Donc après RIMINI, nos familles juives, dont je fais partie, se sont ruées sur la perle de la cote d’azur.
Cannes et Antibes pour les mieux lotis, JUAN pour les indigents. Là encore, les locations sont passées du simple au triple au grand bonheur des propriétaires français qui ont vu venir la manne. Les juifs sont la manne et là où ils vont les commerces voient leur chiffre d’affaire grossirent.
Cantonnées d’abord dans les rues adjacentes au tout début, elles ont par la suite louées face mer dans des studios magnifiques. Avec digicodes et ascenseurs. Du balcon, nos mamans et papas kiffaient la belle life. J’en ai fait partie. Et cela durant 7 ans, fidèle comme l’heure d’une montre helvète, nous étions dix personnes à nous partager 30 m2. A l’insu du proprio pour la modique somme de 20 000 frs mois.
‘…Où vas-tu habiter cette année Marcelle…. ?
‘…Au NEPTUNIA avec une belle vue sur la ROUE DE LA FORTUNE… !’
La grande référence de JUAN, c’est le NEPTUNIA. En bas, le café du même nom où nos belles femmes de l’ancien Belleville étalaient leurs charmes à toutes les heures de la journée.
JUAN c’est une grande avenue principale le BD WILSON où passent du matin au soir cent mille voitures, toutes races et origines confondues. Un boucan du diable et des nuages de fumée à cacher l’horizon et les étoiles vous donne l’envie de fermer toutes les portes fenêtres.
JUAN c’est les cafés /bars/restaurant où chacun avait ses habirudes. JUAN c’est les grandes parties de belotte et de rami poker où l’argent ne se voyait pas mais était comptabilisé sur des petits carnets à souche.
Ma tante Poupée, grande fan de JUAN dés années durant était conquise par cette belle cité. Là encore, elle adorait se dorer sur les transats chèrement payés jusqu’au jour où son gendre s’installa à NATANIA, comme je l’ai dis bien avant. Elle avait ses habitudes, café en bas de chez elle, plage à midi, re-plage après midi et casino le soir. Une vie de rêve durant un mois.
Elle arrivait par le train avec sa famille, trainant les valises de la gare à l’appartement. Nous nous y allions en voiture, une 404 familiale, immatriculée à Tunis. La première année, mon frère très inspiré, nous loua au Canet, c'est-à-dire à 15 km de Juan l’ambiance. Tous les jours ce fut une tannée, le parcours du combattant n’est rien sur ce qu’on a vécu. Partis à 11 onze heures, nous arrivions à 13 heures à Juan à cause des bouchons. Un mois de galère. Et le soir la triha du retour et les querelles pour nous habiller et nous coiffer chic choc pour aller danser au WROOM WROOM. La boite branchée où les petits voyous des alentours venaient provoquer nos jeunes juifs et juives étincelants de charme et de beauté.
Ce que j’oubliais de vous dire c’est que c’était la première fois que des zoulous comme nous débarquions au CANET avec armes et bagages. Je vous explique, croyant trouver l’appartement vide de tout, nous avons colporté sur le porte bagage de la vielle teuf teuf, la galerie, tous les ustensiles de la maison de la Goulette, assiettes, couverts, marmites, réchauds etc…Il ne manquait que les canouns et les frigos.
Avec en plus la crainte de ne pas trouver des sommiers. Heureusement la maison à deux pièces avait tout le confort. Donc nous n’avons rien déballé et nous circulions sur la croisette avec notre vaisselle etc le tout caché par une grande bâche bleue. Et pour corser le tout, nous avons eu le privilège de nous garer avec tout cet attirail entre deux belles limousines garées à proximité du GRAND CASINO DE CANNES.
Une famille juive tunes venue pour la première fois en villégiature en France et sortie d’un pays sous développé ne change pas ses habitudes par précaution.[/color]
JUAN LES PINS LA HNINA.
Pardon mes amis pardon, du mloins pour ce qu'il en reste, juste un strapontin parmi vous. Je ne vous demande pas de m’installer dans un rock ing chaire mais même un sceau en plastic retourné bien sur, me convient. Pour vous narrer qqs péripéties sur JUAN LES PINS d’avant.
Donc entouré par vous sous un lampion vétuste, important la vétusté, ca fait parti de l’atmosphère, car les goulettois ont tjs été humbles. Me voilà aujourd’hui devenu vétuste ( on judéo-arabe on dit MTA ÂÂM CACAH… !’ Je répondrai à ceux qui pensent que je suis ‘…UN CACAHIEN…. !’ ‘ … MAHSSOUB… ! YE BASSAS…!’
