Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

Les deux pétitions : Appel à la raison et Raison garder

Envoyé par MeYeR 
Les deux pétitions : Appel à la raison et Raison garder
29 avril 2010, 00:10
L’appel que vous lirez ci-dessous a déjà été signé par des personnalités et des membres d’associations juives européennes, engagées depuis toujours dans le combat pour la paix au Moyen-Orient, dont vous lirez les noms ci-dessous.

Notre objectif est de rendre publiques les positions de juifs européens, trop longtemps silencieux, et de faire entendre une voix juive solidaire de l’État d’Israël et critique quant aux choix actuels de son gouvernement.

Nous appelons toutes celles et tous ceux qui se reconnaissent en ce texte à le signer.

Nous présenterons cet appel à la Raison, lors d’une importante réunion au Parlement européen à Bruxelles le 3 mai 2010.

Pour nous contacter, écrivez à contact@Jcall.eu

N’oubliez pas de signer cet appel si vous le soutenez.

Appel à la raison

Citoyens de pays européens, juifs, nous sommes impliqués dans la vie politique et sociale de nos pays respectifs. Quels que soient nos itinéraires personnels, le lien à l’État d’Israël fait partie de notre identité. L’avenir et la sécurité de cet État auquel nous sommes indéfectiblement attachés nous préoccupent.

Or, nous voyons que l’existence d’Israël est à nouveau en danger. Loin de sous-estimer la menace de ses ennemis extérieurs, nous savons que ce danger se trouve aussi dans l’occupation et la poursuite ininterrompue des implantations en Cisjordanie et dans les quartiers arabes de Jérusalem Est, qui sont une erreur politique et une faute morale. Et qui alimentent, en outre, un processus de délégitimation inacceptable d’Israël en tant qu’État.

C’est pourquoi nous avons décidé de nous mobiliser autour des principes suivants :

L’avenir d’Israël passe nécessairement par l’établissement d’une paix avec le peuple palestinien selon le principe « deux Peuples, deux États ». Nous le savons tous, il y a urgence. Bientôt Israël sera confronté à une alternative désastreuse : soit devenir un État où les Juifs seraient minoritaires dans leur propre pays ; soit mettre en place un régime qui déshonorerait Israël et le transformerait en une arène de guerre civile.
Il importe donc que l’Union Européenne, comme les États-Unis, fasse pression sur les deux parties et les aide à parvenir à un règlement raisonnable et rapide du conflit israélo-palestinien. L’Europe, par son histoire, a des responsabilités dans cette région du monde.

Si la décision ultime appartient au peuple souverain d’Israël, la solidarité des Juifs de la Diaspora leur impose d’œuvrer pour que cette décision soit la bonne. L’alignement systématique sur la politique du gouvernement israélien est dangereux car il va à l’encontre des intérêts véritables de l’État d’Israël.

Nous voulons créer un mouvement européen capable de faire entendre la voix de la raison à tous. Ce mouvement se veut au-dessus des clivages partisans. Il a pour ambition d’œuvrer à la survie d’Israël en tant qu’État juif et démocratique, laquelle est conditionnée par la création d’un État palestinien souverain et viable.

C’est dans cet esprit que nous appelons tous ceux qui se reconnaissent dans ces principes à signer et à faire signer cet appel.

[www.jcall.eu]

Re: Les deux pétitions
29 avril 2010, 00:12
Une initiative, émanant de ce qui semble être une organisation à vocation européenne dénommée JCall, vient de publier une pétition intitulée "Appel à la raison". La démarche et les options politiques de ce groupe rencontrent la réprobation de vastes secteurs de l'opinion. Un certain nombre de personnalités lancent donc aujourd'hui un appel à "Raison garder". Vous avez la possibilité de signer cet appel et de manifester ainsi votre opinion sur les intentions transparentes des promoteurs de JCall.

RAISON GARDER

Un groupe d’intellectuels et de personnalités se réclamant avec ostentation de leur appartenance juive pour gage de leur objectivité a pris l’initiative sélective d’un « Appel à la raison » auquel il entend assurer la plus large diffusion possible. En réalité, cet appel va à l’encontre de ses buts affichés : la démocratie, la moralité, la solidarité de la Diaspora, le souci du destin d’Israël. L’offensive politicienne qui le sous-tend est claire pour tout le monde.

1) L’idée d’une paix imposée à Israël sous la pression, voire l’intervention de puissances, est un déni de la démocratie et du droit international, aux relents néo-colonialistes. Elle bafoue le libre choix des citoyens de la démocratie israélienne et constitue un dangereux précédent pour toutes les autres démocraties.

2) Elle se repose sur un président américain qui échoue à faire face au défi mortel iranien et une Union européenne qui s’est globalement identifiée à la cause palestinienne. Israël est sous une menace d’extermination proférée par la République islamique d’Iran et ses satellites qui l’enserrent au nord, le Hezbollah, au sud, Gaza.

