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LE PTB ET MOI ZOUZ.
Envoyé par albert
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 26 novembre 2016, 13:44 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
‘…Je viens danser sur les cendres et chanter sur les herbes calcinées… !’
Lever les bras vers Hachem …Mes pieds ne sentent pas la douleur,
Des flammèches, je sens ce souffle qui m’enivre et dés demain
Mes mains seront le soc pour planter, arroser ma terre bénie,
Car sans elle, je ne serai rien…Avec mes pieds, je creuserai
Encore plus loin pour que de la terre sorte plus d’espoir qu’avant… !
Je suis SABRA…Née dans un pays qui est le MIEN et dans mon palais, je mâche
La terre qui me nourrit. .. !’
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 02 décembre 2016, 00:43 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Chez MAB’S…Bougies, neuvaines, sortilèges etc…
Madame F…..est une ancienne cliente que j’ai connue à BELLEVILLE.
Elle a bcp perdu de sa fraicheur en 23 ans là, elle doit avoir les
85 ans. Bref elle m’entretient d’un sujet qui lui tient à cœur.
Lisez tout.
‘…Albert, voilà, j’ai laissé le temps passer, pensant que tout allait s’arranger. mais hélas non, je te raconte…. !’
‘…Mais soit brève… !’
‘…Il y 400 ans, mes arrières arrières arrières arrières … !
‘…Ce n’est plus un arbre généalogique mais cela ressemble à un TGV… !’
‘…Travaillaient dans une plantation de COCOS chez des blancs très gentils qui pour gratifier Philémon mon aarriérrr …..
‘…Ok, continues… !’
‘…Lui cède qqs arpents de terre après l’indépendance de la Guadeloupe… ?’
‘…Pardon, la Guadeloupe est indépendante… ?’
‘…C'est-à-dire que la métropole française est la capitale de notre pays… ! Avant que le mètre n’arrive, le bougREmestre a envoyé ses valets pour mesurer le terrain. Ils les ont mis les une à coté des autres, et chacun d’eux a mit son coude, puis le BOUGRE-MAISTRE a compté le nombre de coudes mis au coude
à coude ce qui a donné 345,50 coudées de long et 125, 60 coudées de large… !’
‘…Des coudées franches ou virtuelles…. ? Et pourquoi les 50 et 60… ?’
‘…Y’avait un nain parmi eux…Bien sur FRANCHAISES…. !’
‘…Ok, continues…. !’
‘…Donc, tout cela étant marqué dans le cadastre, les impôts locaux ont voulu, il y a 100 ans calculer le montant de la taxe foncière bâtie en surface agraire en mètres carrés alors que mon grand père SALOMON, en 1903 a refusé, il voulait
Que cela soit calculé en coudées… Ce qui donne moins à payer…. ! Jusqu’à ce jour, nous sommes en procès avec le bouGRemaiStre qui nous impose le mètre carré et non la coudée carrée…. Donc, je suis venue te voir pour que tu me conseilles une poudre pour lui faire changer d’avis… !’
‘…Proposes lui alors ce qu’on appelle L EMJAMBEE….Ca ira plus vite que les coudées… de toutes les façons écoutes, tout cela va finir très prochainement, personne ne parlera plus de SYSTEME METRIQUE …NI COUDEES…NI EMJAMBEES…
NI LIEUX…NI FICELLES….Etc….ILS VONT CALCULER EN INCHES…. ! DANS DEUX OU TROIS ANS...!'
‘…INCHES… ???
‘…OUI…LE INCH- AALLAH…. !’ Equivaut à la mesure de DEACH… ! Il y plantera non pas des COCOS mais des TÊTES…. !’
Madame F…..est une ancienne cliente que j’ai connue à BELLEVILLE.
Elle a bcp perdu de sa fraicheur en 23 ans là, elle doit avoir les
85 ans. Bref elle m’entretient d’un sujet qui lui tient à cœur.
Lisez tout.
‘…Albert, voilà, j’ai laissé le temps passer, pensant que tout allait s’arranger. mais hélas non, je te raconte…. !’
‘…Mais soit brève… !’
‘…Il y 400 ans, mes arrières arrières arrières arrières … !