Bon, je reconnais qu’ avec l’âge, mes souvenirs sentent la naphtaline mais certains ne les connaissent pas. Et même ceux qui les découvrent sont heureux de les remettre au gout du jour. Qu’est ce qu’on va raconter brabi, des choses intimes dés premiers jours de notre jeunesse, des choses périmées par la force des choses, qui d’entre nous va dévoiler ces intimités… ? Personne alors que, dévoiler ses souvenirs de jeunes hommes, de jeunes filles ne portent du tort à personne tant que l’intimité est sauve gardée.
Les jeunes filles de cette époque, devenues depuis longtemps mamans et grandes mamans, n’oseront jamais parler de leur premier baiser à 16 ans, jamais. Ca fait provoc parce que si le mari d’aujourd’hui s’aperçoit qu’il n’était pas celui de la première fois, le vieux papi traitera sa femme de menteuse et de ‘boutana’ à 90 ans et j’imagine la suite surtout chez les italiens. Passe encore pour les époux juufs plus tolérants en la matière.
Chez les juifs, les femmes savent comment s’y prendre ‘….Pourquoi, tu crois que ta maman n’a pas fait une enquête sur moi… ?’ Et puis c’est moi qui suis venue te chercher… ? Rappelle toi, tu es venue avec ta mère me demander la main, j’ai dis oui après une semaine de réflexion… ! Si ce n’est pas ma mère qui m’a poussée à te prendre parce que tu étais bijoutier et riche, j’aurai épousé un médecin… !’ C’est lamentable que de forcer une jeune fille à épouser un riche bijoutier.
Et puis à force d’entrée en matière, je vais rater le vif du sujet à savoir JUAN LES PINS LA HNINA.
Donc après RIMINI, nos familles juives, dont je fais partie, se sont ruées sur la perle de la cote d’azur.
Cannes et Antibes pour les mieux lotis, JUAN pour les indigents. Là encore, les locations sont passées du simple au triple au grand bonheur des propriétaires français qui ont vu venir la manne. Les juifs sont la manne et là où ils vont les commerces voient leur chiffre d’affaire grossirent.
Cantonnées d’abord dans les rues adjacentes au tout début, elles ont par la suite louées face mer dans des studios magnifiques. Avec digicodes et ascenseurs. Du balcon, nos mamans et papas kiffaient la belle life. J’en ai fait partie. Et cela durant 7 ans, fidèle comme l’heure d’une montre helvète, nous étions dix personnes à nous partager 30 m2. A l’insu du proprio pour la modique somme de 20 000 frs mois.
‘…Où vas-tu habiter cette année Marcelle…. ?
‘…Au NEPTUNIA avec une belle vue sur la ROUE DE LA FORTUNE… !’
La grande référence de JUAN, c’est le NEPTUNIA. En bas, le café du même nom où nos belles femmes de l’ancien Belleville étalaient leurs charmes à toutes les heures de la journée.
JUAN c’est une grande avenue principale le BD WILSON où passent du matin au soir cent mille voitures, toutes races et origines confondues. Un boucan du diable et des nuages de fumée à cacher l’horizon et les étoiles vous donne l’envie de fermer toutes les portes fenêtres.
JUAN c’est les cafés /bars/restaurant où chacun avait ses habirudes. JUAN c’est les grandes parties de belotte et de rami poker où l’argent ne se voyait pas mais était comptabilisé sur des petits carnets à souche.
Ma tante Poupée, grande fan de JUAN dés années durant était conquise par cette belle cité. Là encore, elle adorait se dorer sur les transats chèrement payés jusqu’au jour où son gendre s’installa à NATANIA, comme je l’ai dis bien avant. Elle avait ses habitudes, café en bas de chez elle, plage à midi, re-plage après midi et casino le soir. Une vie de rêve durant un mois.
Elle arrivait par le train avec sa famille, trainant les valises de la gare à l’appartement. Nous nous y allions en voiture, une 404 familiale, immatriculée à Tunis. La première année, mon frère très inspiré, nous loua au Canet, c'est-à-dire à 15 km de Juan l’ambiance. Tous les jours ce fut une tannée, le parcours du combattant n’est rien sur ce qu’on a vécu. Partis à 11 onze heures, nous arrivions à 13 heures à Juan à cause des bouchons. Un mois de galère. Et le soir la triha du retour et les querelles pour nous habiller et nous coiffer chic choc pour aller danser au WROOM WROOM. La boite branchée où les petits voyous des alentours venaient provoquer nos jeunes juifs et juives étincelants de charme et de beauté.
