cet été, on va ou pas en tunisie?

Richard chalom,
Faite moi plaisir, racontez moi les petits ou grands kifs que vous avez vecu en Tunisie pendant votre tout dernier sejour.
Avant la Revolution du jasmin j'avais prevu de faire un saut en Tunisie pour me kiffer un peu, j'attends un peu que ca se tasse, et be ezrat Achem je le ferais ce voyage.
je voudrais surtout aller a la Marsa ou enfant, ma mere zicrona le brahka, m'envoyait chez sa tante pour qu'elle me bourre, car j'etais tres dificile,je ne voulais rien manger.
A part le Saf-Saf, j'aimais beaucoup cette synagogue qui surplombe la mer,j'y accompagnais mon oncle qui etait mal voyant, et moi je jouais sur cette splendide terrasse surplombant la mer.
Une autre fois je me souviens avoir pris mon jeune frere avec moi, et en essayant d'attraper des petites crevettes,il etait tombe dans l'eau tout habille.J'etais specialiste pour faire les betises.
Il y avait aussi pas loin de la Marsa un cafe,qui s'appelait l'Auberge de la falaise, c'etait la que j'allais avec ma petite amie,et cela seuleument qqtemps avant mon depart de Tunisie, quel doux souvenir cette auberge de la falaise!!!
Alors cher Richard pour mieux vivre, prenez ce qui est bon, et tout simplement ignorez le moins bon.
Yov tov lehka.
Pièces jointes:

Très sage pensée Henri l'Aaziz.

On reconnait là l'homme de bien et loyal, l'homme d'honneur et de probité.

rd a écrit:
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> lapid,
> je vous ai adressé en homme de paix un message
> personnel et privé auquel vous n'avez pas
> répondu.
> un simple coup d'oeil sur la première page d'index
> de ce forum indique que vous etes l'initiateur de
> 6 topics sur 21. vous sévissez d'ailleurs de façon
> permanente sur tous les sujets. cette constance et
> votre capacité à citer toutes sortes de dépeche
> d'agence ou d'article de journaux, nous laisse
> supposer que cela vous prend un temps fou (à
> supposer que vous ne soyez qu'un seul individu).
> respirez un bon coup, et occupez vous un peu plus
> de votre famille ou de votre travail, si vous en
> avez. en un mot, lachez moi la grappe et allez
> voir ailleurs si j'y suis. je vous rassure, je n'y
> serai pas.
> en ce qui concerne votre technique de citation de
> mes propos, de façon haineuse et orientée, je vous
> ai déja dit que cela était une façon très
> maladroite de défendre votre obsession. pour faire
> plus court, cela oscille entre la
> propagandastaffel et la pratique stalinienne.
> vous m'avez traité de lache. moi je n'ai pas
> craint de divulguer mon idendité. et vous?
> chiche?
> quand à votre lapidaire pseudo, dont vous
> m'indiquez pompeusement qu'il signifie flambeau en
> hébreu, je pense qu'une meilleure traduction en
> serait: luminou. un tout petit luminou.
> allez, profitez de mes compétences: cinq gouttes
> de rivotril, un bon laxatif et zou! au lit!



Assez révélateur sur rd !

No Comment ! Et comme dirait Breitou, BASTA !

La douda l'aziz,
La vie est deja bien compliquee comme ca, on n'a pas besoin d'ajouter.
Ca sert a quoi de courrir derriere les mauvaises nouvelles, a part se faire de la bile et du mauvais sang.
Essayons de voir toujours le bon cote des choses, Richard a ete passer qqjours de kif En Tunisie, Saha li.

Tunis : Affrontement entre les forces de police et des manifestants - nouvelobs.com - 15 juillet 2011



Des centaines de Tunisiens ont pris d’assaut des la matinée la place de la Kasbah où se trouve le siège du gouvernement. Après la fin de la prière des milliers de personnes ont rejoint les manifestants dans la place. Un immense dispositif des sécurités a été déployé dés le matin pour empêcher les manifestants à se rendre au niveau de la place Kasbah et à l’avenue « Habib Bourguiba».



