Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

Election présidentielle 2012

Envoyé par MeYeR 
Re: Election présidentielle 2012
23 avril 2012, 07:08
HOLLANDE C EST LE MARTEAU ET LA BEQUILLE, SARKO LA TÊTE ET L'ANGUILLE.TOUTE BARRE A DROITE AVEC UN LEGER VIRAGE A GAUCHE. Mais virage très discret. Afin de ramener le gros poisson FN dans les nasses SARKO.
Re: Election présidentielle 2012
23 avril 2012, 07:22
-TOUTE BARRE A DROITE AVEC UN LEGER VIRAGE A GAUCHE. Mais virage très discret. Afin de ramener le gros poisson FEN dans les nasses SARKO.


- LA HONGRIE BATTRA LA HOLLANDE AU BASKET PAR 41 CONTRE 39.


- LE PETIT GRANDIRA SOUS LES LUSTRES.
Re: Election présidentielle 2012
23 avril 2012, 07:29
Le Monde daté du 24 avril
Re: Election présidentielle 2012
23 avril 2012, 10:00
"Tout se passe comme je l'avais prévu", disait-il
LE MONDE | 23.04.2012

Par Gérard Courtois

Depuis sa brillante élection en 2007, Nicolas Sarkozy s'est employé à entretenir son image de magicien électoral. Balayant d'un revers de main les échecs sévères de son camp dans tous les scrutins locaux organisés depuis quatre ans, il voulait croire, et faire croire, qu'il n'en serait pas de même à l'élection présidentielle, ce rendez-vous singulier avec l'ensemble des Français. Son talent, son énergie et sa vista auraient raison de l'adversité, assurait-il avec son aplomb coutumier.

Ainsi, depuis des mois, le chef de l'Etat a répété, à qui voulait l'entendre, qu'il déjouerait les sombres pronostics des sondeurs. Avec cette phrase-talisman, assénée à tous ses visiteurs, convaincus ou dubitatifs : "Tout se passe comme je l'avais prévu." Hélas pour lui, tout ne s'est pas exactement passé ainsi. Fût-elle présidentielle, la pensée magique s'est heurtée à la réalité du pays, de ses inquiétudes, de ses déceptions, de ses colères.

Qu'avait prévu, en effet, le grand sorcier de l'Elysée ? Tout d'abord, comme en 2007, une stratégie entièrement centrée sur la dynamique d'un premier tour réussi. Il est vrai que la démonstration avait été imparable, il y a cinq ans : arrivé nettement en tête avec 31 % des suffrages, Nicolas Sarkozy avait assommé la concurrence et assez distancé la candidate socialiste, Ségolène Royal, pour aborder le second tour en position de force.

Le président-candidat s'est donc employé, depuis des mois, à créer les conditions nécessaires pour réaliser le meilleur score possible au soir du 22 avril. Avec ténacité et efficacité, il a ainsi dissuadé toutes les candidatures qui auraient pu encombrer sa route et l'affaiblir. A l'exception du souverainiste Nicolas Dupont-Aignan, tous les postulants éventuels ont jeté l'éponge, depuis le radical Jean-Louis Borloo jusqu'au centriste Hervé Morin, en passant par Christine Boutin et Dominique de Villepin, tandis que le "chasseur" Frédéric Nihous avait été rallié dès l'automne 2009.

La voie était donc dégagée. Mais cela n'a pas suffi. Loin de là. Avec 27 % des suffrages, le candidat de l'UMP n'arrive qu'en deuxième position, derrière le socialiste François Hollande. Pour un président sortant, qui n'a cessé de faire valoir son expérience de la fonction face à un adversaire supposé inexpérimenté, le camouflet est rude et le symbole cruel.

