|
|
LE PTB ET MOI ZOUZ.
Envoyé par albert
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 01 juin 2012, 10:56 |
MES CULOTTES ET MES MARCEL SECHAGE. E'li yecrani wi habli él douni.
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 01 juin 2012, 11:00 |
ABRI ANTI ATOMIQUE DANS L' APPARTEMENT DE L AMIE DE ELSA...PLACE JUSTE EN HAUT DU WC. POUR Y ACCEDER IL FAUT METTRE LES PIEDS SUR LA CUVETTE. EN PLUS LA PETITE PORTIERE NE SE FERME PAS. DEMOUCH.
TOUTE REPRODUCTION INTERDITE. HATATI.
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 01 juin 2012, 11:07 |
PATRICIA est une amie de Elsa qui m'a loué son appartement.
NOUVEAU MODELE DE HANOUKIA ISRAELIENNE. NOUVELLE TENDANCE. Elles sont toutes accrochées dérrière les portes, pour allumer les méches se munir d'un escabeau. Hatati.
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 02 juin 2012, 14:53 |
PAR BREITOU FLEMARION.
Un bout de mer coincé entre deux bouts de pierres.
Je pousse les volets roulants de la fenêtre de ce grand salon,
Un appartement situé au cinquième étage, une belle occasion
Louée par l’intermédiaire d’une amie pleine de perfection, d’affection,
Qui m’a coute beaucoup moins cher qu’un hôtel en cette saison.
Un bout de mer coincé entre deux bouts de pierres.
Un bout de mer placé entre ciel et terre et beaucoup d’air.
Passent par-dessus, les nuages d’été ou de printemps.
Et le vent son ami mène au large mes soucis.
Passent au-dessus les vols fous des martinets.
Et les pigeons roucoulent sur les bords des terrasses.
Deux bouts de murs encadrent cette merveille
Deux bouts de murs gris encadrent cette vue.
Et mes culottes et mes marcels flottent au vent.
Et par mes yeux ‘bleuis’ par ce décor,
Éblouis ils portent au loin mon regard
Vers cet horizon plein d’espoir.
Soufflant par moment un nuage gris*, par-dessus les rebords, * fumée de ma clope.
Par-dessus des cordes, par-dessus des nippes qui sèchent
Au vent et au soleil présent levant ou couchant.
Un plan de mer bleu souvent agité par le vent d’ouest
Et caresse ma peau tannée Tannée sous le soleil d’Eretz,
Coincé entre deux pans gris, il m’rappelle mon pays.
Ce pays d’où je viens mais qui est bien loin, celui de mon chez moi
M’envoie d’p’tits échos que seuls de beaux échos remplis d’émois,
Ils m’ font oublier à mon grand regret les larmes
Que j’ai versé lorsque je l’ai quitté avec armes
Et bagages et bien sage dans mon entre deux âges
Et malgré les vicissitudes j’en garde de belles pages
Dans ma solitude qui n’est plus.
Elle* a un bout de mer bleu * Elsa.
Qui s’offre à tes yeux, ma chère Patricia,
Un pan de mer plat piégé entre un bout de mur rose
Et un coin de mur…. Blanc.
Je pousse les volets roulants de la fenêtre de ce grand salon,
Un appartement situé au cinquième étage, une belle occasion
Louée par l’intermédiaire d’une amie pleine de perfection, d’affection,
Qui m’a coute beaucoup moins cher qu’un hôtel en cette saison.
Un bout de mer coincé entre deux bouts de pierres.
Un bout de mer placé entre ciel et terre et beaucoup d’air.
Passent par-dessus, les nuages d’été ou de printemps.
Et le vent son ami mène au large mes soucis.
Passent au-dessus les vols fous des martinets.
Et les pigeons roucoulent sur les bords des terrasses.
Deux bouts de murs gris encadrent cette vue.
Et mes culottes et mes marcels flottent au vent.
Éblouis ils portent au loin mon regard
Vers cet horizon plein d’espoir.
Soufflant par moment un nuage gris*, par-dessus les rebords, * fumée de ma clope.
Par-dessus des cordes, par-dessus des nippes qui sèchent
Au vent et au soleil présent levant ou couchant.
Et caresse ma peau tannée Tannée sous le soleil d’Eretz,
Coincé entre deux pans gris, il m’rappelle mon pays.