Les forces de police ont bouclé les issues menant vers le siège du gouvernement barrant les rues avec des véhicules blindés et des barbelés. Des dizaines de manifestants ont essayé d’installer des tentes mais furent empêcher par la police, a indiqué un manifestant à la presse. Selon, des sources sur place, les policiers ont essuyé des jets de projectiles avant de répondre par des tirs de bombes lacrymogènes. Des témoignages indiquent que la police a utilisé les bombes de gaz lacrymogènes pour empêcher les manifestants à rejoindre le centre-ville au niveau de l’avenue Habib Bourguiba et de l’avenue Habib Thameur. Les manifestants ont brandit des pancartes sur lesquelles ils demandaient à ce qu’il soit mis fin au fonction du Ministre de l’intérieur. Certaines sources qui restent à confirmer indiquent que plusieurs journalistes ont été blessés par la police. A L’heure où nous mettons sous presse les informations en provenance de Tunis indiquent que les affrontements continuent entre les manifestants et les forces de police.

Pour en savoir plus : [www.kapitalis.com]

Tunisie : violences, rumeurs, théories du complot - Par Cécile FEUILLATRE - AFP - 17 juillet 2011


Explosions de violences ici et là, déclarations sibyllines, rumeurs circulant à la vitesse de l'éclair: nombre de Tunisiens s'interrogent sur la situation réelle dans leur pays et certains disent redouter une «contre-révolution» en coulisses.

Les rues de Tunis sont souvent prises de violence, alors que la population s'impatiente à voir se concrétiser les réformes démocratiques réclamées depuis la révolution.

Une série d'attaques contre des postes de police perpétrées dans la nuit de samedi à dimanche dans plusieurs villes tunisiennes a relancé les interrogations. Le ministère de l'Intérieur lui-même a dénoncé "certaines forces extrémistes" accusées de chercher à «déstabiliser l'ordre et saboter le processus électoral». Sans plus de précisions.

La Tunisie connaît depuis la chute du régime de Ben Ali des poussées de violences sporadiques, mais dont les responsables ne sont jamais clairement identifiés. Au lendemain de l'assaut lancé par «un groupe de 300 à 400 personnes» contre le poste de police d'Intikala, une cité populaire de Tunis, les forces de l'ordre et les habitants interrogés par l'AFP ont mis en cause, pêle-mêle, «de faux salafistes, des RCdistes (membres du parti dissous RCD de l'ancien dictateur, des ivrognes ou des délinquants».

À trois mois de l'élection d'une assemblée constituante le 23 octobre, ces incertitudes alimentent une ambiance délétère.

«Nous sommes dans une période transitoire, l'État est faible et d'autres forces montent, on ne sait pas où on va, et ce climat fait craindre toutes les manipulations», s'inquiète Dora Jaafar, une jeune directrice marketing.

«Il y a beaucoup d'interrogations», reconnaît Mustapha Ben Jaafar, leader du Forum démocratique pour le travail et les libertés (FDTL) et ancien opposant au régime de Ben Ali. «Les forces extrémistes dont parle l'Intérieur, c'est un concept très flou. Il faut faire attention, ce ne sont pas les boucs émissaires qui manquent en ce moment, et le gouvernement doit mener des enquêtes sérieuses pour identifier les vrais responsables de ces violences. Avec le système sécuritaire si développé de la Tunisie, on ne comprend pas que ce ne soit pas déjà fait!» ironise-t-il.

La situation politique reste fragile: une centaine de partis ont été créés depuis le 14 janvier, la Haute instance chargée de piloter les réformes jusqu'aux élections est enlisée dans des dissensions internes, et le mouvement islamiste Ennahda, légalisé après la révolution, s'affirme comme une des principales forces politiques.

En outre, de nombreux Tunisiens s'inquiètent de voir «des ex-RCD reprendre du service», particulièrement au ministère de l'Intérieur, accusé de répression brutale contre les manifestations récurrentes dans le pays.

«Ils (les ex-RCD) sont toujours là, il ne faut pas s'étonner s'il se passe des choses horribles en Tunisie», s'indigne l'avocate Radhia Nasraoui. «Les contre révolutionnaires ont eu le temps de se réorganiser et sont en train de tout faire pour bloquer le processus démocratique», affirme-t-elle.

Les rumeurs de complot enflent sur les réseaux sociaux, particulièrement actifs en Tunisie.

«Il y en a qui voient le mal partout et qui expliquent tout par un jeu d'alliances maléfiques entre franc-maçonneries ou sionistes», soupire Sofiéne Bel Haj, un cyberactiviste très actif pendant la révolution. Toutefois, «il y a beaucoup de malhonnêteté et de manipulations sur le net, et certains s'emploient avec succès à décrédibiliser des responsables politiques», constate-t-il.