3) Alors que ces mêmes signataires font peser la responsabilité de l’impasse sur le seul Israël, toutes les enquêtes objectives montrent et démontrent que ni l’Autorité ni la société palestiniennes ne sont véritablement intéressées par une paix juste: 66,7% de cette population rejettent la création d’un État palestinien sur la base des frontières de 1967, 77,4 % rejettent l’idée que Jérusalem soit la capitale de deux États (sondage d’avril 2010 par l’Université Al Najah de Naplouse). La création d’un État palestinien sans la confirmation de la volonté de paix du monde arabe sans exception exposerait le territoire exigu d’Israël à une faiblesse stratégique fatale.

4) L’«Appel à la raison » souffre d’amnésie : les accords d’Oslo ont conduit à une vague de terrorisme sans précédent, le retrait du Liban à l’installation du Hezbollah - et les garanties du Conseil de sécurité à ce propos sont un chiffon de papier -, le désengagement de Gaza a conduit au coup d’État du Hamas et à une pluie de missiles de plusieurs années. Demain « Jérusalem-Est » et l’État de Palestine seront-ils sous la coupe de ce dernier ? Les regrets des signataires de l’Appel ne serviront à rien...

5) La morale et l’honneur, la volonté de paix, ne sont l’apanage d’aucun camp. Ils sont un enjeu de chaque instant. Par ses motivations partisanes et partiales, cet « appel à la raison » contribue aux tentatives de boycott et de délégitimation qui visent l’État d’Israël, et il porte gravement préjudice à sa population.

6) Devant les véritables menaces qui visent Israël dans son existence même et qui compromettent les chances d’une paix durable au Moyen-Orient nous entendons constituer un mouvement d’opinion véritablement médiateur au sein de l’Union européenne dont nous sommes les citoyens, qui se propose de défendre et d’illustrer la légitimité de l’État d’Israël dans le cadre d’une véritable paix, et de lutter contre l’antisémitisme qui s’y développe dangereusement.

Nous appelons à signer en masse cette déclaration.

Signez et faites signer l'appel à "Raison garder"!

Pour signer cliquer sur le lien suivant : [www.dialexis.org]

Premiers signataires :

Jean Pierre Bensimon, professeur de sciences sociales, Raphaël Draï professeur de sciences politiques et de droit, Judith Gachnochi, psychologue, Georges Gachnochi, psychiatre-psychanalyste, Nicolas Nahum, architecte, Georges Elia Sarfati, professeur des universités, linguiste et philosophe, Perrine Simon Nahum, chercheur au CNRS, historienne, Pierre-André Taguieff, directeur de recherche au CNRS, philosophe, politologue et historien des idées, Michèle Tribalat, démographe, Shmuel Trigano, professeur de sociologie politique, directeur de la revue "Controverses".

Re: Les deux pétitions
29 avril 2010, 01:46
La guerre des petitions.
Cela fait 62 ans que les arabes refusent de partager ce petit morceau de pays,ils le veulent tout, et celui qui tombe dans le piege de deux etats pour deux peuples se trouvera avec deux etats dont un, sans aucun juif, et d'un second etat ou petit a petit les arabes continuerons a nous harceler comme ils le font maintenant.
Il faut etre vraiment idiot pour accepter cette idee de nous empecher de construire, bientot il voudront que l'on arrette de vivre, de respirer.
Et en attendant l'Europe entiere est deja tombee sous l'invasion arabe.
Re: Les deux pétitions
29 avril 2010, 02:36
Personnellement, je trouve particulièrement choquant que des juifs de la diaspora se permettent de faire signer des pétitions à un moment si délicat.

En Israel c'est le fusil à la main que l'on défend un Pays, pas dans un salon mondain et si, sur place, les opinions diffèrent, c'est normal.

Mais se servir de la qualité de juif, "bénéficiaire" en tout état de cause du combat quotidien des autres pour donner des conseils publics, je trouve cela énorme.

Ces "conseils" là ne peuvent que être repris au détriment d'Israel par les ennemis d'Israel.

Diriger Israel implique une "navigation à vue" au jour le jour et c'est la lourde tâche qui pèse sur des dirigeants démocratiquement élus qui ont bien sûr en tête, mieux que quiconque, les solutions envisageables, mais avec en plus la vision d'un dossier complet dans ses détails à laquelle s'ajoute la voix, le ton, le regard du négociateur qui lui fait face.

En résumé, je ne vois pas en quoi le fait d'être né d'une mère juive, quel que soit l'amour que l'on porte à Israel, donnerait à tel ou tel homme politique ou célébrité vivant hors d'Israel le droit de donner une opinion publique.

Qu'ils utilisent leur célébrité pour la donner à Shimon Péres ou à Nétanyahu en privé.

