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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
10 février 2015, 11:29
yosseph a écrit:
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> "Alors quel est l’endroit tranquille, apaisant
> pour éviter la fatalité … En France….??? "
>
> Cher ami, l'endroit tranquille, c'est a cote
> d'Achem!!!
> Pourquoi dit on " ici repose",parceque c'est le
> seul endroit tranquille' commele disait Meme
> Handouda " la bas, la bas on se repose.
>
> Ces jeunes partis a la fleur de l'age sont aux
> cotés d'Achem, ils sont plus tranquilles qu'ici
> bas.

C'est une reponse qui m'amene a poser une question de bon sens
Oui pourquoi nous faire venir ici si ;la bas on est tranquille ????
A la rigueur ce genre de raisonnement pourrait justifier certains suicides collectifs ;;ou pas????


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
11 février 2015, 02:45
"Oui pourquoi nous faire venir ici si ;la bas on est tranquille ????"

Une reponse parmi d'autres: On nous fait venir ici pour executer une tache qui nous permetra de nous elever et de nous raprocher d'Achem, ou alors de la completer si on n'a pu le faire dans une vie antecedante .
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
11 février 2015, 03:23
Mnih belle analyse lol....spinning smiley sticking its tongue out
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
11 février 2015, 03:23
Vu de haut la Goulette ressemble à une tête d’épingle. Un petit trou de serrure de porte que beaucoup se sont introduits sans ouvrir la porte.

Stupéfaction de ceux et celles qui sont entrés, ils/elles ont découvert une espèce d’individus un peu hors normes.

Non pas des zoulous mais des relous un peu disjonctés, naturels, bavards, aimants, conviviaux aptes à toutes les conneries quand ils se retrouvent en bande, moqueurs les uns vis-à-vis des autres, heureux de cela, des personnages qui blatèrent, qui bluffent, qui se prennent au sérieux, goguenards à souhaits, équilibristes qd ils veulent sortir de situations délicates, charmeurs, blagueurs bref tout pour plaire.

Plus on se rapproche de la lucarne et plus on se rapproche de ces gens qui se plaisent à se raconter d’une façon qui ne permet aucun défi. Soit tu es avec soit tu es anti…C’est le jugement le plus simpliste qui soit pour ceux et celles qui les ont connus. Le juste milieu, ils ne le connaissent pas.

Ils rapportent souvent la faute à l’autre, tjs innocents et jamais fautifs.
La force de ces goulettois, c’est d’être persuasifs. Ils se persuadent d’être le nombril du monde alors que nous ne représentions que 0,0000 1 de la population.

Allez savoir pourquoi.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
13 février 2015, 02:38




La vieillesse goulettoise.

Amor moi…§§§ por favore… §§§§

Après la jeunesse goulettoise qui a eut de très bons jours, nous voilà dans la vieillesse.

Cette vieillesse qui nous rajeunit encore tant notre nostalgie reste fraiche.

Nous refusons de vieillir parce que vieillir c’est plus tard la sénilité…Il n’y a que l’âtre du souvenir qui entretient la mémoire.
Cette chaleur qui grandit en nous à mesure que nous avançons dans le temps.

Se revoir jeunes c est refuser l’état actuel que nous vivons. L’esprit se ressource par sa mémoire, c’est une thérapie qui nous fait oublier ce que nous allons devenir plus tard.

Entendons nous bien, sauvegarder cette mémoire d’avant, elle nous ressuscite à chaque instant.

Je n’ai pas l’âge que j’ai, j’ai l’âge que je veux.
20 ANS.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
14 février 2015, 09:00
La colère du Général

ou

La diatribe du grand Charles

La scène se passe au paradis :

Sur un petit nuage Yvonne tricote, assise sur un pliant.

Elle voit arriver le général, titubant, la mine défaite, prêt à défaillir.

Après quelques pas, il s’effondre à ses côtés dans un fauteuil (ou un transat)

Yvonne :

Depuis que de Saint Pierre vous eûtes permission

De retourner sur Terre ausculter la Nation

Sur ce petit pliant j’attends votre venue...

Mais je lis dans vos yeux une déconvenue !

Parlez-moi sans tarder de celle qui toujours

Fut jadis avec moi l’objet de vos amours...

Le général :

Vous voulez dire France à qui j’ai voué ma vie,

Ne cachons point son nom ! Je vous sais gré, Mamie

(Malgré les embarras, les peines, les tracas

Qu’elle a pu vous donner et dont je fais grand cas !)

Pendant aussi longtemps de l’avoir tolérée.

Yvonne :

Eh bien ?

Le général :

Eh bien Madame, elle est défigurée !