Il l'est d'autant plus que, ayant fait le vide autour de lui, Nicolas Sarkozy ne dispose d'aucune réserve "naturelle" de voix en vue du second tour. Avec 27 % des suffrages, il réalise le plus mauvais score de la droite parlementaire sous la Ve République. Même en 2002, Jacques Chirac n'avait certes pas franchi la barre des 20 %, mais il pouvait compter sur le renfort d'Alain Madelin, de Christine Boutin, de Corine Lepage, de Jean Saint-Josse et même de François Bayrou, qui n'avait pas encore complètement rompu les amarres avec la droite. Cette fois-ci, le roi est nu.

"Tout se passe comme je l'avais prévu", disait-il encore, en estimant avoir écarté la menace du Front national. On sait que, en 2007, l'OPA lancée et réussie sur les électeurs lepénistes avait puissamment contribué à la victoire finale de Nicolas Sarkozy. Fort de ce précédent, le chef de l'Etat n'a pas lésiné sur les moyens pour rééditer cette année une opération de "siphonnage" similaire. Tout a été fait pour séduire, une nouvelle fois, les électeurs tentés par l'extrême droite : une campagne engagée à droite toute, menée par un candidat autoproclamé "du peuple" contre "les élites", vigoureusement centrée sur les thèmes de l'insécurité comme sur les dangers et la maîtrise de l'immigration. Et, pour ceux qui ne seraient pas convaincus, une mise en garde répétée sur l'inutilité d'un vote en faveur de Marine Le Pen.

Le résultat du scrutin sanctionne, brutalement, l'échec de cette stratégie. Loin de se détourner de la candidate du FN, les électeurs l'ont soutenue comme jamais : non seulement elle réalise, avec 18 % des voix, un score supérieur à celui qui avait permis à son père de se qualifier pour le second tour le 21 avril 2002. Mais, surtout, elle rassemble 6,4 millions de voix, soit un million de plus que le total des voix de l'extrême droite (Jean-Marie Le Pen et Bruno Mégret) il y a dix ans.

Tout se passe comme si, loin d'"assécher" le Front national, Nicolas Sarkozy avait, en réalité, banalisé et déculpabilisé en quelque sorte ses idées et ses propositions. Au point que nombre d'électeurs ont, à l'évidence, "préféré l'original à la copie", selon l'espoir maintes fois formulé par Jean-Marie Le Pen.

Le troisième pari du chef de l'Etat était de tout faire pour éviter le référendum anti-Sarkozy qui s'annonçait. Il est vrai que son bilan, plombé par la crise autant que par ses choix, son mode de gouvernement, son style personnel même, menaçaient de coaliser contre lui tous les mécontentements. Il s'est donc efforcé de jouer sur tous les tableaux : président expérimenté, protecteur et crédible d'un côté, intrépide challenger contre "le système", de l'autre.

Les électeurs n'ont pas été dupes. Depuis cinq ans, trop de promesses ont tué la promesse ; et cinq années de postures sans cesse changeantes semblent bien avoir vacciné les Français : ils connaissent trop, désormais, les trucs du magicien Sarkozy pour s'y laisser prendre. Comme s'en est plaint le chef de l'Etat avant le premier tour, c'est bien un match à neuf contre un qui s'est joué le 22 avril. A son détriment.

Reste le dernier espoir présidentiel, caressé depuis des semaines et martelé par ses partisans dimanche soir : avec l'entre-deux- tours, s'engagerait une tout autre campagne, dominée par la confrontation directe avec le candidat socialiste, dont le chef de l'Etat espère bien sortir vainqueur. On peut douter cependant que cette ultime "prévision" se réalise davantage que les précédentes, tant le rejet du président sortant et le désir d'alternance paraissent puissants.

Si tel est le cas, le risque est ailleurs : que le vote des Français, le 6 mai, conduise à une "désélection" du président sortant - selon la formule de Pierre Rosanvallon, qui entend par là un choix contraint, par défiance et par défaut -, plus qu'à une élection du candidat socialiste. Il revient à François Hollande de lever cette hypothèque, qui pèserait terriblement, s'il est élu, sur sa capacité à affronter les défis qui l'attendent.