Je ne peux que penser que les israéliens ont réfléchi avant de voter, si tous les juifs du Monde sont concernés, ils doivent avant tout respecter le choix des israéliens qui leur donnent le statut d'hommes libres un peu partout et les en remercier et surtout arrêter de "savonner la planche".

Ceci n'est que mon avis
Re: Les deux pétitions
29 avril 2010, 03:30
Ces ronds de cuir veulent faire entendre la RAISON.
Quelle raison...?
De quoi se mêlent t'ils...?

Nous connaissons tous l'histoire du CHEVAL DE TROIE...! Et ce qui en a couté à Troie...!

Petit rappel...

'...Après avoir vainement assiégé Troie pendant dix ans, les Grecs ont l'idée d'une ruse pour prendre la ville : Épéios construit un cheval géant en bois creux, dans lequel se cache un groupe de soldats menés par Ulysse. Un espion grec, Sinon, réussit à convaincre les Troyens d'accepter l'offrande, malgré les avertissements de Laocoon et de Cassandre. Le cheval est tiré dans l'enceinte de la cité qui fait alors une grande fête. Lorsque les habitants sont pris par la torpeur de l'alcool, la nuit, les Grecs sortent du cheval et ouvrent alors les portes, permettant au reste de l'armée d'entrer et de piller la ville. Tous les hommes sont tués, les femmes et les filles sont emmenées comme esclaves. Les enfants mâles sont tués eux aussi pour éviter une éventuelle vengeance...!

Qu'ils pét itionnent s'ils veulent et qu'Israël soit sur ses gardes.
Le seul principe qui vaille est de ne pas baisser la garde.
Contre tous ces donneurs de leçons.
Re: Les deux pétitions
29 avril 2010, 03:33
Re: Les deux pétitions
02 mai 2010, 12:55
Des personnalités juives européennes se mobilisent pour la capitulation d’Israël

Des personnalités juives européennes « engagées pour une paix entre Israéliens et Palestiniens » s’apprêtent à lancer un ‘’Appel à la raison ‘’, jugeant notamment "dangereux" un "alignement systématique sur la politique du gouvernement israélien".

Le nouveau mouvement, intitulé J Call, pour "European jewish call for reason" devrait être officialisé ce lundi, 3 mai à Bruxelles. Sans nier "la menace des ennemis extérieurs", les auteurs du texte soulignent le "danger" lié à "l'occupation" et à "la poursuite ininterrompue des implantations en Cisjordanie et dans les quartiers arabes de Jérusalem Est" qualifiées d'"erreur politique" et de "faute morale". Parmi les signataires figurent notamment Elie Chouraqui, cinéaste, Daniel Cohn-Bendit, député Vert européen, Boris Cyrulnik, psychiatre, Elisabeth de Fontenay, philosophe, Georges Kiejman, ancien ministre et avocat, Bernard-Henri Levy, philosophe, Pierre Nora, historien, membre de l'Académie française, Elisabeth Roudinesco, psychanalyste, Maurice Szafran, PDG de Marianne. Elie Barnavi, Avi Primor, Zeev Sternhel sont aussi parmi le collectif Jcall.

Il est regrettable que ces intellectuels qui se présentent comme « des personnalités et des membres d’associations juives européennes, engagées depuis toujours dans le combat pour la paix au Moyen-Orient » choisissent de se mobiliser dans le sens des munichois, sous un nouveau label dénommé JCall, pour la capitulation de la seule démocratie encore débout au Proche Orient.

Ces intellectuels, qui rivalisent de malhonnêteté intellectuelle, mènent en vérité un nouveau type de militantisme désinformateur. Ils jouent contre leur propre peuple en présentant Israël comme seul responsable de l’impasse actuelle dans la région. En agissant ainsi ils font plus de mal à la communauté juive que les antisémites non juifs car le monde les prend en exemple.

Ces intellectuels juifs, en France et ailleurs, qui épousent systématiquement les concepts et terminologies des ennemis d’Israël ("l'occupation" ; "colonisation" ) n’ont pas une idée sur l’impact négatif de leur démarche et des théories les plus pourris qu’ils nourrissent .

Ils Oublient des choses ; que les juifs venaient de perdre 6 millions des leurs. Ils Oublient l'aspect religieux du lien des juifs avec cette terre. Ils Oublient que le peuple juif n'avait jamais eu d'autre capitale que Jérusalem, et que celle-ci n'avait jamais été, non plus, la capitale d'aucun autre peuple. Ils Oublient que les palestiniens appuient encore la demande d’un état palestinien du Jourdain jusqu’à la mer. Ils Oublient que la violence monstrueuse des attentats palestiniens planent toujours sur les agglomérations israéliennes. Ils Oublient que les initiatives de paix d’Oslo et la poignée de main à camp David et la « Road Map » et aussi « la terre en échange de la paix » sont devenues un fiasco et un encouragement à la violence.

