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La Tunisie a besoin de vous

Envoyé par Nomad 
Re: La Tunisie a besoin de vous
06 mai 2012, 03:36
CE N'EST PAS QUELQUES SALAFISTES QUI FONT LA LOI EN TUNISIE.....EN FRANCE AUSSI VOUS DES GROUPUSCULES QUI VEULENT FAIRE LA LOI...DANS CES CONDITIONS, IL FAUDRAIT QUITTER LA FRANCE.....
Re: La Tunisie a besoin de vous
06 mai 2012, 08:18
Tu ne crois pas si bien dire!!!
La France deviendra tres bientot un pays dangereux pour les juifs.
Un pays ou le cri de mort aux juifs est devenu monaie courante a chaque manifestation,et cela sous l'oeil passif des forces de l'ordre, comme on a put le constater il n'y a pas si longtemps a Charles de Gaulle.
Alors aller en Tunisie ce n'est pas le moment!!!!

Re: La Tunisie a besoin de vous
06 mai 2012, 23:36
BEKHOR a écrit:
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> CE N'EST PAS QUELQUES SALAFISTES QUI FONT LA LOI
> EN TUNISIE.....EN FRANCE AUSSI VOUS DES
> GROUPUSCULES QUI VEULENT FAIRE LA LOI...DANS CES
> CONDITIONS, IL FAUDRAIT QUITTER LA FRANCE.....

c'est du grand "n'importe quoi" ... il y a quelques années deja, tu incitais les gens a faire des dons pour renover la synagogue de Sfax...
elle est devenu quoi ta synagogue de sfax qq heures apres le printemps arabe ???? sacagée !! brulée !!!
alors on te laisse te debrouiller avec les salafistes !! et lache nous les baskets !!
Re: La Tunisie a besoin de vous
06 juin 2012, 06:07
Des sièges réservés aux juifs tunisiens dans le prochain parlement

2012-06-05

Deux sièges dans Le parlement qui sera issu des prochaines élections législatives prévues pour le 23 mars prochain pourraient être réservés à des représentants de la communauté juive tunisienne, c’est ce que croit savoir le site électronique, Al Jarida. Les membres de la commission chargée des relations entre les pouvoirs exécutif et législatif à l’ANC ont émis un avis favorable quant à une représentation de cette communauté renouant ainsi avec une vieille pratique qui remonte à l'indépendance et même bien avant. Il est à noter que les premiers gouvernements de l’Etat tunisien indépendant comptaient en leur sein des ministres de confession juive comme André Barouch et Albert Bessis, qui appartenaient à de très vieilles familles tunisiennes juives. Ce fut aussi le cas de la première assemblée constituante élue en 1956 et de l’Assemblée nationale de1959 à 1964. Il ne faut pas oublier non plus les nombreux juifs qui ont pris part à la lutte nationale que ce soit dans les rangs du Destour ou au parti communiste tunisien. Le plus illustre d’entre eux étant le grand militant, Georges Adda qui nous a quittés il y a quelques années et auquel il faudra associer sa femme Gladys et son fils Serge, sans oublier l’ancien militant de Perspectives, Gilbert Naccache, ni l’historienne, Sophie Bessis. De même qu’ils ont contribué à la fondation du jeune Etat tunisien, prenant une part active, notamment à la création des premières banques tunisiennes et jetant les bases de l'industrie tunisienne à l'instar des frères Guetta.

La communauté juive tunisienne compte environ 1500 membres. Cependant, de nombreux juifs tunisiens ayant émigré en France ont gardé leur nationalité tunisienne.

[www.leaders.com.tn]


Pièces jointes:
Ecole-juive-Tunisie-leader-com-060512.jpg
Re: La Tunisie a besoin de vous
12 juin 2012, 14:25
Tunis déclare couvre-feu après des émeutes «islamistes»

Des émeutes ont commencé durant la nuit et a continué dans certains quartiers de la capitale le mardi.

La Tunisie a déclaré un couvre-feu la nuit sur huit régions, y compris la capitale, selon un fonctionnaire ministère de l'Intérieur,


[www.bbc.co.uk]
Re: La Tunisie a besoin de vous
13 juin 2012, 11:23
Re: La Tunisie a besoin de vous
24 juillet 2012, 12:47
Article paru dans Forward, quotidien paraissant aux Etats-Unis, issu du פֿאָרװערטס en yiddish.

Il s'agit d'un reportage sur les Juifs de Tunisie.
La vidéo comporte des images récentes, en particulier de La Goulette.
Le restaurateur Jacob Lellouche présente son site Dar el Dhekra - House of Memory - Maison de la Mémoire

[www.dar-eldhekra.com]


Tunisian Jews Seek Place in New Order
In Arab Spring's Cradle, Democracy and Uncertainty Rule

By Nate Lavey

Published June 10, 2012, issue of June 15, 2012.