«On retrouve finalement les mêmes méthodes qui étaient utilisées contre nous lorsque nous luttions contre Ben Ali», ajoute-t-il.

«La Tunisie est le paradis de la rumeur, mais la rumeur est aussi une arme politique», met en garde Dora Jaafar.

Lien : [fr.canoe.ca]

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Des postes de police dans cinq villes tunisiennes ont été attaqués dans la nuit de samedi 16 juillet à dimanche 17 juillet à Tunis et au moins six policiers ont été blessés, dont quatre grièvement, a annoncé dimanche le ministère de l'Intérieur

Tunisie : 985 personnes interpellées cette semaine - Dimanche, 17 Juillet 2011

Près d'un millier de personne ont été arrêtées cette semaine lors de patrouilles de sécurité dans les différentes régions du pays.

Selon un bilan du ministère de l'intérieur, publié samedi 16 juillet 2011, des patrouilles organisées dans différentes régions du pays du 9 au 15 juillet courtant ont permis l'interpellation de 985 personnes "impliquées dans des délits plus ou moins graves".

Le communiqué du ministère de l'intérieur indique que ces arrestations concernent 389 personnes faisant l'objet d'un mandat de recherche en raison de leur implication dans divers délits, 143 personnes pour agressions, 138 personnes accusées de vol, 67 personnes poursuivies pour consommation et commerce de produits stupéfiants, 145 personnes pour ivresse et troubles sur la voie publique et 69 individus pour des affaires de mœurs.

Le ministère précise que les interpellations concernent aussi
des délits en rapport avec la détérioration de biens publics et privés, au port d'arme sans autorisation, et à la vente illicite d'alcool.

Emeutes et guérilla en Tunisie - NOVOpress - 18 juillet 2011

L’avènement de la « démocratie » suite à la « révolution tunisienne» tant applaudie par les pays occidentaux semble beaucoup plus chaotique que prévu et le gouvernement ayant remplacé celui de Ben Ali est déjà très violemment contesté.

Ainsi, des postes de police à Tunis et à Menzel Bourguiba (65 km au nord de la capitale) ont été attaqués la nuit dernière, et au moins quatre personnes ont été gravement blessées.

À Tunis, c’est dans la cité populaire d’Intilaka que près de 400 personnes armés de pierres, de bâtons et de cocktails molotov, ont tenté de prendre d’assaut le principal poste de police. Les affrontements entre émeutiers et policiers ont duré de longues heures.

C’est un spectacle de désolation qui régnait donc dans ce quartier de Tunis, des pneus incendiés, des pierres et des restes de barricades jonchant le sol des rues et la place devant le poste de police aux vitres brisées et aux murs marqués par les explosions de cocktails molotov. Quasiment au même moment, des attaques contre la police et des magasins se sont également produites à Menzel Bourguiba, ville industrielle au nord de Tunis où quatre personnes ont été gravement blessées et transférées à Tunis.

Source : [fr.novopress.info]

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Tunisie - Mort d'un enfant - 18 juillet 2011

Nous venons d'apprendre qu'un enfant âges de 13 ans a été tué lors d'affrontement avec l'armée. L'armée a saisi le corps du jeune garçon. Déjà de nouvelles manifestations se déclarent dans tout le pays.

Bruit des chaussures bon marché des ouvriers et des chômeurs auxquelles se mêlent désormais le bruit des boites des milices du parti extrémiste Ennadha qui se sont récemment armés en pillant les arsenaux de l'armée tunisienne.

La Tunisie semble sombrer dans la guerre civile.

Tunisie - Le début de la guerre civile ?

Nous vous parlions récemment de la montée fulgurante de l’intégrisme en Tunisie et de l’échec des partis laïcs, progressistes et libéraux à pouvoir lutter contre cette mouvance qui, contre toute attente, a démontré que le peuple tunisien était sensible et attiré par l’Islamisme politique dans son application la plus dure et la plus violente, le Salafisme idéologie de base de AQMI, Al-Qaida, le Hamas et d’autres groupes intégristes a travers le monde responsables de la mort de milliers de personnes et de l’esclavage de plusieurs millions d’autres .

Le Week end dernier donc Samedi et Dimanche 16 et 17 juillet s’est mobilisé une armée de Salafistes qui ont attaqué plusieurs dizaines de commissariats a travers le pays dans une action semble t-il concerté.