Les accords d’Oslo, concédés par Israël sous la pression internationale, la création de l’Autorité Palestinienne, confiée à la clique terroriste de Yasser Arafat, puis l’abandon par Israël de Gaza aux mains de cette clique, ont été des erreurs impardonnables faites dans le passé, pour rien. Les Israéliens se sont rendus compte que leur politique n'avait pas porté ses fruits.

L’Etat terroriste du Hamas à Gaza – a donné à Israël toutes les raisons de croire que les Palestiniens vont poursuivre leur guerre contre Israël après avoir empoché leur Etat en Judée, Samarie, et à Jérusalem. Par conséquent, négocier l’établissement d’un Etat palestinien avant que la société palestinienne ne soit fondamentalement modifiée est une recette de désastre.

Il faut d’abord en finir avec les mollahs iraniens, les fous du Hezbollah, les allumés du Hamas et les tueurs du Fatah. Mais à quoi bon faire des concessions à tous ces séniles, puisqu’ils allèguent de façon mensongère que c’est « la politique d’Israël » qui a bloqué le processus de la paix.

L’arrêt de la violence et de l’incitation à la haine est le préalable à toute démarche envers la paix. D'ailleurs la soi-disant Autorité Palestinienne, qui reçoit des millions de dollars et euros, continue sans cesse la glorification du terrorisme. Parmi les islamikazes palestiniens, beaucoup d’hommes certes… mais aussi des femmes ont aujourd’hui leurs noms gravés dans les rues palestiniennes.

Il est regrettable que ces intellectuels juifs, qui se présentent comme « des personnalités engagées depuis toujours dans le combat pour la paix au Moyen-Orient », ne dénoncent pas dans leur Appel à la raison cette idéologie partagée par l’OLP-Fatah et qui est très largement populaire parmi les Palestiniens (sans parler du Hamas et du Djihad islamique) qui incite les individus palestiniens à consacrer leur énergie, leurs potentialités et chaque instant de leur vie à défaire l’Etat juif . Israël doit donc capituler selon Le collectif Jcall sans faire comprendre les palestiniens que leur mode de vie actuelle est incompatible avec l’aspiration à la paix.

Ces personnalités juives européennes ignorent vraisemblablement la base idéologique palestinienne qui façonne les individus à vivre avec la haine, la vengeance, la guerre et la mort. L’incitation à la haine est exprimée aujourd’hui dans toutes les écoles palestiniennes ou jamais la carte d’Israël n’est visible !! Les manuels scolaires palestiniens sont mêmes inspirés des brochures de propagande nazie. Jamais vous n'entendrez de message positif vis-à-vis d'Israël à la télévision.

Les Palestiniens sont aussi incapables de raisonner logiquement et de négocier quoi que ce soit. Toute sa vie M. Arafat a cru à une solution terroriste au problème palestinien, toute sa vie il a échoué, au prix de dizaines de milliers de victimes innocentes. La violence et l’enseignement à la haine d’Israël ont toujours cours légal dans les territoires de Judée Samarie placés sous l’autorité des « modérés » du Fatah .Des places, des avenues ou des gymnases y reçoivent encore le nom de glorieux assassins de civils israéliens.

Mahmoud Abbas, le bras droit d’Arafat et co-’organisateur de la tuerie de Maalot (27 morts dont 22 adolescents le 15 mai 1974) a honoré il y’a quelques jours la mémoire d’un des plus grands terroristes palestiniens, Yéhia Ayache, responsable de la mort de douzaines d’Israéliens dans une série d’attaques au cours des années 1990.

Le "modéré" Mahmoud Abbas, qui recueille des millions de dollars et d’euros, sème la haine de tout ce qui est israélien, il maintient la haine et le fanatisme qui détruit le malheureux peuple arabe "palestinien", et contribue à perpétuer le pourrissement de la région. Ce sont ces réalités que les personnalités juives européennes devraient affronter au lieu de pousser vers une paix munichoise avec un admirateur des tueurs d'enfants.

Israël a pourtant toujours essayé de négocier avec les Palestiniens, dans le cadre d'un processus claire et bien définit qui a boutis à une paix juste et durable. Les Palestiniens n’ont pas voulu faire leur part du chemin.

Je me permettrais ici de rappeler qu’Israël a déjà fait en sorte d’envoyer des messages rassurants mais malheureusement les palestiniens ne se sentent pas concernés pas une paix durable avec leurs voisins.

Le Premier ministre Netanyahu a déclaré plusieurs fois qu’Israël est disponible pour faire des efforts conjoints pour permettre la reprise des pourparlers avec l’Autorité palestinienne. Pendant qu’Israël a effectué des démarches qui permettront la reprise des pourparlers, les Palestiniens posent encore des conditions préalables comme jamais on n’en a posées depuis les débuts du processus de paix.