‘…Ce n’est plus un arbre généalogique mais cela ressemble à un TGV… !’
‘…Travaillaient dans une plantation de COCOS chez des blancs très gentils qui pour gratifier Philémon mon aarriérrr …..
‘…Ok, continues… !’
‘…Lui cède qqs arpents de terre après l’indépendance de la Guadeloupe… ?’
‘…Pardon, la Guadeloupe est indépendante… ?’
‘…C'est-à-dire que la métropole française est la capitale de notre pays… ! Avant que le mètre n’arrive, le bougREmestre a envoyé ses valets pour mesurer le terrain. Ils les ont mis les une à coté des autres, et chacun d’eux a mit son coude, puis le BOUGRE-MAISTRE a compté le nombre de coudes mis au coude
à coude ce qui a donné 345,50 coudées de long et 125, 60 coudées de large… !’
‘…Des coudées franches ou virtuelles…. ? Et pourquoi les 50 et 60… ?’
‘…Y’avait un nain parmi eux…Bien sur FRANCHAISES…. !’
‘…Ok, continues…. !’
‘…Donc, tout cela étant marqué dans le cadastre, les impôts locaux ont voulu, il y a 100 ans calculer le montant de la taxe foncière bâtie en surface agraire en mètres carrés alors que mon grand père SALOMON, en 1903 a refusé, il voulait
Que cela soit calculé en coudées… Ce qui donne moins à payer…. ! Jusqu’à ce jour, nous sommes en procès avec le bouGRemaiStre qui nous impose le mètre carré et non la coudée carrée…. Donc, je suis venue te voir pour que tu me conseilles une poudre pour lui faire changer d’avis… !’
‘…Proposes lui alors ce qu’on appelle L EMJAMBEE….Ca ira plus vite que les coudées… de toutes les façons écoutes, tout cela va finir très prochainement, personne ne parlera plus de SYSTEME METRIQUE …NI COUDEES…NI EMJAMBEES…
NI LIEUX…NI FICELLES….Etc….ILS VONT CALCULER EN INCHES…. ! DANS DEUX OU TROIS ANS...!'
‘…INCHES… ???
‘…OUI…LE INCH- AALLAH…. !’ Equivaut à la mesure de DEACH… ! Il y plantera non pas des COCOS mais des TÊTES…. !’
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 03 décembre 2016, 12:05 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Les héros.
Mes filles n’ont RIEN connu de ma jeunesse…. Elles ne peuvent donc pas en parler. Elles n'ont jamais vues jouer leur père sur un terrain….Elles ignorent la ferveur que nous soulevions dans les terrains de jeux autrefois.
Elles ignorent combien d’applaudissements nous avons soulevé.
Combien de nos fans, nous ont embrassé, le respect qu’on nous vouait.
Mon papa a vu ses enfants, jouer et aussi nos jeunes voisins.
Il nous suivait de partout, sans jamais rien raté de nos confrontations.
J’ai su bcp de choses par les amis de mon papa car lui, il n’en parlait pas. Seul l’ami d’un de ses amis est encore en vie. Et j’ai eu le grand plaisir de partager avec lui un repas. Car à travers cet ami, j’ai revu mon père. Comme s’il était assis là, entre nous deux.
Nous avons été, mes amis et moi des HEROS durant une bonne période
Mes filles n’ont RIEN connu de ma jeunesse…. Elles ne peuvent donc pas en parler. Elles n'ont jamais vues jouer leur père sur un terrain….Elles ignorent la ferveur que nous soulevions dans les terrains de jeux autrefois.
Elles ignorent combien d’applaudissements nous avons soulevé.
Combien de nos fans, nous ont embrassé, le respect qu’on nous vouait.
Mon papa a vu ses enfants, jouer et aussi nos jeunes voisins.
Il nous suivait de partout, sans jamais rien raté de nos confrontations.
J’ai su bcp de choses par les amis de mon papa car lui, il n’en parlait pas. Seul l’ami d’un de ses amis est encore en vie. Et j’ai eu le grand plaisir de partager avec lui un repas. Car à travers cet ami, j’ai revu mon père. Comme s’il était assis là, entre nous deux.