L’incident le plus grave est celui de Menzel Bourguiba, qui aboutit au massacre de 8 policiers (depuis le 14 janvier les policiers en Tunisie n’ont plus le droit de faire usage de leurs armes) ainsi qu’au pillage d’un arsenal central de la police dans lequel depuis le 14 Janvier sont stockés des munitions de l’armée. Le ministère de l’intérieur a donc signalé la disparition d’une centaine de pistolets Beretta 9mm, d’une trentaine de fusils «Stayer », de soixante fusils M-16, de dix Kalachnikov, plusieurs grenades fumigènes, de 4 caisses de grenades à fragmentations et le plus grave de vingt caisse de munitions. On signale dans les autres villes des pillages de moindre importances en termes de quantité; toutefois ce sont plusieurs obus de mortiers qui ont été pris près de Sousse et près de Tunis ce sont des obus de chars qui ont pris la poudre d’escampette.

Tous cela devant les yeux des riverains des casernes, des arsenaux et des postes de polices qui, s’ils n’ont pas aidé les pillards les ont laissés faire.

Le pouvoir tunisien a essayé de calmer la situation dans plusieurs communiqués de presse essayant de calmer la population. Mais, nul ne s’y trompe; la Tunisie est aux bords d’une guerre civile; les vidéos sur Facebook de gamins qui désormais arborent fièrement leur barbe et qui exibent leur armes devant les cameras de leur amis.

Nous voyons difficilement comment le pouvoir tunisien peut renverser la vapeur; d’un coté la défection des partis politiques tel que le CPR (congre pour la république ) qui quitte la Haute instance chargée de la réalisation des objectifs de la révolution, dernière institution quelque peu légitime aux yeux du peuple; de l’autre coté la montée de la violence contre les patrons dans les usines; la grève dans le port de Tunis, grève qui bloque l’activité commerciale du pays, sans parler des demandes des ouvriers toujours plus nombreuses, plus extravagantes; ainsi beaucoup réclament d’être payés selon le SMIC français 4000 euros d’autres encore réclament de faire 24 heures de travail par semaine, les patrons qui refusent d’obéir se font séquestrer, violenter, insulter, on leur crache dessus et on les invective avec des "dégage" dans leur propre usine; récemment encore le propriétaire d’une exploitation de phosphates dans la région pauvre de Gafsa ( la seule activité commerciale dans cette région) a été tabasseé a la fois par ses ouvriers car ils voulaient être payés 8000 dinars par mois et par les riverains qui ne veulent plus de son usine car il n’embauche pas assez de monde selon eux.

La Tunisie est dans un beau pétrin sans compter que ce pays se transforme en nouvelle base arrière pour AQMI; les récents attentats en Algérie sont la preuve et ses abominables attaques conte le peuple algérien viennent prouver cela.

Source : [unoeilsurlatunisie.blogs.nouvelobs.com]

Henri, merci d'avoir mis cette photo de la synagogue de La Marsa que je ne
connais pas, une splendeur, radieuse..la photo prise ainsi : elle a l'air
de s'élever dans le ciel, derrière ses grilles combien d'amour et de secrets bien gardés depuis des années..merci de raconter à ton tour mais je vois que l'auberge tu ne la montres pas, se sont les années bonheur..

Que de choses que je n'ai pas eu le temps de voir.......

Cette auberge etait au sommet d'un monticule, et l'on pouvait descendre avec des escaliers sur la plage qui etait pleine de rochers.
Je travaillais deja comme maitre auxilliaire au college technique francais de la Goulette.
L'apres midi je donnais rendez vous a ma petite-amie,on prenait ensemble le TGM et descendait a la "Corniche" (si mes souvenirs sont bons) station pas loin de la Marsa.Cinquante ans ont passe.Ya hasra!!!
J'avais quite la Tunisie pour Israel,mais comme c'est toujours le destin qui decide, je me suis retrouve a Paris,apres qqmois d'attente a Marseille, on m'avais promis d'integrer l'ecole de techniciens superieurs du centre atomique de Dimona et tous les jours on me disait le depart est pour bientot, j'avais perdu patience et surtout je n'avais plus d'argent.
A paris j'avais renoue avec cette meme petite amie , et a un reveillon de fin d'annee, j'avais fais connaissance avec ma femme, et comme ma tete etait toujours dirigee vers Israel,apres un voyage de vacance en Israel,a notre retour a Paris,nous nous sommes maries et a la naissance de notre fille ainee,nous avions fait notre alya pour Erets-Israel.
Voila qqmots autour de l’Auberge de la falaise.