Alors qu’Israël veut entamer le processus de paix immédiatement, l’Autorité Palestinienne continue de compliquer la tâche du Premier ministre Netanyahu. De plus, le palestinien Mahmoud Abbas n’a jamais aidé l’envoyé spécial des USA au Proche-Orient, George Mitchell, dont l’une des missions consistait pourtant à encourager un rapprochement entre Israël et les palestiniens.

Nous pouvons dire avec une quasi-certitude, que les “palestiniens” ne veulent pas la paix. C’est un fait validé par tous. Qu’on soit juif, musulman chrétien, d’Israël de Paris ou de New Delhi, tout le monde sait que les palestiniens (pas tous certes, mais les leaders d’opinion au moins) sont des personnes abjects qui refusent la paix et la politique de main tendue proposée par l’Etat Hébreu.

Le gouvernement de Benjamin Netanyahu cependant, qui comme tous les précédents, appelle toujours à des négociations immédiates et sérieuses et insiste sur la nécessité de commencer les pourparlers sans conditions préalables. La présence du Premier ministre Binyamin Netanyahu à Sharm el-Sheikh, ce week-end , montre à quel point Jérusalem est attaché à la recherche de Partenaires favorables à la paix au sein du monde arabe pour faire un pas vers la paix.

Je souhaite que les représentants de la Ligue arabe auront aussi ce désir et soient plus courageux pour aller de l’avant. Je souhaite que les palestiniens entreprennent aussi des démarches pour prouver leur sincérité d'aboutir à la paix, et cessent leurs actions d’hostilité dans les médias.

Ftouh Souhail, Tunis
Re: Les deux pétitions : Appel à la raison et Raison garder
02 mai 2010, 22:05
D. ayez pitié des innocents , la naïveté n'est pas un crime
(Freddy).

Pour tous les juifs européens qui croient que leurs problèmes sont des métastase du cancer sioniste , vous vous mettez le doigt dans l'œil , mais alors jusqu'au coude .

Détrompez vous , il est grand temps , les islamistes combattent le judaïsme parce que le prophète Mahomet l'a fait avant eux ,si ils ne le font qu'aujourd'hui ,chez vous , c'est parce qu'ils ont en la force , mais ils en avait toujours rêvé avant .
ils arrivent a convaincre le reste des musulmans , et une grande partie des autres , que c'est une question de territoires.

Vous voulez le croire aussi ? Alors expliquez moi pourquoi un dirigeant arabe ,qui a déclaré , qu'il rejetterai les juifs à la mer ,et qui perd une grande partie des territoires nationaux , dans la stupide guerre qu'il a déclaré ,est toujours considéré comme un héros , alors que son successeur ,qui les as tous récupéré par la paix (avec les sionistes) a été considéré comme un traitre par les islamistes, et abattu comme tel par eux?
,
Re: Les deux pétitions : Appel à la raison et Raison garder
03 mai 2010, 01:26
Salut Freddy,
Ne t'inquiete pas trop, il y a qqun qui nous protege.
N'as tu pas remarque que chaque fois que ce petit pays devait etre partage, nos ennemis ,dans leur betise,ont rejete, refuse, ce qu'on leur donnait.
Alors que si des le depart ils avaient accepte le partage, aujourdh'ui, on aurait ete summerge.

Vendredi dernier malgre le ciel couvert, les vagues menacantes et meme un peu de pluie, nous etions Dany et moi a Ashddod, j'avais tous les maitres-nageur uniquement pour moi,pour bien me surveiller et me sortir en cas de pepin.
Pour moi aller a la mer me calme et me fait tout oublier, malgre le sel,j'en reviens la tete bien propre.
Yom tov lecoulam.

Re: Les deux pétitions : Appel à la raison et Raison garder
03 mai 2010, 07:43
Pourquoi j'ai signé J CALL

Question à Georges Bensoussan : « Pourquoi avez-vous signé "l’appel à la raison" » de JCall ? »

Pris un à un plusieurs des arguments des opposants à JCall sont recevables. Mais justement, ce n’est pas en égrenant un à un des arguments que l’on raisonne, c’est globalement. La volonté de paix ? L’enseignement d’une haine délirante ? La menace mortifère du Hamas et du Hezbollah ? Tout cela est vrai. Hélas.

Mais en quoi le statu quo amoindrirait-il ces menaces ? Attendre un interlocuteur valable ? Depuis quand choisit-on son ennemi et son partenaire pour négocier ? Si c’est le cas, c’est qu’on est déjà dans la paix et qu’il n’y a rien à négocier…

Oui, jamais depuis octobre 1973, l’Etat juif n’a été aussi près d’un danger majeur. Jamais autant qu’aujourd’hui (sauf en 1948), la question de sa pérennité ne s’est posée aussi dramatiquement. Oui, en pesant nos mots, il y a menace d’extermination. Oui, il y corrélativement menace de génocide.