Nous avons été, mes amis et moi des HEROS durant une bonne période
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 03 décembre 2016, 12:06 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
L’Ami.
Un ami ce n’est pas seulement qq’un que l’on rencontre fortuitement au hasard d’un café, d’un resto, ou sur une table pour traiter une affaire.
Un ami est une personne avec qui ON tisse des liens, puis arrive le feeling.
Avec le temps. Il faut savoir garder l’ami quelque soit ses convictions.
Un ami d’enfance est un ami qui fait partie de la famille, celui là ne vous oubliera jamais et il est très important parce que c’est celui qui un jour vous rappellera à la mémoire des autres, c’est ce que je fais qd l’un de mes amis ( amies) s’absente
Pour toujours. Il est celui qui, un jour, pourra parler de lui lorsqu’un de des petits fils voudrait savoir le parcours de son papa ou de sa maman. L’ami d’enfance est donc un patrimoine précieux. Un jour, un jeune homme a voulu savoir ce qu’était son oncle à la Goulette…Je lui ai dis.
Le net, l’internet, me donne l’occasion d’avoir des amis, de part le monde.
Et, leur sincérité s’inscrit dans tout ce que l’humanité peut apporter comme bien…L’amour de l’autre quelque soit la distance.
Je ne vois ni noir, ni blanc, ni jaune, ni arabe, ni chrétien, je vois VOUS.
L’ami restera l’ambassadeur de ce que vous étiez en ce temps là.
Un ami ce n’est pas seulement qq’un que l’on rencontre fortuitement au hasard d’un café, d’un resto, ou sur une table pour traiter une affaire.
Un ami est une personne avec qui ON tisse des liens, puis arrive le feeling.
Avec le temps. Il faut savoir garder l’ami quelque soit ses convictions.
Un ami d’enfance est un ami qui fait partie de la famille, celui là ne vous oubliera jamais et il est très important parce que c’est celui qui un jour vous rappellera à la mémoire des autres, c’est ce que je fais qd l’un de mes amis ( amies) s’absente
Pour toujours. Il est celui qui, un jour, pourra parler de lui lorsqu’un de des petits fils voudrait savoir le parcours de son papa ou de sa maman. L’ami d’enfance est donc un patrimoine précieux. Un jour, un jeune homme a voulu savoir ce qu’était son oncle à la Goulette…Je lui ai dis.
Le net, l’internet, me donne l’occasion d’avoir des amis, de part le monde.
Et, leur sincérité s’inscrit dans tout ce que l’humanité peut apporter comme bien…L’amour de l’autre quelque soit la distance.
Je ne vois ni noir, ni blanc, ni jaune, ni arabe, ni chrétien, je vois VOUS.
L’ami restera l’ambassadeur de ce que vous étiez en ce temps là.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 04 décembre 2016, 00:06 |
Membre depuis : 13 ans Messages: 377 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 04 décembre 2016, 04:32 |
Membre depuis : 13 ans Messages: 377 |
Nous etions Jojo et moi assis sur le meme banc a L'ORT ARIANA et nous n'arrietons pas de rire et de plaisanter
Avec l'aide discrete de Jojo, beaucoups ont fait leur alya.
En 1970 nous avons fait notre alya et notre amité etait encore plus forte jusqu'au jour ou il nous a quitté pour un monde meilleur..
Il n'a jamais oublié de me faire un cadeau pour mon anniversaire.Voila un vrai ami!!!!
ZICRONO LE BRAHKA.
Avec l'aide discrete de Jojo, beaucoups ont fait leur alya.
En 1970 nous avons fait notre alya et notre amité etait encore plus forte jusqu'au jour ou il nous a quitté pour un monde meilleur..
Il n'a jamais oublié de me faire un cadeau pour mon anniversaire.Voila un vrai ami!!!!
ZICRONO LE BRAHKA.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 07 décembre 2016, 01:40 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 07 décembre 2016, 01:40 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
HÔPITAL ST LOUIS.
Je me présente devant la grande battisse âgée de 400 ans.
Elle porte sur certains de ces flancs qqs architectures qui l’a rend
Presque moyenâgeuse. Ici le moderne et l’ancien se côtoient tout comme se côtoient jeunes, adultes et vieillards.