A year and a half after the ouster of Tunisian dictator Zine El Abidine Ben Ali, the president of the Tunisian Jewish community is wistful for the one-party government that ruled the country for decades.

“You cannot find a better government than what we had,” said Roger Bismuth, who has held the title of president for more than 10 years. Bismuth extended his praise to all the ministers of Ben Ali’s political party, the Constitutional Democratic Rally, calling them “good technocrats,” but he said that the dictator and his family had “ruined the country” through fraud and mismanagement.

As Tunisia struggles to emerge from decades of dictatorship, just how well Bismuth is representing the consensus of the country’s small Jewish community may be an issue.

The revolution that overthrew Ben Ali in January 2011 provided the spark that set off the Arab Spring, which, through civil protest, toppled authoritarian governments in Egypt and Yemen. Today, the surge continues to course through the region — most notably in Syria, where, according to numerous reports, civil protests have been met with massacres by government forces. The massacres, in turn, have led to a downward spiral toward civil war.

The ultimate outcomes of the revolutions in Egypt and Yemen also remain in doubt. In both countries, civil protests continue to roil the streets and unresolved questions about the basic framework of post-dictatorship government continue to bedevil those jockeying for power. Just how democratic the final result will be, no one can yet say.

Jewish boys head home after school on the island of Djerba.
But in Tunisia, voters went to the polls last October and peacefully elected a constituent assembly in a competitive election hailed widely as free and fair. The major parties all accepted the results, in which the Ennahda Movement, a so far moderate Islamist party, won a plurality of the seats. In December the constituent assembly, which is also tasked with developing a new, post-dictatorship constitution, elected as president Moncef Marzouki, a longtime secular human rights activist who was imprisoned by Ben Ali.

The new order has affected Tunisia’s small community of some 1,500 Jews in a variety of ways. Among the urban elite, Bismuth’s sentiments are not unanimous, particularly among some younger members.

Jacob Lellouche, owner of a kosher restaurant in La Goulette, a suburb some seven miles from the capital, Tunis, said: “The last government — Mr. Ben Ali and his troop — instrumentalized the Jewish community to give a good picture of Tunisia outside. But here in Tunisia they said: ‘You are here, but be quiet. Don’t make any waves.’”

By “instrumentalize,” Lellouche said, he meant that Ben Ali pointed outsiders to his “protection” of Jews in Tunisia as evidence of his benevolence and a reason for Western governments to support his regime. But, Lellouche argues, Jews have lived in Tunisia for nearly 3,000 years, and though the Jewish population has declined greatly since World War II, there’s a sense that the strength of Jewish-Muslim relations owes more to individuals than to any state-imposed tolerance.

Read more: [forward.com]


Pièces jointes:
Forward-Juifs de Tunisie-100612.jpg
Re: La Tunisie a besoin de vous
31 juillet 2012, 14:13
Le blog de Georges Moréas, Commissaire principal de la Police nationale.

29 juillet 2012, par Georges Moréas
La police tunisienne en miettes

La Tunisie va mal et la police aussi. C’est du moins ce que me dit un policier tunisien dans un mail envoyé récemment. Depuis le départ de Ben Ali, le pays semble partagé entre l’idéalisme démocratique, né de la Révolution, et claironné par le président provisoire Moncef Marzouki, et une aspiration profonde à l’islam. Et cette ambigüité pèse lourdement dans la musette des policiers.

A priori, dans la rue, ce sont bien les lois islamiques qui prennent le pas sur les lois républicaines. Ainsi, en cette période de ramadan, les forces de sécurité sont souvent à l’œuvre pour fermer les bars et les restaurants, ces endroits ouverts aux « non-jeûneurs ». Mais certains s’interrogent sur la base légale de ces interventions. Et, en l’absence de loi, il semble bien que le ministre de l’Intérieur cède à la pression des « religieux » et notamment à une sorte de congrégation qui il n’y a pas si longtemps, s’appelait encore « Association de la promotion de la vertu et de la prévention du vice ». Il y a quelques jours, lors d’une opération destinée à fermer ces lieux de... perdition situés dans le centre commercial Carrefour, en périphérie de Tunis, mal à l’aise, les policiers ont justifié leur action en invoquant le principe de précaution : éviter que les salafistes ne viennent tout casser. On pourrait donc penser que la police plie devant la milice des extrémistes. Mais en fait, ils ne peuvent guère dire autre chose, les policiers, car en obéissant à un ordre sans base légale, ils se placent eux-mêmes dans l’illégalité. Cette ambigüité dans les instructions de la hiérarchie flirte avec la sensibilité de chacun. Et cela se traduit par des dissonances : une répression violente, le 9 avril, lors des manifestations pour la Fête des martyrs (commémoration de l’année 1938, lorsque les forces coloniales françaises ont tiré sur la foule), alors que quelques semaines plus tôt ces mêmes policiers offraient des fleurs aux manifestants.