Yvonne :

Charles, je compatis, c’est une peine extrême

De voir les traits meurtris d’une femme qu’on aime

Elle a vieilli sans doute...

Le général :

Oh, ce n’est pas cela !

Il m’en faudrait bien plus pour être en cet état.

Je ne m’attendais pas à la revoir pucelle !...

Mais on peut décliner… sans cesser d’être belle !

Si le corps en hiver n’est plus à son printemps

L’âme de l’être aimé sait résister au temps !

Yvonne :

C’est donc son âme ?

Le général :

Hélas ! Si je n’étais au ciel

Près de vous, à l’abri des chocs existentiels

Ce que j’ai vu m’aurait donné le coup de grâce !

Yvonne :

Mais qu’avez vous donc vu ? Vos silences me glacent !

Le général :

France, mère des Arts, des Armes et des Lois...

Ô Dieu, l’étrange peine ! Et quel affreux émoi !

Quelle désillusion, quelle désespérance,

De revoir sa maitresse en telle déshérence !

Yvonne :

Mais encore, précisez… je reste sur ma faim !

Vous me turlupinez ! Qu’avez-vous vu enfin ?

Le général :

J’ai vu, j’ai vu, Oh ciel ! J’ai vu... Comment vous dire...

Comment bien s’exprimer quand on a vu le pire ?

J’ai vu le Titanic s’abîmer dans les flots

Et son grand timonier repeindre les hublots !

J’ai vu un président, la cravate en goguette,

L’air niais, regard flou et la mine défaite,

Un casque sur le chef, juché sur un scooter !

(On avait dû lui dire : il faut sortir couvert !)

Vous voyez le tableau ! Oh, madame, j’ai honte

De certifier pour vrai tout ce que je raconte !

C’est la chienlit, vous dis-je et pas qu’en les faubourgs !

Comme ce fut le cas quand nous jouissions du jour

Mais dans le Saint des Saints, au cœur de l’Etat même

Où tout devrait baigner dans un accord extrême.

J’ai vu des gouvernants qui ne gouvernent rien…

Et un peuple hébété les traiter de vauriens !

J’ai vu des ministrons se tirer dans les pattes

Plus diviser entre eux que ne sont les Carpates !

J’ai vu, comme jadis, tous ces «politichiens»

Se disputer leur os, hargneux comme des chiens.

J’ai vu dans la maison où j’ai régné dix ans

Un orchestre amateur gratter ses instruments

Dans la cacophonie ! Et dans ce grand bazar

Le moindre palotin se prendre pour César :

L’un fraîchement nommé, jouant les petits saints,

S’exonérer d’impôts et trouver ça très bien !

L’autre, obscur conseiller, quérir à son de trompe

Un larbin stipendié pour lui cirer les pompes !

Geste surréaliste au temps qui fut le mien !

Mais j’allais oublier, et là, tenez vous bien !

Pour couronner le tout, j’ai vu, (serrez les cuisses !)

Le gardien du budget planquer son fric en Suisse !

Yvonne :

N’êtes-vous point sévère avec ces jeunes gens

Tout fiers d’avoir acquis un certain entregent ?

Ces nouveaux Rastignac jadis vous faisaient rire

Et ne vous mettaient pas dans une telle ire !

Nous connûmes souvent et du temps de nos rois

Nombre de grands coquins qui s’exemptaient des lois

Et même pour certains sombraient dans la débauche !

Le général :

Mais aucun de ceux-là ne se disait de gauche !

Alors que ces pignoufs, sinistres polissons,

Se pavanent le jour en donnant des leçons !

Je me suis renseigné sur l’histoire récente

Pour comprendre un peu mieux ces façons indécentes,

Et qu’ai-je appris Grand Dieu ?... Mille calamités

Sur un gouvernement qui semble tout rater !

Depuis plus de deux ans, on s’agite, on spécule !

Ce qu’on avance un jour, ensuite on le recule,

Dans un rythme effréné qui donne le tournis…

Ça n’est plus du tango, c’est danse de Saint Guy !

Le peuple abasourdi par ces folles pratiques

Ne voit pour l’avenir que funestes musiques !

Il s’agite à son tour, ployant sous les impôts,

Résiste à tout diktat, discute à tout propos,

Tire à hue et à dia et renverse la table !

Yvonne :

Un peuple ingouverné devient ingouvernable !

Le général :

Je confirme et j’illustre, écoutez bien ceci,

C’est un tableau d’en bas que je vous fais ici :

A-t’on pris décision dans les formes légales

Que l’on voit illico se former des cabales !