C’est pourquoi l’enkystement actuel est un piège et l’appel à en sortir n’est pas animé d’une logique complotiste propre à la pensée obsidionale. Les ennemis d’Israël sont assez avérés et nombreux pour ne pas en créer d’imaginaires.

Certains se sont étonnés qu’un “historien du sionisme” (sic) ait signé ce texte… Mais c’est précisément parce que je connais le sionisme… D’autres ont mis en avant ma connaissance de l’antisémitisme arabo-musulman… Comme mon scepticisme vis à vis d’Oslo (Al Domi, 1998).

La réponse est identique.

C’est à la condition de négocier en vue de séparer les deux peuples que l’on pourra mettre sur la table toutes les questions. Des plus connues aux moins dites, des manuels scolaires aux cartes des Atlas par exemple. Y compris la question des réfugiés ? Surtout celle des réfugiés, et même de tous les réfugiés.

Ceux de la Nakba palestinienne et ceux des Juifs d’Irak spoliés, des Juifs de Libye fuyant la peur au ventre (et spoliés évidemment), ceux de Syrie, traqués, etc. 750 000 Juifs du monde arabe sont arrivés en Israël, le plus souvent démunis, que l’Etat juif a intégré, soigné, logé, instruit en hébreu, etc. Sans recevoir un seul dollar d’une quelconque agence de l’ONU. C’est là l’intérêt de la négociation : parler de tout, et en bloc.

Croit-on qu’en appelant à négocier pour séparer les deux peuples on soit assez stupide pour croire à la volonté de paix arabe ?

Si paix il y a, elle sera glaciale comme avec l’Egypte, comme avec la Jordanie. La Paix des Protocoles des Sages de Sion, un énorme succès de librairie, y compris dans ces pays arabes loués pour leur modération, paradis touristiques où même les Juifs va t-en guerre ne se privent pas d’aller…

Le propre du politique, c’est le sens du réel et l’art du compromis. C’est aussi la préhension du juste rapport de forces. Et la focalisation sur l’essentiel dont René Char disait qu’il « est sans cesse menacé par l’insignifiant ». Le reste est idéologie, c’est à dire fourvoiement par rapport à une réalité qui se vengera un jour ou l’autre.

Il faut séparer les deux peuples. Sinon, à terme (et ce terme est proche, une à deux générations alors que la guerre des Six jours est déjà deux générations derrière nous…), nous allons vers l’Etat unique de la mer au Jourdain. C’est à dire l’Etat binational.

En clair l’Etat de Palestine-Israël qui deviendra rapidement l’Etat arabe tout court.

Pourquoi ? Parce que la réalité démographique, comme la géographie, imposent les choix politiques. Si la politique d'un Etat est dans sa géographie disait, comme jadis Bonaparte, ajoutons qu’elle l’est aussi dans ses registres d’état-civil.

Et ceux du peuple juif sont mal en point ; les coupes opérées par le nazisme sont irréparables. Non par je ne sais quelle fatalité historique, mais simplement parce que l’évolution des sociétés développées auxquelles appartiennent les communautés juives est celle d’une faible natalité.

En Israël même, et a fortiori avec « les territoires », la balance est de 1,8 pour les Juifs contre 3,4 pour les Arabes. Lesquels, en Israël en particulier, disent crûment mais en aparté à qui veut les entendre que ce sera la revanche des ventres.

“Territoires” et profondeur stratégique ?

Quand un missile SCUD syrien ou du Hezbollah mettrait une minute pour atteindre Tel-Aviv, qu’un missile Shahab 3 iranien mettrait moins de dix minutes pour atteindre Israël. La frontière à 18 km ou à 50 ? Parce qu’Israël n’a aucune profondeur stratégique (18 ou 50 km ne changent quasiment rien à l’affaire), seule compte la surveillance du territoire.

Et la négociation en position de force. Aujourd’hui, pas demain. En tenant compte du réel : Dieu reste du côté des meilleures armées jusqu’à plus ample informé.

L’environnement de l’Etat d’Israël est arabe. Arabe à l’intérieur des frontières du 4 juin 1967 (12 % de la population en 1949, 20 % aujourd’hui), arabe dans les “territoires”, arabe au-delà des frontières.

Cet environnement lui commande de se resserrer sur un espace étroit mais homogène. “Abandonner” la Judée Samarie en invoquant la trahison vis à vis d’Eretz Israël, quand la Galilée est largement arabe ? Moins de 200 000 Arabes israéliens en 1949, près de 1 200 000 en 2010 : c’est du côté des frontières d’Israël, à l'intérieur de la ligne verte qu’il faut regarder.

Des régions entières de l’Etat juif sont habitées par une population qui a toutes les raisons de haïr un pays auquel elle est fidèle aujourd'hui, mais contre lequel elle se retournera demain, à la première manifestation de faiblesse.

Telle est la réalité d’Israël : pour qui voyage par exemple de Tel Aviv à Afoula en empruntant la fameuse route 6, une suite ininterrompue de peuplement arabe à l’intérieur des lignes du 4 juin 1967.