Gérard Courtois
Re: Election présidentielle 2012
23 avril 2012, 10:15
Re: Election présidentielle 2012
24 avril 2012, 05:30
.
Pièces jointes:
Sarko-Hollande-LM-24042012.jpg
Re: Election présidentielle 2012
24 avril 2012, 06:55
Re: Election présidentielle 2012
24 avril 2012, 10:24
61 % des Français souhaitent un seul débat entre les deux candidats

24/04 | 16:00 | mis à jour à 16:54

Selon le baromètre OpinionWay-Fiducial pour « Les Echos » et Radio Classique, seuls 20 % des Français approuvent l'idée des trois débats télévisés entre les candidats au second tour de la présidentielle, comme l'a demandé Nicolas Sarkozy.

PAR Stéphane DUPONT, Chef de Service

François Hollande lui a déjà dit « non ». Et l'opinion très majoritairement n'y est pas favorable non plus. Selon le baromètre OpinionWay-Fiducial pour « Les Echos » et Radio Classique, seuls 20 % des Français approuvent l'idée des trois débats télévisés entre les candidats au deuxième tour de la présidentielle, comme l'a demandé dimanche soir Nicolas Sarkozy. Ils sont 18 % à en « souhaiter » deux comme le proposait jusqu'à ce week-end le président.

« Les Français sont très attachés au maintien de ce rituel »

Et surtout 61 % à en vouloir un tout simplement, comme cela a toujours été le cas dans l'entre-deux tours depuis la présidentielle de 1974 (exception faite de celle de 2002 qui n'avait pas donné lieu à un face à face entre Jacques Chirac et Jean-Marie Le Pen).

« Les Français sont très attachés au maintien de ce rituel », explique Bruno Jeanbart, le directeur des études politiques et d'opinion d'OpinionWay. « Et ils considèrent qu'un débat de deux ou trois heures suffit pour se faire une idée », plus de 90 % des électeurs se disant déjà sûrs de leur choix. En fait, seuls les électeurs de Nicolas Sarkozy dimanche se déclarent majoritairement favorables à l'organisation de plusieurs débats et ce, à 80 % !

L'intégralité du baromètre OpinionWay Fiducial «Les Echos» d'avril [www.lesechos.fr]
[Ce sondage donne 54 % pour François Hollande et 46 % pour Nicolas Sarkozy au second tour.]

[www.lesechos.fr]

Re: Election présidentielle 2012
24 avril 2012, 11:39
Chère amie, cher ami,

Nous sommes dans la dernière ligne droite, celle où tout s’accélère, celle où la victoire finale se construit, où chaque soutien est capital.

Vous le savez, le résultat de ce deuxième tour n’est pas acquis.
La victoire est possible mais rien n’est gagné d’avance.

C’est pour cela que, dans ces derniers jours de campagne, j’ai besoin d’un effort supplémentaire de votre part.

J’ai conscience de vous demander beaucoup, mais je sais aussi que vous voudrez m’accompagner jusqu’au bout parce que vous mesurez l’importance de l’enjeu qui est devant nous : c’est de l’avenir de la France dont il s’agit !

Oui, j’ai besoin de vous pour gagner. C’est grâce à votre soutien que nous pourrons faire la différence dans les dernières heures de la campagne.

Merci de toute l’aide que vous m’apportez et de votre engagement à mes côtés.

Je compte sur vous !

Avec toute ma fidélité et mon amitié,




Nicolas SARKOZY
Re: Election présidentielle 2012
24 avril 2012, 22:11
Cher Nicolas,
Comment veux tu notre aide,lorsque, d'un cote apres 64 ans, tel le heron de la fable, les sois disant palestinniens continuent a refuser le partage, et veulent tout, et de l'autre cote Israel continue a construire, ce qu'on lui reproche comme etant un obstacle a la paix, c'est ce que tu nous dis et rabbaches ces tous derniers jours!!!!!
64 ans de travail qui ont permis de faire refleurir le desert, de construire un des pays les plus modernes du moyen orient.
Yom hasmaout Shamea.

Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






HARISSA
Copyright 2000-2024 - HARISSA.COM All Rights Reserved