L’un met un bonnet rouge et l’autre un bonnet vert

En prétendant agir au nom de l’Univers !

Quelques illuminés ou quelques fous furieux

Hurlent en vomissant des slogans injurieux,

Pillent les magasins, éructent, gesticulent,

Cassent trois abribus !... Et le pouvoir recule !!!

Yvonne :

Mais que fait la Police et que font les Gendarmes ?

Le général :

Le moins possible hélas ! Ils ont du vague à l’arme !

Car si par aventure on coffre un malfaisant

C’est la Garde des Sceaux qui porte les croissants !

Les socialos naïfs rêvent dans les nuages,

Se bercent d’illusions dans leurs lits d’enfants sages !

Confrontés au réel, ancrés dans le déni,

Ils sont tout étonnés quand ils tombent du nid !

Les jeunes snobinards, que bobos on appelle,

Vitupèrent la droite en faisant bien pis qu’elle !

Les tribuns de la plèbe agitent leurs grelots :

L’un veut saigner Neuilly pour nourrir le prolo,

L’autre clame à grands cris qu’il faudrait tout secouer

En virant les négros, les bicots, les niaquoués !

Et les deux réunis proposent des programmes

Qui traduisent à plat leur encéphalogramme.

Yvonne :

Mais où sont les anciens ? Gaullistes et Cocos !

Qui, eux, savaient pousser de grands cocoricos !

Le général :

Leur QG moscovite ayant pété les câbles,

Les Cocos d’autrefois sont quasi introuvables !

Yvonne :

Bonne nouvelle, au gué ! Tout espoir n’est pas mort !

Souvenez-vous du temps où ils étaient si forts !

Plus de Rouges enfin, en travers de la route !

Mais la race est teigneuse... il en reste, sans doute ?

Le général :

Oui, vous avez raison, ce sont de grands pervers...

Les derniers survivants se font repeindre en vert !

Quant à nos vieux amis gaullistes de baptême,

On fleurit leur logis, avec des chrysanthèmes...

C’est leurs petits-neveux qui piaillent à présent,

Et se bouffent le nez pour occuper leur temps !

L’un d’eux, le plus remuant, habile en artifices

Se débat aujourd’hui dans les Cours de Justice.

Je crains pour mon malheur, avoir œuvré en vain,

Mon costume est trop grand pour habiller ces nains !

Yvonne :

Oubliez tout ceci, laissons la politique

Qui vous fait enrager et tourner en bourrique.

Parlons d’autres sujets plus gais et plus légers,

Des lieux que j’ai connus... Paris a-t’il changé ?

Le général : (redevenant plus calme)

Heureusement, pas trop. On reconnait la ville,

J’ai pu me promener jusqu’à St Louis en l’île.

Pompidou, un peu snob, pour marquer son séjour,

Fit une usine à gaz au quartier de Beaubourg.

Giscard n’a rien cassé… c’est déjà quelque chose !

Mitterrand l’a suivi tenant au poing sa rose !

Mais lui, plus mégalo, se croyant pharaon

S’est plu à imiter le roi Toutankhamon.

Il sema pyramide aux parterres du Louvre,

C’est l’Egypte à présent qu’en ces lieux on découvre !

Chirac, plus primitif, a voulu, quai Branly,

Honorer les Dogons, les Peuls, les Chamboulis

À leur art, dit premier, il a su rendre hommage,

Le monument s’efface au milieu des feuillages...

Je n’ai pas retrouvé les halles de Baltard

À leur place un chantier avait pris du retard.

Et quant à l’Élysée où vous fûtes naguère,

Ce n’est plus un palais… c’est une garçonnière !

J’ai même cru comprendre, en lisant leurs canards,

Que peu s’en est fallu qu’il fût un lupanar !

Yvonne :

Un lupanar ! Grands Dieux, comment-est ce possible ?

Vous me faites plonger dans un monde indicible,

Je ne puis y songer sans trembler de dégoût,

Notre chambre à coucher annexe au «one two two !»

Le général : (qui s’échauffera progressivement)

Oui, les mœurs d’aujourd’hui connaissent quelque audace,

La contrainte est bannie et la honte fugace !

Ce qu’on cachait jadis, on l’étale à présent,

L’inverti manifeste, et la lesbienne autant !

On divorce partout : mariage... anachronique !

Sauf pour certains homos qui, eux, le revendiquent !

La déviance est très mode et ne fait plus horreur,

On l’exhibe à tout vent, mieux que Légion d’Honneur :

Le travelo s’affiche, et le camé ne cesse

De réclamer sa dose au frais de la princesse !

Le moindre hurluberlu fait son intéressant,

Quitte à montrer son cul au regard des passants !...