Je me projette.
J’imagine un instant cette cour des miracles où tous les éclopés de Paris venaient trouver aides et soins et les nantis descendre de leur calèche.
Je franchis la barrière de sécurité en tenant ma valise, à l’intérieur
Un pyjama, deux culottes, deux Marcel, deux paires de chaussettes et une paire de mule. Maigres bagages pour un séjour de 30 heures.
J’ai oublié que mon contenant avait des roulettes.
Sur les bancs, malgré la froidure, des malades trainant leur potence.
Tous logés à la même enseigne.
Je franchis la porte vitrée qui s’ouvre automatiquement. Une douce chaleur caresse mon visage. Je traine ma valise vers l’ascenseur. Et je prie en moi, ‘…Yé rabi Hai TAIEB….En challah, nabet lebéch… !’ ( Ô ST…..Fasse
Que je reprenne le sens inverse… !’) Et ne pas dépasser le 5 iéme étage.
Parce que plus haut, je crèverai de froid.
Ma femme, mes enfants, mes petits enfants, mes frères etc me viennent à l’esprit.
Pour chacun d’eux, j’ai une pensée émue. C’est humain…..
J’appuie sur le bouton de l’étage et j’attends. Je me retrouve un étage plus bas, dans le parking, une erreur de manipulation. ‘…Merde… !’ que je me dis, je suis sous terre….Lol….Enfin, il remonte et une voix douce m’avertit enfin que je suis arrivé au 5 iéme. La porte s’ouvre et je me dirige vers l’accueil.
On me fait savoir, que je dois redescendre à l’accueil pour m’inscrire.
Je dépose ma valise dans la chambre et je redescends.
Sur place, la jeune fille me demande la CV et ma carte REUNICA de prise en charge. Je donne la CV mais j’oublie l’autre dans mon portefeuille.
Je remonte et je redescends avec le document.
Je suis bon pour le ‘tranchement de la gorge’ qui interviendra le lendemain après midi.
……………..
Je me présente devant la grande battisse âgée de 400 ans.
Elle porte sur certains de ces flancs qqs architectures qui l’a rend
Presque moyenâgeuse. Ici le moderne et l’ancien se côtoient tout comme se côtoient jeunes, adultes et vieillards.
Je me projette.
J’imagine un instant cette cour des miracles où tous les éclopés de Paris venaient trouver aides et soins et les nantis descendre de leur calèche.
Je franchis la barrière de sécurité en tenant ma valise, à l’intérieur
Un pyjama, deux culottes, deux Marcel, deux paires de chaussettes et une paire de mule. Maigres bagages pour un séjour de 30 heures.
J’ai oublié que mon contenant avait des roulettes.
Sur les bancs, malgré la froidure, des malades trainant leur potence.
Tous logés à la même enseigne.
Je franchis la porte vitrée qui s’ouvre automatiquement. Une douce chaleur caresse mon visage. Je traine ma valise vers l’ascenseur. Et je prie en moi, ‘…Yé rabi Hai TAIEB….En challah, nabet lebéch… !’ ( Ô ST…..Fasse
Que je reprenne le sens inverse… !’) Et ne pas dépasser le 5 iéme étage.
Parce que plus haut, je crèverai de froid.
Ma femme, mes enfants, mes petits enfants, mes frères etc me viennent à l’esprit.
Pour chacun d’eux, j’ai une pensée émue. C’est humain…..
J’appuie sur le bouton de l’étage et j’attends. Je me retrouve un étage plus bas, dans le parking, une erreur de manipulation. ‘…Merde… !’ que je me dis, je suis sous terre….Lol….Enfin, il remonte et une voix douce m’avertit enfin que je suis arrivé au 5 iéme. La porte s’ouvre et je me dirige vers l’accueil.
On me fait savoir, que je dois redescendre à l’accueil pour m’inscrire.
Je dépose ma valise dans la chambre et je redescends.
Sur place, la jeune fille me demande la CV et ma carte REUNICA de prise en charge. Je donne la CV mais j’oublie l’autre dans mon portefeuille.