Au mois de juin, des heurts violents ont eu lieu entre les forces de l’ordre et des groupes islamistes radicaux qui dénonçaient une exposition de tableaux jugée offensante pour l’islam. L’un d’eux, « Femme au couscous à l’agneau », représentait une femme nue avec en arrière-plan des bonshommes barbus. Bilan : un tribunal incendié, plusieurs postes de police attaqués et des dizaines de policiers blessés. Mais ils n’ont pas tiré à balles réelles contre les manifestants, malgré la déclaration du ministre de l’Intérieur rappelant à ses troupes qu’une loi de 1969 leur en donne le droit en « état d’urgence ». L’état d’urgence perdure en Tunisie. Il a déjà été prolongé cinq fois depuis qu’il a été prononcé, en janvier 2011. En principe, il doit prendre fin dans 48 heures – à moins qu’il ne soit à nouveau prorogé.

La plupart des syndicats de police se sont montrés satisfaits de cette déclaration de leur ministre. Cependant, jeudi dernier, alors que des manifestants s’en prenaient à la préfecture de Sidi Bouzid, sur le terrain, les forces de l’ordre se sont limitées à des tirs de sommation et à l’utilisation de gaz lacrymogène. Que se serait-il passé dans le cas contraire ? On se souvient en effet que c’est devant cette même préfecture qu’un jeune vendeur de fruits et légumes, Mohamed Bouhazizi, s’était immolé par le feu, marquant symboliquement le point de départ de la Révolution tunisienne et par extension du Printemps arabe. Une place de Paris, dans le 14° arrondissement, porte désormais son nom.

Vu de France, il est bien difficile d’y voir clair dans cet embrouillamini politico-policier. Mais il semble bien que la liberté syndicale des policiers soit en train d’en prendre un sacré coup. Les délégués sont sérieusement mis à mal depuis qu’ils ont osé revendiquer une meilleure protection juridique et une amélioration de leurs moyens d’action afin de pouvoir exercer leur métier « dans les meilleures conditions et dans le respect des valeurs des droits de l’homme dans la Tunisie postrévolutionnaire ». Le Syndicat national des forces de sûreté intérieures exige une rupture nette avec le passé. Il faut que le ministre de tutelle arrête de recycler les symboles de l’ancien régime. Mais, pour l'instant, j’ai l’impression que la seule réforme concerne le changement des uniformes... Il y a quelques jours, ils étaient nombreux à manifester suite à l’arrestation (on ne sait pour quel motif) de leur collègue, Issam Dardouri, secrétaire général de la cellule de l’aéroport international de Tunis-Carthage (il aurait été libéré mardi dernier). Pour les syndicalistes, qui prennent d’énormes risques, la société civile doit aussi se mobiliser et les soutenir dans l’approche d’une police républicaine. « Dans le cas contraire, a déclaré un responsable national, je donne six mois à la police pour revenir à sa qualité d’outil de répression ».

En attendant, les sanctions pleuvent : mutations, révocations, arrestations administratives et judiciaires... Et, à l'opposé, pour les plus souples, promotions surprises. Il y a indéniablement une volonté de contrôler les organisations syndicales pour les empêcher de se pencher sur les dysfonctionnements mis en exergue par la Révolution et sur les errements des fonctionnaires « qui ont contribué à la dictature de l’ancien régime ».

A ma connaissance, il n’y a pas eu de véritable épuration après les répressions sanglantes. Seuls quelques dizaines de cadres auraient été renvoyés.

Et tandis que les forces de l’ordre sont déstabilisées et souvent occupées à des missions de maintien de l’ordre, la criminalité prolifère, l’insécurité s’installe et les touristes fuient le pays. La Tunisie pourra-t-elle attendre les élections prévues pour mars 2013 sans verser dans le chaos ? Et demain, quel sera son profil ? Pour Nicolas Clinchamps, maître de conférences de droit public à Paris 13, le pays est « toujours écartelé entre les deux extrêmes de l’islamisme et du nationalisme ». D’autres vont beaucoup plus loin, comme ce cheikh, al-Khatib al-Idrissi, une référence spirituelle pour les salafistes tunisiens. Lui ne se limite pas à une Tunisie sous charia mais envisage carrément une « nation musulmane » mondiale : l’oumma. Pour lui, ce sont les occidentaux qui ont dressé des frontières entre les musulmans, « mais déjà les dictatures chutent : Tunisie, Égypte, bientôt la Syrie… En même temps, d’autres pays s’affaiblissent, tout comme les États-Unis. Ils vont vers l’effondrement et l’islam en profitera ».