À quand le zoophile, à quand le coprophage ?

Yvonne :

Du calme, mon ami, modérez cet orage !

Le général :

Mais, mon cœur, laissez-moi m’expliquer plus avant,

Et vous aurez la clé de cet emportement.

Si vous aviez pu voir, même de votre rive,

Ce qu’il m’est advenu juste avant que j’arrive,

Vous auriez, c’est bien sûr, eut le souffle coupé !

Je reprends mon discours, où je l’avais laissé :

Ayant à satiété subi les psychodrames

Des gauchos, des fachos et de tous ceux qui brament,

Avant de repartir, j’ai voulu, bon époux,

Me rendre chez Chaumet vous choisir un bijou

Sur la place Vendôme. Au pied de la colonne,

Que vis-je alors, Madame ? En cent, je vous le donne !

Le sommet, m’a-t-on dit, de l’art contemporain :

Un enculoir géant en guise de sapin !

Il m’a fallu trouver le salut dans la fuite

Pour ne pas m’exposer au viol d’un sodomite !

Afin qu’il me remonte aussitôt chez les miens,

J’ai convoqué presto mon bon ange gardien !

Et c’est ainsi tremblant, et d’horreur et de rage,

Que vous me revoyez en ces nobles parages.

Yvonne :

Calmez-vous ! Les Français autrefois ont fait pis !

Et même en votre temps, vous fûtes déconfit

Par leur acrimonie et par leur inconstance,

N’ont-Ils pas, bien des fois, frôlé la décadence ?

Je me souviens d’un jour où, par eux excédé,

Vous les aviez traités, je crois, de bovidés ?

Le général :

C’est possible, en effet, dans un accès de doute

Où leur grande inertie entravait trop ma route !

Mais, Madame, aujourd’hui, ils ont fait bien plus fort !

Les Français sont des veaux, gouvernés par des porcs !

Yvonne :

Mais vous n’y pouvez rien ! Laissez à Dieu le père

Le soin de réprimer tous ces coléoptères !

C’est ainsi et c’est tout ! Le Français, français né,

Sera toujours paillard et indiscipliné,

Toujours libidineux, frondeur si nécessaire,

Arrogant, belliqueux et même téméraire,

Et cela en dépit de centaines de lois,

Car s’il n’est plus gaulliste… il demeure gaulois !

Le général : (se levant, plus détendu)

Oui, vous avez raison, j’ai tort, je m’obnubile

Et ne fais rien de mieux que m’échauffer la bile,

Laissons aux successeurs ce monde convulsif...

Et allons chez Malraux, prendre l’apéritif !

Ils sortent

NOIR




Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
15 février 2015, 00:56
Chers lecteurs, j'ai oublié de vous dire que ce texte n'est pas de moi, il est signé NOIR. Je l'ai reçu sur ma messagerie.

J'aurai pu le faire mais au vu du choix des mots, de cette legeretè dans le verbe, de cet humour décapant, bref de cette verve pleine de vérité, il est de mon devoir par honnetteté intellectuelle de vous le dire afin de ne pas passer pour un goujat...

Merci et mille excuses.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
15 février 2015, 02:47
De mes propres oreilles j'avais entendu gogaulle dire dans son discours, " l'Algerie resterraaaaaa francaise" quelque temps plus tard il signait les accords pour quitter l'Algerie contre le petrole a bas prix.La parole des politiciens!!!!!!!!!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
15 février 2015, 10:39
LA FRANCE N A QUE DES INTERETS....!!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
15 février 2015, 11:12
Mr Du Rond Point.

Mr Du Rond Point ressemble au chameau du SAF SAF.

Il a devant lui plusieurs voies et il ne sait pas laquelle choisir.
Donc il tourne en rond sans discontinuer à tel point qu’un agent de la circulation, s’aperçoit de son manège.
Il lui demande de se garer.

‘…Monsieur, vous m’avez donné le tournis, il va falloir choisir une sortie sinon si tous les automobilistes font comme vous, personne ne sortira de ce cercle vicieux…. !’

Mr…Du Rond point réfléchit.

‘…Je suis de passage à Paris et je crains de prendre la mauvaise voie… !’
‘…Dans ce cas Monsieur, je vais vous verbaliser… !’ 150 €… !
‘…Ah alors dans ce cas, je choisis de sortir… Là… !’ Et il pointe son index sur une avenue… !

Il sort prend la tangente et après qqs dizaines de mètres, il se rend compte qu’il est tombé sur une avenue sans issue.

Tout cela pour vous dire que l’indécision mène à un mur et que l’on n’en sort pas.

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