Je remonte et je redescends avec le document.
Je suis bon pour le ‘tranchement de la gorge’ qui interviendra le lendemain après midi.
……………..
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 07 décembre 2016, 02:07 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Le lendemain après midi vers les 15 heures 30.
La grande porte de ma chambre s’ouvre.
Un grand monsieur EN BLOUSE VERTE, cheveux retenus… ‘…Mr Siméoni, nous allons descendre au bloc… !’ Bloc, cela m’a rappelé mes BLOCS de la Goulette, le grand vent qui balayé
La mer et soulevait des vagues immenses qui venaient s’écraser sur ces rochers milles fois battus par les rageuses. Sans fin. Les BLOCS de ma jeunesse où je sautais pieds nus au risque de glisser sur la mousse verte. Ces blocs qui m’ont donné tant d’effrois parce que je craignais de me faire mal en ratant un saut. Et me retrouver coincer d’entre ses crocs de pierres.
Je suis poussé par le brancardier. Je vois les néons défilaient sous mes yeux.
Je suis dans l’ascenseur. Mon lit passe de couloir en couloir, le trajet du bloc opératoire me semble long.
Et tjs rabi HAI TAIEB qui m’accompagne durant ce parcours.
La grande porte de ma chambre s’ouvre.
Un grand monsieur EN BLOUSE VERTE, cheveux retenus… ‘…Mr Siméoni, nous allons descendre au bloc… !’ Bloc, cela m’a rappelé mes BLOCS de la Goulette, le grand vent qui balayé
La mer et soulevait des vagues immenses qui venaient s’écraser sur ces rochers milles fois battus par les rageuses. Sans fin. Les BLOCS de ma jeunesse où je sautais pieds nus au risque de glisser sur la mousse verte. Ces blocs qui m’ont donné tant d’effrois parce que je craignais de me faire mal en ratant un saut. Et me retrouver coincer d’entre ses crocs de pierres.
Je suis poussé par le brancardier. Je vois les néons défilaient sous mes yeux.
Je suis dans l’ascenseur. Mon lit passe de couloir en couloir, le trajet du bloc opératoire me semble long.
Et tjs rabi HAI TAIEB qui m’accompagne durant ce parcours.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 07 décembre 2016, 02:18 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
J’arrive enfin dans le BLOC opératoire. Aussi froid qu’un pain de glace.
Il n’y a personne. Le brancardier est sorti. Je suis seul dans mes pensées.
Je revois ma femme dans sa cuisine….Devant la télé…Mes enfants, bien jeunesj, j’entends VALOU me dire ‘….Papa, je veux une glace… !’ Je revois sa maison en Israël et me rappelle que je dois réparer la palissade de son jardin. Que j’ai oublié
De dire à ma femme que certains papiers importants sont mis dans tels tiroirs.
J’ai aussi oublié de dire à Max mon frère qu’il faut envoyer les relevés bancaires au comptable….Puis, je parle à D ieu….’…Yé rabi…. !’ Juste à ce moment là rentre une dame, l’anesthésiste
‘…Mr Je vais vous endormir… !’
Je n’ai pas eu le temps de lui dire ‘…MAL ÉLEVÉE que vous êtes, vous me coupez la parole alors que je parle à D ieu… ?’
Il n’y a personne. Le brancardier est sorti. Je suis seul dans mes pensées.
Je revois ma femme dans sa cuisine….Devant la télé…Mes enfants, bien jeunesj, j’entends VALOU me dire ‘….Papa, je veux une glace… !’ Je revois sa maison en Israël et me rappelle que je dois réparer la palissade de son jardin. Que j’ai oublié
De dire à ma femme que certains papiers importants sont mis dans tels tiroirs.
J’ai aussi oublié de dire à Max mon frère qu’il faut envoyer les relevés bancaires au comptable….Puis, je parle à D ieu….’…Yé rabi…. !’ Juste à ce moment là rentre une dame, l’anesthésiste
‘…Mr Je vais vous endormir… !’
Je n’ai pas eu le temps de lui dire ‘…MAL ÉLEVÉE que vous êtes, vous me coupez la parole alors que je parle à D ieu… ?’
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