yosseph a écrit:
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> "Alors quel est l’endroit tranquille, apaisant
> pour éviter la fatalité … En France….??? "
>
> Cher ami, l'endroit tranquille, c'est a cote
> d'Achem!!!
> Pourquoi dit on " ici repose",parceque c'est le
> seul endroit tranquille' commele disait Meme
> Handouda " la bas, la bas on se repose.
>
> Ces jeunes partis a la fleur de l'age sont aux
> cotés d'Achem, ils sont plus tranquilles qu'ici
> bas.
C'est une reponse qui m'amene a poser une question de bon sens
Oui pourquoi nous faire venir ici si ;la bas on est tranquille ????
A la rigueur ce genre de raisonnement pourrait justifier certains suicides collectifs ;;ou pas????
"Oui pourquoi nous faire venir ici si ;la bas on est tranquille ????"
Une reponse parmi d'autres: On nous fait venir ici pour executer une tache qui nous permetra de nous elever et de nous raprocher d'Achem, ou alors de la completer si on n'a pu le faire dans une vie antecedante .
Vu de haut la Goulette ressemble à une tête d’épingle. Un petit trou de serrure de porte que beaucoup se sont introduits sans ouvrir la porte.
Stupéfaction de ceux et celles qui sont entrés, ils/elles ont découvert une espèce d’individus un peu hors normes.
Non pas des zoulous mais des relous un peu disjonctés, naturels, bavards, aimants, conviviaux aptes à toutes les conneries quand ils se retrouvent en bande, moqueurs les uns vis-à-vis des autres, heureux de cela, des personnages qui blatèrent, qui bluffent, qui se prennent au sérieux, goguenards à souhaits, équilibristes qd ils veulent sortir de situations délicates, charmeurs, blagueurs bref tout pour plaire.
Plus on se rapproche de la lucarne et plus on se rapproche de ces gens qui se plaisent à se raconter d’une façon qui ne permet aucun défi. Soit tu es avec soit tu es anti…C’est le jugement le plus simpliste qui soit pour ceux et celles qui les ont connus. Le juste milieu, ils ne le connaissent pas.
Ils rapportent souvent la faute à l’autre, tjs innocents et jamais fautifs.
La force de ces goulettois, c’est d’être persuasifs. Ils se persuadent d’être le nombril du monde alors que nous ne représentions que 0,0000 1 de la population.
Après la jeunesse goulettoise qui a eut de très bons jours, nous voilà dans la vieillesse.
Cette vieillesse qui nous rajeunit encore tant notre nostalgie reste fraiche.
Nous refusons de vieillir parce que vieillir c’est plus tard la sénilité…Il n’y a que l’âtre du souvenir qui entretient la mémoire.
Cette chaleur qui grandit en nous à mesure que nous avançons dans le temps.
Se revoir jeunes c est refuser l’état actuel que nous vivons. L’esprit se ressource par sa mémoire, c’est une thérapie qui nous fait oublier ce que nous allons devenir plus tard.
Entendons nous bien, sauvegarder cette mémoire d’avant, elle nous ressuscite à chaque instant.
Je n’ai pas l’âge que j’ai, j’ai l’âge que je veux.
20 ANS.
Chers lecteurs, j'ai oublié de vous dire que ce texte n'est pas de moi, il est signé NOIR. Je l'ai reçu sur ma messagerie.
J'aurai pu le faire mais au vu du choix des mots, de cette legeretè dans le verbe, de cet humour décapant, bref de cette verve pleine de vérité, il est de mon devoir par honnetteté intellectuelle de vous le dire afin de ne pas passer pour un goujat...
De mes propres oreilles j'avais entendu gogaulle dire dans son discours, " l'Algerie resterraaaaaa francaise" quelque temps plus tard il signait les accords pour quitter l'Algerie contre le petrole a bas prix.La parole des politiciens!!!!!!!!!
Il a devant lui plusieurs voies et il ne sait pas laquelle choisir.
Donc il tourne en rond sans discontinuer à tel point qu’un agent de la circulation, s’aperçoit de son manège.
Il lui demande de se garer.
‘…Monsieur, vous m’avez donné le tournis, il va falloir choisir une sortie sinon si tous les automobilistes font comme vous, personne ne sortira de ce cercle vicieux…. !’
Mr…Du Rond point réfléchit.
‘…Je suis de passage à Paris et je crains de prendre la mauvaise voie… !’
‘…Dans ce cas Monsieur, je vais vous verbaliser… !’ 150 €… !
‘…Ah alors dans ce cas, je choisis de sortir… Là… !’ Et il pointe son index sur une avenue… !
Il sort prend la tangente et après qqs dizaines de mètres, il se rend compte qu’il est tombé sur une avenue sans issue.
Tout cela pour vous dire que l’indécision mène à un mur et que l’on n’en sort pas.