Attendre, c’est signer la disparition d’Israël comme Etat juif dans une, deux ou trois générations : ne pas bouger puisque “il n’y a pas d’interlocuteur valable”, puisque les Palestiniens (essence éternelle, figée dans la pierre sans doute) “ne veulent pas d’Etat”, parce que tout retrait israélien (du Liban en 2000, de Gaza en 2005) s’est traduit par la guerre.

Les détracteurs de JCall sont dans l’attentisme faute de solution.

Or, tel était le point crucial de ce texte : alerter contre l’Etat unique qui se profile parce que c’est le piège tendu par nos ennemis.
Parce que les partisans avérés de l’Etat juif, tout à leurs bons arguments pris isolément, s’y précipitent. Comme l’attendent et l’espèrent les élites arabes d’aujourd’hui : laisser s’enkyster une situation dans laquelle la démographie, demain, décidera du vainqueur. Quand mon ennemi rejoint mes vues, je commence à m’inquiéter.

L’Etat unique apparaîtra bientôt à toutes les consciences comme LA solution. Idéale de surcroît dans une époque où l’on confond la compassion et la justice, l’émotion et la pensée, le multi ethnisme et le multiculturalisme.

Après les résultats brillants de Chypre, du Liban et de quelques autres, les belles âmes applaudiront au laboratoire israélo-palestinien de l’Etat “unique et multiculturel”.

Mais seuls les Israéliens, et par ricochet les dernières judaïcités de la diaspora, paieront l’addition de cette fumisterie qui a échoué partout. S’insurger contre cet Etat relèvera demain de l’“ethnisme” et probablement du “racisme”.

Et à refuser l’Etat bi-national en gardant “les territoires”, l’Etat juif s’exposera dans moins de vingt ans à dominer une population arabe devenue majoritaire. Qui veut de l’apartheid en Israël ?

La rêverie sur ces territoires a fait oublier l’essentiel. La victoire de 1967 fut un cadeau empoisonné offert par les armes à la nation juive. Elle permit au sionisme religieux, jusque-là minoritaire, de prendre une ampleur telle qu’il domine aujourd’hui dans une partie des rouages de l’Etat et surtout de l’armée.

En oubliant au passage que le sionisme fut d’abord l’entreprise de Juifs sécularisés et laïcisés. Que le monde orthodoxe l’avait maudit dans une quasi guerre civile juive comme dans la Russie tsariste où certains orthodoxes, qui n’ont aujourd’hui que le nom d’Israël a la bouche, ne se privaient pas de dénoncer les sionistes à la police du tsar.

La victoire de 1967 en Cisjordanie (le Sinaï et le Golan sont des réalités géopolitiques à part) a créé 43 ans plus tard une réalité éprouvante : l’Etat juif sera demain mangé par sa conquête. Il n’a pas les moyens démographiques de ses ambitions parce que la Shoah a cassé les reins du jeune Etat juif ; à l’encontre du ressassement de la doxa pour laquelle elle aurait permis la création de l’Etat d’Israël…

En 1937, devant le soulèvement arabe qui compromettait ses positions coloniales, Londres suggérait, par le biais du plan Peel, un partage de la Palestine en deux Etats. La zone dévolue à l’Etat juif était dérisoire : une bande côtière de 100 km de long - de Tel Aviv à Haïfa - et d’une dizaine de km de large.

Outre le refus arabe cramponné à la même attitude depuis un siècle, le rejet de tout compromis (qui l’a mené de faillite en faillite jusqu’en 2010), il faut rappeler que la plupart des dirigeants du Yishouv refusèrent le plan Peel. La plupart, à l’exception de Ben Gourion qui finit par convaincre les autres, lui qui disait être prêt à établir l’Etat juif “sur un coin de nappe”.

C’est ce Ben Gourion-là qui a fait la force pragmatique du sionisme. Pas un idéologue. Un homme des Lumières dont il était grand lecteur. Un homme du compromis. De la réalité.

L’homme du plan Peel en 1937 et de l’Altalena en 1948. C’est ce Ben Gourion-là qui a permis la naissance de l’Etat. Ce que les idéologues ont, semble-t-il, oublié.

Le monde arabe évolue lentement.

Le blocage mental y demeure considérable (mais pas inentamé comme pour toute réalité humaine). C’est l’homme malade des nations comme on le disait jadis de l’empire ottoman en Europe.

Moins de livres traduits que dans la petite Grèce rapporte le PNUD, chaque année, depuis 2002…

C’est parce qu’il s’agit d’un monde (pour partie au moins) archaïque, dangereux et violent qu’il faut s’en séparer. Parce que l’antijudaïsme qui y prospère est devenu obscène par sa bêtise, littéralement délirant. En un mot, génocidaire.