Ce que j’oubliais de vous dire c’est que c’était la première fois que des zoulous comme nous débarquions au CANET avec armes et bagages. Je vous explique, croyant trouver l’appartement vide de tout, nous avons colporté sur le porte bagage de la vielle teuf teuf, la galerie, tous les ustensiles de la maison de la Goulette, assiettes, couverts, marmites, réchauds etc…Il ne manquait que les canouns et les frigos.
Avec en plus la crainte de ne pas trouver des sommiers. Heureusement la maison à deux pièces avait tout le confort. Donc nous n’avons rien déballé et nous circulions sur la croisette avec notre vaisselle etc le tout caché par une grande bâche bleue. Et pour corser le tout, nous avons eu le privilège de nous garer avec tout cet attirail entre deux belles limousines garées à proximité du GRAND CASINO DE CANNES.
Une famille juive tunes venue pour la première fois en villégiature en France et sortie d’un pays sous développé ne change pas ses habitudes par précaution.[/color]
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 03 septembre 2011, 13:04 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 704 |
NOTRE DETTE.
Notre gouvernement en manque de recettes a décidé de taxer les SODAS. Sans parler de l’essence et des cigarettes qui ne rapportent pas encore assez aux caisses de l’état.
L’orangina, le coca le shweeps et toutes les boissons sucrées, très mauvaises pour les diabétiques vont voir leurs prix augmenter. Les niches aussi. Je n’en ai pas à part celle de mon chien, encore heureux que la sienne échappe à cette taxation, peut être un jour. Le chewing gum sucré sera aussi sur la liste. Les fruits sucrés ne sont pas à l’ordre du jour mais ca viendra. Idem pour les gâteaux et les bonbons.
Considérés comme des produits de luxe, nos canettes et nos maisons secondaires, pauvres de nous, se trouvent dans le collimateur de Bercy. Le gouvernement n’ait pas en manque d’idées. Il en a et même beaucoup. Nos grands chefs des entreprises, solidaires dans cette démarche citoyenne, ils n’ont pas perdu bcp de temps pour montrer leur solidarité, ont signé une pétition pour payer plus. Mais qu’est ce donc qqs milliers d’euros par rapport à ce qu’ils engrangent comme bénéfice par an. Une goutte d’eau dans leur océan à fric.
J’ai donc décidé de boycotter les sodas sucrés ou pas. Après tout le boycott est à la mode alors pourquoi m’en priver. Je vais boycotter la baguette et le fromage sucré, les pommes de terre, la viande, le poisson et tous les agrumes et maraichers avant que cela ne viennent. Car voyez vous si nous avalons la pilule des sodas et autres petits ingrédient autant prendre les devant et économiser sur tout. Il y va de notre pouvoir d’achat cher à SARKO.
Le gouvernement ne va pas en rester là croyant mon expérience de vieux économistes. Pourquoi ne pas remettre la vignette auto… ? C’est plus attrayant que d’augmenter les sodas. Et ca rapporte gros.
Je propose au gouvernement de plancher sur d’autres taxes plus rentables par exemple le droit au sommeil. Taxer ce qui ronfle. Oui ca dérange, c’est nuisible surtout que mon voisin d’en haut, enregistrement pour preuve, ne fait que cela du matin au soir.
Pourquoi ne pas taxer les grosses pointures, ceux qui chaussent du 44… ? Les idées ne manquent pas et je suis sur que notre balance d’ici deux ans sera excédentaire. Nous allons pas quand même laisser notre pays si cher à nos yeux sombrer dans les déficits chroniques. Tiens, l’armée de terre par exemple pourrait bien faire l’économie de deux ou trois tanks, la marine de deux ou trois destroyers ou frégate de TAIWAN, l’aviation de deux ou trois RAFALES… ! Au lieu de lancer une ARIANE tous les deux ans, une seule suffit tous les cinq ans. Et nous au lieu de rouler comme des malades avec nos voitures, empruntons les moyens de transport.. ? Enfin, lorsqu’il faut se serrer la ceinturon, il n’y pas mieux que de maigrir et soulager le poids de nos dettes. Il y va de notre survie.
Un pays riche comme le notre se doit de montrer l’exemple.
En attendant, je vais retirer tous mes avoirs du LCL. La crise va nous laisser sur le carreau.
Pensez y enfin et cessez de jouer aux RICHARDS.
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