Ce pays d’où je viens mais qui est bien loin, celui de mon chez moi
M’envoie d’p’tits échos que seuls de beaux échos remplis d’émois,
Ils m’ font oublier à mon grand regret les larmes
Que j’ai versé lorsque je l’ai quitté avec armes
Et bagages et bien sage dans mon entre deux âges
Et malgré les vicissitudes j’en garde de belles pages
Dans ma solitude qui n’est plus.
Elle* a un bout de mer bleu * Elsa.
Qui s’offre à tes yeux, ma chère Patricia,
Un pan de mer plat piégé entre un bout de mur rose
Et un coin de mur…. Blanc.
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 03 juin 2012, 03:21 |
Une mère rentre dans la chambre de sa fille qu’elle trouve vide. Sur le lit une lettre.
Elle imagine le pire en ouvrant la lettre:
« Ma Maman chérie, Je suis désolée de devoir te dire que j’ai quitté la maison pour aller vivre avec mon copain.
Il est l’amour de ma vie.
Tu devrais le voir, il est tellement mignon avec tous ses tattoos, son piercing et sa super moto.
Mais ce n’est pas tout ma petite maman chérie.
Je suis enfin enceinte et Abdoul dit que nous aurons une vie superbe dans sa caravane en plein milieu des bois.
Il veut beaucoup d’enfants avec moi, c’est mon rêve aussi.
Je me suis enfin rendu compte que la marijuana est bonne pour la santé et soulage les maux.
Nous allons en cultiver et en donner à nos copains lorsqu’ils seront à court d’héroïne et de cocaïne pour qu’ils ne souffrent pas.
Entre-temps, j’espère que la science trouvera un remède contre le sida pour qu’Abdoul aille mieux.
Il le mérite vraiment tu sais.
Ne te fais pas de soucis pour moi maman, j’ai déjà 13 ans, je peux faire attention à moi toute seule et le peu d’expérience qui me manque, Abdoul peut le compenser avec ses 44 ans.
J’espère pouvoir te rendre visite très bientôt pour que tu puisses faire la connaissance de tes petits enfants.
Mais d’abord je vis avec Abdoul chez ses parents en caravane pour que nous puissions nous marier.
Comme ça ce sera plus facile pour lui pour son permis de séjour.
Ta fille qui t’aime.
PS : Je te raconte des idioties maman, je suis chez les voisins ! Je voulais juste te dire qu’il y a des choses bien pires dans la vie que le bulletin scolaire que tu trouveras sur ta table de nuit. »
Je t’aime
Elle imagine le pire en ouvrant la lettre:
« Ma Maman chérie, Je suis désolée de devoir te dire que j’ai quitté la maison pour aller vivre avec mon copain.
Il est l’amour de ma vie.
Tu devrais le voir, il est tellement mignon avec tous ses tattoos, son piercing et sa super moto.
Mais ce n’est pas tout ma petite maman chérie.
Je suis enfin enceinte et Abdoul dit que nous aurons une vie superbe dans sa caravane en plein milieu des bois.
Il veut beaucoup d’enfants avec moi, c’est mon rêve aussi.
Je me suis enfin rendu compte que la marijuana est bonne pour la santé et soulage les maux.
Nous allons en cultiver et en donner à nos copains lorsqu’ils seront à court d’héroïne et de cocaïne pour qu’ils ne souffrent pas.
Entre-temps, j’espère que la science trouvera un remède contre le sida pour qu’Abdoul aille mieux.
Il le mérite vraiment tu sais.
Ne te fais pas de soucis pour moi maman, j’ai déjà 13 ans, je peux faire attention à moi toute seule et le peu d’expérience qui me manque, Abdoul peut le compenser avec ses 44 ans.
J’espère pouvoir te rendre visite très bientôt pour que tu puisses faire la connaissance de tes petits enfants.
Mais d’abord je vis avec Abdoul chez ses parents en caravane pour que nous puissions nous marier.
Comme ça ce sera plus facile pour lui pour son permis de séjour.
Ta fille qui t’aime.
PS : Je te raconte des idioties maman, je suis chez les voisins ! Je voulais juste te dire qu’il y a des choses bien pires dans la vie que le bulletin scolaire que tu trouveras sur ta table de nuit. »
Je t’aime
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.