En 2004, le Mémorial de la Shoah publiait sous ma direction un numéro entier de la Revue d’histoire de la Shoah consacré à l’antisémitisme-antisionisme du monde arabe.

A l’exception de dix minutes d’entretien sur France Culture, un black-out quasi complet a accompagné cet ouvrage (y compris des radios communautaires, promptes à voler au secours de la victoire et aujourd’hui si disertes sur le péril). Bref, fort classiquement, un enterrement par le silence.

Nous croit-on assez naïf pour ignorer cette réalité qu’avec d’autres, nous avons contribué à faire connaître ? Croit-on qu’en appelant au dialogue je me fasse quelque illusion sur l’adversaire ?

C’est parce que je sais la profondeur du refus arabe, lequel n’a quasiment rien à voir avec les “territoires” ni même avec la cause palestinienne, que je souhaite un Etat d’Israël plus petit et plus homogène.

Plus sûr de son droit et donc plus à même de se défendre.

Pour faire désarmer l’hostilité internationale ?

Que non ! Cette hostilité-là, comme le refus arabe, ne désarmera guère parce que l’Occident a besoin de voir dans l’Etat juif le Juif des nations qu’il a pourchassé jusqu’à la fin que l’on sait.

Ce n’est donc pas pour complaire aux uns ni aux autres qu’il faut dialoguer, donc être prêt à donner, à recevoir et à se séparer in fine. C’est pour la survie de l’Etat juif en tant qu’Etat juif.

Les mots “faute morale” ont beaucoup choqué. Si faute morale il y a, le curseur n’est pas où on le croit. L’occupation de territoires et la domination sur les populations qui y vivent conduit à une logique de violence.

Comme toute violence, elle gangrène le corps social, elle s’étend, elle le corrompt. Il n’y a pas d’occupation innocente, non pour des raisons morales mais pour des raisons politiques. La corruption règne à un niveau inégalé en Israël depuis la fondation de l’Etat.

Croit-on qu’elle n’ait aucun rapport avec la logique de l’occupation ? Parce que le déni du droit ne s’arrête pas à la ligne verte, il gangrène les consciences et ouvre le chemin de la corruption. Et de la médiocrité, celle aujourd’hui de la classe politique.

Les objecteurs à JCall ont raison sur plusieurs points. Mais ils ont tort sur l’ensemble.

Ne pas bouger en pensant que le temps entérinera les faits accomplis c’est avoir une vison à court terme de la réalité. Il faut fermer la frontière et négocier pour mieux s’ouvrir au monde.

Echapper à ce qui ne fait plus consensus dans la nation israélienne, ce qui la mine, ce qui nourrit aussi la logique corruptrice dont on finit par s’accommoder.

En cessant de maquiller les mots pour maquiller les choses :
l’occupation est occupation, la domination est domination (douce ?), même si chacun sait qu’il y a mille formes de domination et que dans des circonstances pareilles on ne donnerait pas cher de la vie d’un Juif en territoire occupé par une armée arabe. Tout cela est vrai. Mille fois vrai.

Et alors ? C’est du principe de domination d’un autre peuple dont il s’agit. Et ce principe-là corrompt toute la chose politique, il accoutume à des comportements qui divisent le corps social. Qui fatiguent une partie des citoyens. Qui nourrit l’émigration des élites.

Cela aussi c’est la réalité démographique : 700 000 Israéliens vivent à l’étranger… Dont une bonne partie sont d’un haut niveau professionnel : ce ne sont pas les pauvres qui partent.

S’ingérer dans les affaires israéliennes ?

L’argument est puissant, c’est entendu, mais il ne manque pas de piquant quand les jusqu’auboutistes de France, depuis leurs positions acquises et leurs enfants à l’abri, semblent prêts à se battre jusqu’au dernier Israélien.

Ont-ils subi, eux, le poids d’un service militaire de trois ans ? Ont-ils connu, eux, un jour, l’angoisse des parents d’enfants versés dans des unités combattantes ? Le poids des milouim (périodes de réserve) et des carrières tard commencées ? La retenue s’impose quand l’option qu’on préconise se paiera demain du sang des autres.

Mais en un demi siècle, Israël et le sionisme ont aussi subsumé l’identité juive. Il n’est pas d’identité juive qui ne se détermine aujourd’hui, aussi, par rapport à l’Etat juif.

En 1949, 10 % des Juifs avaient rejoint l’Etat d’Israël. Plus d’un Juif sur deux y réside aujourd’hui.

Israël est devenu le fait cardinal de l’existence juive.
Le sionisme a embarqué dans son aventure les judaïcités du monde entier. Juste retour des choses qu’elles se préoccupent de l’avenir d’Israël quand leurs destins sont liés : l’avenir de l’Etat juif conditionne celui des rares diasporas de 2010.

Georges Bensoussan

[www.primo-info.eu]


Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






HARISSA
Copyright 2000-2024 - HARISSA.COM All Rights Reserved