On ne peut être plus clair

[moreas.blog.lemonde.fr]

Re: La Tunisie a besoin de vous
14 août 2012, 05:37
L’Orient-Le Jour > À La Une > Grève et manifestation à Sidi Bouzid, berceau de la révolution tunisienne
À La Une
Grève et manifestation à Sidi Bouzid, berceau de la révolution tunisienne
Partager OLJ/AFP | 14/08/2012

Le gouvernement tunisien dirigé par les islamistes d'Ennahda est confronté à une contestation grandissante. Le 13 août 2012, des milliers de Tunisiens ont manifesté à Tunis pour le respect des droits de la femme. REUTERS/Zoubeir Souissi Transition "Le peuple veut la chute du régime", scandent les protestataires.
Des centaines d'opposants au gouvernement dominé par les islamistes ont défilé mardi à Sidi Bouzid, berceau de la révolution de 2011, à l'occasion d'une grève générale dans cette ville du centre de la Tunisie, où la contestation semble gagner du terrain.

La grève annoncée dimanche était très suivie. Selon un journaliste de l'AFP, toutes les administrations et magasins de la ville étaient fermés. Seuls les bouchers étaient ouverts pour permettre aux habitants de s’approvisionner pour la nuit du destin qui célèbre durant le jeûne du ramadan la révélation du coran au prophète Mahomet.

Une manifestation unitaire -regroupant l'opposition, les syndicats et représentants du patronat et de la société civile- a rassemblé plusieurs centaines de personnes qui ont défilé vers le palais de justice, situé à l'extérieur de Sidi Bouzid.

Ils étaient toujours présents en nombre vers 11H00 GMT (12H00 locale) devant ce tribunal, qui était protégé par un important dispositif policier.

Les manifestants réclament la libération de personnes arrêtées la semaine dernière lors de manifestations dispersées sans ménagement par la police à l'aide de gaz lacrymogène et de balles en caoutchouc. Ils ont scandé des slogans contre le parti islamiste Ennahda, qui dirige la coalition au pouvoir. "Le peuple veut la chute du régime", "Justice, malheur à toi, Ennahda a le pouvoir sur toi", ont-ils crié notamment.

Une équipe de la chaîne télévisée Al-Jazeera a vu une vitre de sa voiture brisée par les manifestants et a dû quitter les lieux du rassemblement, selon un journaliste de l'AFP. Cette chaîne du Qatar est accusée par les détracteurs du gouvernement tunisien de soutenir Ennahda. Aucun autre incident notable n'avait été recensé à la mi-journée.

Les islamistes ont pour leur part organisé au centre-ville leur propre rassemblement qui a réuni quelque 150 manifestants.

Le gouvernement est confronté à une vague de contestation croissante ces dernières semaines sur plusieurs fronts, l'opposition et la société civile dénonçant une dérive autoritaire et une tentative d'organiser une islamisation rampante de la société tunisienne.

Par ailleurs, les tensions sociales sont grandissantes et plusieurs manifestations contre la pauvreté, des coupures d'eau et le chômage ont été réprimées ces dernières semaines, en particulier à Sidi Bouzid.

Tunis a ainsi vu lundi soir la plus grande mobilisation des détracteurs du régime depuis des mois, des milliers de personnes ayant manifesté pour la protection des droits de la femme menacés, selon l'opposition, par les islamistes.

Sidi Bouzid est située dans une région particulièrement pauvre et marginalisée sous le régime du président déchu Zine El Abidine Ben Ali. Or, selon des analystes, la situation économique et sociale ne s'y est guère améliorée depuis la révolution de 2011.

La ville a une importance hautement symbolique, en tant que berceau de la révolution dont le point de départ avait été la mort le 17 décembre 2010 de Mohamed Bouazizi. Ce vendeur ambulant de 26 ans s'était immolé par le feu pour protester contre la saisie de sa marchandise par la police. La misère, le chômage, en particulier des jeunes, et la corruption étaient au coeur des raisons du soulèvement contre le régime déchu de Ben Ali
Re: La Tunisie a besoin de vous
15 août 2012, 07:38
TUNISIE : le Grand Rabbin de Tunis souhaite la bienvenue au leader du Hamas
par Gerard Fredj


Il n'y a pas de sionistes en Tunisie et on ne veut pas être mêlés au problème du Proche-Orient, la Tunisie est notre pays, a déclaré à l'AFP Peres Trabelsi, un des représentants de la communauté juive tunisienne, interrogé sur les slogans antisémites lancés à l'aéroport lors de l'arrivée d'Ismail Hanyeh le leader du Hamas.

Pour le grand rabbin de Tunis, Haïm Bittan, "Certains membres de la communauté ont eu peur après cet incident, mais il faut faire la différence entre la situation au Proche-Orient et ici" ajoutant, à propos du leader du Hamas, "tous les invités de la Tunisie sont les bienvenus".

La compromission a quand même des limites qui viennent largement d'être franchies!

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